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Par L M le 4 Avril 2013 à 04:17
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Histoire et Techniques du Cinéma et son évolution. Montage des parties les plus importantes d'un ancien document
sur les origines.
l'invention du cinéma et ses débuts
histoire d’amour qui unit les Québécois et le septième art, de la première projection nord-américaine, à Montréal, en 1896, à l’ère des mégacentres de divertissement tels que nous les connaissons aujourd’hui
6 fois 2 émissions télévision cinéma (1976) : PAS D'HISTOIRE 11
RÉALISATION DE G. TEISSEDRE W. LUBTCHANSKY D. CHAPUIS P. RONY A. LUCIANI L. NEIL H. FALSE J. MEILLIER
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En lien
1/4 L’invention du cinéma 1889-1913
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2/4 Le cinéma de la guerre et des années folles 1914-1927
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3/4 Du technicolor à la drôle de guerre 1935-1943
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4/4 Du technicolor à la drôle de guerre 1935-1943
Page en cours © Studio Point to Point
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Par L M le 30 Mars 2013 à 00:58
Partie de Cartes film des Frères Lumière 1896
Partie de Cartes Peinture de Paul Cézanne 1992
Partie de Cartes film de Georges Méliès 1896
Note Party
Louis Lumière par Éric Rohmer, 1968
À DHS ] DeHorSérie [ Photo Cinéma, Point to Point Studio
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Par L M le 16 Mars 2013 à 02:20
Dziga Vertov, Photo: "Saut de la Grotte" Collection Vertov au Musée du Cinéma Autrichien 1935
Artiste Cinéaste Russe d'Origine Polonaise né le 02-01 1896
La sixième partie du monde, Шестая часть мира.1926
Ma voie mène à la création d’une perception neuve du monde. C’est pourquoi je déchiffre d’une manière nouvelle un monde qui vous est inconnu. Je suis le ciné-œil. Je suis l’œil mécanique. Moi, machine, je vous montre le monde comme seule je peux le voir. Résolution du Conseil des Trois, (Elisabeth Svilova) et son frère (Mikhaïl Kaufman) et 1923.
" Le cinéma dramatique est l'opium du peuple.
A bas les rois et les reines immortels du rideau. Vive l'enregistrement des avants-gardes dans leur vie de tous les jours et dans leur travail !
A bas les scénarios-histoires de la bourgeoisie. Vive la vie en elle-même !
Le cinéma dramatique est une arme meurtrière dans les mains des capitalistes ! Avec la pratique révolutionnaire au quotidien nous reprendrons cette arme des mains de l'ennemi.
Les drames artistiques contemporains sont les restes de l'ancien monde. C'est une tentative de mettre nos perspectives révolutionnaires à la sauce bourgeoise.
Fini de mettre en scène notre quotidien, filmez-nous sur le coup comme nous sommes.
Le scénario est une histoire inventée à notre propos, écrite par un écrivain. Nous poursuivons notre vie sans avoir à la régler au dire d'un bonimenteur.
Chacun de nous poursuit son travail sans avoir à perturber celui des autres. Le but des Kinoks est de vous filmer sans vous déranger.
Vive le ciné-oeil de la Révolution !
La onzième année, un film de Dziga Vertov, 1928Artiste Cinéaste Russe d'origine polonaise né le 02-01 1896
L'Homme à la Camera, film muet, N/B. Man with a Movie Camera, silent film B/W 1929
Directionr réalisation : Dziga Vertov (nom de naissance David Abelevich Kaufman)
Cadreur : Mikhaïl Kaufman (son frère David Abelevich Kaufman)
Montage : Yelizaveta Svilova (sa femme Elisabeth Ignatevna Svilova)
Production : Studio Dovjenko VUFKU (Comité pan ukrainien du cinéma et de la photo)
Union soviétique lFormat : noir et blanc, muet <Durée du film : 93 ou 95 minutes selon les auteurs, 80 minutes
Poster The Man with-the Movie Camera Dziga Vertov
Videospectateurs : "Attention ! ce film est une expérience réalisée aux contacts d'événements réels sans l'aide du théâtre. Ce travail expérimental vise à créer un véritable langage international du cinématographe qui repose sur la séparation absolue de la langue, du théâtre et de la littérature." 1929 Dziga Vertov
Человек с кино-аппаратом 1929 + playlist
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La position de Vertov est encore plus radicale, plus extrême pour faire écho au propos de Max Milner. En effet, Eisenstein raconte "encore" des histoires, à la différence de Vertov. C’est d’ailleurs sur cet aspect que les deux hommes se brouilleront.
Vertov refuse radicalement le cinéma artistique, et l’idée qu’il puisse être un objet de distraction, et de consommation, c’est-à-dire d’être réduit à un « opium du peuple » (la vocation en quelque sorte de l’entertainment). Il s’agit donc pour lui de se dé-prendre, de se dé_faire des habitudes et des héritages pour inventer des formes inédites à partir du réel. Car, pour lui, le cinéma en général, et le soviétique en particulier, doit aller dehors. Il doit filmer la réalité : l’existant, se doit d'enregistrer le monde effectif en se débarrassant de tout scénario, de toute forme d’écriture ou de référence qui brouillerait la nature machinique (mécanique) de l’image cinématographique. Un des enjeux affiché et affirmé par Vertov est de créer un cinéma international, un langage international qui n’aurait besoin, pour être saisi par tous les regard, que des enjeux de sa propre forme.
Cette œuvre implicitement expérimentale à vocation universelle elle avance en pensant incessamment ses propres conditions de possibilité, et donc par-là même éduque le regard du spectateur aux conditions de formation de l’image et du regard. Il refuse donc de maintenir le regard du spectateur dans l’illusion fictionnelle. Ce à quoi s’attache Vertov, c’est une véritable mise à nue de l’illusion fictionnelle par la mécanique cinématographique, même.
Article Un cinema révolutionnaire Sebastien Rongier
thanks
Panait Istrati et Nikos Kazatzaki en Ukraine Odessa Kiev,1928
l’hypertexte, Moscou 20-40, Sigismund Krzyzanowski
Zakir Paul Scenes from the Aesthetic Regime of Art Translated : Jacques Rancière
La nature du cinéma : entre photogénie et attraction
Télécharger « Vertov_Dziga_1922We_Variant_of_a_Manifesto.pdf »
Télécharger « Jacques Rancière Voir les choses à travers les choses-Odessa 26.pdf »
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Par L M le 3 Février 2013 à 04:37
Le cerveau qui ne voulait pas mourir, Virginia Leith
film réalisé par Joseph Green en 1962 au USA, noir et blanc.
Réalisation Joseph Green né en 1928 décédé en 1999, scénario: Rex Carlton,Joseph Green. Acteurs: Jason Evers, Virginia Leith, Leslie Daniels, directeur de la photographie: Stephen Hajnal… Joseph Green Acteur dans le film de Samuel Fuller fut acteur, réalisaur, scénariste, producteur, distribueur de Films cliquez liste documens archives
En 1964 Joseph Green s'associera à Tetsuji Takechi pour réaliser le film Hakujitsumu
Hakujitsumu, 白日夢, Daydream, Délire réalisé par Tetsuji Takechi & Joseph Green
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générique du film Le cerveau qui ne voulait pas mourir
Joseph Green Acteur dans le film de Samuel Fuller fut acteur réalisaur scénariste producteur
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Par L M le 19 Janvier 2013 à 23:30
Lutz Mommartz Self-Portrait 1967
Lutz Mommartz, né en 1934 en Allemagne, Rhénanie-du-Nord-Westphalie à Erkelenz, travail depuis 1965 à la réalisation de films documentaires et expérimentaux, professeur de cinéma à l'Academie d'Art de Münster 1978 -1999 il vit à Düsseldorf. Il a publié de nombreux livres : Margret (Margaret comprenant la correspondance de 1957 à 2006), text 2003/06, (textes poèmes), texte-2002/3 (texte Web), De l'authentique comme art (vue d'ensemble de son travail de 1964 à 1999). Ses films sont disponibles pour le domaine publique. Il peuvent être téléchargés sur le site web à son nom et sur la page archives.
Markeneier de Lutz Mommartz 1967 autre lien clique ici
D"après le film Weg zum Nachbarn, Lutz Mommartz 1968 Point to Point Studio
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Par L M le 17 Janvier 2013 à 14:24
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Besonders Wertvoll - Particulièrement Précieuse, film de Hellmuth Costard 1968
Un film qui fit débat! Ce film est conçu comme une protestation contre la commission de censure cinématographique Allemande. La polémique qui s'engagea lors sa programmation au Festival du court métrage de Oberhausen en Allemagne…provoqua un scandale.
Hellmuth Costard (1940-2000), qui a étudié la psychologie, atourné ses premiers court-métrages dans le cadre du groupe detravail “Film et Télévision” à l’Université de Hambourg, puisfut l’un des co-fondateurs de la Coopérative des cinéastes de Hambourg, créée sur le modèle du New Cinema américain et contre “l’idiotie de l’industrie cinématographique établie”,avec entre autres Helmut Herbst, Thomas Struck, WernerNekes (dont nous avions montré plusieurs films lors du week end allemand de 2004 et dont nous montrons le dernier film),Dore O. et Klaus Wyborny.
En 1968, son film Prime à la qualité (Besonders wertvoll), choisi à l’unanimité par le comité de sélection, déclenche un scandale au festival du court-métrage d’Oberhausen et la direction du festival décide à la dernière minute de ne pas le projeter. Le sens de la subversion dont il y fait preuve se retrouve dans L’oppression de la femme se reconnaît au comportement même des femmes (Die Unterdrückung der Frau ist an dem Verhalten der Frauen selbst zuerkennen). Lire Plus >> Film d'Allemagne les inattendus
Karte Deutschland Point to Point Studio
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Par L M le 16 Janvier 2013 à 03:05
Film No.1, David Crosswaite - Extrait
Film n ° 1 est composé de captures-images formant boucle, répartie sur le temps (10 minutes). Les systèmes de répétitions employées inscrivent une logique mathématique rythmant les séquences et semblent dépendre de la manipulation des matériaux utilisés. -Le film se proposant comme image/structure digérée de la matérialité temps/espace/lumière/couleur/Haut-Bas etc…. qui l'ont nourrit.
Le Film No.1 de David Crosswaite particulièrement structuré partager les préoccupations de réalisateur outre-Atlantique tel Hollis Frampton.
Les années 60 et 70 ont été déterminantes pour les films et les vidéos d'artistes. Tandis que se multipliaient des collectifs informels sur la scène internationale, certains cinéastes défiaient les conventions cinématographiques. En Angleterre, la plupart des innovations virent le jour à Londre, à la Film-Makers' Co-operative. Une organisation dirigée par des artistes, qui comprenait une instance de distribution, un espace de projection et un lieu de production. Dans ce laboratoire unique, les cinéastes pouvaient contrôler tous les aspects de la création artistique, et la production physique du film - le tirage et le développement devinrent inhérent à la forme et au contenu. + d'infos la mediatheque
Clique > https://vk.com/video8185420_163703320
Annabel Nicolson - Slides 1970 - Extrait
La version originale est distribuée en DVD avec d'autres films expérimentaux de l'Avant-Garde British des années 1973/70 : Guy Sherwin - "At the Academy" 1974 - 5' - Malcolm Le Grice - "Little Dog for Roger" 1967 - 12' - Mike Leggett - "Shepherd's Bush" 1971 - 15' - Peter Gidal - "Hall" 1968-69 - 8' - Stephen Dwoskin - "Dirty" 1965-67 - 12' - Jeff Keen - "Marvo Movie" 1967 - 5' - William Raban - "Broadwalk" 1972 - 12' - Chris Welsby - "Fforest Bay II" 1973 -5' - Annabel Nicolson - "Slides" 1970 - 11' - David Crosswaite - "Film No.1" 1971 - 10' - Lis Rhodes - "Dresden Dynamo" 1971 - 5' - Marilyn Halford - "Footsteps" 1974 - 6' - John Smith - "Leading Light" 1975 - 10'. sous le titre SHOOT SHOOT SHOOT ce qui vous permet d'entendre le son.
Broadwalk 1972 de William Raban
Thanks Dick, Point to Point Studio
choke 1971de David Crosswaite 1945-2014
Riddles of the Sphinx, 1977 extrait
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