-
Par L M le 13 Août 2013 à 01:12
"en compagnie de Pierrette Boch"
avec les peintres Pierre Buraglio, Philippe Favier, Alain Lambilliotte, Jean-Michel Maurice, Pierre Soulages, Claude Viallat
Exposition Bages 11100 30 juin / 02 septembre 2018.
Pierrette Bloch
Exposition Lignes
Tous les jours de 15-20h28 juin au 5 septembre
Maison Des Arts
8 rue des Remparts
11100 Bages d'AudeFour lines de Pierrette Bloch: paper, Ink, exhibition art contemporain Languedoc-Roussillon 2013
Les peintures sur papier se caractérisent autant par la diversité des formats que par les différences de médiums utilisés (encre, fusain, craie, mine de plomb, crayons mous ou durs,mais aussi par le pinceau chinoisou japonais, la plume, la brosse et encore le papie, le pliage, l'eau, l'empreinte ; et encore les doigts, la main, etc…) Je suis surpris e particulier par des formats de papier très étroits et allongés ; et d'autres qui sont de petits formats, presque des "bouts" de papier. Comment se fait le choix ? Selon le hazard de ce que vous avez sous la main ? Selon une envie d'expérimenter, en allant aux limites de ce que le support accepte de tension ? En introduisant d'autres éléments comme le temps nécessaire pour suivre du regard l'œuve dans sa totalité ?!Extrait de l'entretien, Pierrette Bloch et Pierre Manuel, Paris 2013. Édition Catalogue MéridianesLignes de P. Bloch.
Ink Paper Black, N° 898, Work of Pierrette Bloch 1975
Encre blanche sur papier Noir N° 858 de Pierrette Bloch 1981
Encre noire sur isorel N° 529, 2008 N° 909, 2011 de Pierrette Bloch
Graphite sur Papier N° 761 2011 et N° 780 2011de Pierrette Bloch
Encre sur papier N° 878, N° 876 et Encre sur papier Noir de Pierrette Bloch 1975/78
Pastel sur papier N° 806 75 x 145 de Pierrette Bloch
+ Infos
PLATEAU 2 s'entretien avec Laure Adler et Pierrette Bloch
Pierrette Bloch from Musée Jenisch
Pierrette Bloch Biographie Wikipedia
-
Par L M le 3 Août 2013 à 01:48
Joël Hubaut
Le travail de ce plastiqueur et saboteur de préjugés se concentre dès 1970 autour du concept de l’épidémie et du mixage. Prolifération et hybridité des signes, des mots et de l’image sont des points de vus récurrents qu’il développe depuis plus de 30 ans à travers des activités mixées et dispersives. Son système d’organisation : des signes épidémiques qui vont progressivement tout relier dans une écriture graphique et langagière.
C’est en 1995 qu’il commence à travailler la couleur. Il décide d’utiliser huit couleurs, celles que les nazis utilisaient dans les camps de concentration pour ficher et classer les groupes humains : jaune juifs, bleu émigrés, rouge prisonniers politiques, rose homosexuels, noir asociaux, orange tsiganes, verts prisonniers de droit commun. Le « chantier » couleur débute réellement en 1996, avec CLOM 1, installation color guerilla au Centre d’art contemporain, la Ferme du Buisson à Marne la Vallée, et se poursuit encore aujourd’hui, à des échelles différentes, le PsychoCLOM le plus étendu ayant eu lieu aux Abattoirs de Toulouse en 2001. Article J.H. La mauvais réputation pour en lire + clique iciJoel Hubaut à la GranvilleGallery. Avec Madame.
Joel Hubaut Animation
Joel Hubaut Super
+ Infos
-
Par L M le 29 Juillet 2013 à 02:04
"Réinstallations" Bande annonce video du Centre PompidouFRANÇOIS MORELLET
EXPOSITION
Centre Pompidou
75191 Paris cedex 04
Standard : +33 (0)1 44 78 12 32 mars - 4 juillet 2011
11h00 - 21h00Alfred Pacquement – Pourquoi avoir choisi de privilégier les installations ? Comment les situez-vous dans votre oeuvre, et pourquoi ce titre « Réinstallations » ?
François Morellet – Cette 455e exposition personnelle aurait pu être l'occasion d'une revue des oeuvres les plus marquantes de ma longue carrière, mais j'ai préféré en faire la toute première rétrospective de ce que je considère comme mes « installations ». Sous ce terme, je range les mises en place éphémères d'éléments légers que j'ai disposés différemment selon l'architecture de chaque lieu d'exposition. Depuis quarante-huit ans, j'ai souvent pris un plusgrand plaisir à imaginer et réaliser ces installations plutôt qu'à montrer toujours les mêmes oeuvres anciennes, arrachées cruellement et avec mille soins à d'autres lieux d'exposition. Ces installations ne figurent
presque jamais dans les catalogues des expositions dont elles font partie : les délais d'impression étant trop longs pour reproduire des photos in situ, ce qui est le cas aujourd'hui pour le catalogue de cette présentation. Le titre « Réinstallations » est tout à fait pertinent si l'on admet que la qualité la plus spécifique d'une installation, c'est d'être éphémère. Elle se doit donc de mourir pour éventuellement renaître, modifiée par le nouvel espace qu'elle occupe. Ce caractère les différencie
des oeuvres et des intégrations. Quand une installation comme celle de mes « néons pleureurs » est achetée, par exemple, par le Centre Pompidou, elle devient alors une oeuvre, et postule à l'immortalité. De leur côté, les intégrations peuvent être considérées comme des installations définitivement et richement installées. Enfin, dans ces « réinstallations » réside une grande contradiction liée au fait qu'elles doivent se plier aux contraintes du lieu. Ici, au Centre, les contraintes brillent par leur absence, une absence de mur et de plafond. Il a donc fallu « construire » des contraintes, des cimaises qui évoquent les différents espaces ayant vu naître chacune des installations réactivées.
AP – Le néon intervient constammentdans votre oeuvre. Comment l'avez-vous découvert et quelles qualités trouvez vous à ce matériau industriel ?
FM – Dès le début des années 1960, mes amis du Groupe de recherche d'art visuel et moi étions persuadés que le règne de la peinture, des tableaux et des sculptures était fini, condamné à jamais. Nous étions passionnés par les matériau
modernes qui n'étaient pas encore trop « pollués » par l'art traditionnel. Nous aimions particulièrement tout ce qui pouvait créer du mouvement ou de la lumière. Depuis 1952 très précisément, je m'intéressais presque exclusivement aux lignes droites. Les tubes de néon me sont apparus comme un matériau idéal. Tout d'abord parce qu'ils sont droits d'origine, avant de se plier aux usages de la publicité. Ensuite parce qu'ils peuvent s'éclairer et s'éteindre brutalement. Et enfin parce que je croyais alors qu'ils n'avaient jamais été utilisés dans le domaine de l'art – comme le pensaient sans doute Martial Raysse et Dan Flavin à la même époque, alors que dans les années 1920 un grand artiste tchèque, Pešanek, s'en servait déjà. Au début, mes néons étaient toujours animés par des programmateurs très simples et je jouais beaucoup avec des rythmes d'allumage/extinction en déphasage.
AP – Comment avez-vous conçu le parcours de l'exposition ? Est-il chronologique ? Certaines propositions spatiales des années 1960 témoignent
d'une volonté de faire participer le spectateur. Était-ce une manière de redéfinir la notion d'oeuvre d'art ?
FM – Le parcours est plus ou moins chronologique. Les oeuvres des années 1960 faisaient partie de labyrinthes et autres parcours accidentés du GRAV, qui avaient, c'est vrai, comme but principal de faire réagir et participer les spectateurs. Oui, nous étions politisés avec une part de naïveté propre à l'époque. Nous avons été invitésplusieurs fois en Allemagne, en Italie et deux fois même aux États-Unis. Nous rejetions l'attitude des artistes individualistes et inspirés et nous nous considérions comme de simples meneurs de jeu. Nous avons eu beaucoup de succès auprès des jeunes et très peu auprès des collectionneurs.
AP – Les titres de vos oeuvres sont parfois figuratifs, parfois mystérieux. Ce sont aussi des jeux de mots. Est-ce une contribution littéraire à votre œuvre plastique ?
FM – Mes titres, pendant assez longtemps, énonçaient simplement le système à l'origine de chaque oeuvre. J'aimais montrer que mon travail ne consistait à rien d'autre qu'à inventer et développer des systèmes et j'ajoutais un peu ironiquement que le titre pouvait même permettre aux amateurs peu fortunés de réaliser eux- mêmes leur propre « Morellet ». Par la suite, vers les années 1990, j'ai fini par trouver ces titres lourds, didactiques et ennuyeux. Tout a commencé en 1991 avec une oeuvre de néons qui s'intitulait alors 3 demicercles de néon inclinés à 0°-90°-45°. Cette oeuvre, la première d'une période un peu baroque, pouvait évoquer pour des spectateurs malveillants une danseuse bleue et un peu kitsch. Pour devancer les critiques, mon titre est devenu La Gitane, qui évoquait aussi les cigarettes. Par la suite – et jusqu'à aujourd'hui – j'ai préféré utiliser des titres incongrus qui libèrent mes oeuvres du sérieux qu'on pourrait y voir et que je déteste. Quant aux palindromes qui sont si difficiles à créer, je suis enchanté quand j'en trouve un qui s'applique à une oeuvre, comme « no end neon » ou « senile lines ». Et quant à l'éventuelle contribution littéraire des titres à mes oeuvres : oui, pourquoi pas ? Mes titres peuvent même plus facilement porter un message que mes oeuvres… qui n'en ont pas !françois morellet négatif
Page en cours
-
Par L M le 24 Juillet 2013 à 03:40
Collection Monnier Exposition Art Contemporain Nimes From Point to Point Galerie
Collection Monnier vue exposition
Collection Monnier Pack White
Collection Monnier Rouge Pompier
Texas, 1946: ft. Robert Ashley Spoken Word -Love is a Good Example
Texas, 1946 Robert Ashley Spoken Word -L'amour est un bon exempleCollection Monnier and Thomas Bernardet
Claude Caillol Painting Peinture
-
Par L M le 21 Juin 2013 à 05:23
Invitation From Point to Point Galerie Nimes Carton Art Contemporain Carton 2002-2013
-
Par L M le 28 Mai 2013 à 04:26
Auguste Rodin Portrait Photo Archives Bibliothèque Nationale France
Auguste Rodin document archives Paris circa 1900 +
La Porte de l’Enfer d'Auguste Rodin
Document réalisé par Laurene L'allinec et Philippe Sollers . Archives M.D. - A.G.
Musiques : Mozart, Le Requiem , Haendel, Xerxes , Scarlatti, Sonates , Musiques sacrées du Tibet , Chants , La Marseillaise , Madame Arthur.
Monument Victor Hugo, Auguste Rodin exposition arles
Rodin, La lumière de l'antique, présente, en Arles des travaux du sculpteur et dessinateur Auguste Rodin. Cette présentation s'accorde à rencontrer des cousins et cousines: Antiques collectionnés par l'artiste. Statuaires qui l'ont imprégné. Pascale Picard et Bénédicte Garnier, les responsables du choix ont réussi leur mission. Mesures et miroirs fournissent des matériaux qui nous entraînent à surfer sur une mer agitée pour rejoindre un radeau bien charpenté où l'on nous fait place auprès d'un plâtre, d'une fonte, d'un marbre, d'un assemblage, d'une couleur, d'un trait, ensemble qui gesticule d'aises pour nous conter les délices de matières séchées qui ne perdent goutte.
Du 6 avril au 1er septembre 2013
Ouvert tous les jours sauf le mardi de 10h à 18h. Nocturne le mercredi jusqu’à 20h45.
Musée départemental Arles antique
Avenue 1ere division France libre
Presqu’île du cirque romain
BP 205 13635 Arles cedex
Tél. 04 13 31 51 03
www.arles-antique.cg13.frAuguste Rodin et ses ouvriers dans l'action sur le monument à Victor Hugo Photo studio Lebossé 1896
Auguste Rodin observing work on the Monument to Victor Hugo, Lebossé's studio, 1896
Étude Rodin pour le Monument à Honoré de Balzac ( Balzac debout Nu)
Étude Robe Monument Honoré de Balzac
Etude de Robe, Plâtre De Auguste Rodin préparation pour le Monument Honoré de Balzac.
Edward J. Steichen, Auguste Rodin, Honoré de Balzac
+ infos
Auguste Rodin - Public collection
-
Par L M le 17 Mai 2013 à 23:51
Moving Norman Foster On Art, photo, Équipe staff NF Nimes, + cliques, cadre Point to Point studio
Au musée "Carré d'art", est réalisé l'exposition: "Moving…", par le concepteur du bâtiment, Sir Norman Foster, une mise en scène de 75 à 80 pièces disposées sur la globalité réservée à l'espace du musée d'art contemporain. Hall, escalier, deuxième et troisième niveaux accueillent des œuvres d'art choisies. L'ensemble apparaît déterminé par un idéal esthétique circonstancié au solennel de l'âge fêté.
Exhibition Moving Norman Foster on Art, photo staff Carré Art Nimes, France
La distribution des peintures, sculptures, vidéos, installations, photographies telles de petits cailloux sont poussés, un à un, devant l'autre au profit d'une harmonie qui engage le promeneur à marcher de borne à borne selon une conformité pré-contemporaine à la recherche de la sortie.
Que dire de l'agencement des salles? pièce a) toiles à la matière blanche, associées à prière de toucher ma mère? Mammaire. Ressac. "maman je vous…" " non ma chérie prend ton seau rose…" Pièce b) b comme magnificence pour les angles des thermoplastiques qui parallélisent le tour des bronzes. Pièces c) gris de gris de plots qui nous les montent les monstrations. Hors-sol qu'il nous la fait pousser la culture, et qu'il y a de la lampe vous le découpe le magnifique! Pièce d) ça borne de chez borne ça vous cylindrise la sphère. Tient! Au sol ? Un, deux, trois, américaines mal rangées. Pièce e) "putain de plafond!" "Ils ont oublié un pilier?" "Oui. C'est pour c'la qu'ils ont dessiné une croix". Prière de pas agiter les mobiles. Sur un, deux tiers de mur, se neutralisent une queue leu leu de couleurs. Pièce f') la goulotte cache un câble pour se montrer, des noirs pour du noir, un blanc, du plurivoque. Et la plinthe qu'est restée de pierre ?. Pièce g) h) i) elles s'enfilent. j) trop de monde. À plus tard avec plusieurs merci! Pièce k) l'obstacle: la masse opposée aux images. l)… la suspension horizontale dont les 90° fétichisent les colonnes de béton. Monter. À l'étage, dans le hall, au mur ça colle! Pièce h) châssis de sculpture, absence de couture. Pièce m) de la forme dessus la forme un manifeste contre la représentation. "C'est du contemplotrain!". Pièce n) une harmonie en creux avec un mur en creux. Pièce n') hors-service. Traverser avec le gris un deux trois quatre socles, un deux trois quatre socles. Huit pour quatre sculptures: Assises rares! Pièce o) une voix du blanc de la porte la lumière (Dessous j'ai oublié la lumière et l'araignée du matin : chagrin et les Petits de Lu qu'il a fallu demandé au gardien tellement on ne voyait pas la balise, perdu qu'on était dans le mou des rideaux). Pièce o') c'est la voix et deux totons ça marche. Pièce p) de la pénombre des éclairages qui coupent les peintures j'ai oublié ma lampe. Pièce q) y'a la barre qui protège le garde et la peinture, y'a des formes à la tâche, y'a des dalles, qui se démarquent. Trois autours du garde-corps. C'est le débarquement. À la cale qu'on attend pour qu'on nous poussent la trappe.Norman Foster en socle gris arrêté dans l'image à la peinture jaune déplacée. Point-to-Point-Studio
Moving - Norman Forster on Art.
Jusqu’au 15 septembre 2013
Carré d’Art - Musée d’art contemporain
16, place de la Maison Carrée. Nîmes. FRANCE
+ infos
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique