• Jean-Luc Godard par Jean-Luc Godard

    Composition
    Alain Bergala.
    Édition  CAHIER DU CINEMA - Êditions de l'Êtoile, Paris, France, 1985. 16 x 23 x 3,7 cm.



     

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    Jean-Luc Godard Adieu Langage

    Jean-Luc Godard entretien cinéma

    © Point to Point Studio XXI°

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  • Larry and Clark Portrait Photographie Terry Richardson

    KIDS film de Larry Clark, NYC-1994/5

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    Impaled

    Film réalisation de Larry Clark 2006
     


    Interview Magazine Larry Clark

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  • Sophie Calle "speakerine" at Dublin. Irish conversation.

      View of the exhibition View of the exhibition View of the exhibition     View of the exhibition         Exquisite Pain, 58 days - Sophie Calle 1984/99    Exquisite Pain, 65 days - Sophie Calle 1984/99    View of the exhibition     View of the exhibition     View of the exhibition View of the exhibition     Souci - Sophie Calle 2010        View of the exhibition     View of the exhibition     View of the exhibition     View of the exhibition     View of the exhibition     Where and when? Lourdes / Où et quand?  Lourdes - Sophie Calle 2005/2008    Where and when? Berck / Où et quand? Berck -  Sophie Calle 2004/2008    View of the exhibition     View of the exhibition     Douleur exquise, J-8 (lit bleu) - Sophie Calle  1984/2003   

    Les images et sons ont été capté à Dublin par Trista De Genova (part 3)

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    Sophie Calle - livre "les aveugles" au centre d'art de Flaine. Avril 1987

    Sophie Calle Take Care of yourself détail.

    Sophie Calle Take Care of yourself composition S TpT


    Take Care of yourself, Sophie Calle détail.

    Page en cours

    SOPHIE CALLE - MOTHER PROJECT

    CECI N'EST PAS TA PHOTO CALLE, THIS IS A PIPE SOPHIE

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  • Lucinda Childs est née à New York et a fréquenté l'école Brearley. Elle a commencé à danser très tôt, à l'âge de six ans, mais son ambition était de devenir une actrice. La formation continue la danse, elle a étudié avec des légendes comme Hanya Holm et Helen Tamiris. Helen Tamiris a donné à L. Childs son premier emploi,chorégraphe musicale, qui s'est avéré être une situation effrayante pour elle. Après cette expérience traumatisante, Lucinda Childs a décidé de mettre l'accent sur la danse tout en poursuivant un baccalauréat ès arts de la danse au Sarah Lawrence, où elle a pu élargir son expérience technique en étudiant avec Judith Dunn, Bessie Schonberg et Merce Cunningham. Lucinda Childs décrit M. Cunningham en disant de lui "Il a précisé la nature de la particularité et la clarté de la danse qui se sentait distinctement séparé de tout ce que j'avais connu jusque-là". Pendant ses études au studio Cunningham, Childs a été présenté à Yvonne Rainer qui l'encourage à faire partie du Judson Dance Theater en 1963 ; cela lui permis d'explorer et d'expérimenter son propre style de dance et de chorégraphie : "Judson m'a intéressé à la danse, mais il m'a aussi fait sentir la séparation entre des choses. Cela m'a permis de travailler en dehors du vocabulaire de la danse, en utilisant des objets et des textes".

    Lucinda Child extraits de "Carnation" création, 1964, Judson Church Dance Theater NY. US

     

     

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    Lucinda Childs

    1962, New York : un groupe d’artistes avant-gardistes crée le Judson Dance Theater qui va bouleverser les fondements de la danse moderne. Lucinda Childs y crée Carnation en 1964, son premier solo, un manifeste postmoderniste. Images d’archives, entretiens et extraits de spectacles dessinent le portrait d’une chorégraphe emblématique de la danse contemporaine américaine, dont la créativité toujours à l’œuvre ne cesse de nous surprendre.

    Entre 1962 et 1966, le Judson Dance Theater était un lieu où chorégraphes, plasticiens et musiciens pouvaient s'épanouir dans un esprit de totale liberté. Sous l’impulsion de Merce Cunningham, Lucinda Childs élabore son vocabulaire chorégraphique : mouvement pendulaire des bras, scansion des pas, changements de direction sur les axes d’une structure géométrique complexe.

    On la remarque à Paris au Festival d'Automne 1976, dans l'opéra fleuve de Bob Wilson et Philip Glass, Einstein on the Beach. Mais c'est en 1979, toujours au Festival d’Automne, que le public subjugué découvre Dance, spectacle hypnotique alliant danse minimaliste, vidéos monumentales de Sol LeWitt et musique de Philip Glass. Lucinda Childs fut immédiatement distinguée par la critique comme une artiste majeure.

    Depuis quelques années, ses chorégraphies sont entrées au répertoire de plusieurs ballets d'opéras européens. Dans son workshop new-yorkais ou sa maison insulaire en face de Boston, elle retrace son parcours.  Mario Fanfani 

     LUCINDA CHILDS COMPAGNIE

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  • Bernard Henri Lévy comme idiot (Italia)

     

    "Mais, pour les imbéciles, je n’ai rien pu faire…" (I detti islamici di Gesù, Mondadori) souligne le courrier International dans son article "L'ignorance, (la) crasse des intellectuels français" du 7 janvier 2011 article repris de celui de Madame Spinelli "Battisti e la Francia l'ignoranza militante" ce qui ne semble pas être le cas de Cesare Battisti !...


    SIC Partielle du C.I. : La lettre la plus difficile, la plus ardue, Bernard-Henri Lévy aurait dû l’écrire non pas au président du Brésil, Lula, mais au président de l'Italie, Giorgio Napolitano, après s’être informé sur l’histoire italienne. Il ne me semble pas qu’il l’ait fait. Le geste le plus difficile, le plus ardu, aurait été de rendre visite non seulement à Cesare Battisti, mais aussi à ses victimes. Mais il ne me semble pas non plus qu’il l’ait fait. Ni lui, ni Philippe Sollers, ni Daniel Pennac, ni Fred Vargas, ni aucun de ces Français qui considèrent l’Italie comme un pays de singes dépourvu de magistrats dignes de ce nom. Un pays magnifique et rempli de mauvais citoyens, disait Stendhal.

 Les Français en question sont des esthètes pour le moins sélectifs. Jamais ils n’élèvent la voix contre la mafia ou contre la culture de l’illégalité propagée par Berlusconi. Avec ses déclarations tonitruantes, Bernard-Henri Lévy, persuadé d’avoir produit une pensée, enferme son raisonnement dans un bocal comme un plat que l’on réchauffe de temps à autre. Il danse à la surface des choses, s’en tient aux arguments les plus faciles, qu’il présume anticonformistes. Il croit chanter en solo, loin du chœur. Sur son site, le voisinage du visage de l'Iranienne Sakineh et de celui de Battisti est indigne. Il est symptomatique d’une incapacité à comprendre le mal infligé à l’innocent. Ce n’est pas celui qui souffre vraiment qui l’intéresse, la fascination qu’exerce un assassin est irrésistible, bien plus passionnante.

    ..../…

    Même Jésus avait du mal avec les imbéciles. Il admettait : "Les boiteux, je les ai guéris, les aveugles aussi. Mais, pour les imbéciles, je n’ai rien pu faire." Nous n’avons pas besoin de l’ignorance militante et ahurie qui vient d’ailleurs : nous en avons largement notre dose chez nous. L'amalgame qu’on a fait entre terrorisme, mafia, corruption et mépris de la magistrature n’est pas une page obsolète qu’il s’agit de tourner. C’est le présent dans lequel nous sommes embourbés. Toutes ces choses, les Français ne les comprennent pas. Ils ont beau avoir fait la révolution et appeler chaque homme par le même nom – citoyen –, l’esprit de caste est tenace. Si vous êtes un intellectuel, vous jouissez d’une immunité particulière, même si vous avez tué votre femme, comme le philosophe Louis Althusser. Tocqueville, déjà, trouvait intolérable le flirt tellement français entre hommes politiques et gens de lettres.
 Considérer les terroristes d’hier comme des vaincus, comme les perdants de l’Histoire, relève de l’abstraction littéraire la plus ignominieuse, peut-être. Le vaincu est celui qui sort battu d’un conflit dans lequel il a été un combattant régulier, un guérillero ou un véritable enragé. On lui doit le respect : un nouvel ordre va se reconstruire, où il aura sa place. Les années de plomb n’ont pas été une guerre civile. Elles ont été une histoire criminelle, comme l’a été une grande partie de l’histoire italienne.
    Barbara Spinelli - Lien avec l'original > la Repubblica le 5 janvier 2011. Lien avec la traduction Le courrier international du 07-0I/2011

    Madame Barbara Spinelli est née à Rome en 1946, elle a participé à la fondation du quotidien La Repubblica  (1976) et a travaillé au Corriere della Sera. puis comme éditorialiste en 1985 à La Stampa, elle est revenue au La Repubblica en 2010. Philosophe de formation, journaliste spécialisée dans l'Europe centrale et orientale, elle est la fille d’Altiero Spinelli, grande figure de l’antifascisme et fondateur du Mouvement fédéraliste européen, qui donnera naissance à l'Union des Fédéralistes Européens.

    Pour son combat pour la défense des droits civils a été attribué le 8 Mars 2005, le prix "le journalisme" comme gagnant pour l'année 2004.
    En Juin 2005, elle a été nommé Grand Officier de Carlo Azeglio Ciampi à l'occasion du Jour de la République [2]
    Il a remporté le Ischia en tant que journaliste de l'année 2006 pour les informations écrites.
    En 2007, elle a reçu le Prix international de la fiction Ignazio Silone.
    Le 21 Octobre 2008 a été décerné le doctorat honoris causa en «études européennes» de la Faculté de science politique, Université de Piemonte Orientale.

    Lettre-Au Président du brézil_Luiz_Inacio_Lula_da_Silva-Bernard_Henri_Levy.pdf

    Cesare Battisti

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  • 9 Evenings : Theater & Engineering Alfons Shilling 1966


    En 1966, 10 artistes de New-York travaillent avec 30 ingénieurs et scientifiques des Laboratoires Bell pour créer une série de performances révolutionnaires qui intègre les nouvelles technologies. Ils ont utilisé la projection vidéo, sans fil de transmission du son, et le sonar Doppler - des technologies qui sont monnaie courante aujourd'hui, mais qui n'avait jamais été vu dans l'art des années 1960. Cette série de spectacles, intitulée «9 Evenings : Theater & Engineering", a été organisée par Robert Rauschenberg et Billy Klüver, un chercheur au Bell Labs, à Murray Hill, NJ La série a conduit à la création de la fondation expériences in Art and Technology ( EAT), dont la mission était de promouvoir des collaborations entre les artistes, les ingénieurs et les scientifiques.

    Armory Hall,
    Théâtre-Festival, New York : Dans les années 1960, ce qui allait conduire à la création de l'organisation des expériences  Art and Technology, a été mis en pratique à grande échelle par dix artistes vivant à New York. C'est en tant que festival unique pour les musiques électroniques ainsi les performances. L'idée de collaborer avec des techniciens fut initié par Robert Rauschenberg et Billy Klüver, et organisé et largement promue au titre du festival : neuf soirées avec des performances de John Cage, Lucinda Childs, Merce Cunningham, Öyvind Fahlström, Alex Hay, Hay Deborah, Steve Paxton, Robert Rauschenberg, David Tudor et Robert Whitman. Billy Klüver fut une force qui se développa avec beaucoup de vitalité dans les années 70. Le principal élément technique des performances a été le système électronique de modulation TEEM, composé de portables, unités électroniques qui fonctionnent sans câble à partir de télécommandes. John Cage à utilisé ce système pour activer et désactiver les haut-parleurs qui réagirent au moyen de cellules photo-électriques en fonction des mouvement. Ce fut une première colectives dans le fait d'utiliser le "Live" grâce à l'électronique d'où l'on pouvait extraire un potentiel dynamique en osmose avec des réalisations artistiques d'une grande diversité partagée avec un grande nombre de public et donc largement médiatisé.


    E.A.T. productions
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  • Robert Morris Portrait de Photography de Grant-Delin

     

    Robert Morris, Observatory, 1971/1977 from Trudy van Riemsdijk - Zandee

    "Site",  1964, 18 minutes, by Robert Morris (extrait 4'6" mn)

    at Judson Dance Theater. Stage 73. Pocket Theater. with Carolee Schneemann and sound of jackhammers.

    Faute de mieux "hallucinante sur grand écran" : Robert-Morris-SITE_1964_iphone_-_iPhone_telephone_cellulaire.3gp.zip

    Cette performance de 18 minutes de Robert Morris en duo avec Carolee Schneemann organise son jeu sur les relations : abstraction-symbolisme, danse-beaux-arts, mécanique-pensée, concret-abstrait, chantier-pensée, pièces les plus influentes de sa génération et référence du mouvement minimaliste des années 60'.

    Site : est une suite d'actions chorégraphiées dans un décor dépouillé avec des accessoires blancs, accompagnées au son du marteau-piqueur. Le bruit sort depuis le parallélogramme placé sur la scène devant l'artiste Robert Morris habillé de vêtements simples et blancs a le visage est couvert d'un masque et porte des gants de travail. Après une brève attente l'artiste se dirige vers un ensemble construit de panneaux de contre-plaqué aux dimensions standards pour se saisir, de l'une d'elle et la déposer verticalement au fond de la scène, puis il prend une deuxième qu'il va nous révéler brutalement une femme nue : Carolee Schneemann, qui restera immobile, étendue telle un tableau vivant : qui se réfère à une célèbre toile du peintre Édouard Manet. Avec cette seconde planche de contreplaqué il enchainera une suite de mouvements pratiques, puis le danseur recouvrira la figure qu' incarne C. Scheemann : l'Olympia! Ensuite il repositionnera son corps à l'origine de ses déplacements ; devant la source sonore, attendant que les lumières obscurcissent la scène.

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    En 1972, Robert Morris et Lynda Benglis ont convenu d'échanger des vidéos, afin de développer un dialogue entre le travail de l'autre. Plus d'infos Clique ici

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    Robert Morris 1974

      Enchainé SM, casqué Wehrmacht, lunetté Police, contrasté, nu jusqu'à la taille, Morris organise avec Rosalind Krauss une image "Cake for Gay" pour présenter son exposition aux galeries Castelli -Sonnabend  d'avril 1974 dans les pages du Magazine Artforum.  Celle-ci est à regarder conjointement avec celle parut dans le même journal de Lynqa Benglis, Clique Ici qui pour son exposition la Galerie Cooper engagea des symboles similaires nudité objet sexuel coupe du corps, mais colorés. Ce qui mit le bordel dans la critique artistique de l'époque.

    Lynda Benglis Pub artforum Robert Morris Foto Rosalind Krauss

    This work is an advertisement for Morris's April 1974 exhibition at the Castelli and Sonnabend galleries, that was part of his continuing dialogue with the artist Lynda Benglis, with whom he had previously collaborated on film projects. In the ad, featured in Artforum magazine, Morris is seen from the waist up, flexing his muscles and outfitted only in S & M gear: a German Army helmet, aviator sunglasses, steel chains, and a spiked collar. While striking in itself, Morris's hypermasculine self-portrait is important for prompting an image that gave rise to a huge controversy on the pages of Artforum: a centerfold ad in that same magazine featuring a photograph of Benglis, naked but for a pair of sunglasses, a diamond earring, and sporting an enormous dildo. While Morris's image barely raised an eyebrow, "the Benglis ad" was met with an angry uproar that dramatically illustrated the sexual double standard. Interestingly, one of the loudest voices of condemnation against was the art critic Rosalind Krauss, who had actually photographed Morris for the Castelli-Sonnabend poster; along with other editors of Artforum, Krauss called the ad "an object of extreme vulgarity" that succeeded in "brutalizing ourselves and, we think, our readers."

    Robert Morris

    Ubu.com

     


    Robert Morris Book Felt Piece Drawing art / 80 €

    Robert Morris Livre Art Contemporain pae Rosalind E. Krauss, Wym Beerien and Irene Veenstra 1997 

    Vidéo extract-simulation © studio point to point

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