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Par L M le 16 Juillet 2016 à 02:45
Walter Dorwin Teague 1883 -1960, l'un des premiers designers industriels, il représente avec Norman Bel Geddes, Henry Dreyfuss, Raymond Loewy de la tendance "Streamline". Il engagera avec ceux-ci et les designers américains la "Société des Designers Industriels" dont il sera le premier président en 1944.
"le monde"
Le "Big Cash" présent à l'exposition universelle "The Worl of Tomorrow" à New York en 1939 fut conçue par Walter Dorwin Teague. Celle-ci comptabilisait les entrées journalières ; elle tournait jour et nuit, éclairant tel un astre de l'univers (voir le document vidéo) la comptabilité spectaculaire au rendez-vous du "monde de demain".
L'immeuble cinétique, symbole de l'empire marchand éveilla certainement des vocations multiples sur marmots à culottes courtes avides de réussite : caissiers, architectes, gangsters, entrepreneurs et artistes de la Pop Culture des années 1950.
Exposition Universelle World's Fair New-York
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lien > Bownie Kodak camera de Walter Dorwin Teague clique
Centre Pompidou Art Dorwin Teague
Document réalisé à New York, de 1940 à 1944, dans les bureaux de l'entreprise W.D. Teague l'un des pionniers du design industriel par C. Stowe Myers.
Steinway Piano, Art Deco de Walter Darwin Teague, circa1942.
Télécharger « Notes-sur-l'histoire-du-design-40-60-par-Y-Giraud.pdf »
Images Société designers US Walter Dorwin Teague
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Par L M le 11 Février 2014 à 02:34
Noir Rouge, Vert, Ciel Position Libre avec des livres Cazal, Gette,Hybert, Lee Byars
Bibliosteak Design Dispostion 2000
Les pages 2001
Unique Étagère 2000
Carton 2000
Fluxus and Post 1999
LIEN RevueGod
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Par L M le 10 Août 2013 à 14:43
Advertising. Best Of Graphis
Design-Dk 1996 books
Design meubles par Sembach-Leuthauser-Gosel. Taschen
Die Neue Architektur, New Architecture, Nouvelle Architecture, de Alfred-Roth.
École d'ULM. Textes et Manifestes
Énergie Pour La Vie. Textes Photos: Milligan, Alves, Nader
Frank O'Ghery Herman Miller Architecture
Équipement Métal, Strafor Ax. Catalogue Publicitaire
Light Design
Les Nouvelles tendances Design, Arad, Deganello, Mendini, Kita, Starck, Nixon, Hollein
Starck. Page Herbet Schoenheit livre
Le Poème Electonique: Corbu- Xenaki, Philipps
Ma maison Lecorbusier
Fuksas Sacconi, Una-Caza, A-Un-Altra
02, Revue art contemporain, page Raymond Hains
Smart: Documents press Heudorfer
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Par L M le 7 Août 2013 à 00:40
Enzo Mari Building Project Nîmes Point to Point Studio
CONTENIR REGARDER JOUER
Bruno Munari - Enzo Mari
Cher Bruno Danese
Avec la situation chaotique d'aujourd'hui qui existe également à tous les niveaux de la culture, il me semble trop facile et dangereux de monter une exposition qui puisse être composée de travers où même interprétée uniquement comme cachet culturel, comme cela arrive pour beaucoup d'exposition sérieuse de ce genre, vues ces dernier temps. Aujourd'hui faire une exposition sérieuse de design devrait avoir une signification socio-économique, c'est à dire politique. Dans ce sens il aurait été impossible de dire et de ne pas dire sans mystifier. Par ailleurs, limiter une approche du design au seul niveau de la méthode et de la technique, qui est ce que l'on fait dans le meilleur des cas, est une attitude bien médiocre et qui de plus peut être mystifiée, car les aspects économiques sont aussi les aspects prioritaires de la méthode.
D'autre part, réaliser une exposition par deux interventions " personnelles", la mienne et celle de Munari - qui implique également des intérêts extérieurs à tes productions - prétendant communiquer au public deux idéologies différentes au moyen d'exemplifications variées, mais en soulignant cependant les objets réalisés par "Danese" aurait signifié et même particulièrement mis l'accent sur les aspects culturels, tout en sacrifiant les idéologies particulières. D'autant plus que j'estime les implications culturelles suffisamment claires, à travers les objets de la production. Nous pouvons conclure aujourd'hui, pour la "Production Danese" comme pour toute autre production au monde, l'unique solution (si l'on ne veut pas faire de la publicité indirecte, bien que pire que la directe) consiste à présenter les objets de la façon la plus simple et la plus neutre possible. Ce point de vue est celui qui devrait insprer tant la conception du catalogue que l'organisation de l'exposition…/… Enzo Mari extrait de texte présent dans contenir regarder jouer 1969Bruno Munari et Enzo Mari, Catalogue Musée des arts décoratifs - Palais du Louvre. Paris 70
Bruno Munari Enzo Mari + Infos
Enzo Mari est associé à des enjeux théoriques plus qu’aux retombées commerciales, le travail de Mari a transformé le champ du design en privilégiant une réflexion critique poussée qui s’exprime autant dans des textes que dans les formes d’un design fonctionnel, comme avec Proposta per autoprogettazione (1974), une série de mode d’emploi pour construire des lits, des tables et des armoires, tous dessinés par Mari et gracieusement offerts au public qui pouvait ainsi détourner les circuits de la distribution et customiser son mobilier. Mari est souvent décrit comme un humaniste passionné et insolite, un caractère à part, échappant à tous les diktats et les orthodoxies qui s’imposent. Libre par conviction, Mari a fréquemment été placé dans le rôle de conscience critique du design, mais, modeste, il se voit plus comme le protagoniste du conte de fées : « Les habits neufs de l’empereur » dans lequel un empereur nu qui croit être habillé d’un tissu extraordinaire défile nu devant la foule qui s’esbaudie poliment. +++ CH
Bruno Munari s’est intéressé au graphisme, à l’illustration, au livre, tout autant qu’aux arts plastiques, au design, à la photographie, au cinéma. Il a traversé et participé à de nombreux mouvements artistiques des avant gardes du 20ème siècle. Très jeune, il participe aux mouvements Futuriste et Surréaliste. Très impliqué dans le Mouvement Art Concret, fondé à Milan en 1947, qui regroupe, entre autres, des artistes comme Max Bill, Klee, Kandinsky, Arp, Sottsass, il expérimente les formes géométriques, triangle, cercle, carré, cherchant à supprimer le superflu. Son travail concilie l’architecture, le design industriel et les arts visuels chers au Bauhaus. Dès les années 1930, le livre va devenir le support de ses recherches artistiques. Formé par l’un des maîtres du Bauhaus, Herbert Bayer, l’activité graphique de Munari commence avec des innovations radicales. Son goût pour la typographie l’amène à utiliser la lettre comme un langage en soi, à la manière du constructiviste russe El Lissitzky. S’inspirant d’anciens livres d’anatomie, il introduit des feuilles transparentes qu’il juxtapose entre des feuilles opaques, il joue sur les dimensions et les matériaux, mettant l’accent sur l’aspect tactile du livre-objet, sans oublier l’aspect ludique et l’humour. Il s’adresse tout particulièrement à l’enfant qui sommeille en nous avec ses « livres illisibles » (1949), avant la série des « Pré-livres » destinés aux tout-petits. Appliquant au livre ses expérimentations d’artiste dans un but d’appropriation par le lecteur, il vise l’art « de tous » et non «pour tous ». Passionné de pédagogie, il crée des ateliers de découverte, à l’instar de celui installé en 1977 à l’Académie des Beaux-Arts, dite Brera, de Milan. Il réalise des performances pour jeune public, activité dont il ne se lassera jamais.
Bruno Munari Chair ∆ 1974/XXI° par Enzo Mari votre commentaire
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Par L M le 5 Août 2013 à 17:51
Ettore Sottsass Ritratto, Portrait. Architecte Point to Point Studio
“Je pense que le futur ne commence que lorsque le passé a été complètement démantelé, quand sa logique a été réduite en poussière et qu’il n’en reste plus que la nostalgie.” Ettore Sottsass
Ettore Sottsass Photographe, Point to Point Studio
“Le design ne signifie pas donner une forme à un produit plus ou moins stupide, pour une industrie plus ou moins sophistiquée. Il est une façon de concevoir la vie, la politique, l’érotisme, la nouriture et même le design.” Ettore Sottsass
Ettore Sottsass designer italien Point to Point Studio
" À force de marcher dans des zones d’incertitude, à force de dialoguer avec la métaphore et l’utopie, à force de rester à part, nous avons accumulé aujourd’hui une certaine expérience. Nous sommes devenus de bons explorateurs. " Ettore Sottsass
Ettore Sottsass Pour Faire l'amour designer 1970
À présent tout le monde dit que je suis très méchant, tous disent que je suis vraiment méchant parce que je suis designer, tous disent que je ne devrais pas exercer ce métier – que je suis mauvais –, tous disent que si quelqu’un exerce ce métier, c’est au mieux onirique. Tous disent que le designer a « comme seul et unique objectif de s’inscrire dans le cycle de production/consommation ».
Tous disent que le designer ne réfléchit pas à ce qu’est la lutte des classes, qu’il ne sert pas la cause des gens, et qu’il travaille au contraire pour le système…Et que le système le mange, le digère et ne s’en porte que mieux. Il engraisse même. Tous disent qu’il n’y a rien à faire, qu’être designer serait comme un horrible péché originel et qu’une fois qu’on l’a commis, il est en nous pour toujours. Ils me désignent comme le coupable de tout ce qui ne va pas. Parce que je suis un designer et étant donné que par définition je travaille pour l’industrie, que l’industrie est l’équivalent du Capital et que ce dernier fait la guerre, etc., ils me rendent donc responsable de la guerre du Vietnam. Ils m’accusent aussi d’être responsable des morts de la route car c’est le Capital qui produit les voitures ; et pour ces mêmes raisons, je devrais aussi assumer la culpabilité des suicides dans les villes…
Je suis très méchant parce que je suis un technocrate. Je suis seul à connaître des choses et selon eux, je ne le devrais pas. Tous disent que je devrais en connaître d’autres afin de détruire le Capital.Mais comment peut-on détruire le Capital ? … Comment faire une industrie sans design ?
Le problème n’étant pas de savoir si on est méchant ou pas parce qu’on est un designer, mais plutôt de savoir ce qu’on est capable de faire avec ça quand on est un designer.… Je voudrais que ceux qui m’accusent viennent près de moi, ici, autour de cette table à dessin où je travaille et essaient de comprendre ce qu’est mon métier, la nécessité, l’habitude ou parfois l’espoir qui m’habite…
Je ne sais pas s’il est vrai que des idées politiques sont à même de déterminer la signification de tous les gestes de la vie ou bien si c’est le contraire et que chaque décision, chaque geste, chaque mot qui prend place dans le temps et l’espace trouve, enregistre et défend une signification politique…Ce que j’essaie d’exprimer ici c’est que si quelqu’un décidait de devenir designer, son choix devrait être motivé parce qu’il se pense en tant que tel et non pas comme un homme politique dont il aurait emprunté le jargon et les méthodes et qui parle, et parle et parle. En effet pendant que j’écris cette histoire, je ne fais pas de design. Que j’écrive une histoire est en ce qui me concerne un travail d’amateur étant donné que mon objectif est d’être un bon designer et c’est tout, c’est cela mon travail. Quant à la politique – la vraie – je l’exprime dans mon design. Si j’écris cette histoire c’est que j’en ai ras le bol que tous me disent que je suis méchant comme si j’avais contracté un péché originel, ce qui est à peu près ce qu’ils disent. J’ai le sentiment de revivre la situation que j’ai connue pendant la guerre quand j’étais dans les chasseurs alpins. Les officiers me répétaient que je devais être chasseur alpin puis ils n’ont eu de cesse de me dire que j’étais un mauvais chasseur alpin parce que j’étais de réserve. Ils me reprochaient de ne pas être suffisamment sur mes gardes, de ne pas bomber assez le torse, de ne pas avoir l’esprit d’initiative des militaires et de ne rien comprendre à la guerre. Ils me disaient aussi que je n’avais pas l’esprit sportif, c’est ainsi qu’ils l’appelaient, et l’ensemble de leurs reproches semblait faire de moi un cas désespéré de leur point de vue…Ils émettaient ces critiques envers tous les officiers de réserve, mais aussi à tous les chasseurs alpins, et ils hurlaient, ils hurlaient, ils hurlaient que nous étions tous mauvais. Eux, ils restaient dans leurs bureaux, mais finalement, malédiction ! De quels corps sont remplis les camps de concentration et les cimetières si ce n’est de ceux qui ont combattu ? Ettore Sottsass Jr., « Mi dicono che sono cattivo » 1973, Texte traduit par Alexandra Midal
CIAO ETTORE
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Entretien-Intervista E. Sotsass/F.Novembre
Médiation centre Pompidou e. Sotsass
Visite biographique avec design public : Ettore Sotsass
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Par L M le 11 Juin 2013 à 03:56Jeux ouverts et arrangeant. Cartons pour une exposition. "Bordarier" Revuegod été 2001Pour réaliser une invitation d'art en vue de séduire un public qui devra se préparer à la rencontre à une belle et intelligente exposition nous cherchions un beau papier à moindre coût.
En juin 2001 la revue "parpaings" [architecture art paysage] distribuait dans les kiosques de France son numéro 24# pour la modique somme de 1,52 € . Les qualités de son papier, la sobriété de la charte graphique, la répartition des encres noires et couleurs, le nombre de pages, son format, associés à la sympathie des articles envers : Joêl Hubaut, Ryuta Amae, Philippe Cazal, Claude Lévêque, Prota(tt)rioreau, Dan Graham et autres informations thématiques liées au monde quotidien de l'art contemporain et de ses bâtiments présents dans l'édition de Jean-Michel Place rassemblaient les attributs: divertissement, sérieux, et bon marché qui vont de pair avec la bonne maison que nous voulions représenter.
Acceptées ; les 32 pages du cahier furent coupées en quatre ce qui donna 64 feuilles de papier qui avec l'aide de l'imprimante du bureau pouvaient recevoir notre publicité pour entrer dans l'enveloppe A4 sans être pliée timbrée expédiée à l'adresse des personnalités.
Pour satisfaire aux envois en nombre nous multipliâmes la tâche par 11 soit 704 impressions.
À la question de personne(s) qui se demande pourquoi nous ne nommons les bénéficiaires de ce carton de l'été 2001. Nous répondons que eux ou autres convenaient parfaitement à l'exécution de l'exercice. "Kaïchirens"*RevueGod # INV N.C S.P P.P*Kaïchirens est un cri qui dit à peut près ceci : la vague est au milieu des mers, quand on le lit.
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Par L M le 28 Avril 2013 à 23:26
Samsung Noir Voir Point to Point Studio
Kassidat el Hakka, le poème de la Vérité, The Poem of the Truth, by Abdellah el Magana
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Par L M le 31 Mars 2013 à 06:09
r.a.c.k., le réel est Nu. Bois et agrafes, 220 X 210 X 75 + 210 x 70 cm. Prix 2500 €
r.a.c.k., la réalité est habillée. Ici, Bois agrafes avec les peintures de Guillaume Moschini
Fut élaboré par partir d'une caisse italienne fournie par la société de design: FIAM Italia, connue pour les qualités techniques et formels de ses éditions de meubles de verre cintré, associées aux honorables designers, qu'elle emploie.
Dans son développement, r.a.c.k., admet que la forme de l'objet était au service d'une fonctionnalité de protection. Que l'engagement de la mécanique physique sur la matière a déséquilibré la fonction pour laquelle il fut élaboré. Que suite aux actions et aux stations spatio-temporelles ; il se révèle ici deux positions. A) le réel est nu. B) la réalité est habillée. Concrètement disons que la nature n'est pas incompatible avec l'imagination.
Petite histoirackogramme - Alexander Rodtchenko, Wladysław Strzeminski, László Moholy-Nagy, El Lissitzky (Lazar), Herbert Bayer , IBM NYWF at the Fair 1964.votre commentaire
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Par L M le 26 Mars 2013 à 14:15
Stefan Sagmeister © SagmeisterWalsh Press photo by Henry Hargreaves + de vues click here
L'artiste Stefan Sagmeister graphiste, designer typoraphe est né en Autriche à Bregenz en 1962. C'est à Vienne à l'université d'arts Appliqués section design/graphisme qu'il va perfectionner son enseignement. après son diplôme il part pour New-York avec une bourse d'étude: de la Fulbright. Après son service armée 1990, il retourne à New York pour y travailler ; en 1991 il est engagé par l'agence Léo Burnett à Hong Kong ; en 1993 il travail auprès de Tibor Kalman au M&CO, puis s'installe au 222 West 14th Street New York City 10011 dans son propre bureau SAGMEISTER INC.
PING GONG PLAY With Pictures of Stephan Sagmeister
Le design et la joie Stephan Sagmeister vous en parle là. Il l'expose: The Happy Show Cliquer Ici
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Stephan Sagmeister, Visiting Card associated with London Hong Kong New York, and her own company
acronyme commun AEIOU est acronyme de la devise Habsborg: "Il appartient à l'Autriche de régner sur le monde entier" (Austriae Est Imperare Orbi Universo)
Sagmeister & Walsh.com
Sagmeister & Walsh
206 w23rd St, 4th Floor
New York, NY 10011votre commentaire
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Par L M le 3 Mars 2013 à 05:11
Pendelleuchte Projekt Kartell, Design Point to Point Studio
Pendelleuchte Projekt Kartell, est une mise en place incontinente de matières. L'humble lâchée prise de la suspension s'autorise à imaginer que l'homme puisse dépasser la vitesse de la lumière avec l'aide de relatives imprécisions dans les choses produites. en art.
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