• THE ABRAMOVIC METHOD

    Exposition  PAC, Milan

    Prévu jusqu'en Juin 10, 2012, il s'agit d'un travail de Marina Abramovic développé à partir de ses trois dernières représentations et des expériences de travail qui ont profondément affecté sa perception en relation avec le public.

    "D'après mon expérience, acquise en quarante ans de carrière, je suis venu à la conclusion que le public joue un rôle important, je dirais cruciale, dans la performance" "Sans le public, la performance n'a pas de sens parce que, comme Duchamp a fait valoir, le public est là pour compléter l'œuvre d'art. Dans le cas de la performance, je dirais que public et les artistes ne sont pas seulement complémentaires, mais inséparables."

    Trailer video of the inauguration exposition Marina Abramovic 2012

    Giovanna Furlanetto et Marina Abramovic portait

    “Siamo felici di dare il nostro contributo alla realizzazione di questo progetto, perché molto legati a Marina, artista straordinaria e di grandissima qualità umana, e certi che la grande sensibilità di una regista come Giada Colagrande renderà il Metodo Abramovic fruibile ad un ampio numero di persone e le inviterà a riflettere” ha commentato Giovanna Furlanetto, Presidente della Fondazione Furla.

    «Nous sommes heureux de donner notre contribution à la réalisation ce projet, car très proche de Marina, artiste aux grandes qualités humaines exceptionnelle , et, certain qu'un metteur en scène de grande sensibilité comme Giada Colagrande va rendre "l'Abramovic méthode" accessible à un grand nombre de les gens et les inviter à réfléchir " Giovanna Furlanetto, Président de la Fondazione Furla.

     

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    The Museum of Modern Art, Marina Abramović: The Artist Is Present

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  • Marina Abramović : Art must be Beautiful, Artist must be Beautiful

    Extrait (fragment of movies) 1975 S/W Video, 14 min. 14 sec

    L'Art doit être Beau, l'Artiste doit être Belle : est l'une des premières réalisation de Marina Abramović conçue pour le cycle "libération", "Libérer le corps", "Libérer la parole", "Libération de la mémoire".

    "I brush my hair with a metal brush held in my right hand and simultaneously comb my hair with a metal comb held in my left hand. While so doing, I continuously repeat 'Art must be beautiful', 'Artist must be beautiful', until I have destroyed my hair and face." SIC : Marina Abramović

    "Je me brosse les cheveux avec une brosse métallique tenue dans ma main droite et un peigne métallique tenu dans ma main gauche. Tout en faisant cette action, je répète continuellement "L'art doit être beau - L'artiste doit être belle", jusqu'à ce que j'ai détruit ma coiffure et mon visage." SIC : Marina Abramović

    « L'art doit être beau, l'artiste doit être beau » réfléchit l'état mental qui peut être atteint par le biais de la multiplication outrancière d'un acte simple allant jusqu'à provoquer la douleur. Dans l'enregistrement vidéo de la performance original nous pouvons voir M. Abramovic peignant ses longs cheveux avec à deux mains tout en répétant "Art must be beautiful, Artist must be beautiful". Sa voix et son visage indiqueront la douleur qu'entraîne sa décision : se coiffer jusqu'à la destruction !

    Les gestes ordinaires répétés sur le visage, les phrases banales répétées par la voix sont des éléments banales de notre reconnaissance personnelle. Ces répétions favorisent notre hygiène morales et physiques pour persuader le fou, qui veille sur en chacun de nous, de sa capacité à être l'existant. François Truffaut dans son cinéma a pour exemple d'importance réalisé, la séquence de "Baisers volés" (1968) où, le héros scande devant son miroir les deux noms de celles qu'il est : Fabienne Tabard - Christine Darbon ; objet du possédé-obsédé jusqu'à ce qu'il renaisse par action de la transe : Antoine Doinel, celui qu'il est. La vidéo de Marina Abramovic diffère. Nous sommes son miroir. L'outil y est contrainte. La brosse et le peigne sont de métal. Le cadrage est plus serré. L'agressivité s'exprime. Le portrait visage-texte offrent une finalité : la dévastation de la protagoniste.

    Si, cinéma et vidéo, utilise la transe, pour nous faire partager les délires de chacun les deux médiums y exaltent une poétique différentielle : l'un celui de F. Truffaut laisse place à l'absurde, à l'incompris, l'inconnu, il nous offre une comédie. L'autre, celui de M. Abramović est message. Il positionne. C'est en utilisant la suffisance répétée des gestes d'entretiens qui ne peuvent perdurer en l'état premier*. Ici : la beauté, que l'artiste nous entraîne avec le visible du sujet souffrant en re-présentation de la figure astreinte à son histoire : une tragédie

      "Baisers volés" (1968) de François Truffaut

    Fabienne Tabard - Christine Darbon (Claude Jade & Delphine Seyrig) Antoine Doinel (Jean-Pierre Léaud)

    * (l'avant/touché - touch me before)

    Балканская примета-Balkan Erotic Epic

    MoMa artist is présent –

    Art must be Beautiful, Artist must be Beautiful Photos

    Extension S.P.to;P..

    Autoportrait 1988

    © studio point to point

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  • Jean-Pierre Loubat est photographe. Il exposera deux documents photographiques
    aux 2 + 2 place de la Calade de Nîmes à la Galerie From Point to Point du jeudi 07 au 21 novembre 2013.

    Jean-Pierre Loubat se pose devant les objets, les murs, les pierres, les arbres, les mains, les peaux … rencontres qui sont happées par le déclic d'une volonté pratique qui l'engage à saisir un temps, un cadre, une lumière, une position ; actions qui s'équilibrent dans l'instant du bruit sec. Rompant avec la disparition de l'étendue qu'il perçoit ; mouvements et arrêts sont les actions qui fixent ses images: photographie ; cerne de l'histoire des hommes.
     
     
    Vue Façade
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    Vue Exposition A
     
     
    Vue Exposition B
     

     
    Vue Interieur © Jp Loubat

    Exposition Supports Surfaces

    Longtemps je me suis couché de bonne heure

    Biographie Jean-Pierre Loubat Clique Ici

     Jean-Pierre-Loubat Photo

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  • Vito Acconci Portrait Miami 2012

    2012
    2012
     

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    The Red Tapes, Part 1 40'34"  Vito Acconci 1976 lire la video clique ici

    Vito Acconci apparaît tout au début les yeux bandés, puis fait disparaître son corps de performeur et les conditions des "exercises quasi-ESP", pour présenter un monde à travers différents médias : des photographies de paysages (prélevées directement dans un livre), d’immeubles, de voitures, d’un champignon atomique, des cartes des Etats-Unis, des saynètes d’objets miniatures (boutons, figurines en plastiques, petites voitures), des séquences en plan fixe sur des images abstraites architecturées par la lumière, des travellings dans des décors théâtraux sobres - des architectures à étages ou linéaires. L’image vidéo acquiert un rôle particulier lorsqu’elle est réduite à un écran gris utilisé systématiquement comme une césure. Associée aux variations et à la richesse du texte et de l’expression vocale et à une musique religieuse, elle est le lieu d’une théâtralité.
    Avec My Word, Vito Acconci de 1973-74 s’inscrivait dans un rapport à une biographie romancée et dans une réflexion introspective, tout en s’éloignant déjà du travail en Super 8 et des premières années de la vidéo, par l’élargissement du corps de l’artiste à l’espace de l’atelier et de la ville dans une sensibilité qui rejoignait les artistes américains de sa génération. Dans The Red Tapes, Vito Acconci élargit l’interrogation du moi pour entrer dans l’espace social et culturel, par la synthèse des connaissances acquises dans les travaux antérieurs.

    My Word,  Super 8mm film sur video, couleur 91"30' de Vito Acconci 1973-74

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    Vito Hannibal Acconci, née le 24 janvier 1940 à New York USA est un artiste Américain poète, designer, concepteur de paysage, architecte, performeur, photographe, vidéaste ; son travail s'inscrit dans l'expérimentation.

    House of cars, de Vito Acconci 1983

    Extrait de la conversation Vito Acconci avec Claude Gintz"… dans la mesure où elles n'étaient pas conçues pour un lieu particulier.

... et aussi ambigus en ce sens que si ces pièces étaient conçues pour être « utilisées » par les gens, elles auraient aussi bien pu être installées au dehors pour un public élargi, qu'à l'intérieur, dans un espace d'exposition pour un public qui les considère d'abord « en tant qu'art ".

    Pour moi, il faut prendre l'expression « espace public » dans son acception la plus littérale.

    1. II doit être « public », dans la mesure où il est utilisable, quelque chose comme de l'architecture ou du mobilier.

    2. « Public », dans la mesure où il est fait de conventions accessibles à tout le monde, connues de tous, parce que faisant partie de notre univers quotidien, comme la forme d'une maison ou d'une voiture.

    3. II y a une troisième signification du mot « public », et c'est sans doute celle qui est à la fois la plus importante et la plus difficile à obtenir. L'espace doit être public en ce sens que c'est un lieu de rencontres, de discussions et d'échanges. En d'autres termes, cela devient un lieu où bougent les esprits. 
Les deux premières conditions sont faciles. Mais un « espace public » peut-il réellement agir sur les esprits ? Peut-il faire fonction de questionnement ? Si les conventions m'intéressent autant, c'est qu'elle ne sont pas neutres. Ce n'est pas simplement par hasard si les vêtements pour les petites filles sont roses et pour les petits garçons, bleus. Cela a une signification, un rapport avec certaines formes de pouvoir sur lesquelles, précisément, reposent ces conventions. Et c'est évidemment ce qu'il y a de plus difficile..., parce que, même si je veux faire un travail qui exprime une résistance à ce pouvoir, la seule chose qui m'autorise à le faire, c'est que je fais partie de ce pouvoir. Si on me demande de faire quelque chose dans une ville, quelle est ma position ? Il y a une équivoque dans tout travail public : pour être acceptée, une proposition se doit, d'une certaine manière, de servir les buts de l'institution. 
Sinon, pourquoi diable en autoriserait-elle la construction ? Comment alors concevoir quelque chose qui serait contre l'institution, tout en pouvant être effectivement construit ? Je ne sais pas si c'est possible.

    Ainsi en revient-on à la question qui était de savoir - même si vous ne l'avez peut-être pas formulée exactement ainsi - si les propositions ne devaient pas exister seulement en tant que maquettes, parce qu'en tant que telles elles existent au moins en théorie, à défaut d'exister dans la pratique. "Vito Acconci, l'impossibilité de l'art public" 
Art Press, Paris, Février 1992.

      lire la suite ici>  Vito-Acconci-Travaux_Publics-Gintz-Claude-Point-to-Point-Studio.pdf

    Mobile Linear City

    Paul McCarthy & Mike Kelley "Fresh Acconci" 1995

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    Acconci Wikipedia

    Page Point to Vito Acconci 01

    Page Point to Vito Acconci 02

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  • Hand And Mouth de Vito Acconci


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    The Red Tapes part 02 57'51" de Vito Acconci 1977 lire video clique ici

    The Red Tapes La seconde partie évoque la relationalité temporelle et humaine. Le passé individuel est symbolisé par la pierre qu’on déplace, tel Sisyphe. Les rapports de l’individu à autrui sont mis en place successivement : la solitude (en prison), le couple, la camaraderie, la rue, l’amitié. Ce parcours se clôt sur une robinsonnade (un rapport du temps chronologique au vécu individuel dans un espace isolé et clos). L’idée d’un enfermement, à la fois temporel, spatial et affectif, domine.

    The Red Tapes is a three-part epic that features the diary musings of a committed outsider: revolutionary, prisoner, artist. The series offers a fragmented mythic narrative and a poetic reassessment of the radical social and aesthetic aspirations of the previous decade. Acconci maps a "topography of the self," constructing scenes that suggest both the intimate video space of close-up and the panoramic landscape of film space. The production of The Red Tapes involved painters and filmmakers Erika Beckman, Ilona Granet, Richie O'Halloran, Kathy Rusch, David Salle, and Michael Zwack. "I'm thinking of landscape in terms of movie-I'm forced then to treat landscape as a dream, myth, history of a culture. Thinking of person, close-up, in terms of video-I'm forced then to treat person on-the-spot news, convoluted soap opera."  Vito Acconci, 1976

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    Vito Acconci - Pryings (1971) from Desi Ramone on Vimeo.

    Vito Acconci - Open Book 1974

    Vito Acconci - Undertone 1972 extrait

    Vito Acconci

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  • Vito Acconci Remote control 1971

     

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    The Red Tapes, Part 3 44' 19" Vito Acconci, 1976 Clique ici pour voir la video

    The Red Tapes est une vidéo long métrage en trois parties enregistrées sur trois bandes distinctes et destinées à être vidéoprojetées sur un grand écran. Cette oeuvre est une synthèse complexe de la recherche artistique de Vito Acconci à partir de ses romans ou nouvelles, de sa poésie, des Following Pieces, des actions et performances, de ses films Super 8 et des vidéos. Elle expose la structure psychologique de l’individu, son rapport à autrui et à une culture déterminée. Vito Acconci entend aussi se placer au coeur de la problématique de la création par cette question existentielle : comment gérer la contrainte des attentes de la société et des formes de langage données (codes et conventions) sur l’individu ? Le titre même suppose des jeux de mots critiques, d'une part dans le rapport à l’expression américaine "red tapes" qui signifie paperasserie et formalité administrative, d'autre part avec la dominante sépia de la troisième bande et l'association de la couleur à l'idiome "voir rouge" et au sentiment de révolte.
    La première partie expose d’une part la structure du moi sous le concept de biographie bien qu’il n’y ait pas ici de récit d’un vécu personnel, d’autre part le rapport à l’histoire nationale américaine (par exemple, l'assassinat de Kennedy) et les réactions communes à la population exprimant le vécu collectif.
    La seconde partie évoque la relationalité temporelle et humaine. Le passé individuel est symbolisé par la pierre qu’on déplace, tel Sisyphe. Les rapports de l’individu à autrui sont mis en place successivement : la solitude (en prison), le couple, la camaraderie, la rue, l’amitié. Ce parcours se clôt sur une robinsonnade (un rapport du temps chronologique au vécu individuel dans un espace isolé et clos). L’idée d’un enfermement, à la fois temporel, spatial et affectif, domine.
    Dans la troisième partie, les références terrestres - le vent, le sable - et culturelles - légendaires, littéraires (Le Dernier des Mohicans) et socio-politiques (Miss America) insistent sur la prise de conscience de l’appartenance à une culture, de sa signification et de ses buts. La reconnaissance de l’identité américaine par l’individu et le groupe apporte une conclusion, sinon une fin à la problématique posée, et la vidéo se termine alors sur une longue séquence où Vito Acconci debout, en contre-plongée, clame dans un micro sur le ton de la revendication : "We found it"[Nous l'avons trouvé].
    Le biographique, le relationnel et la conscience de la culture forment les trois espaces concentriques de la création. L’émergence de la personnalité dans la troisième partie est posée en rapport dialectique avec la proposition de la première bande : l’immersion arbitraire du moi, par la naissance, dans une culture donnée.
    La diversité des langages utilisés, la fragmentation, la discontinuité, la spatialisation, l’entrelacement de différents codes et la distance entre le texte et l’image font de cette vidéo une sorte de labyrinthe.
    Le texte parlé évolue du monologue au dialogue construit d’une pièce de théâtre (dans la dernière partie). Le monologue est entrecoupé de leitmotiv, d’un choeur comme au théâtre : "We are the people"[Nous sommes le peuple.], de listes de mots, d’onomatopées contextualisantes et descriptives. La voix collective est alternativement symbolique de l’humain - par l’expression de sentiments et de fantasmes : "We had no country. We sailed away. How deep is the ocean ? How deep is the ocean ?" [Nous n'avions pas de pays. Nous avons voyagé sur les mers. Combien les profondeurs de l'océan sont insondables ! Combien les profondeurs de l'océan sont insondables !]- et de la culture américaine : "We told you to shape. We told you to form. We told you to build" [Nous t'avons demandé de donner forme. Nous t'avons demandé d'organiser. Nous t'avons demandé de construire]. Thérèse Beyler

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    seedbed Galerie Sonnabend de Vito Acconici 1972/73

    "In this legendary sculpture/performance Acconci lay beneath a ramp built in the Sonnabend Gallery. Over the course of three weeks, he masturbated eight hours a day while murmuring things like, "You're pushing your cunt down on my mouth" or "You're ramming your cock down into my ass." Not only does the architectural intervention presage much of his subsequent work, but all of Acconci's fixations converge in this, the spiritual sphincter of his art. In Seedbed Acconci is the producer and the receiver of the work's pleasure. He is simultaneously public and private, making marks yet leaving little behind, and demonstrating ultra-awareness of his viewer while being in a semi-trance state." - Jerry Saltz

    Vito Acconci

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