• Petite Vitrine, détail. Andrieu: Mappemonde 2012, Hardouin: Xmas Wrestler 2012, From Point to Point Galerie

    Pour voir le Père Noël la superstar de lutte. Le Monde posé à plat pour la pulvérisation de sa lumière. La lune plié en fusée pour le départ vers l'espace. Ainsi que les autres plasticités lier la fin de 2012 mondes et aux objets artistiques contemporains.
    Passer dans les petites suspend vitrine magasin entre 2 deux de la place de la Calade 30000 Nîmes F.


    To see the Father Xmas the superstar of fight. The Monde laid dish to for spraying of its light. The moon folded in rocket for the departure towards the space. As well as the other plasticities bind the end of the worlds 2012 and to the contemporary artistic objects.
    Pass In front the small showcase, in suspends between 2 two of the square of Calade 30000 Nimes F.

    Circonflexe: Spâtiale Concept  Point to Point Studio

    © studio point to point XXI

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  • Index XXVI , Tahhan Wall, 2011 - Artist, Walid Raad,  Photo Guy Mannes-Abbott, Point-to-point

    Né au Liban, à Chbanieh en 1967, de mère palestinienne et de père libanais, Walid Raad vit à Beyrouth et New York où il enseigne actuellement à la School of art Cooper Union. Son travail de vidéaste est une réflexion sur l’image possible de la réalité d’un pays en guerre. Depuis dix ans, il participe au projet The Atlas Group. Artiste plasticien travaillant particulièrement avec les médias et les nouvelles technologies, il a notamment réalisé Up to the South en 1993 et Missing Lebanese Wars en 1996 ou The dead Weight of a Quarrel Hangs (1996-1999).
    "The Atlas Group Project " exposition à la National galerie im Hamburger Bahnhof  à Berlin, (22 Sept 2006 – 7 Jan 2007). Ses performances et installations sont présentées sur les grandes scènes mondiales, comme la "Scratching on Things I Could Disavow", dOCUMENTA (13) de Kassel, Germande Kassel, Part II, où encore la Biennale de Venise. Walid Raad expose à la Paula Cooper Gallery de New York, USA, et à la Galerie Sfeir-Semler, Beyrouth de Lebanon,.

    Outer Compartments, détail, Walid, Raad Voir + click Here © W.R. point-to-point

    LE FUTUR ANTÉRIEUR : UNE PERSPECTIVE (AU SUJET DE WALID RAAD)

    Pour la première fois, j’ai visité une exposition avec un audioguide. C’était à l’occasion de Scratching on things I clik Here could Disavow: A history of art in the Arab world, conçue par Walid Raad au 104 à Paris, dans le cadre du Festival d’Automne 20101.

    Dans un premier temps, j’avais décliné la proposition du personnel d’accueil et m’étais retrouvé confronté, dans un espace sombre, à quatre situations esthétiques successives. Celles-ci étaient constituées, pour la première, d’une combinaison cartographique de réseaux artistiques, institutionnels et fi nanciers d’infl uence (Artist Pension Trust, Mutualart.com, nouveaux musées dans les Émirats...), pour la deuxième, d’un volume traité en plan reconstituant un espace muséal vidé de ses surfaces d’exposition et d’une projection en 3D, suspendue dans l’espace des murs vides d’un white cube, pour la troisième, de la maquette d’une galerie à l’intérieur de laquelle étaient collées des reproductions miniatures d’œuvres, et pour la quatrième, d’une cimaise arrachée avec, sur son recto, des vieilles coupures de presse relatives à un artiste libanais et une ligne d’écriture en arabe et, sur son verso, des échantillons monochromes issus de publications libanaises passées. Le tout semblait répondre à une organisation dramaturgique dont je n’avais pas les clefs, composée d’œuvres énigmatiques, d’apparence allégorique et dont la signifi cation précise m’échappait. Une dimension mélancolique dominait, entre le trop-plein des réseaux superposés, le vide des cimaises, la miniaturisation des œuvres et les ruines d’un passé récent, mais me manquaient des éléments d’articulation entre ces fragments pour saisir une possible signifi cation globale et précise.

    Loin de satisfaire cette attente, l’écoute de l’audioguide amena d’autres niveaux de complexité dans l’approche des œuvres et du dispositif d’exposition. Des histoires, dites en français par l’acteur libanais Carlos Chahine, ressortissant au genre du conte — bien que le je narrateur soit, pour deux histoires, iden-
    tifi é à Walid Raad, instillant préalablement l’idée, vite anéantie, d’une histoire vécue —, jouaient subtilement des registres et des conventions de la littérature paranoïaque. Face aux représentations d’espaces muséaux vides, le récit qui me fut conté évoquait la crise panique vécue par un visiteur, pris d’une soudaine conscience de “l’aplatissement du monde” lors de l’inauguration du premier musée d’art moderne et contemporain dans un pays arabe : “Ne rentrez pas ! Il n’y a qu’un mur !” s’écria-t-il à l’adresse de la foule qui attendait, avant d’être arrêté pour démence. Quant à la maquette, elle devint le support visuel du récit fantastique et traumatisant de la réduction au 1/100ème de leur taille originelle des œuvres de Walid Raad trauma fi ctionné qu’il aurait vécu lors de sa première exposition à la galerie Sfeiremler à Beyrouth en 2005. Face aux coupures de presse et aux écritures en arabe de la cimaise arrachée, le conteur rapportait que l’artiste y avait inscrit les noms de peintres libanais du passé moderniste récent sous la dictée télépathique des
    artistes libanais du futur, et qu’un critique d’art courroucé avait corrigé la faute d’orthographe affectant le nom d’un de ces artistes oubliés. Enfi n, au verso de cette cimaise, les échantillons imprimés de couleurs devenaient les documents témoins de couleurs “affectées” par les destructions guerrières, des rappels fragmentaires d’une tradition chromatique détruite2.

    Ces récits, que Chahine réitérait lors des performances live dans l’exposition et auxquels s’ajoutaient alors, et en premier lieu, celui de la découverte d’une nébuleuse de dispositifs fi nanciers destinés aux artistes et aux spéculateurs (le fonds de pension APT et le site Mutualart.com) — le seul récit vrai de bout en bout3, sont donc partie intégrante de l’exposition comme œuvre allégorique. Outre la perpétuation des questionnements de Raad en matière de sauvetage du désastre de rémanences d’un passé récent (noms, couleurs, documents...), qui caractérisaient son projet Atlas Group de 1989 à 20044, Scratching things... confronte ses visiteurs-auditeurs à des problématiques nouvelles et pesantes, en termes idéologiques et esthétiques, touchant à l’actualité et au devenir de l’art dans les pays arabes à l’heure où se montent des projets muséaux de vaste envergure dans les Émirats et où les artistes de ces pays se trouvent intégrés et sollicités dans et par les réseaux de l’art global (il existe un fonds APT basé à Dubaï). Enfi n, ce nouveau projet témoigne peut-être d’une évolution de la démarche de Raad, d’un art historien de l’art et critique d’art vers la peinture, vers le dessin. Du moins c’est ce que les échantillons de couleurs, de graphes et de formes laissaient envisager à la fi n de l’exposition, et ce que Walid Raad me confi a lorsqu’il évoqua, face à son dia- gramme cartographique des réseaux artistiques, institutionnels et fi nanciers d’infl uence, son désir de dessin. Il est à parier que son approche historique et critique de l’art et de l’histoire au Liban et dans les pays arabes nourrira ce projet. Tristan Trémeau lire la suite sur L'ART MEME NUMÉRO 51

    Walid Raad dOCUMENTA (13) VIDEO DOCUMENT

    Miraculous Beginnings - Whitechapel Gallery - Walid Raad, 2010 + An interview with Rachel Mapplebeck click Here, lecture by Walid Raad at Home Works III, Beyrouth 2005 Click here

    + d'infos

    Tristan Trémeau

    Paula Cooper Gallery New York

    Galerie Sfeir-Semler, Beyrouth de Lebanon

    WALID_RAAD_BIOGRAPHIE_.PDF

    Gulflabor org

    ART_MEME_51.pdf

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  • Pub A-M. Point to Point Studio

    L'ART MÊME, l'intéressante revue produite et éditée par la Communauté française de Belgique depuis 1998. Ayant pour but de soutenir la création contemporaine à Bruxelles et en Wallonie et d'en suivre les développements à l'étranger, d'aider les artistes dans leurs démarches vis-à-vis de l'institution, de les renseigner sur les opportunités s'offrant à eux, de diffuser et de promouvoir leurs activités, de répercuter leurs aspirations.

    Outre cette mission de soutien, renforcée par l'édition d'un multiple sous forme d'insert, véritable carte blanche offerte par la rédaction à un plasticien, et nonobstant l'éclairage donné sur les choix effectués en la matière par le Ministère de la Communauté française ainsi que sur les projets menés par l'administration, l'art même tente régulièrement un état de la question au départ de thématiques essentielles à la définition de l'art d'aujourd'hui et aux enjeux de demain de même que, ce faisant, induit sa propre lecture et ses propres engagements vis-à-vis d'une création actuelle abordée dans sa pluralité d'expressions.

    Chronique des arts plastiques de la Communauté française de Belgique
    Christine Jamart - Rédactrice en chef, Pascale Viscardy - Secrétaire de rédaction,
    Ministère de la Communauté française
    Direction générale de la Culture
    Service général du Patrimoine culturel et des Arts plastiques

    44, Boulevard Léopold II, 1080 Bruxelles,
    T. 32 (0)2 413 26 81/85

    ART-MEME-N° 55-pdf.pdf Édito
    Tandis que la prévalence du récit dans les pratiques curatoriales pousse celles-ci à emprunter naturellement aux formes littéraires et à leur séquençage par chapitres  interposés, du côté de la création visuelle assiste-t-on à une recrudescence de nouvelles formes de fi ctions esthétiques qui, hybrides et hétérogènes, spatiales et transdisciplinaires, bousculent défi nitivement les codes de la narration.
     Si l’apport de la littérature à la création visuelle est incontestablement prépondérant - que l’on songe ici aux bibliothèques d’artistes des 19ème et 20ème siècles sur lesquelles les historiens de l’art se sont penchés à l’envi ou, plus proche, à la mise en exposition par les artistes contemporains de leur répertoire bibliographique -, si leurs avancées conceptuelles respectives se sont entrecroisées à plusieurs reprises au cours de la modernité au travers de mouvements tels le cubisme et le surréalisme, l’art contemporain, dès la brèche ouverte par l’art conceptuel puis le développement de la vidéo et de la performance et plus récemment des nouveaux médias, n’a cessé de renouveler ses modes assignés de production d’histoires.
     Ainsi, alors que les écrivains semblent davantage enclins à prendre pour motif les ressorts de la création contemporaine et que se tient au Louvre l’exposition de Jean-Philippe Toussaint qui y livre de manière polysémique son univers romanesque, ce numéro propose une suite de réfl exions sur les nouages opérant entre littérature et arts visuels. Des nouvelles formes de fiction à l’oeuvre chez les artistes aux liens consubstantiels entre littérature et cinéma d’auteur magistralement incarnés dans l’oeuvre de Chantal Akerman à qui le Muhka à Anvers consacre une courte rétrospective, de l’étude du motif du désastre au coeur des couples Blanchot/Hantaï et Ballard/Warhol à celui de l’entropie qui, dans les années 60, nourrit et réunit science-fiction1 et minimal art, ce focus, loin de brasser l’étendue du sujet, convie le lecteur à quelques incursions en ces collusions fertiles. Christine Jamart - Rédactrice en chef

    + d'infos

    Sommaire et pdf des numéros de L'ART MÊME

    Lab au.com

    scopalto.com/revue/l-art-meme

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  • kya-kaak-ayk

    Jean-Adrien Arzilier

    Vendredi 30 novembre 2012 présente sa nouvelle réalisation sculpturale

    à la galeriefiatpanda. Vernissage à 18h30.

    Exhibition,
    Jean Adrien Arzilier presents his new sculpture. Opening Friday, November 30, 2012 at 18:30

    au 22 rue de la cavalerieà Montpellier, FrancePlan Click here

    Drawing Arzilier for GalerieFiatPanda 2012

     + d'infos

    Jean-Adrien Arzilier

    galeriefiatpanda

    From Point to Point Galerie

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  • Dhs Collectif

    DHS GROUPE, Exhibition, Montpellier in the night, Fine-Art School. Point to Point-Studio

    DHS veille 1. Feu

    « écran de veille » se propose d'exister lorsque l'exposition ne fonctionne plus, elle se superpose à elle qui n'en est plus une.

    DHS veille.

    DHS propose un écran en écho d'un réel (ici le feu) et le fait entrer comme veille de l'expostion.

    4 écrans de veilles pour toutes les nuits de quatre expositions prévue en 2012-2013 dans la galerie de l’ESBAMA.

    -« écran de veille 1 : feux » durant l’exposition du FRAC du 9 novembre au 21 décembre 2012.

    -« écran de veille 2 : veilleuse » durant l’exposition de la pièce de Francis Älys du 21 janvier au 28 janvier 2013.

    -« écran de veille 3 : DHSOS » durant l’exposition des anciens élèves de l’ESBAMA du 15 mars au 20 avril 2013.

    -« écran de veille 4 : croisière » durant l’expostion AnnLee du 23 mai au 13 juillet 2013.

    Les Beaux-Arts
    130 rue Yehudi-Menuhin
    34000 Montpellier

    Esma, École des Beaux Arts, Montpellier Projection DHS, Montpellier, Point-to-Point-Studio


    Exposition Jour
    Essaye encore une fois ! tu vas y arriver !

    (L'Àne musicien)
    Un des trois volets proposé par Patrick Perry

    Ce volet de l’exposition présente une série d’oeuvres évoquant la question des modèles ; ceux que l’on recopie, que l’on réinterprète, dont on transmet la mémoire.

    Artistes : Matthew Antezzo, John Baldessari, Étienne Bossut, Enna Chaton, Bert Duponstoq, Ann-Kathrin Feddersen, Filip Francis, Man Ray, Taroop & Glabel et Lawrence Weiner (Collection publique Freehold)

    130, rue Yehudi Menuhin, 34000 Montpellier Tel 04 99 58 32 85
    Du lundi au vendredi, de 15h à 19h – fermé les jours fériés – entrée libre

    + d'infos

    DHS exposition From Point to Point

    Plan Beaux Arts Sainte Anne


    © studio point to point XXI

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  • Drawing Room, peoples, Blanche, Françoise, Stephan dessinent avec Pierre Guilhem et Patrick Saytour.

    Drawing Room Regards étudiants Beaux-Arts Montpellier, Point to Point Studio

    Roven Revue Dessins. Stand. Carré Saint AnneAnnie Guiraud photo Drawing Room Montpellier

    Florent au Carré art, Sainte-Anne, Montpellier. Drawing-Room Point to Point Studio

    Drawing Room: Public People Point to Point Studio

    Drawing Room, Segers Hans. A G Point to Point Studio

    r

    Drawing Room, Montpellier, Reno penche. Annie Guiraud photo Point to Point Studio

    Drawing Room. Regard oblique cheveux en queueAnnie Guiraud photo Point to Point Studio

    Drawing-Room, MIchael Viala, Guillaume Moschini, Alex Giroux. Point to Point Studio

    Drawing Room, Christian Laune à dessein. Point to Point Studio

    Drawing Room. Sourires de stage. Point-to-Point-Studio.

    DrawingRoom Montpellier, Ô la bonne Heure. Point to Point Studio

    Sérieux vernissage au Drawing Room. Annie-Guiraud Point to Point Studio

    "Au Carré. C'est plein !" Vernissage Drawing Room. Foule. Annie-Guiraud Point to Point Studio

    Drawing Room Salon du Dessin, Isabelle Grasset, et les hommes. Point to Point Studio

    Drawing Room: Dominique Thévenot & a woman. Annie-Guiraud Point to Point Studio

    Drawing Room, On y danse au salon du dessin Montpellier. Stand Gourvennec Ogor-GalerieGo.

    Abdelkader Benchamma, Christian-Laune au Saloon Room of the Drawing Room in Montpellier

    Elina Ioannou, Galerie ChantiersBoiteNoire Drawing Room Exposition Exposition Dessin

    Isabelle Viallat Vite, La VigieJean-Paul Guarino, Vasistas Galerie et Sylvie Guiraud Iconoscope s'entretiennent.

    Pas facile de comprendre sa maison. Dessin Bernardet Thomas, Drawing Room Point-to-Point-Studio

    Public-Art & Girl, Montpellier. Salon Drawing-Room.Point to Point Studio

    Drawing Room, Salon de Dessin, Ami Brak Benjamin Monti, C HD Art Production. Point to Point Studio

    Drawing Room Montpellier, END Point to Point Studio

    page qui court © studio point to point XXI 

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  • Drawing Room Meubles  

    Drawing Room Décor

    Drawing Room, Salon du Dessin - Project Room Compagnie. Point to Point Studio

    Drawing Room Dessin, Carlijn Mens. Point to Point Studio

    Marie Ducaté et Seb Jarnot

    Seb Jarnot

    Jm Andrieu, M.Ducate, G. Moschini, S. Jarnot, L. matons #Carré Art Sainte-Anne Montpellier.

    Marc, Willis, Carlijn Mens, Guillaume Moschini. Point-to-Point Studio.

    Valparess, Jean-Marc Andrieu, Hardouin, Marie Ducaté, Point-to-point-studio

    Drawing room Valparess

    Marc Willis, Andrieu, Caillol, Drawing-Room, Carré, Sainte-Anne, Montpellier

    Promenade du dessin de Jarnot. A-Guiraud, Photo-Point-to-Point-Studio

    "Sculpture Peinture Tapis" de Patrick Saytour & Claude-Viallat. 

    présentation Jean-Adrien ArzilierThomas Bernardet, ... From-Point-to-Point-Studio

    Thomas Bernardet, Stephan le Belge, Jean-Marc Andrieu, Philippe.   © AJM/PP point to point Studio

    Thomas Bernardet, stephan, Jean-Marc Andrieu, Seb Jarnot, Carlijn Mens, Adrien, Pierre Guilhem, Philippe, point to point Studio

    Accrochage premier jour ; au Drawing Room Montpellier Stand From Point to point

    Vernissage Mercredi 21 en soirée


    Carlijn Mens, and Adrien


    Vue Dessins, Art, Drawing Room Salon, Point-to-Point

    Arzilier-Ducaté-Bernardet-Guilhem-Moschini-Jarnot-Point-to-Point-Studio

    Hardouin dessin/sculpture End for show room Montpellier 2012

    Photographies à suivre

    SHAKUHACHI - Musiciens : Hukuda Teruhisa et son épouse Kineya Shiho. 1975

    page qui court © studio point to point XXI

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