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Par L M le 7 Juin 2013 à 02:15
Max Neuhaus Musicien Portrait, Coverture, Electronics et Percussion, Point to Point Studio
Sylvio Bussotti Coeur Pour Batteur, Earle Brown Four Systems, Karleim Stockhausen Syklus four realizations, Morton Feldman the King of Denmark, John Cage Fontana Mix-Feed,
MAX 67
Le film de Phill Niblock s'attache à enregistrer et monter les images pour nous présenter un "Portrait de Max". Neuhaus réalise la bande son. Lire +
RADIO NET (trt: 25min) from SE Media Preservation Lab
Document vidéo sur la pièce expérimentale audio du musicien Max Neuhaus. Il fut réalisé pour la télévision, par lMargaret Gregg, Lynn Bennett à la photographie et Tom Christy au montage, en 1977 à New York.
Max Neuhaus Drawing: Untitled, Colored pencil on paper 1993 Détail Click picture
62.5 x 88 cm; 62.5 x 31 cm Botanical Garden, Como Park, St. Paul, Minnesota USAMax Neuhaus-Times Square, © Firefly Pictures 2002
A short film by Rory Logsdail A Firefly Pictures production for Rai Sat Art © Firefly Pictures 2002. Interviews with: Max Neuhaus Christine Burgin, Christine Burgin Gallery, Lynne Cooke, Dia Center for the Arts, David Andrews, Andrews Audio + Click Here
Max Neuhaus, musicien, (1939-2009) était un pionnier de l'art sonore, à l'origine du terme d'“installation sonore”. C'est en 1966 qu'il inaugure une pratique ; le “soundwalk” ou promenade d'écoute collective, sous l'intitulé Listen. Il s'employa souvent à agir de manière anonyme dans l'espace public comme, par exemple, pour Times Square, où des hauts-parleurs sous-terrains diffusent des drones à bas volume juste perceptible au milieu du célèbre carrefour new-yorkais.
+ infos
Max Neuhaus Catalogue Kerguennec Pages-Book Photo Point to Point Studio
Max Neuhaus Music Art Archives
Pafe en cours © point to point studio
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Par L M le 26 Mai 2013 à 05:02
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Par L M le 7 Mai 2013 à 01:53
Portrait du compositeur, Шиллингер, Иосиф Моисеевич, Point-to-Point Studio
À la fin des années 1930, lors d'un symposium de compositeurs réunis à New York, Joseph Schillinger compositeur russe récemment arrivée aux États Unis exécute au piano sa dernière composition. La mélodie est riche, extrêmement évocatrice voire obsédante par les thèmes qu'elles véhiculent. " C'est de qui ? ". " Mozart ", répond un auditeur. " Bach ", a suggéré un voisin. Les autres compositeurs présents disent qu'ils ont entendu des échos de Debussy. Beethoven. Brahms. Le coche est raté pour tous. Schillinger déclare qu'il a modelé son opus en reportant les fluctuations quotidiennes du prix des marchandises: telles les cours du blé à Chicago, le cours du Porc à Kansas City, etc..., que chaque indice fut tracé sur du papier millimétré et les notes posées selon les proportions de leur carré s'attribue une valeur musicale. "Ici, J'ai utilisé des cotations boursières de la page financière de journaux ; et, je peux aussi bien me servir des numéros de téléphone que nous propose l'annuaire."
Aide mécanique pour composition musicale de Joseph-Scillinger "Schillinger System"
Joseph Schillinger Moiseivich compositeur, théoricien, musicologue pédagogue… Personnalité aux multiples talents. Artiste engagé avec la nouvelle génération russe des années 1920. En filiation avec les futuristes, les dadaïstes, il s'inscrit dans un constructivisme productif qui se doit de faire exploser les normes classiques aux services des productions citoyens ; il préconise un travail où les propositions formelles artistiques s'appuient sur les recherches scientifiques modernes et une certaine distance vis-à-vis des choix et des styles "Schillinger" espérant libérer le compositeur du carcan de la tradition.
Né le 1er septembre 1895 à Kharkov en Ukraine.Très tôt, sa curiosité l'engage dans de nombreuses études, d'où il apprendra la maîtrise de l'hébreu, du latin, du germain, du français, de l'anglais, de l'italien ; l'histoire de la mythologie slave,de la littérature russe à l'Université d'État de Petrograd ; les mathématique auprès de Koltovski et d'Anton Prizieborgski ; la poésie avec Nicholai Schebouver ; Il sera récompensé de plusieurs maîtrises, en physique, en acoustique, en ingénierie électrique, en gymnastique ; tout en ayant suivit des cours de design, de théâtre, d'art, d'histoire de la danse ; et de musique, bien sûr, au conservatoire de Pétrograd.
Joseph-Scillinger Green Squares, 1934 Series, la mathématique base des Arts
À 24 ans il est Professeur de la Faculté en composition musicale au Conservatoire Nationale de Kharkoff. Chef de L'orchestre des étudiants en musique de l'Académie, Conseiller au Conseil Éducatif de l'URSS, professeur de composition musicale à l'institut de l'éducation nationale. De 1922 à 28 il est conseiller au conseil éducatif de Leningrad. Professeur et membre de l'Institut d'histoire des arts et sciences musicales de Saint-Pétersbourg, donne des conférences sur les philosophies classiques et orientales, sur le système religieux ; collaborateur régulier de magazines "Living Art" et "Journal de la littérature mondiale. Il organise le premier concert de jazz, à l'Académie de Leningrad, avec le pianiste Léopold Teplitsky. Avec lecture d'un manifeste pour l'occasion. On est en 1927, avec l'expulsion de Grigori Zinoviev, l'exil de Léon Trotsky décidée par le comité centrale, Staline prend le pouvoir et l'URSS commence à affirmer son autorité vis-à-vis des libertés accordées aux artistes d'avant-garde. Associé à un radicalisme réactionnaire et populiste d'Italie, d'Autriche, d'Espagne émergeant en Europe ( ne rassure pas Joseph Schillinger, le vice-président de la de la Société Internationale de Musique Contemporaine de Lénigrad, l'ambassadeur de la musique moderne slave qui se sent menacé. En 1928 il se fait inviter aux États Unis par le philosophe pragmatique, grand éducateur social, John Dewey, pour donner des conférences sur la musique contemporaine. Sa mission est parrainée par : Joseph Achron, Kurt Schindler, Leopold Stokowski, Sergei Radamsky, Edgar Varèse, membres du comité de l'Américain Société qui favorise les échanges culturels avec les états de l'union slaves.
Theremin Recital Carnegie Hall New- York 1936 Léon Theremin
Aux États-Unis Schillinger abandonne l'écriture musicale. À New York il commencera une deuxième vie, développant l'enseignement musical, professeur de musique à la New School de New York, à l'université de Colombia, enseignant, conseiller musicaux auprès de George Gershwin et Glenn Miller, Carmin Coppola, Henry Cowell, Benny Goodman, Tommy Dorsey, Oscar Levent, Earle Brown, et d'autres… telle Mary Ellen Bute s'accordaient à trouver chez ce "professeur" une dynamique exceptionnelle. Influençant
Portrait de Frances Schillinger Point to Point Studio
+ d'infos
Enroll Today! Joseph Schillinger - Photo
Op.12 de Joseph Schillinger, 1923
1.Poème héroïque
2.Danse
3.Pogoudka
4.Danse excentriqueJoseph-Moiseyevich-Schillinger-Brodsky.pdf
The Mathematical Basis Of The Arts de JosephSchillingerr
Joseph Schilinger Genrich Altshuller Théorie de la Résolution de problèmes inventifs
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Par L M le 5 Mai 2013 à 01:10
John Peel a une mis à disposition de centaines, voire de milliers d'heures de musique. Mise en ligne sous forme de playlists, elles nous permettent d'écouter des mixtes réalisés à partir de sa collection de disques qui débute dans les années 1970. Cliques sur les casettes
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Par L M le 2 Mai 2013 à 14:32
Earle Brown Musicien Photo extraite du site Earl-Brown
Earle Brown compositeur de musique américain naît dans le Massachusetts en 1926. Trompettiste amateur, il suit des cours de compositions et d'orchestrations auprès de Roslyn Brogue Henning et Kenneth McKillop à la Schillinger School, devenu le Berklee College of Music de Boston fondé par Lawrence Berk, tout en étudiant les mathématiques et l'ingénierie à Boston. Suite à sa formation il enseigna à Denver de 1950/52. Ses rencontres avec les théories Joseph Shillinger, les orchestrations d'Edgard Varèse, la mobilité des sculptures de d'Alexandre Calder, les Zips de Barnett Newman, le "All over" de Jackson Pollock, l'aideront à construire et organiser des œuvres musicales ouvertes, recherches qui le lièrent à Christian Wolff, Morton Feldman, David Tudor, John Cage, dans les années 1950, réunis sous le terme New York School. À partir de 1955, il fut directeur artistique des enregistrements de musique contemporaine chez Time Records (1955-1960). Donne des cours d'été à Darmstadt Allemagne. Bénéficie de l'une Bourse Guggenheim en 1965. De 1968 à 70 il est professeur de composition au conservatoire Peabody de Baltimore… Son travail s'inscrit dans l'avant-garde de l'après-guerre de 1945, où, avec ses amitiés, ils développeront une musique contemporaine expérimentale, un "open form" qui sera une pratique constante de son esprit jusqu'à sa mort à Rye, État de New York,en juillet 2002.
Video Portrait of Earle Brown by Art Engine from earle brown music foundation on Vimeo.
Earle Brown, 4 SYSTEMS, for David Tudor on a Birthday 1954 Partition PageDECEMBER 1952, Earle Brown, Internationales Musik institut Darmstadt Germany 1964
L'Ecole de New York" Musique en mémoire Jean-Luc Rieder RTS - Epace 2
La forme ouverte et les techniques semi-aléatoires apparurent dans les œuvres du compositeur Earl Brown, à partir de 1953. Folio (1952-53) est un groupe de trois œuvres November 1952, December 1952 et December 1953 qui pourra être exécuté pour n'importe quel nombre d'instruments. December 1952 remplace les hauteurs écrites, et donc fixées par une notation graphique, par des lignes en diverses positions et de diverses longueurs, devant servir de support à l'improvisation d'un groupe quelconque de musiciens durant un laps de temps indéterminé. Dans 25 Pages pour 1 à 25 pianos (1953), le ou les exécutants peuvent disposer les pages dans l'ordre de leur choix, et l'on trouve ce principe que Brown devait très souvent reprendre ultérieurement : une notation proportionnelle ne divisant pas le temps en unités précises, mais en durées relatives dont la longueur, laissée à l'initiative de l'exécutant, est suggérée par l'espacement des symboles.
Convaincu qu'une musique est d'autant plus intense que l'exécution participe davantage à sa création, il s'intéressa moins à l'indétermination dans l'acte de composer, ou à la libération des sons, qu'aux problèmes de la forme, aux présentations différentes d'un même matériau et à ses conséquences.+ d'infos
Earle Brown Musicien Contemporain
Page en cours © studiopointtopoint
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Par L M le 17 Avril 2013 à 01:20
Ireland Map James Joyce Point to Point Studio
James Joyce Jacques Dombasle : Première diffusion du 6 juillet 1948
Irish Music > Playlist Click Here
John Cage phone, September 1968 Archives Higgins Dick Art Point to Point Studio
Roaratorio: Un cirque irlandais sur Finnegans Wake of John Cage 1979
Roaratorio: An Irish Circus on Finnegans Wake of John Cage. With John Cage, Voice
Joe Heaney, Singer, Seamus Ennis, Uillean pipes, Paddy Glackin, Fiddle, Matt Malloy, Flute,
Peadher Mercier, Mell Mercier, Bodhran
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Par L M le 7 Mars 2013 à 00:28
Christian Wolff Portrait Photographe Inconnu cut Point to Point Studio
Christian Wolff, Roulette Intermedium Roulette TV
Exercise 15 de 1975 Christian Wolff. Instruments: flûte basse, clarinette basse, piano, vibraphone, tuba
Christian Wolff est né Nice en 1934 in France, en 1941, il immigre aux Amériques, avec sa famille, Helen and Kurt Wolff, éditeurs de Franz Kafka, Robert Musil, and Walter Benjamin, naturalisé en 1946 par les États-Unis d'Amérique. Dans les années 1950 il étudie la musique aux côtés de la pianiste Grete Sultan et de John Cage, travaillant avec Morton Felman, David Tudor, Earle Brown, Cornelius Cardew, Frederic Rzewski ; ils constitueront avec leur professeur la New York School: nom, qui les rapproche des new-yorkais et de leurs mouvements artistiques : action painting, abstract expressionnisme, de l'après-guerre qui avec la poésie, la littérature la jazz, la danse, le cinema les engages dans des constructions musicales et physiques où ils feront fi des valeurs canoniques de la composition au profit de l'échange des savoir et de l'acceptation des différences. Avec La Monte Young, Philip Glass, Tony Conrad, Max Neuhaus, Steve Reich, Terry Riley, le jazz, Thelonious Monk et, plus tardivement la Pop Musique. ils vont réussir à convaincre la génération des années 60/70 de s'extraire des conventions de tous ordres. Christian Wolff, véritable pionnier écrit des partitions aléatoires avec l’utilisation de symboles, laissant libre cours à une interprétation radicale de la part du musicien. La performance en elle-même devient ainsi un acte social, son but n’est plus la simple reproduction mais bien une interprétation libérée de tous ses codes traditionnels. Son écriture prend une dimension politique lorsqu’il rencontre Frédéric Rzewski et Cornelius Cardew dans les années 60. SIC Sophie Brignoli [sparse entretien avec Christian Wolff clic here]
New York School Christian Wolff, Earle Brown, John Cage, David Tudor, Morton-Feldman NYC circa 1952
Dès 1953 Christian Wolff donne au danseur Merce Cunningham de nombreuses pièces musicales qui seront jouées avec les spectacle de sa compagnie. Wolff a un rôle actif en tant qu'artiste et improvisateur qu'il travaillera avec différentes personnalités: Takehisa Kosugi, Steve Lacey, Christian Marclay, Keith Rowe, William Winant, le groupe MSA, , AMM, Kui Dong et Larry Polansky… Ses écrits sur la musique sont rassemblés dans "Cues: Writings and Conversations" publié par MusikTexte à Cologne.
Christian Wolff - Electric Spring 2 1966/70 click here
Musique, Duo for Piano II, Christian Wolff. Diaporama, Trophées Images, Point to Point Studio
+ d'infos
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Par L M le 28 Février 2013 à 03:51
David Tudor
David Tudor - Neural Synthesis [No. 2] Electronic Music
David Tudor – Bandoneon! - Extrait 2 1966 + clic Here
+ Infos
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Par L M le 20 Février 2013 à 22:02
Voir, Observation Circulaire Doublement Contemporaine au Carré Point to Point Studio
Old friends talk about music, life, art and philosophy, John Cage & Morton Feldman - In Conversation 1967
For John Cage / Morton Feldman
Morton Feldman, String Quartet n° 2 - Quatuor à cordes n° 2 - Composition 1983.
Artwork by, Création - Alice Horn, Brian Brandt, Ensemble: FLUX Quartet
Violoncelle, Darrett Adkins, viola, Bunch Kenji,violon - Cornelius Dufallo, Tom Chiu
Ingénieur du son David Walters
Producteur - Brian Brandt, David Walters, Tom Chiu - 6 heures 10 minutes 17 secondes+d'infos
Morton Feldman, Piano and String Quartet 1985
Morton Feldman, Playlist by John Volpe 47 titres
"Chemins de la musique" sur France Culture, par Christian Rosset, réalisée par Virginie Vincienne et Evelyne Gayou, avec Jean-Yves Bosseur, Tom Johnson, Joan la Barbera et Roger Woodward, diffusée du 10 au 14 avril 2000.>
Suite Morton Felman le singulier clique > 2 > 3 > 4 > 5 avec jean-noël nupin
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Par L M le 14 Février 2013 à 09:26
La Monte Young, La Monte Thornton Young, compositeur américain né en 1935 Bio > Cliquez ici
La Monte Young Playlist Youtube Cliquez Ici
Les premières compositions de "la Monte Young" portent témoignage des théories de Schoenberg et de la musique indienne qui l’ont instruit également. En Allemagne, il apprécie la valeur des préceptes de Karlheinz Stockhausen et des oeuvres de John Cage au USA. De retour aux Etats-unis, à New York, où il fixe sa résidence, c’est dans le loft de Yoko Ono il programme une série de concerts qui l’associe à ses confrères de l’époque : Terry Jennings, Henry Flynt, Terry Riley… Deux ans plus tard, il rencontre Marian Zazeela, une plasticienne et musicienne qui est depuis, sa femme et sa première collaboratrice. Avec elle, il forme un groupe, the Theater of Eternal Music, qui compte aussi Tony Conrad, Angus MacLise et John Cale. Les deux derniers rejoindront par la suite le Velvet Underground de Lou Reed. L'influence La Monte Young reste considérable, non seulement sur la musique minimaliste (Rhys Chatham, Charlemagne Palestine…), mais aussi sur le shoegazing britannique ou encore le Krautrock allemand, son oeuvre, rare et singulière, et précise. Cliquez Ici
119 Bank St., La Monte Young Apt., 1 of 3 de Henry Flynt in New York
"Henry Flynt à New York" Compositeur, philosophe, activiste, Henry Flynt revient sur les années d'avant-garde et la gauche sectaire (1960). Dans cette scène, Flynt se souvient de sa première rencontre avec la La Monte Young compositeur et la critique de la communauté expérimentale de New-York.
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Le Piano Bien accordé dans les Feux du Magenta est posé dans un environnement lumineux spécifique au site. Il est créé par Marian Zazeela et comprend deux sculptures de la série Still Light et Dream House Variation III, en néon. La monté young est au piano. Document 1'22"
+ d'infos
Young bio + clic Here
La Monte Young, editor "An Anthology of Chance Operations" (196"3) textes notes dessins3
La Monte Young Marian Zazeela "Selected Writings" (1959-1969)texte notes Pdf
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Par L M le 31 Décembre 2012 à 21:24
VIEILLES CHATTES, VIEUX CHIENS, CHIUSIC!
TENDRESSE ET VIRTUOSITÉ
RÉCALCITRANT SERGE
PICOLA NAINE - playlists clic picture
DUBLAB MIX
Footage Metric
SI LE CŒUR VOUS EN DIT
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Par L M le 18 Novembre 2012 à 03:09
Zádná. Merci, Point to Point Studio
Tsugaru shamisen, Musique Folkloriques Japonaise
Take-Bamboo, Takahashi Chikuzan, Musique Tsugaru-jamisen
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