• LE MONDE DES INSECTES CELIBATAIRES INA 1961 from Point To Point on Vimeo.

    Le monde des insectes célibataires
    Le document présente l'appartement d'un jeune arachnide célibataire qui nous fut rapporté de la "Via di San Teodoro numéro 8 à Rome".
    Archive de l'Office National de Radiodiffusion Télévision Française
    Émission : Le monde des insectes. Prise de son Renée Levert. Réalisation Kocha Ukazu i,n,a, 1961

     In Nomine Lucis (1974)  alla memoria di Franco Evangelisti, 1974 pour orgue solo (extrait) Giacinto Scelsi t

    Giasinto Scelsi Playlist clic here

     

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  • CASANOVA ever*

    est un objet de pied, contrôlé par les fonctionnaires de la R. L. R. ; un outil artistiquement distribué par les mystères de la culture ; un éco-plaisir indispensable aux fêtes (de la Sainte Valentine à la Sainte Blaise) ; un cadeau hyper économique ! Pour les joies de toutes et tous, que vous reçussiez gratuitement, par simple demande écrite, adressée à : l'Hôtel du 201 avenue de la Pompignane Conseil Régional du Languedoc Roussillon F-34064 Montpellier cedex 02, si, la requête eût pu consommer la toquade!

    Ne pas confondre avec le forever qui ne s'utilise qu'avec l'aval militant des services sans rêve.

     

    LePost

    © point to point studio

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  • Édition Midi Libre du dimanche 27 décembre 2009 Publié à 16 h 10 - Mis à jour à 20 h 30

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    L'inspection générale de la police nationale (IGPN) est présente à Nîmes depuis hier soir pour voir dans quelles circonstances le braqueur, abattu lors d'un hold-up avec prise d'otage, a fait l'objet de l'ouverture du feu par un policier. Le service régional de police judiciaire (SRPJ) est également chargé d'examiner le vol à main armée commis par deux jeunes habitants de la région nîmoise.

    Durant les faits, une employée du restaurant Mac Do du centre-ville a été prise en otage pour couvrir la fuite des deux malfrats. La police est parvenue à interpeller un premier homme. Mais le second braqueur n'aurait pas voulu lâcher l'otage et pointait apparemment une arme sur elle.

    A la lumière des premiers éléments de l'affaire, il semble que le policier a agi dans le cadre réglementaire et légal de la légitime défense. Le décès du jeune homme a suscité une vive émotion hier soir aux abords du boulevard Gambetta où le jeune homme a été tué. Si des tensions sont apparues pendant que les investigations étaient réalisées, aucun débordement, aucune dégradation, n'ont été constatés.

    Le procureur de la République de Nîmes, Robert Gelli, cet après-midi lors d’une conférence de presse, a indiqué « que des éléments permettent de penser que les conditions de la légitime défense sont réunies ».

    Le procureur a aussi distingué les profils des deux auteurs du braquage tous deux âgés de 21 ans. Ils ne travaillaient pas et n’étaient pas scolarisés. La victime semble avoir eu par le passé un comportement qui n’est pas irréprochable. Les deux jeunes gens sont domiciliés à Garons, un village situé près de Nîmes.




    Édition RMC du dimanche 27 décembre 2009 Le 27/12/2009 à 18h49 GMT
     
    MARSEILLE (Reuters) - Un homme a été abattu par un policier samedi à Nîmes (Gard) après avoir braqué un restaurant McDonald's à l'aide d'une arme factice, apprend-on de source policière.
    Deux hommes, dont un cagoulé et armé, ont pénétré à 23h30 (22h30 GMT) dans le fast-food situé dans le centre commercial "La Coupole", dans le centre-ville de Nîmes, et se sont fait remettre la caisse, a-t-on précisé.
     
    Alertée, une patrouille de la Brigade anti-criminalité est arrivée sur les lieux. L'homme cagoulé a alors pris une femme en otage pour protéger sa fuite et celle de son complice présumé.
    Une fusillade a éclaté et l'homme cagoulé, a été mortellement touché par le tir d'un policier.
     
    Agé de 22 ans, il était connu des services de police. Son complice présumé a été interpellé et placé en garde à vue.
     
    "Les premiers éléments de l'enquête donnent à penser qu'on est dans une situation de légitime défense pour autrui et pour le policier", a dit le procureur de Nîmes à la presse.
     
    "L'arme était factice mais parfaitement imitée", a ajouté Robert Gelli.
     
    Les deux hommes sont originaires du village de Garons, près de Nîmes.
     
    Une enquête a été ouverte par le parquet de Nîmes et confiée au Service régional de police judiciaire de Montpellier et à l'Inspection générale de la Police nationale.
     
     
    François Revilla, édité par Jean-Baptiste Vey
     
     

    Strident le souffle d'un flûtiau résonne au-dessus du boulevard fané de Noël,
    les hommes sauvages et passionnées invisibles au mort continuent à baver sans comprendre.


    À la vitesse du silence trois balles ont percé le corps jeune.

     

    Nîmes Gambetta 27 décembre 2009

     

    © STUDIO POINT TO POINT

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  • Ça plante sur l'original (7/200).

    Sur les cimaises du mur de Sir Norman Foster, dans les salles du sous sol, en ceinture de la Médiathèque du Carré d'Art de Nîmes, nous est donné à lire une présentation "bibendom" d'un bout de notre Monde quotidien. Celui-ci est représenté par 193 copies, du format carte postal à celui de poster, chacune accompagnées de leur flamboillant cartel et sept dessins originaux. Il est bien étrange de poser l'absence de matière graphique, et, d'unifier ,ainsi, l'espace par un procédé qui efface lignes, et, surfaces par une graphie numérique mal maîtrisée.

    La communication de l'exposition a-t-elle mangé le budget original? Le choix du procédé unifié est-il politique? Les dessinateurs sont-il avares? Les artistes non t-il aucune confiance dans les organisateur de l'exposition? L'action marque t-elle la fin de la presse papier?

    Toujours est-il qu'il y a une belle honte comme dirait la femme de mon concierge tout en épluchant la pomme de terre au dessus du midi-libre, à présenter cela comme exposition de dessins, avec des appuis ronflant comme Alliance Française, cartooning of Peace ; alors, qu'un honorable professeur de dessin de collège aurait réalisé l'ensemble en une semaine avec la photocopieuse du secrétariat, carton plume en moins, trop cher, bien sûr! Avec journaux à disposition.

    Toute la prétention "Fast Food" d'un certain esprit de la presse Française qui s'ajuste à une incertaine politique Françoise pour tirer monnaie du godiche.

    PAS MERCI.

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  • CULTURE CHIFFRES

    Pages statistiques et thématiques du DEPS : emploi, spectacle, musées, musique, etc. Cette collection, créée en 2007, présente les repères quantitatifs de la culture et se substitue aux Notes de l’observatoire de l’emploi culturel et Notes statistiques du DEPS.

    Collection téléchargeable, format PDF

     

    CC-2011-6-L’emploi salarié dans le spectacle en 2008 : une diversité de situations
    Marie GOUYON (8p., juin 2011)
    Programme
    EMPLOI, TRAVAIL, ACTIVITÉS


    Résumé
    En 2008, 440 000 personnes sur les 23 millions de salariés en France ont travaillé au moins une heure dans le secteur du spectacle (audiovisuel et spectacle vivant). Les volumes de travail et les rémunérations sont fortement concentrés par une minorité de salariés : 5% des salariés du spectacle perçoivent 30% du total des rémunérations. Polyvalence et pluriactivité caractérisent le salariat dans le spectacle, ce qui se traduit par une fragmentation de l’emploi : important recours aux contrats à durée déterminée et perception d’indemnités chômage en complément des salaires. Une typologie des salariés, articulée autour du volume de travail et du montant des salaires horaires, permet de caractériser six types principaux, des professionnels les plus impliqués, qui exercent au moins les trois quarts de leur activité dans le spectacle vivant (35%) ou dans l’audiovisuel (37%), aux salariés épisodiques (11% dans l’audiovisuel et 17% dans le spectacle vivant).

    Abstract
    In 2008, 440,000 of France’s 23 million salaried workers did at least an hour’s work in the entertainment sector (audiovisual and live performance). Work volumes and pay levels are highly concentrated in the hands of a minority of these salaried workers, with 5% of salaried entertainment workers accounting for 30% of total income revenues.
    Salaried workers in the entertainment sector are typically flexible and multiskilled, which results in job fragmentation: there is significant reliance on open-ended contacts and benefits payments to top up salaries. Examining workers in terms of their volume of work and hourly rates gives a clear breakdown of 6 main types of worker, from the more committed professionals who spend at least three quarters of their working life in live entertainment (35%) or in audiovisual (37%), to casual workers (11% in audiovisual and 17% in live entertainment).

    CC-2011-5-Formations artistiques, culturelles et en communication en 2009 : 155 000 étudiants dans des filières très diversifiées
    Bruno LUTINIER, Bruno DIETSCH, Marie-Françoise SOTTO (4p., mai 2011)
    Programme
    TRANSMISSION

    Résumé
    Un étudiant sur quinze en France métropolitaine et dans les départements d’outre-mer suit une formation artistique, culturelle ou de communication, soit 155 000 étudiants en 2009. Ils sont principalement inscrits dans les formations artistiques ou culturelles (113 000). Très variées, ces formations sont fortement féminisées, plus souvent proposées dans un établissement d’enseignement privé que l’ensemble de l’enseignement supérieur et fortement concentrées à Paris. Le poids de l’université dans ce secteur a diminué en dix ans. Les cursus licence et doctorat sont davantage représentés que dans les autres formations universitaires. En plein essor, les formations de communication sont essentiellement universitaires (79,6 %) et elles sont très fortement féminisées.

    CC-2011-4 Peintres, graphistes, sculpteurs… Les artistes auteurs affiliés à la Maison des artistes en 2009
    Marie GOUYON (8 p., avril 2011)
    Programme EMPLOI, TRAVAIL, ACTIVITES
    En 2009, la Maison des artistes affilie 24 000 artistes auteurs, principalement graphistes et peintres. Leur nombre s’est élevé en moyenne de 6 % par an entre 1999 et 2006 et est relativement stable depuis 2007. Près de 60 % des artistes auteurs affiliés sont des hommes. Toutefois, les femmes sont de plus en plus nombreuses, en particulier parmi les plasticiens, les peintres et les graveurs. Les artistes auteurs sont âgés en moyenne de 44 ans et vivent pour plus de la moitié en Île-de-France. La moitié se partage 15% de l’ensemble des revenus d’artistes auteurs affiliés à la Maison des artistes, tandis que les 10 % d’artistes auteurs les mieux rémunérés concentrent à eux seuls 43 % de ces revenus.

    CC-2011-3 Écrivains, photographes, compositeurs… Les artistes auteurs affiliés à l’Agessa en 2008
    Marie GOUYON
    (8 p., avril 2011)
    Programme EMPLOI, TRAVAIL, ACTIVITES
    En 2008, l’Association pour la gestion de la sécurité sociale des auteurs (Agessa) affilie 11 000 artistes auteurs, principalement du livre, de la photographie et de l’audiovisuel. Leur nombre s’est élevé de 58% au cours des quinze dernières années. Les deux tiers des artistes auteurs affiliés sont des hommes. Toutefois, les femmes sont de plus en plus nombreuses, en particulier parmi les écrivains, les photographes et les auteurs d’œuvres audiovisuelles et dramatiques. La population des artistes auteurs est assez âgée (49 ans en moyenne) et fortement implantée en Île-de-France. La moitié se partage moins de 10% de l’ensemble des revenus d’auteurs affiliés à l’Agessa, tandis que les 10 % d’artistes auteurs les mieux rémunérés concentrent à eux seuls plus de la moitié de ces revenus.

    CC-2011-2 Diversité des carrières d’auteur de l’audiovisuel et du spectacle vivant.
    Les auteurs de la SACD, 1997-2008

    Marie GOUYON
    (32 p., avril 2011)
    Programme EMPLOI, TRAVAIL, ACTIVITES
    En 2008, la Société des auteurs et compositeurs dramatiques (SACD) a versé 136 millions d’euros de droits à 17 700 auteurs et compositeurs dramatiques. Entre 1997 et 2008, les répertoires gérés par la SACD ont beaucoup évolué, en particulier celui de l’audiovisuel, du fait des mutations technologiques intervenues depuis la fin des années 1990 dans ce secteur : apparition puis généralisation de la télévision numérique terrestre (TNT), développement des chaînes thématiques, etc.
    Les auteurs se distinguent nettement les uns des autres selon le répertoire (audiovisuel ou spectacle vivant) auquel ils participent, leur durée et leur volume de production, leur niveau de contributions aux diffusions et aux représentations, ainsi par les montants de droits perçus. La population des auteurs et compositeurs dramatiques reste âgée et très masculine, bien que les femmes y soient de plus en plus nombreuses.

    CC-2011-1 Portrait économique des diffuseurs d’art actuel inscrits à la Maison des artistes
    Economic picture of contemporary art dealers registered with the Maison des Artistes

    Muriel DE VRIÈSE, Bénédicte MARTIN, Nathalie MOUREAU, Dominique SAGOT-DUVAUROUX (8 p. janvier 2011)
    Programme ÉCONOMIE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION
    L’analyse de l’activité économique des diffuseurs d’art actuel s’appuie sur les déclarations de rémunération et de ventes d’œuvres d’art d’artistes français effectuées par les diffuseurs auprès de la Maison des artistes, organisme gestionnaire des contributions au régime de sécurité sociale des artistes. L’examen du chiffre d’affaires, corrélé à la forme juridique du diffuseur, à l’ancienneté de la structure, à sa localisation géographique et aux liens entretenus avec les artistes qu’elle diffuse, permet de caractériser l’activité de diffusion et de dresser des profils distincts. L’analyse révèle également la concentration de l’activité de diffusion au sein des galeries d’art parisiennes, plus importantes en nombre et en taille économique, et la caractérise.

    CC-2010-5 : Fréquentation des établissements publics sous tutelle du ministère de la Culture et de la Communication : 34 millions d’entrées en 2009
    Visitors to public institutions under Ministry of Culture and Communication authority : 34 million admissions in 2009

    Chantal LACROIX (8 p. , septembre 2010)
    Programme PRATIQUES ET PUBLICS
    Une trentaine d’établissements publics sous tutelle du ministère de la Culture et de la Communication ont pour vocation d’accueillir du public : 2 bibliothèques, 13 établissements à caractère patrimonial (musées et monuments), 6 établissements de spectacle (théâtres et opéras) et 5 établissements à caractère polyvalent (auditorium et musée de la musique pour la Cité de la musique par exemple).
    La présente étude fait le point sur la fréquentation de ces établissements. En 2009, la fréquentation totale (payante et gratuite) de ces établissements s’élève à 34 millions d’entrées.
    Les musées et monuments sont les plus attractifs auprès du public, en particulier les plus importants en termes de notoriété nationale et internationale, qui participent de l’attrait touristique de la capitale française.
    D’une façon générale, le nombre d’entrées tend à augmenter, une hausse qui accompagne souvent une diversification des activités proposées et des dispositifs mis en oeuvre pour favoriser l’accès au plus grand nombre.

    CC-2010-4 : L’enseignement spécialisé de la musique, de la danse et de l’art dramatique en 2008-2009
    Special education in music, dance and the dramatic arts in 2008-2009

    Bruno DIETSCH, Marie-Françoise SOTTO (8 p. , septembre 2010)
    Programme TRANSMISSION ET LÉGITIMATION
    Régulièrement réalisée par le ministère de la Culture et de la Communication, l’enquête sur l’enseignement de la musique, de la danse et de l’art dramatique informe des évolutions relatives aux effectifs d’élèves, d’enseignants, aux disciplines enseignées et aux budgets de fonctionnement de ces établissements.
    En France métropolitaine, 36 conservatoires à rayonnement régional (CRR) et 101 conservatoires à rayonnement départemental (CRD) enseignaient la musique, la danse et l’art dramatique à près de 155 000 élèves au cours de l’année scolaire 2008-2009.
    Les effectifs d’élèves ont progressé depuis l’année scolaire 2006-2007, date de la précédente enquête (+ 8%). L’enseignement musical reste la discipline majoritairement choisie par les élèves (86%), néanmoins l’enseignement de la danse et celui de l’art dramatique progressent de façon sensible (respectivement + 7% et + 20%).
    Plus de 9 000 professeurs, toutes disciplines confondues, enseignent dans ces établissements classés. Leur financement est assuré à 79% par les collectivités territoriales.

    CC-2010-3 : Une typologie de l’emploi salarié dans le secteur culturel en 2007
    Marie GOUYON, (12 p. , mars 2010)
    Programme ACTIVITÉ, EMPLOI ET TRAVAIL
    Le salariat représente les trois quarts de l’emploi total dans le secteur culturel. Il est très singulier par rapport à l’ensemble de l’emploi salarié en France : les salariés qui interviennent dans le secteur culturel ont souvent plusieurs employeurs (y compris des employeurs à l’extérieur du champ culturel), exercent plusieurs métiers, travaillent globalement moins longtemps que les autres tout en cumulant des contrats de différents types. Il est également très diversifié, les salariés intervenant dans l’audiovisuel et le spectacle vivant évoluant dans des situations bien distinctes de celles des autres salariés du secteur culturel, en termes de temps de travail, de salaires perçus, de types de postes occupés et de professions exercées.

    CC-2010-2 : Diffusion et utilisation des TIC en France et en Europe en 2009
    Valérie DEROIN, (12 p. , mars 2010)
    Programme PRATIQUES ET REPRESENTATIONS
    Deuxième édition d’une publication thématique destinée à devenir périodique, le dernier numéro de la collection « Culture chiffres » du DEPS fait le point sur l’équipement et les usages numériques des ménages français et européens en 2009.
    Cette publication est le fruit d’une exploitation par le DEPS d’une enquête européenne réalisée par les États membres, en France par l’Insee, en application du règlement n° 808/2004 relatif aux statistiques communautaires sur la société de l’information.

    CC-2010-1 : Tendances de l’emploi dans le spectacle. Employment trends in the entertainment industry
    Marie GOUYON et Frédérique PATUREAU (8 p. , février 2010)
    Programme ACTIVITÉ, EMPLOI ET TRAVAIL
    Observé sur une période de près de vingt ans, l’emploi dans le champ du spectacle (audiovisuel et spectacle vivant) se caractérise par une progression continue du nombre de professionnels, infléchie depuis 2004.
    Le nombre d’entreprises et leur offre d’emploi en revanche n’ont cessé de croître, en particulier dans le spectacle vivant. Après s’être nettement et durablement dégradée en termes de temps de travail et de rémunération, du fait de la disjonction des rythmes de croissance entre effectifs et volume d’emploi, la situation moyenne des intermittents se stabilise au cours des années 2000.
    De fortes différences catégorielles subsistent, le volume moyen d’emploi et de rémunération des artistes étant deux fois moindre que celui des techniciens.

    CC-2009-6 : Les établissements d’enseignement supérieur artistique et culturel relevant du ministère de la Culture et de la Communication - Année scolaire 2008-2009
    Edwige ZADORA (4 p., décembre 2009)
    Programme TRANSMISSION ET LÉGITIMATION
    L’enseignement supérieur artistique et culturel en France se caractérise par une grande diversité institutionnelle. Il relève d’établissements publics et privés de taille et de statut très variés. Certains d’entre eux sont des établissements publics à vocation nationale sous tutelle du ministère de la Culture et de la Communication, d’autres dépendent des ministères chargés de l’Éducation nationale et de l’Enseignement supérieur, d’autres encore sont des établissements gérés par des collectivités territoriales. Dans certains domaines, tels que l’archéologie ou la gestion et médiation culturelles par exemple, les formations sont essentiellement assurées par les universités. Enfin, un large éventail de formations préparant aux différents métiers de la culture est proposé par de nombreuses écoles du secteur privé. Les données présentées concernent les établissements d’enseignement supérieur artistique et culturel relevant du ministère de la Culture et de la Communication qui dispensent des formations initiales.

    CC-2009-5 : L'insertion professionnelle des diplômés des établissements supérieurs de la culture
    Éric CLÉRON (12 p. , juillet 2009)
    Programme ACTIVITÉS, EMPLOI ET TRAVAIL
    L'enquête sur l'insertion professionnelle des 5 500 diplômés d'établissements supérieurs relevant du ministère de la Culture et de la Communication au cours des trois années qui suivent l'obtention de leur diplôme en 2004 révèle la qualité de ces formations. Professionnalisantes à court terme, elles garantissent un accès rapide à un emploi en lien avec la formation reçue pour près de quatre diplômés sur cinq.
    Les résultats confirment l'importance, pour la pérennité de l'emploi, de la correspondance entre le domaine et le niveau de formation et le premier emploi exercé. Trois ans après l'obtention de leur diplôme, 81% des diplômés de la culture travaillent, contre 77% de l'ensemble de la génération diplômée en 2004. Enfin, la rapidité de l'insertion, le niveau de rémunération et le taux de chômage varient selon les filières : l'architecture insère rapidement ses diplômés qui travaillent le plus souvent à temps complet, tandis que les diplômés du spectacle travaillent plus souvent à temps partiel et ceux des arts plastiques connaissent un taux de chômage de 20%.
    L'enquête, menée en collaboration avec le Centre d'études et de recherches sur les qualifications (Cereq) auprès de 120 établissements et concernant plus de 1 200 diplômés, est inédite pour les diplômés de la culture.

    CC-2009-4 : Les entreprises du commerce du marché de l'art
    François ROUET (8 p., avril 2009)
    Programme PRODUCTION, DIFFUSION ET MARCHES
    Les principales activités commerciales du marché de l’art ne sont pas identifiées en tant que telles dans la nomenclature d’activités française en vigueur, ce qui empêche toute description statistique des activités et des entreprises qui les exercent (galeristes, antiquaires, libraires d’anciens…) à partir des enquêtes sectorielles annuelles, portant sur le commerce, réalisées par l’Insee. Il est cependant possible d’obtenir, à partir de ces enquêtes, une série d’indications statistiques, jusqu’ici inédites, sur les activités et les entreprises concernées, grâce à une exploitation spécifique menée par le département Commerce de l’Insee à la demande du DEPS. Ainsi, l’activité commerciale d’environ 15 000 entreprises de commerce d’art qui réalisent un chiffre d’affaires de 1,9 milliard d’euros grâce à cette activité a pu être étudiée.

    CC-2009-3 : Les dépenses culturelles des collectivités locales en 2006 : près de 7 milliards d’euros pour la culture
    Jean-Cédric DELVAINQUIÈRE, Bruno DIETSCH (32 p., mars 2009)
    Programme POLITIQUES PUBLIQUES ET REGULATIONS
    Les résultats de l’enquête sur les dépenses culturelles des collectivités territoriales, dont les données n’avaient pas été actualisées depuis 2002, confirment que les communes, départements et régions ainsi que, désormais, les groupements de communes, sont des acteurs majeurs du financement public de la culture en France. Ce sont ainsi près de 4,4 milliards d’euros que les seules communes de plus de 10 000 habitants ont mobilisés pour la culture en 2006, tandis que leurs groupements à fiscalité propre dotés de la compétence culturelle y ont consacré plus de 840 millions d’euros. Départements et régions ont engagé respectivement 1,3 milliard et 556 millions d’euros pour la culture cette même année.
    Au-delà des domaines réservés d’intervention découlant de la première vague de transfert de compétences comme la lecture publique pour les départements par exemple, on observe que les communes et groupements de communes consacrent leurs dépenses culturelles de fonctionnement et d’investissement aux équipements de proximité (écoles de musique et de danse, bibliothèques et médiathèques, musées municipaux ou départementaux), tandis que les départements et particulièrement les régions attribuent plus massivement des subventions aux équipements et acteurs culturels.
    Enfin, si, en 2006, la loi du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales avait encore une incidence limitée sur les transferts de compétences aux différents échelons territoriaux, elle a pu favoriser le transfert des compétences culturelles aux groupements de communes.

    CC-2009-2 : Les dépenses de consommation des ménages en biens et services culturels et télécommunications
    Chantal LACROIX. (8 p., mars 2009)
    Programme PRATIQUES ET PUBLICS
    Depuis cinquante ans, la structure des dépenses des ménages a considérablement évolué. La culture, les loisirs et les télécommunications font partie des postes dont la part relative au sein du budget des 27,4 millions de ménages français a progressé. Les données de la comptabilité nationale pour 2007 ont permis une analyse détaillée de l’évolution des dépenses culturelles et de la part des différents postes : biens et services culturels, matériels et biens et services liés aux équipements, télécommunications.

    CC-2009-1 : L'emploi salarié dans le secteur de la culture
    Éric CLERON, Frédérique PATUREAU. (8 p., février 2009)
    Programme ACTIVITES, EMPLOI ET TRAVAIL
    Le salariat représente les deux tiers de l’emploi dans le champ des activités culturelles. Il se caractérise globalement, au-delà des différences propres à chaque domaine particulier d’activités, par une très grande hétérogénéité des volumes individuels de travail et de revenu, par un recours fréquent des salariés à d’autres activités extérieures au champ culturel et, surtout, par une instabilité de l’emploi que révèlent simultanément l’importance du CDD et du temps partiel, mais aussi l’ampleur de la rotation (turn-over) des individus d’une année sur l’autre.

     

    CC-2008-5 : Les Établissements d’enseignement supérieur artistique et culturel relevant du ministère de la Culture et de la Communication, année scolaire 2007-2008
    Edwige ZADORA (4 p., décembre 2008)
    Programme TRANSMISSION ET LEGITIMATION
    Cette publication à périodicité annuelle présente un ensemble d’indicateurs chiffrés sur les 120 établissements d’enseignement supérieur artistique et culturel relevant du ministère de la Culture. L’enseignement supérieur artistique et culturel en France se caractérise par une grande diversité institutionnelle. Il relève d’établissements publics et privés de taille et de statut très variés. Certains d’entre eux sont des établissements publics à vocation nationale sous tutelle du ministère de la Culture et de la Communication, d’autres dépendent du ministère de l’Éducation nationale, d’autres encore sont des établissements gérés par des collectivités territoriales. Dans certains domaines, tels que l’archéologie ou la gestion et médiation culturelles par exemple, les formations sont essentiellement assurées par les universités.

    CC-2008-4 : Statistiques d’entreprises des industries culturelles
    Valérie DEROIN (8 p., décembre 2008)
    Programme PRODUCTION, DIFFUSION ET MARCHES
    Publication issue de l’exploitation de deux enquêtes annuelles d’entreprises sur les services et sur les entreprises de l’industrie menées par l’Insee et le Sessi, dont les résultats ont été analysés et mis en perspective par le DEPS pour le champ culturel.
    Le secteur des industries culturelles qui relève des activités de services constitue un sous-ensemble du secteur des industries de l’information et de la communication. Il combine des fonctions de conception, de création et de fabrication, de distribution ainsi que de commercialisation de supports physiques reproductibles ou bien de communication. En 2006, il a réalisé 7,3 % du chiffre d’affaires des services marchands, soit 43 milliards d’euros, et a employé 3,8 % des effectifs salariés, soit 157 000 salariés (effectif salarié moyen annuel, équivalent temps plein).
    Secteur d’oligopoles à frange concurrentielle, sa structure est conditionnée par les modèles d’affaires de ses entreprises : des coûts fixes de production relativement élevés et des coûts variables de reproduction ou diffusion relativement faibles favorisent la concentration industrielle dans le cadre de marchés caractérisés par une demande variable et imprévisible de produits qualifiés de biens d’expérience.

    CC-2008-3 : L'enseignement spécialisé de la musique, de la danse et de l'art dramatique en 2006-2007
    Bruno DIETSCH (8 p., septembre 2008)
    Programme TRANSMISSION ET LEGITIMATION
    L’analyse statistique de l’enseignement spécialisé de la musique, de la danse et de l’art dramatique est fondée sur une enquête auprès des 137 établissements classés de France métropolitaine (36 CRR et 101 CRD). Réalisée par le Département des études, de la prospective et des statistiques (DEPS**) pour l’année scolaire 2006-2007 et pour l’année budgétaire 2006, elle met en lumière les évolutions principales de ces enseignement artistiques.

    CC-2008-2 : Diffusion et utilisation des TIC en France et en Europe
    Pierre BERRET (16 p., mai 2008)
    Programme PRATIQUES ET PUBLICS
    Un portrait statistique de la diffusion et de l'utilisation des TIC en France et en Europe par le DEPS à partir des enquêtes communautaires.
    Il assure une comparaison de tendances de l’équipement en TIC, des modes d’accès à l’Internet des ménages dans l’UE-27 selon leurs caractéristiques socio-démographiques.
    Il met en lumière l’intensification des usages numériques des particuliers, élucide les facteurs de développement des TIC que sont les usages culturels et le commerce électronique de produits culturels.

    CC-2008-1. Les établissements d’enseignement supérieur artistique et culturel. Effectifs et diplômes. Année scolaire 2006-2007
    Edwige ZADORA (4 p., janvier 2008)
    Programme TRANSMISSION ET LEGITIMATION
    L’enseignement supérieur artistique et culturel dépendant du ministère de la Culture et de la Communication se caractérise par une grande diversité institutionnelle. Il relève d’établissements d’enseignement spécialisé publics et privés de taille et de statut très variés. Certains d’entre eux sont des établissements publics sous tutelle du ministère de la Culture et de la Communication, d’autres sont des établissements gérés par des collectivités locales, d’autres enfin des structures privées qui bénéficient parfois de subventions publiques. Il repose également sur des formations universitaires ou d’autres formations relevant du ministère de l’Éducation nationale, celles par exemple qui conduisent au brevet de technicien supérieur (BTS) ou au diplôme des métiers d’art (DMA). Les données présentées ici concernent les formations aux métiers artistiques dans les domaines du spectacle, des arts plastiques, de l’architecture, du patrimoine, du cinéma et de l’audiovisuel.

    + D'INFOS

    culture.gouv.fr/culture

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  • QUENTIN TARANTINO  Inglourious Basterds I le jour le plus long.

    Mais qu'est-ce que c'est que cette merde de Chien!

    Comme dit Quentin Tarantino dans un entretien de la presse web ; pour, Inglourious Basterds : "Un livre* aurait suffi!". Mais, "J'ai voulu continuer... pour le cinéma… Oui, le cinéma, sans ce film ne saurait être!

    - Yes OK. OUI, on est d'accord. Du coté monnaie: il y a du référent. Le Soldat Schultz pour les Allemands, la sœur Poulain pour les Français, le Messie Noir: Marcel, pour les french Boys… Arrosé du jus de la westernique ; du jus de la romanestique et du jus de la hémoglobinique - Content, à en péter des vapeurs de lingots qu'en sont les producteurs associés du CAC40, Dow Jones. Nikkei!!!.

    Mais - Toujours est-il qu'on l'a durci le Q. Avec 2 heures et 30 minutes de pic-nique aux pop-corns, avec, à la prime, le milk-shake qui rancit dans les gencives.

    - Dommage! Oui, dommage. Perdu le "subtil bordel" du Reservoir Dogs? Passé les mises en bouches de virtuosité bouclée de la Pulp Fiction?

    - Avec le Kill Bill 1 et Le Kill Bill 2 l'étoile n'a plus de lumière, that's right. Nous reste le voyage avec la Tartino.

    *(un livre de gare, celui qui s'oublie dans le train / je vous précise.)


    entretien à Patrick Cohen sur France Inter -Godard : "Tarantino est un faquin" par franceinter

    © studio point to point 

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  • Innocents à Coupable.

     
    Photo © Studio Point to point XXI° "j'ai perçu 15 Kilos."

    - PÉTITION -


    Date de création : 09-07-2009
    Date de clôture : 31-10-2009

    Auteur
    responsables d'institutions, curateurs, éditeurs, critiques

    Destinataire
    Heads of art institutions, curators, publishers, artists, critics

    MANIFESTE DES PRESUMES COUPABLES >

    Nous sommes profondément surpris et choqués par l’annonce du renvoi devant le Tribunal correctionnel de Bordeaux de Marie-Laure Bernadac, Henry-Claude Cousseau et Stéphanie Moisdon, poursuivis depuis 2000 dans le cadre de l’exposition Présumés Innocents (au CAPC Musée d’art contemporain de Bordeaux) alors que le Procureur de la République a requis un non-lieu en mars 2008 .
    Au vu de la liste des pièces incriminées ( Elke Krystufek, Gary Gross, Ines van Lamsweerde, Cindy Sherman, Nan Goldin, Ugo Rondinone, Marlène Dumas, Paul McCarthy , Carsten Höller, Robert Mapplethorpe, Eric Fischl ,Mike Kelley, Matt Collishaw, Christian Boltanski, Cameron Jamie, Joseph Bourban, Wolfgang Tillmans), il s’avère que nous avons maintes fois montré ou reproduit ces mêmes œuvres ou des productions identiques, et que dans le cadre de notre profession nous entendons légitimement pouvoir continuer de le faire.
    Ces poursuites sont fondées sur une seule hypothèse : ces œuvres auraient pu, comme le souligne le réquisitoire, être vues par des mineurs, ceci malgré tous les dispositifs d’avertissement soigneusement mis en place.
    Faudra-t-il donc désormais priver notre jeunesse d’un accès à la culture contemporaine, alors même que la présence d’un mineur dans une exposition est généralement encadrée par ses parents ou des professionnels de l’enseignement ? Qui décidera alors de ces mesures de contrôle et de la limite du montrable ?
    Faut-il considérer que les images de l’art sont dangereuses ou plus dangereuses que celles qui circulent librement dans la presse et les médias ?
    Ce procès, unique en France, est une atteinte à la création contemporaine. Il touche plus fondamentalement nos fonctions, nos responsabilités, nos droits et nos libertés. La disproportion et le coût de l’appareil judiciaire en regard de l’absence de délit, ainsi que l’instrumentalisation de l’enfance opérée par une association supposée la protéger, sont autant de signes d’une dérive qui nous inquiète, que nous estimons indigne de la France et de sa politique culturelle.

    Nous, responsables d'institutions de l'art et de structures d’expositions, diffuseurs, éditeurs, artistes, intellectuels sommes solidaires de nos collègues mis en examen, et demandons en conséquence à être pareillement jugés.

    MANIFESTO OF THOSE PRESUMED GUILTY >

    We are deeply surprised and shocked by the announcement that Henry-Claude Cousseau, Marie-Laure Bernadac and Stéphanie Moisdon are to re-appear before the magistrate’s court of Bordeaux. They have been prosecuted since 2000 in connection with the exhibition Présumés Innocents (at the CAPC Musée d’art contemporain de Bordeaux), even if the Public Prosecutor requested a non-lieu in March 2008.
    In view of the list of works incriminated (by Elke Krystufek, Gary Gross, Ines van Lamsweerde, Cindy Sherman, Nan Goldin, Ugo Rondinone, Marlène Dumas, Paul McCarthy, Carsten Höller, Robert Mapplethorpe, Eric Fischl, Mike Kelley, Matt Collishaw, Christian Boltanski, Cameron Jamie, Joseph Bourban, and Wolfgang Tillmans), the fact is that we have on many occasions shown and reproduced these same works or identical pieces, and that in the context of our profession we have every intention of continuing to do so in all legality.
    This legal action is based on a single hypothesis: that these works might, as emphasized by the indictment, have been seen by minors, and this in spite of all the warning arrangements carefully displayed.
    So will it henceforth be necessary to deprive our young people of access to contemporary culture, even when young people visiting exhibitions are usually supervised by their parents or teachers? Who will duly take decisions involving these measures controlling and limiting what can and cannot be shown?
    Are art images to be regarded as dangerous, or more dangerous than those freely circulating in the press and media?
    This trial, unique in France, is an attack on contemporary creative work. In a more fundamental way, it affects our functions, our responsibilities, our rights and our freedoms. The disproportion and the cost of the legal machinery in the absence of any offence, as well as the exploitation of childhood resorted to by an association supposed to protect young persons, are signs that things are headed in a direction which worries us, and which we regard as unworthy of France and its cultural policy.

    As heads of art institutions and exhibition venues, distributors, publishers, artists and intellectuals, we are solidly behind our colleagues now on trial, and we ask to be similarly tried as a result.

    Si vous souhaitez vous joindre à cet appel, indiquez vos : nom, qualité, ville. Et renvoyez ceci à l’adresse suivante :

    http://www.ipetitions.com

    noslibertes-nosdroits@aliceadsl.fr

    Historique > le Monde.fr
     
    L'article fait référnce à ce courrier > 
    Chers amis, chers collègues,
    Nos trois collègues poursuivis aujourd'hui à propos de l'exposition Présumés Innocents (au CAPC en 2000) ont publié un manifeste que vous pouvez lire et soutenir en cliquant sur le lien suivant (à diffuser sans modération).
    Merci pour votre soutien! de Charlotte Laubard (Directrice / Director) CAPC

    Musée d'Art Contemporain
    7 rue Ferrère, F-33000 Bordeaux.
     
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