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Par L M le 27 Février 2023 à 08:10
WOLFGANG TILLMANS
04/05 au 16/09
2018
Musée Carré Art Nîmes France
WHAT IS DIFFERENT ?
Wolfgang Tillmans né en 1968 en Allemagne et vivant aujourd’hui à Berlin et Londres, est un des plus importants artistes de sa génération. Depuis le début des années 90, il réalise des images qui rappellent parfois les genres historiques que sont les natures mortes, les paysages, les portraits mais aussi l’abstraction. Chaque exposition peut être pensée comme une installation où les oeuvres se répondent les unes aux autres selon des correspondances, connections et récurrences.
Ses images peuvent révéler des moments de beauté, de désir mais aussi avoir une dimension sociale et politique. Faire l’expérience d’une de ses expositions c’est faire une expérience du monde dans lequel nous vivons par le regard à la fois critique et sensible de l’artiste.
Il y est aussi question du corps de la photographie, la feuille de papier où vient s’inscrire l’image étant nécessaire à son apparition. Ses images sont présentes dans l’espace du livre ou de magazines comme I-D pour lequel il participa au comité de rédaction pendant plusieurs années. Elles peuvent aussi être mises au service d’engagements comme récemment sa participation à la campagne contre le Brexit.
Après deux expositions importantes en 2017 à la Tate Modern de Londres et à la Fondation Beyeler, l’exposition de Nîmes pensée spécifiquement pour les espaces du musée présentera certaines oeuvres récentes.
pocket invitation
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books click here #wolfgangtillmans downloads
http://images.andrearosengallery.com/www_andrearosengallery_com/Tillmans_2013_press_kit.pdf
http://phototheoria.ch/f/PhotoTheoria22_201707.pdf
https://c-lambelet.com/doc/Atlas/Lambelet-Clement_Atlas_SD.pdf
https://tillmans.co.uk/images/stories/pdf/HIV_book.pdf
https://tillmans.co.uk/images/stories/pdf/2016-ex-cat-porto-serralves.pdf
https://tillmans.co.uk/images/stories/pdf/wakobook3_web.pdf
Influencemag Gil Blank and Wolfgang Tillmans
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Influence mag
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Par L M le 5 Juillet 2018 à 09:56
Claude Viallat peintre et, David Quéré commissaire de l'exposition "Ce n'est que moi"
en compagnie de Pierrette Bloch
avec les peintres Pierre Buraglio, Philippe Favier, Alain Lambilliotte, Jean-Michel Maurice, Pierre Soulages, Claude Viallat
Exposition Bages 11100 30 juin / 02 septembre 2018.
peintures sur papier
vue d'ensemble des papiers peints par l'artiste Claude Viallat
peinture sur papier de Pierrette Bloch
James Caritey, régisseur de l'exposition en hommage à Pierrette
peinture de Claude Viallat
Bande de peinture papier de Claude Viallat 2018
+ d'infos clique sur les couleurs
drawing now paris 2018 ceysson-benetiere
Quelques peintures et travaux de Claude Viallat
Pierrette Bloch 2012 Bages Pierrette Bloch exposition Bages 2012
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Par L M le 1 Mai 2018 à 19:57
Saytour Dezeuze Monnier Point to Point Galerie
Combas Morellet Viallat Saytour Monnier Pointtopoint Galerie
Robert Combas
Visite Point to Point Galerie
Point to Point Galerie
Point to Point Galerie
Point to Point Galerie
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Par L M le 30 Avril 2018 à 19:29
GUILLAUME MOSCHINI
Galerie NEC Nilsson & Chiglien Paris
Vernissage Jeudi Trois Mai à 18 Heures au 117, rue du Vielle Temple 75003 Paris
Lorsque je rencontre Guillaume Moschini à son atelier, il me parle de ses nouvelles œuvres en abordant d’emblée la rencontre d’un matériau : la toile de coton lavée, support qui déclenche l’envie d’explorer de nouvelles voies, d’ouvrir des pistes inédites, de réinterroger et d’approfondir son travail antérieur.
Dans ses précédentes œuvres, il avait épuré son processus de création : deux gestes francs de la brosse sur la toile crue, produisant deux traces colorées presque semblables, en léger décalage, qui traversent l’espace du tableau, ménageant un espace non peint au centre et sur les parties inférieures et supérieures de la toile. Ces deux teintes, soigneusement choisies, appliquées d’un seul jet, ne se croisaient jamais mais leur mise en présence créait une tension, un rapport de forces généré par la rencontre de leurs intensités et de leurs vibrations sur la toile.
Au rang des artistes qui nourrissent sa recherche sur la couleur et l’espace pictural Guillaume Moschini évoque le peintre italien Giorgio Griffa, ainsi que les artistes américains Morris Louis et Helen Frankenthaler. Il souligne l’importance que revêt pour lui cette artiste en faisant référence à l’une de ses toiles exposées au Moma, « Mauve District », dont les teintes et la composition ont fréquemment servi de socle à ses recherches. Comme ces trois peintres, Guillaume Moschini utilise de la toile de coton ou de lin brute. Le support non apprêté, permet à la peinture de faire corps avec la toile, à la couleur d’irriguer les fibres, d’infuser la matière.
Aujourd’hui, la toile lavée offre des possibilités inédites. La fibre échevelée diffuse irrégulièrement les pigments au cœur du support, la peinture se développe au-delà de la ligne initialement tracée. Cette propriété induit pour l’artiste une approche renouvelée du geste et du travail sur la couleur. Dans les œuvres récentes, le résultat final est le fruit de nombreux passages d’encres très fluides et diluées à l’alcool à brûler. L’artiste utilise la légèreté, la transparence et l’autonomie de la matière picturale pour créer des modulations extrêmement raffinées, des effets mats et soyeux, superposer les plages colorées qui fusionnent et dont les frontières ne sont plus clairement délimitées. Le peintre se saisit de cette libération chromatique qui explose en bulbes ou en cratères, de l’empiètement des couleurs les unes sur les autres, des affleurements spongieux ou arachnéens sur la ligne de partage entre les deux couleurs et la partie de la toile restée vierge pour créer un trouble rétinien, laisser naître une émotion, plonger le spectateur dans le domaine de la sensation, de la contemplation méditative. Il y a dans les œuvres récentes comme une épaisseur de temps de plus, un approfondissement de la vibration colorée, une quête de la couleur sublime, veloutée, autant qu’un jeu sur la frontière, la ligne indéterminée, l’empiètement, la force interne des couleurs à l’œuvre.
Lors de notre entretien, Guillaume Moschini fait référence au peintre anglais Peter Joseph à qui il souhaite dédier ses derniers travaux. Ce coloriste connu dans les années soixante-dix pour ses œuvres bicolores très rigoureusement construites s’est progressivement affranchi des contraintes qu’il s’était fixé pour laisser place à des compositions très libres et créer des œuvres lumineuses, d’une simplicité et d’une justesse étonnante, dont la fraîcheur et la grâce touchent par leur évidence. C’est dans ce sillage que Guillaume Moschini s’inscrit, dans la même quête de la sensation pure, de l’indicible émotion produite par le jeu des couleurs et de leurs résonnances dans l’espace du tableau, dans l’aspiration à transcrire l’impalpable : l’atmosphère et la lumière des jours. Martine Guillerm, Mars 2018 ©
Guillaume Moschini dédicace la couleur Art Paris Art Fair.
+ Infos Liens
Galerie NEC Nilsson & Chiglien Paris
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Par L M le 21 Mars 2018 à 01:46
Carlos Kusnir, "Je ne suis pas là, je m'enlève"
Un film d’Armand Morin
Sur une proposition de Documents d’artistes Paca
Avec Carlos Kusnir, Julie Crenn (critique d’art et commissaire d’exposition) et Claude Lévêque (artiste)Carlos Kusnir
Plateau Expérimental [exposition] 24 juillet - 23 août 2015
Frac Provence Alpes-Côte d’Azur
20, bd de Dunkerque
13002 Marseille
www.fracpaca.org
+33 (0)4 91 91 27 55
accueil@fracpaca.org« La peinture de Carlos Kusnir est un lieu qui diversifie les points de vue puis les rassemble par la même impression colorée et la même saisie. Tous les éléments sont montés ou baissés dans leur tonalité selon une vision d’ensemble. Pas harmonisés ni étalonnés, placés. L’ensemble diffuse et suscite un environnement grâce à la couleur, la musique, le son. Si nous avons parfois l’impression d’être dans un environnement, c’est parce que la peinture quitte le mur pour aller au-devant, dans l’espace effectif. Elle peut être posée au sol, appuyée au mur, au milieu de la pièce, en travers du lieu d’exposition ou même retournée sur le dos. Elle montre son envers, ses tréteaux et, ce faisant, elle rend sa frontalité et sa planéité encore plus manifestes. […]
La musique [présente dans un grand nombre d’œuvres] apporte un contraste, un contre-pied et parfois souligne une interprétation sentimentale qui est un deuxième regard. Ce qui apparaîtrait comme un bain mimétique amène une causticité, un attendrissement supplémentaire ou un rire qui distancierait la peinture des sentiments qu’elle procure ou indiquerait la faille, le travers par où elle chuterait.
Dans le cas d’une œuvre comme ces pommes brillantes ou besogneuses, stylisées ou ‘’abstraites’’, constituant une page d’apprentissage, nappée par la voix de Bernard Tapie chantant J’aurais voulu être un artiste, l’ironie ne s’adresse pas seulement à la candeur feinte du peintre (qui fait l’ange fait la bête), mais à la façon dont certaines sensations, certains genres sont méprisés et minorés dans le contexte actuel. Carlos Kusnir utilise des formes considérées comme mineures pour leur donner une intensité visuelle ferme et définie (le trompe-l’œil, la nature morte, la peinture animalière). Beaucoup de ce qui peut s’attirer un mélange d’affection et de mépris l’intéresse. […]
Une reprise en charge du fait pictural dans sa richesse et sa vitalité, et ce même par le biais de l’autodénigrement de la peinture et de son objet, pris dans la comédie burlesque de l’impossibilité de peindre, tout en y parvenant par un biais paradoxal. »*
L'ensemble montré au Plateau expérimental regroupe certaines des oeuvres présentes dans la collection du Frac Provence-Alpes-Côte d’Azur ainsi que des pièces provenant de l’atelier de l’artiste.
* Extrait d’un texte de Frédéric Valabrègue paru dans le catalogue Carlos Kusnir, Analogues maison d’édition pour l’art contemporain, 2009. plus d'infos > fracpaca expositions carlos-kusnir#
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Par L M le 23 Octobre 2017 à 23:45
Patrick Saytour Portrait Photo Point to Point Studio
Patrick Saytour, Serre Cyprès Florence 1987 présente au jardin des Tuilerie Paris Fiac 2017.
Perspective Paris, Serre Cyprès Florence 1987 de Patrick Saytour. 2 x 3,7 x 12 mètres
+ infos sur l'artiste
fiac hors les murs jardin des tuileries Patrick Saytour
Serre Cyprès Florence Patrick Saytour
Hubert Robert vue imaginaire de la grande galerie du Louvre en ruines
art contemporain photographie patrick saytour portrait
expositions actuelles
En 2017, Avec Grand, Saytour Viallat, Nîmes
expositions prochaines
Patrick Saytour Ceysson & Bénétière Gallery
TRANSPARENT #2 de Patrick Saytour.
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Par L M le 22 Octobre 2017 à 20:22
Daniel Dezeuze
Rétrospective
28 octobre 2017 au 28 janvier 2018
Musée de Grenoble
5, place Lavalette, 38000 Grenoble
Téléphone : 04 76 63 44 44 – musee-de-grenoble@grenoble.frLe musée de Grenoble présenter une rétrospective de l’œuvre de Daniel Dezeuze. Conçue en étroite collaboration avec l’artiste, elle permett d’évoquer plus de cinquante années de création, de ses premiers travaux du milieu des années 1960 jusqu’à ses sculptures les plus récentes, en passant par les travaux qui marquèrent sa participation au mouvement Supports/Surfaces.
Membre fondateur en 1970 de Supports / Surfaces, Daniel Dezeuze pose avec le groupe la question du devenir de la peinture et de son rôle dans la société capitaliste. Parallèlement à une activité théorique importante, il travaille alors à la mise à nu du tableau et, ce faisant, à une certaine démystification de la peinture, une démarche initiée au demeurant dès 1967 avec ses premiers Châssis (un châssis de bois présenté tel quel, appuyé contre le mur) et poursuivie au début des années 70 avec les Échelles (constituées de lamelles de bois souples) et, à partir de 1975, avec les Triangulations et les Colombages.
Les années 80 marquent un tournant important dans ses recherches avec l’introduction dans son univers d’objets comme des portes ou de fragments d’objets assemblés qui revêtent l’apparence d’armes. Ces nouveaux éléments ouvrent un champ plus figuratif dans son œuvre et marquent un réinvestissement de l’approche manuelle dans l’élaboration des formes.
Directeur du musée de grenoble : Guy Tosatto, Assistante : Nathalie Guittat Chargée du mécénat Marianne Tailliber Conservateurs Chargée des collections modernes et contemporaines : Sophie Bernard Responsable des peintures, sculptures, objets – Antiquité / XIXe siècle : Valérie Huss Responsable du cabinet d'art graphique (XIVe- XXIe siècles) : Valérie Lagier Service des collections et des expositions Régie des œuvres : Isabelle Varloteaux Communication Responsable du service : Marianne Taillibert
Pour être régulièrement informé des activités du musée, recevoir les programmes de saison et les invitations aux vernissages, laissez-nous vos coordonnées.> Recevez la lettre d'information !
"Tête Bèche", 2016 de Daniel Dezeuze est présente à Nîmes Point to Point Galerie.
+ infos sur l'artiste
expositions actuelles
En 2017, Avec Grand, Saytour Viallat, Nîmes
Avec Albert Marquet Musée de Bordeaux
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Site de l'artiste Daniel Dezeuze
"Variables" de Daniel Dezeuze exposées à Bages
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"Le tableau serait-il un artefact parmi d’autres ? ", se demande dès 1967 Daniel Dezeuze, co-fondateur du mouvement Supports/Surfaces. Les gestes du faire sont au cœur de sa pratique, qui comptent de nombreux « outils » tels les Armes et Objets de cueillette. Invité dans le cadre des Forums de l’ESADMM
Conférence de Daniel Dezeuze, à l'École supérieure d'art et de design Marseille-Méditerranée 2015
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