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Par L M le 28 Mai 2018 à 17:43
Floor Of The Forest, par Trisha Brown compagnie de danse à la . Dokumenta 12 Cassel 2007.
Trisha Brown, née le 25 novembre 1936 à Aberdeen dans l'État de Washington aux États-Unis et morte le 18 mars 2017 à San Antonio au Texas, était une chorégraphe et danseuse américaine qui étudia avec Louis Horst, José Limón, et Merce Cunningham à l'American Dance Festival, qui a ensuite eu lieu au Connecticut College. Elle est l'une des fondatrices de la "Judson Dance Theatre" en 1970 et du mouvement de danse postmoderne. Créant la Trisha Brown Company, tout en participant au collectif d'improvisation "The Grand Union", dans lequel collaborent Yvonne Rainer, Steve Paxton, David Gordon, ou Douglas Dunn. + d'infos sur wikipediabrowntrisha
trisha brown dance company nîmes 2018
Trisha Brown Compagnie Danse : nîmes 2018
Trisha Brown, née le 25 novembre 1936 à Aberdeen dans l'État de Washington aux États-Unis et morte le 18 mars 2017 à San Antonio au Texas, était une chorégraphe et danseuse américaine qui étudia avec Louis Horst, José Limón, et Merce Cunningham à l'American Dance Festival, qui a ensuite eu lieu au Connecticut College. Elle est l'une des fondatrices de la "Judson Dance Theatre" en 1970 et du mouvement de danse postmoderne. Créant la Trisha Brown Company, tout en participant au collectif d'improvisation "The Grand Union", dans lequel collaborent Yvonne Rainer, Steve Paxton, David Gordon, ou Douglas Dunn. + d'infos sur wikipediabrowntrisha
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Par L M le 9 Août 2014 à 05:18
Tilly Losch Artist
Tilly Losch, Ottilie Ethel Tilly Losch naît le 15 novembre 1907 à Vienne en Autriche (ex empire Austro-Hongrois), de précoces dispositions pour la danse de classique qui se développera avec la science de Louis Frappart, de Lady Doll ainsi avec le ballet de Josef Hassreiter et Heinrich Kreller elle accèdera à des rôles titre, dès 1924 à l'Opéra de Vienne. Parallèlement à cette brillante activité Tilly Losch prit des cours de danse moderne avec Grete Wiesenthal et Mary Wigman. Ses rencontres, à Berlin, Londre et New-York, avec Max Reinhart et Charles Blake Cochran lui permettront d'élargir son répertoire accédant à une autonomie corporelle plus personnelle, et, à leurs demandes de chorégraphier les spectacles : Everyman et Danton's Death en 1928. À New-York elle s'engage sur Broadway, se produisant avec Fred et Adele Astaire dans The Band Wagon de 1931 et engage une carrière d'actrice qui la conduira à Hollywood.
Tilly's hands, Les mains de Tilly. Photo E-O-Hoppe-1928
Danse avec les mains de Tilly Losch 1930/33
film de Norman Bel Geddes Musique Rodney Sauer Nutshell Pictures Production
Tilly Losch Danseuse . Photo Circa 1930
Tilly Losch, modele nu foto Alfred Cheney Johnston 1937
Nue : Tilly Losch, foto Alfred Cheney Johnston
Tilly Losch, Fred Astaire et la Girafe
Danse au Jardin Tilly Losch Film 1936
Tilly Losch Boxe Of Joseph Cornell 1935/38
Le premier mari de Tilly Losch, le millionnaire anglo-américain et mécène des arts surréalistes, Edward James, anglo-américain mécène d'art surréaliste, lui permis de créer sa propre compagnie de Ballets en 1933. Celle-ci se produisit à Londres et Paris. George Balanchine, qu'elle avait rencontré à Berlin en 1924 en était le directeur artistique et la totalité du répertoire fut chorégraphiée par ses soins. Son spectacle les plus populaires fut The 7 Deadly Sins, sur la musique de Kurt Weill et le texte de Berchtold Brecht. Tilly Losch y avait le rôle principal (un double personnage) et Lotte Lenya le chantait. et divorcé avec fracas en 1934 chacun accusant son conjoint d'impuissance chrétienne ! Elle rencontra Henry Herbert Porchester un riche et noble anglais, qu'elle épouse ; devenant ainsi Lady Carnarvon : une mondaine > Lien ici l ils divorceront en 1947.
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Lien Yvonne Rayner Hands Movie Film 1966
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Par L M le 30 Janvier 2014 à 09:22
Simone Forti, foto © Jason Underhill
Née à Florence, Italie en 1935, Simone Forti, est danseuse, chorégraphe musicienne, plasticienne, américaine. C'est suite au fascisme Italien ambiant préparant la Seconde Guerre mondiale qu'elle migre avec sa famille aux États Unis. C'est à Los Angeles qu'ils s'installeront.Elle a vingt et un ans et un mari : Robert Morris, pour s'installer à San Francisco. Là, elle s'initie à la danse, auprès d'Anna Halprin qui à la fin des années 1950 développe le concept des Tasks,: soit, des tâches de la vie quotidienne comme se nourrir, se laver, s'habiller, se déshabiller, s'endormir… qui sont étudiées, observées pour être transcrit à la danse. En 1958 le couple passe sur la côte est de l'Amérique à New-yorkais. Ils échanges leur point de vue auprès de Martha Graham et Merce Cunningham, Cage, Monte young … C'est en 1960, que S. Forti entre au cours de chorégraphie dirigé par le musicologue, musicien, chorégraphe Robert Dunn, dont elle se sent proche de son l'enseignement lié à l'exploration du corps favorisant l'expérience totale où chacun de ses élèves, musiciens, peintres, plasticiens, danseurs boutent les contraintes académiques pour l'improvisation. Au Studio Merce Cunningham de multiples personnalités se côtoient avec David Gordon, Steve Paxton, Meredith Monk, Lucinda Childs, Yvonne Rainer, Trisha Brown, Deborah Hay, Steve Paxton. Ces artistes appréhendaient la danse selon des perspectives nouvelles, engageant le corps dans une relation mentale pour créer des spectacles qui remettront en question les résultantes de la danse moderne.
Closhs installation de Simone Forti avec vidéo de Hollis Frampton, 1967 photo :© Fredrik Nilsen
De 1962 1968, c'est au côté de Robert Whitman, qu'elle vit le travail. Ainsi sous son influence elle pratique les installations et performances aux côtés d'Allan Kaprow, George Segal, Jim Dine, Claes Oldenburg ; toutes ses activités la prépareront à un engagement chorégraphique plus personnel qui s'épanouira dans les années 1970
Crawl de Simone Forti 1970
Ainsi les années 1970 verront,les travaux des danseurs se partager la pratiques formelles avec les peintres musiciens, sculpteurs, perforateurs vidéastes. Simone Forti affirmera son style en mettant l'accent sur le corps comme moyen d'utilité plastique pratiquant le lieu: galerie, loft, théâtre, et, le public dans un rapport direct avec le danseur qui engagé par des règles intérieurs accepte les éléments extérieurs comme influents directement sur sa chorégraphie.
"Scramble" de Simone Forti @ Baryshnikov Arts Center from Walter Patrick Smith, AIA LEED
Depuis les 1970 Simone Forti vit en Californie où elle a donné des cours à l'Institut des Arts de Californie fondée par la Walt Disney compagnie en 1960, ainsi que dans de nombreux pays; Canada, Europe, Japon, Autriche, et le Venezuela. Aujourd'hui elle est invitée dans de nombreux pays.
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Par L M le 18 Janvier 2011 à 17:44
Hand Movie - YVONNE RAINER, 5:00, b&w, silent, 8mm 1966
Close-up of a hand, the fingers of which enact a sensuous dance.
Camerawork by William Davis.
"Hand Movie"
1966, 5:00' N : B , silencieuse, 8 mm.
Cameraman William Davis.
Ce premier film Yvonne Rainer, "Hand Movie" date de 1966, il a été réalisé avec son collège, le danseur William Davis.
Les six minutes de séquences sont cadrées sur la main droite de la danseuse Yvonne Rainer. Dans ce rectangle l'artiste effectue différentes figures avec ce corps de dos, de profil, et de l'intérieur allant parfois déborder du plan.
Ce film caractérisent sa chorégraphie ainsi que les recherches plastiques : simplicité et efficacité dans l'emploi des moyens disponibles* qui feront de cette pionnière une minimaliste de proue dans la communauté artistique New-Yorkaise des années 60-70.
* C'est suite à l'immobilisation d'Yvonne Rainer se remettant d'une intervention chirurgicale importante qu'elle et son ami travaillerons dans un lit d'hôpital à réaliser ce petit chef d'œuvre.Bioggraphie/biography d'Yvonne Rainer
Lien livre sur le Judson Dance Theater
NO to spectacle.
No to virtuosity.
No to transformations and magic and make-believe.
No to the glamour and transcendency of the star image.
No to the heroic.
No to the anti-heroic.
No to trash imagery.
No to involvement of performer or spectator,
No to style.
No to camp.
No to seduction of spectator by the wiles of the performer.
No to eccentricity.
No to moving or being moved.TRIO (the mine is a muscle) 1966, extract film 1978
ESPACE, CORPS, LANGUE,
YVONNE RAINER, 2012.
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Par L M le 18 Janvier 2011 à 02:52
Judson Dance Theater Parts of Some Sextets, mars 1965.
Robert Morris, Lucinda Childs, Steve Paxton, Yvonne, Rainer, Deborah Hay, Tony, Holder, Sally, Gross, Bob Rauschenberg, Judith Dunn, Joseph Schlichter, Dancers of Judson Dance Theater Parts of Some Sextets. Photo mars 1965.
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Par L M le 12 Janvier 2011 à 10:42
Lucinda Childs est née à New York et a fréquenté l'école Brearley. Elle a commencé à danser très tôt, à l'âge de six ans, mais son ambition était de devenir une actrice. La formation continue la danse, elle a étudié avec des légendes comme Hanya Holm et Helen Tamiris. Helen Tamiris a donné à L. Childs son premier emploi,chorégraphe musicale, qui s'est avéré être une situation effrayante pour elle. Après cette expérience traumatisante, Lucinda Childs a décidé de mettre l'accent sur la danse tout en poursuivant un baccalauréat ès arts de la danse au Sarah Lawrence, où elle a pu élargir son expérience technique en étudiant avec Judith Dunn, Bessie Schonberg et Merce Cunningham. Lucinda Childs décrit M. Cunningham en disant de lui "Il a précisé la nature de la particularité et la clarté de la danse qui se sentait distinctement séparé de tout ce que j'avais connu jusque-là". Pendant ses études au studio Cunningham, Childs a été présenté à Yvonne Rainer qui l'encourage à faire partie du Judson Dance Theater en 1963 ; cela lui permis d'explorer et d'expérimenter son propre style de dance et de chorégraphie : "Judson m'a intéressé à la danse, mais il m'a aussi fait sentir la séparation entre des choses. Cela m'a permis de travailler en dehors du vocabulaire de la danse, en utilisant des objets et des textes".Lucinda Child extraits de "Carnation" création, 1964, Judson Church Dance Theater NY. US
Lucinda Childs
1962, New York : un groupe d’artistes avant-gardistes crée le Judson Dance Theater qui va bouleverser les fondements de la danse moderne. Lucinda Childs y crée Carnation en 1964, son premier solo, un manifeste postmoderniste. Images d’archives, entretiens et extraits de spectacles dessinent le portrait d’une chorégraphe emblématique de la danse contemporaine américaine, dont la créativité toujours à l’œuvre ne cesse de nous surprendre.
Entre 1962 et 1966, le Judson Dance Theater était un lieu où chorégraphes, plasticiens et musiciens pouvaient s'épanouir dans un esprit de totale liberté. Sous l’impulsion de Merce Cunningham, Lucinda Childs élabore son vocabulaire chorégraphique : mouvement pendulaire des bras, scansion des pas, changements de direction sur les axes d’une structure géométrique complexe.
On la remarque à Paris au Festival d'Automne 1976, dans l'opéra fleuve de Bob Wilson et Philip Glass, Einstein on the Beach. Mais c'est en 1979, toujours au Festival d’Automne, que le public subjugué découvre Dance, spectacle hypnotique alliant danse minimaliste, vidéos monumentales de Sol LeWitt et musique de Philip Glass. Lucinda Childs fut immédiatement distinguée par la critique comme une artiste majeure.
Depuis quelques années, ses chorégraphies sont entrées au répertoire de plusieurs ballets d'opéras européens. Dans son workshop new-yorkais ou sa maison insulaire en face de Boston, elle retrace son parcours. Mario Fanfani
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Par L M le 20 Novembre 2010 à 16:19
une notre trace - Création
au Muséum d’Histoire naturelle de la ville de Nîmes.Laurent Pichaud, ce propose de vous danser "ici et maintenant" une exposition.
En duo avec Julien Quartier, Laurent Pichaud nous propose un parcours séquences dans des salles d'un musée riches de mémoire, de corps, de sciences, et, d'arts. La chorégraphie s'accompagne d'accessoires qui tracent avec les matières du quotidien pour donner une nouvelle dimension aux objets exposés.
La proposition « exposition dans l’exposition » de L. Pichaud est une façon d’expérimenter le sens de la collection et sa visite dans le contexte d'un Musée de l'Homme fondée sur l'exploration des mondes acquis. Avec humour et candeur, le spectacle obligera chacun à rencontrer un alter ego composé des signes, passés et contemporains. Contrastes et superpositions seront du spectacle d' « une notre trace » au profit du plaisir de la rencontre insufflée par l'énergie des vivants : danseurs et spectateurs.
Mercredi 24, samedi 27 novembre 2010 à 15 h.
Mercredi 24 novembre 2010 à 18 h.
Jeudi 25, vendredi 26 novembre 2010 à 20 h.
Samedi 27 novembre 2010 à 19 h.Museum d'Histoire Naturelle de la ville de Nîmes
Entrée libre dans la limite des places disponibles [+] - Durée 1 h. environCompagnie x-sud
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Par L M le 15 Octobre 2008 à 22:13
Photo livre - galerie
Merce Cunningham playliste Youtube spacepointtopoint
Thanks Philippe Photo Point to Point Studio
Ballet chorégraphié par Merce Cunningham, sur la musique de John Cage, par l'Opéra national de Paris (nov. 2012
+ d'infos
Merce Cunningham Dance Company
Cunningham choreographed almost two hundred works for his company
Suite for Five (1956–1958)
Music: John Cage, Music for Piano
Costumes: Robert Rauschenberg
Lighting: Beverly EmmonsCrises (1960)
Music: Conlon Nancarrow (from Rhythm Studies for Player Piano)
Costumes, Lighting: Robert RauschenbergRainforest (1968)
Music: David Tudor
Décor: Andy Warhol (Silver Clouds)
Costumes: Jasper Johns (uncredited)
Lighting: Richard NelsonSecond Hand (1970)
Music: John Cage, (Cheap Imitation)
Décor & Costumes: Jasper Johns
Lighting: Richard Nelson (1970) Christine Shallenberg (2008)Sounddance (1975)
Music: David Tudor Toneburst & Untitled (1975/1994)
Décor, Lighting, Costumes: Mark LancasterFabrications (1987)
Music: Emanuel Dimas de Melo Pimenta, Short Waves & SBbr
Décor, Costumes: Dove Bradshaw
Lighting: Josh JohnsonCRWDSPCR (1993)
Music: John King, blues 99
Décor, Lighting, Costumes: Mark LancasterOcean (1994)
Music: David Tudor,Soundings: Ocean Diary and Andrew Culver, Ocean 1–95
Décor, Lighting, Costumes: Marsha SkinnerBIPED (1999)
Music: Gavin Bryars, Biped
Décor: Paul Kaiser, Shelley Eshkar
Costumes: Suzanne Gallo
Lighting: Aaron CoppSplit Sides (2003)
Music: Radiohead, Sigur Rós
Décor: Robert Heishman, Catherine Yass
Costumes: James Hall
Lighting: James F. IngallsViews on Stage (2004)
Music: John Cage, ASLSP and Music for Two
Décor: Ernesto Neto, Other Animal
Costumes: James Hall
Lighting: Josh JohnsoneyeSpace (2006)
Music: Mikel Rouse, International Cloud Atlas
Décor: Henry Samelson, Blues Arrive Not Anticipating What Transpires Even Between Themselves
Costumes: Henry Samelson
Lighting: Josh JohnsoneyeSpace (2007)
Music: David Behrman, Long Throw and/or Annea Lockwood, Jitterbug
Décor: Daniel Arsham, ODE/EON
Costumes: Daniel Arsham
Lighting: Josh JohnsonXOVER (2007)
Music: John Cage, Aria (1958) and Fontana Mix (1958)
Décor & Costumes: Robert Rauschenberg, Plank
Lighting: Josh JohnsonNearly Ninety (2009)
Music: John Paul Jones, Takehisa Kosugi, Sonic Youth
Décor: Benedetta Tagliabue
Costumes: Romeo Gigli for io ipse idem
Lighting: Brian MacDevitt
Video Design: Franc AleuMerce Cunningham solo dance on Nam June Paik's TV program called "Good Morning Mr. Orwell" from 1984. John Cage's music (and other sounds) are heard in the background.
"Good Morning, Mr. Orwell" est une "installation" de Nam Juin Paik, au premier jour du Nouvel An, 1984.
L'événement, qui Paik voyait comme une réfutation de la vision dystopique de George Orwell de 1984, est liée WNET TV à New York et au Centre Pompidou à Paris en directement relié par satellite en Allemagne et en Corée du Sud.Ainsi cette événement diffusé à l'échelle mondiale sur les télévisions publiques à atteint une audience de plus de 25 millions de téléspectateurs.
Outre Nam June Paik de nombreux acteurs visuels et sonores John Cage - Charlotte Moorman - Laurie Anderson - Peter Gabriel - Philip Glass - The Thompson Twins - Oingo Boingo - Allen Ginsberg et Peter Orlovsky- Merce Cunningham - Joseph Beuys ont collaboré à ce formidable événement.
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