• En résidence du 20 septembre au 28 novembre 2010 les artistes invités : Scoli Acosta, élise Florenty, Loreto Martinez Troncoso, Stephane Querrec, Clément Rodzielski, Jessica Warboys, sélectionnés par Emilie Renard commissaire du projet d'exposition qui se manifestera du 26 novembre 2010 au 20 février 2011 à la Salle Jean-François Taddei du frac Pays de la Loire pour les XXIVe Ateliers Internationaux de la région.

    "La résidence réunit six artistes pendant deux mois à l’issue desquels a lieu une exposition accompagnée d’un catalogue. Comme unique condition préalable à la résidence, je postule que le catalogue de l’exposition a déjà été écrit, qu’il est déjà publié, lu, connu, commenté et disponible en librairie, traduit même en plusieurs langues et qu’il s’agit du livre de Virginia Woolf, The Waves, (Les Vagues) écrit en 1931." Émilie Renard.

    Enregistrement de la voix de Virginia Woolf. BBC du 29 avril 1937 avec Diaporama de photographies de Virginia Woolf


    Fond Régional d'Art Contemporain des Pays de la Loire, à Carquefou (Nantes)

    publics(at)fracdespaysdelaloire.com

    Tél : 02 28 01 57 66 - 02 28 01 50 00.

    Ectuellement exposition le sourire du chat 01 et 02

    Exposición actual La sonrisa del gato.01 et 02

    + d'infos sur Émilie Renard

    © studio point to point

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  • Carte postale art- contemporain pur rêveur - Postcard dreamy pure contemporary art/ From point to point. Édition over LML.

    Projet pour l'exposition à la ville de Sainte Croix Vallée Française, Lozère, Été 2010  du 30-07 au01-08 titre de : 13 DE DER! LE DERNIER POUR LA ROUTE.

    Organisation - Renseignements

    Jacques Bernard "La Boissonnade" 48110 Moissac V.F 06 85 77 43 34 / 04 66 44 79 75
    Vladimir Porcja et Sylvia Pagesy 10 rue des amoureux 30000 Nîmes 04 66 84 33 79

    Pour les spectacles vivants :
    Patrick Lévy   Témélac   48110   Molezon   04 66 44 73 07 / 06 85 77 43 34
    rendeves@wanadoo.fr

    ©STUDIO POINT TO POINT XXI°

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  • Selon Zoe Leonard, «les femmes sont sur-représentées en tant qu’objets, mais sous-représentées comme productrices, et le sexe féminin est sur-représenté comme objet du regard, mais sous-représenté en tant qu’expérience». Aude Du Pasquier Grall fait exception à cette déclaration. Dans Le cycle masculin, le sexe de la femme ne s’expose pas et devient pourtant l’objet d’une expérience. C’est avec l’homme, avec sa complicité, et non contre lui, que l’artiste a envisagé le pouvoir de son œuvre. Le sexe tendu de l’homme ne marque-t-il pas visuellement la possibilité de ce lien établi au fil des heures ? La femme lui demande de descendre de son piédestal, mais c’est l’homme qui prend en charge la perte de son «aura». Et ça c’est émouvant.
    Evence Verdier Extrait de
    texte " Les mots et la Chose"

    Aude Du Pasquier Grall

    24/06 - 18/09 - 2010

    Depuis 1998, Aude Du Pasquier Grall développe une série intitulée « Cycle Masculin ». Avec une curiosité qui mime les protocoles de la documentation expérimentale, elle réalise des portraits d’hommes nus, avec des appareils d’enregistrement visuels et sonores. Lors de ses séances de travail, l’artiste est toujours seule avec un homme, équipée d’un appareil photo ou d’une caméra manuelle, d’autres caméras et micros étant disposés dans l’espace de l’atelier. Aucun de ses modèles, qu’elle recrute par petites annonces, n’a l’habitude de poser nu devant l’objectif ; la rencontre de l’artiste avec eux confinant à une expérience érotique « tendue » à l’intérieur d’un cadre artistique toujours risqué lorsqu’il vise directement la représentation du corps et du désir.
    Un ensemble important de photographies des premiers « Cycles Masculins », ainsi que des dessins et deux pièces sonores accompagneront la projection vidéo du Cycle Masculin n°7 – J’attends sa naissance.

    Le cycle masculin n°1 (1998) prend la forme d’un diaporama commenté d’environ cinq minutes issu d’une rencontre de douze heures entre l’artiste et son modèle. Le cycle masculin n°2 (1999) est une pièce sonore de 1 min. 40 appelée La Proie, Le cycle masculin n°3 (2000), un montage vidéo de 15 min. Le cycle masculin n°4 (2001) se décline en formes très variées : une vidéo de 26 min., Les 13 séances ; des photographies : Mon papillon, La mise au point et la série Miniatures (composition avec oranges et fleurs), proposée aussi en diaporama ; une bande sonore de 7 min. ; des dessins à l’échelle un qui reportent sur le papier des détails ou les contours des corps du modèle et de l’artiste ; une vidéo de 4 min. 50, Passion 1, issue de l’enregistrement par une seconde caméra de l’artiste au travail…

    Galerie ChantiersBoîteNoire - 1, rue Carbonnerie - 34000 Montpellier

    Du mercredi au samedi de 15 h à 19 h Tél > 04 67 66 25 87

    © POINT TO POINT

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  •           Vélos d'art réalisé par les artistes Jacques Charlier et Kamagurka

    JACQUES CHARLIER

    3 juillet - 4 septembre

    La galerie des 4, Barbier à Nîmes sera le centre d'information de CLArtVision.

    Dans les murs de la rue Maubet Jacques Charlier né à Liège présentera  les caricatures des 100 SEXES D’ARTISTES, un  projet érotico/humoristique  qui fut censuré lors de la dernière Biennale-off de Venise. Tandis que le vitrine présentera des écrans diffusant des reportages réalisé sur la ville de Nìmes...

     

     

    Jacques Charlier s’explique sur son « histoire de l’art » des XXè et XXIè siècles

    Jacques Charlier vous informe au quotidien sur CLArtVision

     

    Galerie 4, Barbier
    4 rue Maubet - 30000 Nîmes

    mardi au samedi de 17 h à 19 h

     

    © STUDIO POINT TO POINT

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  • Avec les oeuvres de Michel Aubry, Thomas Bernardet, Ben, Michel Giroud (la bibliothèque de), Alighiero Boetti, George Brecht, Marcel Broodthaers, Chris Burden, Alex Chan, Marie Denis, Erik Dietman, Peter Downsbrough, Marcel Duchamp, Florian Faelbel, Sylvie Fanchon, Robert Filliou, Raymond Hains, Joël Hubaut, Liu Jianhua, Matthieu Laurette, Frédéric Lecomte, Pascal Le Coq, Macrosillons (Dominique Balaÿ, Jérome le Guezennec et Laurent Rump),  Man Ray, Christophe Masseron, Philippe Mayaux, Thierry Mouillé, Vik Muniz, Gabriel Orozco, Bruno Peinado, Alexandre Perigot, Présence Panchounette, Clotilde Potron, Philippe Ramette, Yves Reynier, Jean-Claude Ruggirello, Takako Saïto, Stéphane Sautour, Alain Sechas, Axel Straschnoy, Taroop & Glabel, Pierre Tilman, Roland Topor, Narcisse Tordoir, Cédric Torne, Alex Straschnoy, Uri Tzaig, Patrick Van Caeckenbergh, Sarah Venturi, Andy Warhol, Robert Watts, John Wood and Paul Harrison


    Joyeuse exposition! Photo-légende attribuée à Jacques Casanova de Seingalt.


    Du 20 juin au 24 octobre 2010 -ECCE HOMO LUDENS- contraction de "ECCE HOMO" écrit dans l'évangile de Jean, comme parole du politique, ici, Ponce Pilate désignant Jésus au peuple. (Clique ici, sur le lien pour plus d'infos) et de "L'HOMO LUDENS" du titre de l'ouvrage de Johan Huizinga (Clique ici, sur le lien pour plus d'infos). Traduite par les curator Hélène Audiffren et Cyril Jarton comme "Voilà l’homme qui joue", c’est-à-dire CASANOVA, Ici à Sérignan, forever.

    L’exposition Au
    Musée de Sérignan (Clique sur le lien pour plus d'infos) se développera autour des six facettes du dé lancé par le joueur : le masque sous lequel il prend tous les rôles et échappe aux contrôles politique et social ; le hasard qu’il provoque à travers les dés : la loterie qui mêle anges et démons pour l'octroi d'un produit ; le défi par lequel il cherche à tout prix à gagner la partie, fusse pour un trophée ridicule ; le vertige, sa manière de ressentir les événements ; l’humour ; le sentiment vif de la fugacité des choses. Elle évoque en même temps "l’humain-joueur " dans un sens plus large, qui prolonge et développe jusqu’à nous cet esprit ludique pour nous proposer un ré-emploi d'œuvres de ce qui ont marqués, de leur activité ludique, le matériel d'une histoire contemporaine tout en étant parasité par la création d'un moment qui interroge "l'ancêtre"* afin d'en extraire des signes qui débordent le cadre sociale et culturel de sa re-présentation. 

    *Malgré la morale bourgeoise qui condamne le jeu pendant le XIXe siècle, certaines exceptions font rupture, comme le gai savoir de Nietzsche dont l’autobiographie s’intitule Ecce Homo ; sur un autre plan, celui de la dérision, on trouve l’humour décapant d’Alphonse Allais et des Incohérents, qui se radicalise pendant la Première Guerre mondiale avec Dada, puis tout au long du XXe siècle, à travers le Surréalisme, l’Internationale Situationniste et Fluxus.dossier de presse E.H.L.

    Petit supplément > L’illusio  chez Pierre Bourdieu. Les (més)usages d’une notion et son application au cas des universitaires de Paul Costey », Tracés. Revue de Sciences humaines, n° 8, L’illusion, avril 2005. Click here > Tracés Revues


    Manifestation régional ''Casanova, forever''
    Vernissage le samedi 19 juin à 19h00 Au MRAC-LR-Sérignan
    Commissaires associés : Cyril Jarton, Hélène Audiffren
    Musée Régional d’Art Contemporain Languedoc-Roussillon -MRAC- LR.
    Du mardi au vendredi de 10 h à 18 h, le week-end de 13 h à 18 h / fermé le lundi et les jours fériés.
    Musée Régional d’Art Contemporain Languedoc-Roussillon
    146 avenue de la Plage - BP 4 - 34410 Sérignan
    T : 04 67 32 33 05

    + d'infos

    Marc serignan programme 2012/13

    MRAC Serignan 2013

    Musée sérignan 2012

    Mrac Ecce Homo ludens 2010

    © studio point to point XXI°

     

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  • Lumineuses, les encres nous baignent, profondes les encres nous immergent ; elles nous coulent. À la rencontre d'une plume, d'un trait on accroche notre chair. À ces balises on oxygène le sang qui défile à l'esprit. Pour un temps, extrait des profondeurs nous contemplons là, une Beauté du vierge. À l'horizon défini par la matière se calme nos angoisse des profondeurs. —Attente— Puis encore

    À reconnaître les puissances plastiques de l'artiste on ne peux que comprendre la fierté de Naîlaet Batiste responsable du lieu vis à vis du trésor qui leur est déposé par l'une des figures artistiques les plus marquantes de la Bande Dessinée contemporaine, l'artiste Alex Barbier, jusqu'au 13 juin à la Milonga del Angel d Nîmes.

    L'excellent entretien par Bruno Canard  et Franck Aveline (L’Indispensable) avec Alex Barbier éclaire l'exposition, et son auteur.

    En voici quelques citations dont vous pourrez lire l'ensemble sur le lien suivant (Clique sur >) Alex Barbier. Le dernier des fauves du XX°

    A. B. : Même si je désire être lisible, je n’éprouve pas le besoin de tout donner à comprendre. Il faut du parasitage dans une œuvre. C’est là que le système de simplification dans notre société nous entourloupe. Céline c’est plein de parasites. La première page d’  "Un château l’autre "est à mon sens l’aboutissement absolu de son style parasité. Proust et Céline sont aux antipodes de la langue de bois, du politiquement correct, de la pensée unique que l’on trouve régulièrement dans l’art.
    Comme Proust, je me revendique cruel. Je n’aime pas totalement l’homme... et je m’amuse bien avec lui. Je ne suis pas politiquement correct et je l’assume. Je n’écoute pas toutes les sirènes sociales ou politiques qui me chantent toute la journée à l’oreille. J’ai horreur du discours stéréotypé. Mon radicalisme ne m’a jamais fait peur. Willem aussi est un cruel. Nous sommes tous deux cruels envers la, cruauté... Finalement, c’est de la bonté ! D’où De la chose et son caractère sacré.

    A. B. : La bande dessinée est une invention extraordinaire. Néanmoins, je n’ai pas immédiatement pris conscience qu’elle pouvait contribuer à exprimer ma personnalité. A titre d’anecdote, mes toutes premières histoires étaient très calquées sur le modèle Tintin, bien que ma ligne claire fut alors complètement délirante. Je voulais tout dire et tout montrer. Si dans le décor il y avait une tapisserie, j’en dessinais tous les détails. Ça frôlait le délire... Et puis je ne pensais pas qu’on pouvait dessiner sur un format autre que celui des livres publiés. Un jour, dans une salle des ventes où l’on pouvait acheter n’importe quoi à un prix ridicule, je fis l’acquisition d’un lot d’encres anciennes (qui n’étaient pas encore sèches), qui me permirent très rapidement d’obtenir des effets ahurissants. C’est ainsi que j’ai découvert la couleur directe. Ni plus ni moins !

    A. B  Je crois fermement que pour atteindre cet universel, il faut partir de l’endroit où on existe. Ce qui touche à l’universel c’est l’intime ; le lieu de vie et sa propre personnalité. Les histoires bordelaises de chambres closes confinées, de vieilles immondes et de vieillards hideux écrites par François Mauriac sont les mêmes que celles qu’on raconte ou qu’on vit à Los Angeles. Sauf si on n’arrive pas à passer du particulier à l’universel (comme on disait autre fois du temps de Saint Germain des Près). Il faut absolument passer du particulier à l’universel.
    Personnellement, dans mon dernier livre je parle de Vernet-les-Bains et je suis persuadé que cette histoire touche tout le monde... du moins ceux qui le désirent. On finit vite par découvrir que tous lieux se ressemblent et que les tous gens sont identiques dans leurs différences.

    A. B. : Pour moi, la peinture est en elle-même secondaire. L’essentiel c’est la bande dessinée. J’ai beau m’éclater à peindre, je sais qu’au travers de la peinture je n’invente rien ! Par contre, je sais pertinemment que j’invente en bande dessinée. Il me semble apporter à la bande dessinée des choses qui n’ont jamais été faites à ce jour... fondamentalement, les peintures ne sont que des illustrations de la bande dessinée. Je sais très bien que ce n’est pas en peinture que j’exprime ce que j’ai à dire. La peinture me plaît pour d’autres raisons, comme celle de mettre sur pieds des expositions.
    Ce qui m’intéresse le plus c’est la bande dessinée et ensuite, mes petits tableaux érotiques (c’est véritablement là que je suis le meilleur d’ailleurs).

     

    Infos exposition
    Alex Barbier, jusqu'au 13 juin,

    Association le Fils du chanoine
    à la Milonga del Angel,
    Horaires 10 -12 h-15  - 18 heures,

    47 rue de L'Occitanie Nimes
    06 60 79 32 49 / 06 75 02 60 20



    Liens complémentaires Click here> Frémok Les Espaces de l'édition indépendante
    Biographie : Le 15 mars 1950 Saint Claude

    © studio point to point

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