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Par L M le 3 Septembre 2012 à 22:16
Gianni Colombo Peintre, sculpteur italien, est le principal créateur de l'Art lumino-cinétique en Italie.
Dès 1959, Gianni Colombo a réalisé des reliefs variables qui bougent en permanence ou qui réclament la participation du spectateur (Superficie en devenir, 1960 ; Structure fluide). Sa première exposition personnelle date de 1960 à la galerie Pater à Milan.
Gianni Colombo est né à Milan, le premier Janvier 1937. Il appartient à une famille d'entrepreneurs. son père, Joseph Colombo, hérite d'une passementerie industriels qu'il transforme en une usine de conducteurs électriques. Sa mère, Tina Benevolo, joue du piano. Il a eu deux frères, César, connu sous le nom de scène de Joe, entré dans l'histoire du design italien comme l'un des designers les plus créatifs des années soixante) et Sergio, qui mourut à un âge précoce. Il disparut en 1993 le trois février l'hôpital Melzo.
Gianni Colombo s'est intéressé très tôt au problème du mouvement, ainsi qu'à celui de l'instabilité dans l'art. D'autre part, il poursuit ses recherches sur la lumière et le mouvement dans l'espace en créant des environnements qui peuvent être fixes ou mobiles et qui ont la particularité de se déformer, de changer, entraînant le spectateur de par sa perception physique dans une à perturbation spatio-temporelle.
Il crée, à partir de 1964, des espaces élastiques en utilisant des projecteurs ou des lasers, des moteurs, faisant bouger les murs, le plafond et le sol. Gianni Colombo reprend l'idée qu'avaient tentée d'exprimer certains artistes maniéristes comme Giulio Romano, (palais du Té à Mantoue la salle des Géants: une architecture qui paraissait s'écrouler sur le spectateur).
Gianni Colombo a participé à de nombreuses expositions en Europe et aux États-Unis, et en particulier à celles organisées par Matko Mestrovic à partir de 1961 à Zagreb, intitulée Nouvelles Tendances et Arte programmata à partir de 1962 à Milan, a reçu, en 1968, le premier prix de la Biennale de Venise. ( En 1968 G.Colombo a créé un ensemble de quatre situation successive : la première à partir d'objet perçus comme des structures lumineuses apparentées à des modèles décoratifs et méditatifs ; la deuxième est concue de flashs, de mouvements, de noir et de blanc perturbant les sens visuels et neurologiques des visiteurs en proposant des "after structures" sic G. Colombo ; la troisième est une proposition élastique " Spazio Elastico" qui se meut et accepte la compagnie du visiteur comme stimuli de la perception ; la quatrième est une proposition colorée de lignes horizontales et orthogonales distribuées par des lumières. Biennale Venizia 68. F.P. AND SMOG )Gianni Colombo, Zoom Squares, 1967/68
Gianni Colombo, Topoestesia,1977. ensemble vue
Gianni Colombo, Topoestesia, 1977. Intérieur vue
Gianni Colombo bariestesia, 1975.
Gianni Colombo Bariestesia, voir video. photo A. Burger
Gianni Colombo, Spazio elastico, 1967/68. Elastiques fluorescents, moteurs électriques, lampes. dilatation/contraction, Autres. Année 1960.
Gianni Colombo, Spazio Curvo, 1992.
Gianni Colombo, Structure fluide, 1962.
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Par L M le 31 Août 2012 à 21:57
Lavéra: vue mer ciel - sea-sky, view. Provence-Alpes-Côte d'Azur, France Wavelength
Michael Snow, 1967
45 min., 16mmWith his film Wavelength, Michael Snow revolutionized the international Avant-garde film scene like no other production. Viewed from its basic concept, this is a purely "formal" film: it consists of a single, 45-minute-long tracking shot through the length of a room, accompanied by slowly-increasing sine tones.
As the camera moves forward through the rooms space (when carefully studied the movement is not continuous, but made up of individual passages edited together), one registers the passing of several nights and days. The camera is ultimately moving toward a spot between two windows at the back of the room, where a photograph on the wall shows the unsettled surface of the sea; in the end, the camera comes so close to it that only the waves fill the screen.
The fascination of this film can be explained through the application of the formal principle of the tracking shot, which seems to determine the entire film, with stray elements of reality: people occasionally appear in the frame; the telephone rings; apparently someone is even murdered in this space. Even what one can recognize of the street through the windowpane constitutes a counter-element to a purely "abstract" form.
"Wavelength ranks among those films which force viewers, regardless of how they react, to carefully consider the essence of the medium and, just as unavoidably, reality," wrote the critic Amos Vogel. Ulrich Gregor, Geschichte des Films ab 1960, Reinbek, 1983.Wavelength (1967) est, en apparence, fait d’un seul plan : un zoom avant continu de 45 minutes, accompagné d’un son sinusoïdal de plus en plus aigu, qui débute, en un plan large, dans un atelier de peintre pour, à l’issue d’un rétrécissement continu du cadre (du regard, de l’attention), terminer son « voyage » sur une photo de vagues, de quelques centimètres de côté. En vérité, Wavelength n’est pas constitué que d’un plan mais d’une multitude et le travail de montage y est particulièrement soigné et subtil. Snow se livre à toutes sortes de travaux structurels : clignotements, surimpressions, coloration et utilisation de pellicules de différentes sensibilités, etc. Simultanément à ces « jeux » visuels, Snow incorpore des moments (des « événements ») dont la fulgurance et l’étrangeté sont des points de départ de fiction, des ébauches de récit, dont le plus saisissant est l’effondrement d’un homme (mort ?) à la limite inférieure du cadre, « effacé » instantanément par le mouvement avant du zoom. Dans ses effets, Wavelength s’apparente à ces états qui ne s’acquièrent que par l’absorption de substances chimiques qui transforment la perception (tel le L.S.D.) et font que le regard se fixe intensément, longuement sur un objet. Gérard Courant.
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Par L M le 11 Août 2012 à 01:34
Août/Septembre
Jean-Marc Andrieu, Claude Caillol, Julien Bouissou, Didier Demozay, Christophe Morellet, Guillaume Moschini, Patrick Saytour, Claude Viallat, Kees Visser, Bob Watts…,2+2 Galerie Art Contemporain-Nimes
© Point to Point Studio XXI°
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Par L M le 5 Août 2012 à 05:44
Guillaume Moschini Peinture-Painting 2012. Photo Point to Point Studio
Deux images, Deux voix. Two pictures, two voices. Guillaume Moschini, Marcel Duchamp. Photo Point to Point Studio
Peinture de Gullaume Moschini (2012), Voix de Marcel Duchamp (Boite Blanche 1912/20) À l'infinitif.
Painting Gullaume Moschini, Voice of Marcel Duchamp (White Box) In the Infinitive.
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Par L M le 29 Juillet 2012 à 17:07
Reynier est un demi dieu! "Beaucoup voient en lui un nouveau messie du progressif".
Yves Reynier and Point to Point Studio
Yves Reynier and Point to Point Studio
Yves Reynier and figure Point to Point Studio
On serait désolé pour n'importe qui d'autre, mais pour Yves Reynier, c'est une victoire décisive de l'intégrité sur la tactique. pourtant lorsqu'il rencontre un spot et entre dans le village…, "C'est vraiment une règle débile," dit Yves quand je finis par lui parler de cette série… " Je ne savais ps que cette règle de priorité existait. je pensais avoir gagné la série. … Même si j'avais su pour la priorité, j'aurais quand même pris la vague. C'est Toujours mieux que de rester assis sur sa planche à regarder tourner l'horloge."
Yves Reynier and Point to Point Studio
Antistar
Prendre contact avec Yves n'est pas facile. Il n'est pas connecté et son portable américain est inutilisable en Indo… Je suis contraint de le pourchasser à Canggu où la rumeur veut qu'il y passe ses journées… Résumé du texte joint. clique sur les images pour les grandir.
Thanks Yves Point to Point Studio
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Par L M le 26 Juillet 2012 à 02:54
William Wegman "altered" 1979/2012 Point to Point Studio
William Wegman - Stomach Song, 1970/78
William Wegman artiste 1971
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