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Par L M le 27 Octobre 2013 à 04:20
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Par L M le 27 Octobre 2013 à 02:05
César Baldaccini, sculpture/peinture, présentation Galerie Templon 1996, Bertrand Lavier, Ferrari Paris circa 2013, La Belva, Riina Fiat 1992 de Giovanni Falcone Rome 2013. Document RevueGod.
César Baldaccini–sculpteur lien wikipedia
Télécharger « These-Bertrand-Lavier-Nicolas-Xavier-Ferrand -2014.pdf »
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Par L M le 4 Octobre 2013 à 01:14
Bandiera anni Sessanta, Drapeau Sixties de Fernando Melani. Biographie Video > Casa F. Melani
Luciano Fabro
Patrick Saytour "folds - folds out" 1971 + sur l'activité de l'artiste -Clique
Robert Rauschenberg Jammers 1975 Patrick Saytour Pliage, 1975 Gilbert Monnier sanitaire XX°
Jammers 1976 de Robert Rauschenberg exposition Gagosian Galerie Londre clique-ici
LUCIANO FABRO frompointtopoint
l moto del reazionario
se il tuo piede sinistro sta spostandosi in avanti, anticipalo, calciandolo con il destro.
la piroetta che farai sarà la danza dei valori eterni della specie.Luciano Fabro 1936 Turino - 22 juin 2007 Milano
Le mouvement du réactionnaire
si ton pied gauche va de l'avant : anticipe – tire du droit dans son talon.
La cabriole qui s'en suivra te fera danser à la mesure de l'éternelle espèce humaine.Pliage Rayé Patrick Saytour 1969
infos
Transparent 2 de Patrick Saytour diaporama Music-Chanson Éric Satie
Melanie_Fernando-Luciano_Fabro-Exposition.pdf
Fernando Melani e Luciano Frabo
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Par L M le 29 Juillet 2013 à 03:17
Leparc, Sobino, Yvaral, Morellet, Stein, Garcia-Rossi, G.R.A.V. art de l'invitation
G.R.A.V.Groupe de Recherche d'Art Visuel 1960
" Nous voulons intéresser le spectateur, le sortir des inhibitions, le décontracter.
Nous voulons le faire participer.
Nous voulons le placer dans une situation qu'il déclenche et qu'il transforme.
Nous voulons qu'il s'oriente vers une interaction avec d'autres spectateurs.
Nous voulons développer chez le spectateur une forte capacité de perception et d'action. "Horacio Garcia Rossi, Julio Le Parc, François Morellet, Francisco Sobrino, Joël Stein, Yvaral.en 1960 sont les signataires du Groupe de Recherche d'Art Visuel.°-Julio Le Parc 1966°-Francisco Sobrino 1965°-Yvaral 1963°-François Morellet 1964°-Joel Stein 1963°-
Horacio Garcia Rossi 1966°
La dissolution du G.R.A.V. a été décidée à l'unanimité le 15 novembre 1968.À Rennes une exposition exganisée par la directrice du musée Anne Dary, présente les travaux de ses acteurs.
Mouvement - lumière - participation. GRAV 1960-1968Jusqu'au 22 septembre 2013+ Infos
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Par L M le 28 Juillet 2013 à 01:03
The magnificent seven, London - Appearance Saatchi Gallery
Vin-Wine
Lucio Chico Bernardo Lee Mark Donald Les Sept Mercenaires - The Magnificent Seven
The magnificent seven, Les sept mercenaires. Video apparence Saatchi Gallery
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Par L M le 10 Juillet 2013 à 23:49
Unglee Autoportrait + d'images
Au commencement il y a le nom. Unglee s’est nommé Unglee. Comme un matériau à travailler, une image à construire. L’image-Unglee.
Aussi sur sept films, entre 1976 et 1982, Unglee a réalisé deux autoportraits. Dans le premier, Autoportrait en blanc et noir (1977), on le voit se préparer pour une séance de pose, comme l’entrée en un personnage. Dans le second, Forget me not (1979), Unglee compose une variation autour de son image “ médiatisée ” : affiche, photo, cinéma, vidéo. Sa voix également est médiatisée : disque, téléphone.
Unglee se veut une image, une image d’image : “ Je ne suis qu’un court ruban de Celluloïd. ”, un objet-cinéma : “ Un objet très fragile qui s’enfuit au bout de quelques minutes. ”
Les films où il met en scène soit des couples comme Sixième étage (1976), Chérie que veux-tu ? (1978) et Paris Plage (1982), soit des groupes comme Radio-Serpent (1980), peuvent être considérés comme d’autres variations sur le personnage Unglee. Ils mettent tous en scène la séduction, une image de la séduction.
Mais au-delà d’Unglee, ses films nous renvoient l’image, les images d’une époque, comme un air du temps qu’ils ont enregistré. Objets, vêtements, décors – le vinyle et néon de Radio Serpent – qui n’ont duré que le temps d’une mode, le temps d’un désir. Et bien sûr il a réalisé un film à partir d’images de publicité, C’est fou (1977).
On peut aussi retracer à travers ces films l’histoire d’une formation cinématographique : des rythmes fragmentés, répétés, saccadés, qui lui viennent d’un certain cinéma expérimental, à la forme plus narrative de Paris Plage, Unglee ne construit pas seulement une image mais aussi un style.
Paris Plage voulait marquer un tournant dans le travail d’Unglee. À la construction d’une image, il voulait substituer la représentation de la vie : “ Paris Plage est encore une histoire de séduction, mais telle que cela peut se passer dans la vie. Les personnages ne sont plus des images, ils vivent, ils vivent une histoire d’amour. ”
Pour des raisons extérieures à son travail, Unglee n’a pas poursuivi, jusqu’à aujourd’hui, dans le cinéma. Mais on peut se demander si ce “ cinéma de la vie ” lui convenait. Un an avant Paris Plage il avait entamé un travail photographique ayant pour thème la tulipe. Cette fleur qui à l’état naturel paraît artificielle, forte et fragile, est comme une nouvelle image d’Unglee, comme une suite de ses autoportraits.
Il exprimera cette passion pour les tulipes dans une série de montages Polaroïd (allant dans certaines œuvres jusqu’au graphisme abstrait), des vidéos, des textes-affiches où il déclare son amour pour cette fleur.
Tout ceci pourrait n’être qu’une parabole : celle d’un artiste qui voulait devenir Unglee et qui est devenu une tulipe. P. H. Sic Collection Beaubourg
Unglee Autoportrait 1977 / 16 mm / n&b / sil / 6' 00 Extrait
Je ne suis, au fond, qu'un court ruban de celluloïd qui se promène à un rythme régulier devant l'obturateur d'un projecteur. Lentement, comme engourdi, je me prépare à poser devant la caméra. Le fauteuil est prêt, je m'y assieds et semble perdre le contrôle de mes mouvements qui deviennent furtifs. Je suis très pâle, j'ai du mal à respirer, je feuillette un livre mais ne m'y intéresse pas vraiment, je le repose sur la table et continue à fixer la caméra parce que c'est pour elle que je suis là. Je ne suis ni heureux ni malheureux sur cet écran, insensible comme un objet, un objet fragile qui s'enfuit au bout de quelques minutes.
Unglee art photo Tulipe Rouge sur fond noir + d'images
Tulipe cibachrome 60 x 80 cm Exposition Unglee 2001
10 FILMS EN DISTRIBUTION DISTRIBUÉ PAR
LIGHT CONE CINÉMA EXPÉRIMENTAL
1995-1996 / 16 mm / coul / son / 4' 00 / 20 €
1990 / U-Matic ou 16 mm / coul / son / 5' 15 / 21 €
TULIPES
1987 / U-Matic / coul / son / 10' 00 / 33 €1982 / 16 mm / coul / son / 19' 00 / 58 €
1980 / 16 mm / coul / son / 12' 00 / 37 €
1979 / 16 mm / coul / son / 15' 00 / 46 €
CHÉRIE, QUE VEUX-TU?
1978 / 16 mm / coul / son / 27' 00 / 82 €1977 / 16 mm / n&b / sil / 6' 00 / 22 €
1977 / 16 mm / coul / son / 12' 00 / 37 €
1976 / 16 mm / n&b / sil / 3' 00 / 19 €
Créée en 1982 par Yann Beauvais et Miles McKane, Light Cone est une association dont le but est la distribution, la promotion et la sauvegarde du cinéma expérimental en France et à l'étranger.
Sa vocation première est d'offrir la possibilité de louer des films expérimentaux à différentes structures culturelles de diffusion telles qu'associations, cinémas, musées, universités, galeries et festivals. Afin d'assurer cette mission, Light Cone s'est constituée en coopérative de cinéastes garantissant aux auteurs la propriété des supports comme des droits des œuvres déposées en vue d'une distribution.
L'association, riche d'une collection de 2000 films, prend également en charge la diffusion de ce cinéma par le biais de projections hebdomadaires à Paris, de publications et de coproductions de cycles. Lightcone12 rue des Vignoles
75020 Paris
France
Tél : 33 (0)1 46 59 01 53
lightcone@lightcone.orgLes travaux de l'artiste Unglee sont représentés par la galerie Gaillard de Paris
Unglee Biographie galerie
© point to point studio
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