• Africa continent

    America continent

    Asia Continent

    Australia Continent


    Antartica Continent

    Europe Continent

    Ce travail qui n'avait, en le désolidarisant de son contexte pratique, qu'intention de re-jouer l'absurde "image" d'une surface, de protection ; trouve, avec "ho ! haaa", le 6e concours artistique de la CCI Marseille Provence, une prétention artistique et culturelle à considérer pour la réalisation d'un présentable à venir : l'exposé.

    C'est l'expression de la demande publique via la Chambre Commerce et Industrie Provence Côte d'Azur reçut ce jour qui déterminerait la mise en œuvre de l'objet qu'elle contraint à révéler. Ainsi la réalisation pour l'exposition serait déterminée auprès des citoyens marseillais qui œuvreraient selon les soins et qualités qu'ils prendront à développer ou pas à partir du référent présent ici et de son cahier des charges pour réaliser des formes dans un temps et une économie - "limités-il-limité".

    L'action photographiée, du post-déballage protecteur associé aux mots continents engageraient des partenaires entreprenants à une adaptation du sujet selon leur ambition ; le travail serait effectif pour l'exposition sous forme de documents-copies (numérique-videographique-objectalographique et autres volontés d'entreprise) dans l'épaisseur de la norme du 200 X 180 cm. maxi.

    Incontinences Cévenoles Documents

    + infos

    Le concours artistique et son prolongement, l’exposition publique, sont ouverts à tout artiste confirmé : peintre, plasticien, sculpteur, photographe ou vidéaste.

    Les candidats devront remettre une œuvre répondant aux critères d’originalité, d’esthétique, de qualité et d’innovation technique et technologique pour évoquer l’Economie du territoire Marseille Provence.

    Les œuvres devront être l’expression d’une créativité particulière entre l’artiste, la matière ou les composants utilisés, la mise en œuvre de techniques existantes ou innovantes, d’échanges et de coopérations avec les entreprises, à l’instar des « Ateliers de l’Euroméditerranée » emblématiques de Marseille Provence Capitale Européenne de la Culture 2013.

    Par Economie, on sous-entend la représentation du monde du travail, les entreprises, les nouvelles technologies, les réalisations collectives, publiques ou privées, le patrimoine économique et culturel, les secteurs du commerce, de l’industrie, des transports et des services, le tourisme et l’aménagement du territoire.

    Le Jury officiel, composé de représentants de la CCI Marseille Provence, de professionnels des milieux artistiques et culturels, de personnalités qualifiées, choisira les deux ou trois œuvres lauréates parmi celles-ci.

    Plus réglement télécharger Ici

    Le concours artistique et son prolongement, l’exposition publique, sont ouverts à tout artiste confirmé : peintre, plasticien, sculpteur, photographe ou vidéaste.

    Les candidats devront remettre une œuvre répondant aux critères d’originalité, d’esthétique, de qualité et d’innovation technique et technologique pour évoquer l’Economie du territoire Marseille Provence.

    Les œuvres devront être l’expression d’une créativité particulière entre l’artiste, la matière ou les composants utilisés, la mise en œuvre de techniques existantes ou innovantes, d’échanges et de coopérations avec les entreprises, à l’instar des « Ateliers de l’Euroméditerranée » emblématiques de Marseille Provence Capitale Européenne de la Culture 2013.

    Par Economie, on sous-entend la représentation du monde du travail, les entreprises, les nouvelles technologies, les réalisations collectives, publiques ou privées, le patrimoine économique et culturel, les secteurs du commerce, de l’industrie, des transports et des services, le tourisme et l’aménagement du territoire.

    Le Jury officiel, composé de représentants de la CCI Marseille Provence, de professionnels des milieux artistiques et culturels, de personnalités qualifiées, choisira les deux ou trois œuvres lauréates parmi celles-ci.

    - See more at: http://www.ccimp.com/concours-artistique#sthash.SdSLzEJK.dpuf

    Le concours artistique et son prolongement, l’exposition publique, sont ouverts à tout artiste confirmé : peintre, plasticien, sculpteur, photographe ou vidéaste.

    Les candidats devront remettre une œuvre répondant aux critères d’originalité, d’esthétique, de qualité et d’innovation technique et technologique pour évoquer l’Economie du territoire Marseille Provence.

    Les œuvres devront être l’expression d’une créativité particulière entre l’artiste, la matière ou les composants utilisés, la mise en œuvre de techniques existantes ou innovantes, d’échanges et de coopérations avec les entreprises, à l’instar des « Ateliers de l’Euroméditerranée » emblématiques de Marseille Provence Capitale Européenne de la Culture 2013.

    Par Economie, on sous-entend la représentation du monde du travail, les entreprises, les nouvelles technologies, les réalisations collectives, publiques ou privées, le patrimoine économique et culturel, les secteurs du commerce, de l’industrie, des transports et des services, le tourisme et l’aménagement du territoire.

    Le Jury officiel, composé de représentants de la CCI Marseille Provence, de professionnels des milieux artistiques et culturels, de personnalités qualifiées, choisira les deux ou trois œuvres lauréates parmi celles-ci.

    - See more at: http://www.ccimp.com/concours-artistique#sthash.SdSLzEJK.dpuf

    Notes: maquette de travail, douze documents. Page qui court © studio point to point XXI°

    Partager via Gmail Yahoo! Blogmarks Pin It

  • Given Six States of ID By RvG

    + Infos

    Bad Influence - Mauvaise Influence 02/07-9

     

    Images Given 6 States Of ID

    © Point to point Studio XXI°

    Partager via Gmail Yahoo! Blogmarks Pin It

  • Raymond Depardon avait raison pour la photo: " C'est son bras gauche qui est bien trop court ! "

    Et. Sans restaurer la guillotine, sans en faire un eunuque, sans sourire sur sa couleur capillaire ; les 1 676 0581,13 de mécontents qui l'ont élu pourraient-ils, " s'il vous plaît ", avancer, chacun, un bâton pour le chasser  du terrain ; avant, qu'il ne joue la touche pour se conhabitationner aux truandailles de l'autre.

    courte page  © Point to Point Studio XXI°

    Partager via Gmail Yahoo! Blogmarks Pin It

  • Chère consœur, cher confrère,

    Nous sommes en lutte pour nous opposer à la réforme de l'assurance chômage qui va durcir les conditions auxquelles nous sommes soumis depuis 2003. Cette réforme ne doit pas entrer en application, il faut tout faire pour l'empêcher et cela te concerne.
    François Rebsamen, ministre du travail, de l'emploi et du dialogue social, s'apprête à agréer l'accord inique conclu entre le MEDEF, la CGPME, l'UPA, la CFDT, la CFTC et FO qui définit les nouvelles règles d'assurance chômage. Tous les métiers relevant des annexes 8 et 10, artistes et techniciens du spectacle vivant, de l'audiovisuel et du cinéma, sont en danger immédiat. L'accord menace également les 25,3 millions de salariés qui risquent un jour ou l'autre d'être confrontés au chômage. Chacun d'entre nous, nos famille, nos amis peuvent être touchés par cet agrément.
    Pour les annexes 8 et 10, la réforme met en place un nouveau différé d'indemnisation. En plus de la période de carence d'une semaine déjà existante pour le traitement des dossiers, s'ajoute un « différé » d'une moyenne d'un mois pouvant aller jusqu'à 3 mois (!) entre l'ouverture des droits et le début de l'indemnisation. Ce système est doublement pervers: pendant cette période, l'intermittent sera privé de toute ressource s'il n'a pas de contrat. Tout travail effectué avant épuisement du différé d'indemnisation ne sera pas comptabilisé et reportera d'autant le paiement de son allocation.
    Proportionnellement, cette mesure frappe plus brutalement les faibles et moyens salaires. Un différé d'indemnisation existait depuis 2003 mais ne touchait que les plus gros revenus. On passe de 9% de personnes concernées à 48%, ce qui permet à Rebsamen d'annoncer crânement que 52% des intermittents sont épargnés ! Aurélie Filippetti trompe les français quand elle prétend que ce problème est résolu, comme elle nous a trompé quand elle a dit avoir sauvé les annexes : la première version du texte frappait le salarié à partir de 750 € par mois, ce seuil est relevé autour de 900 €. La belle affaire ! La trahison de la vérité semble être le prix consenti pour tenter de sauver une saison de festivals!
    Non seulement la réforme UNEDIC fragilise les revenus, mais elle doit abouti à une exclusion massive! Les cotisations augmentent, ce qui freinera l'emploi. L'âge d'accès à la retraite est reculé de 2 ans sans dispense de recherche d'emploi, plaçant nos collègues les plus âgés sous la menace permanente d'une radiation de l'assurance chômage. Les partenaires sociaux exigent (!) que le ministère réduise drastiquement la liste des métiers relevant de l'intermittence d'ici décembre. Les techniciens sont directement ciblés: des dizaines de métiers basculeront dans le régime général.
    Ce accord est une forfaiture! Si Rebsamen signe, l'UNEDIC échappera à tout contrôle gouvernemental ou parlementaire. Il sera possible d'à peu près tout changer (cotisations, allocations, condition d'accès, durée d'indemnisation...) sans avoir de compte à rendre à qui que ce soit.
    Cette réforme n'est pas inéluctable. Nous avons fait des propositions chiffrées qui sont systématiquement ignorées. Il est possible de concilier un meilleur accès aux droits, plus de justice et d'équité avec de réelles économies pour l'UNEDIC. Ces propositions ont été signées par François Rebsamen candidat aux municipales, signature reniée avec aplomb par le ministre Rebsamen.
    Par la réforme et l'instauration des droits rechargeables, le MEDEF étend la précarité à tous les salariés. Les secteurs précaires, qui font exception au droit du travail, doivent disparaître. Les premières attaques contre l'intermittence datent de 12 ans. Les saisonniers ont basculé au régime général en 2011. Les intérimaires sont massacrés par la réforme de 2014. Il faut empêcher la poursuite de cette casse !
    L'échéance approche avec une mise en application de la réforme prévue le 1er juillet. Ce calendrier serré ne tiendra pas si nous nous mobilisons! Nous pouvons, nous devons les faire échouer. Si le conflit mène à la grève, il faudra qu'elle soit massive non seulement pour gagner ensemble, mais aussi pour éviter qu’elle n'aboutisse à à des représailles et la constitution de listes noires. Tout en respectant ton droit au travail sans entrave, nous en appelons à ton sens des responsabilités.


    Coordination Nationale des Précaires, Intermittents, Intérimaires et Chômeurs.

    CIP-IdF / Commune Libre d’Aligre - 3 rue d’Aligre - 75012 - Paris

     Nos propositions ?

    Le comité de suivi propose un modèle alternatif, qui est notre plateforme de revendication.

    1. Retour à la date anniversaire (période de 12 mois) avec maintien des 507 heures et l'abandon de la période glissante
    2. Fusion des annexes 8 et 10 en une annexe unique pour les artistes et les techniciens
    3. Plafonnement des indemnités sur la base d'un plafond des revenus (salaires+indemnités) au
    niveau du plafond mensuel de la sécurité sociale (3 129 euros)
    4. Meilleure prise en compte des arrêts maladie et des congés maternités 5. meilleure intégration des heures régime général et notamment des heures d'enseignement.

    Ces mesures ont été chiffrées par 2 chercheurs, Mathieu Grégoire et Olivier Pilmis dans une étude commandée par le SYNDEAC: elles permettent une économie pouvant atteindre 180 millions d'euros et occasionneraient une augmentation d'un peu moins de 4% du nombre d'intermittents. Elles diminueraient la précarité (passage par des périodes de RSA par perte de droit à allocation) des intermittents de 70%.

    Le régime des intermittents du spectacle est-il trop coûteux, trop avantageux et miné par les abus en tous genres ? Tels sont les principaux arguments du patronat pour défendre l'accord, signé par la CFDT, FO et la CFTC, qui durcit le calcul des indemnités chômage. Des arguments que balaient les intermittents, données à l'appui. Pour y voir plus clair, francetv info démêle quatre batailles de chiffres qui opposent les détracteurs de ce statut et ceux qui le défendent.

    Les intermittents plombent-ils vraiment les comptes de l'assurance chômage ?

    OUI. Selon la Cour des comptes, le déficit du statut des intermittents du spectacle représente chaque année environ 1 milliard d'euros. En 2010, cette somme représentait un tiers du déficit global de l'assurance chômage. En 2011, ce déficit équivalait à presque les deux tiers du déficit global. Or, seules 108 000 personnes sont indemnisées sous ce statut, soit 4% de la totalité des demandeurs d'emploi indemnisés. Pour les détracteurs de ce système, il est inconcevable qu'une si petite part des allocataires de l'assurance chômage soient responsables des deux tiers du déficit.

    NON. La position de la Cour des comptes a été battue en brèche par un rapport parlementaire publié en avril 2013. Son auteur, le député PS Jean-Patrick Gille, qui a récemment été nommé médiateur pour tenter de trouver une solution au conflit, a identifié un biais méthodologique dans le calcul des Sages.

    Car, en admettant que le statut des intermittents soit supprimé, ces derniers bénéficieraient du régime général. L'Unedic a calculé que, dans une telle hypothèse, l'assurance chômage économiserait environ 420 millions d’euros. Mais dans le même temps, elle se priverait de 100 millions d'euros de cotisations, celles-ci étant plus élevées dans le régime des intermittents. Autrement dit, le statut spécifique des intermittents du spectacle ne coûte "que" 320 millions d'euros. Un chiffre bien moins impressionnant que le milliard d'euros évoqué par la Cour des comptes.

    Sont-ils des privilégiés ?

    OUI. Les règles de calcul des indemnités chômage des intermittents, qui sont amenés à alterner périodes de travail et périodes de chômage, sont bien plus favorables que celles du régime général. Les artistes et techniciens du spectacle qui ont travaillé plus de 507 heures sur une période de 10 mois et demi (10 mois pour les techniciens) peuvent bénéficier d'une indemnisation pendant 243 jours (8 mois) les jours où ils ne travaillent pas, calculée sur la base des salaires perçus et du nombre de jours travaillés.

    Dans un rapport de février 2012 (PDF), la Cour des comptes a tenté de comparer le régime des intermittents avec celui des intérimaires, qui sont eux aussi confrontés à une alternance de périodes de chômage et d'activité. Le verdict des Sages est sans appel : le premier est largement plus favorable. Avec un salaire brut de 1 500 euros par mois, un intérimaire pourra prétendre à une indemnité totale de 3 848 euros, contre 9 088 euros pour un intermittent.

    NON. Les défenseurs du statut des intermittents mettent en avant la précarité à laquelle font face les travailleurs du monde du spectacle. En 2009, 70 à 80% des artistes du secteur de l’audiovisuel ou de celui du spectacle vivant occupaient un emploi à durée limitée, selon le rapport parlementaire de Jean-Patrick Gille. C'était aussi le cas de 45% des techniciens de ces secteurs. Tandis que l’emploi à durée limitée ne concernait que 13% de l’ensemble des actifs. Quant au revenu annuel des intermittents (salaires et indemnités chômage confondus), il s'établissait en 2011 à 27 867 euros, composé à 58% de salaires et à 42% d'allocations chômage. "Ces professionnels sont placés dans une situation de risque professionnel permanent et leurs conditions matérielles d’emploi se caractérisent par une incertitude extrême, inhérente aux projets créatifs", souligne le rapport.

    Y a-t-il plus d'abus que dans les autres secteurs ?

    OUI. "Pourquoi chercher un CDD ou un CDI quand je gagne deux fois plus en travaillant deux fois moins avec l’intermittence ?" s'interroge un syndicaliste cité par Les Echos. "Si entre deux missions sur des spectacles, ils ne travaillent pas, c’est qu’ils ne veulent pas, pas qu’ils ne peuvent pas, le tout aux frais de l’Unédic", critique un autre.

    Autre abus répandu : la "permittence". Selon la Cour des comptes, cette pratique consiste, pour un intermittent du spectacle, à travailler "de manière permanente ou quasi permanente pour un seul employeur", dévoyant ainsi la finalité de ce statut. Le système est doublement avantageux : le salarié perçoit des indemnités chômage beaucoup plus élevées, et accepte donc que son employeur lui verse un salaire plus faible. Dans son rapport de 2007, la Cour estimait que cette pratique concernait au moins 15% des bénéficiaires du régime.

    NON. L'Unédic a une définition sensiblement différente de la "permittence", désignée comme le fait de travailler au moins 900 heures (soit six mois à temps plein) pour le même employeur. Selon ses chiffres, cités par le rapport Gille, cette pratique concernait, en 2009, 5,9% des techniciens et 2,4% des artistes. "On est typiquement dans les chiffres habituels des fraudes aux prestations sociales", commente la Coordination des intermittents et précaires d'Ile-de-France (CIP) dans une vidéo.

    L'accord signé est-il équitable ?

    OUI. Selon l'Unédic, l'accord signé en mars par les partenaires sociaux (la CGT, majoritaire chez les intermittents, n'est pas signataire) poursuit un but "d’équité et d’effort partagé". Cet accord crée d'abord un plafond de 4 381 euros brut pour le cumul entre l'allocation et le salaire. Selon l'Unédic (PDF), seuls 6% des intermittents – ceux qui ont les revenus les plus élevés – seront touchés par cette mesure.

    Deuxième mesure phare : l'accord instaure un différé d'indemnisation, ce qui signifie que le point de départ de l'indemnisation sera repoussé proportionnellement au salaire perçu. Cette règle ne s'applique qu'aux bénéficiaires dont la rémunération horaire est supérieure à 16 euros (1,68 smic). L'Unédic précise ainsi que plus de la moitié des intermittents du spectacle ne seront pas touchés par cette mesure.

    NON. Pour les représentants des intermittents, la mise en place du différé d'indemnisation est inacceptable. "Un différé d'indemnisation existait depuis 2003 mais ne touchait que les plus gros revenus. On passe de 9% de personnes concernées à 48%. Proportionnellement, cette mesure frappe plus brutalement les faibles et moyens salaires", estime la CIP.

    Par Ilan Caro


    + Infos

    http://www.cip-idf.org/

    © studio point to point

    Partager via Gmail Yahoo! Blogmarks Pin It

  • Voyance 17 rue Fernand Pelloutier, à droite du CCAS et Du NHS, tout près de l'annexe CMDAD

    + Infos

    Né à Paris le 1er octobre 1867, Fernand Pelloutier, fut un militant syndicaliste révolutionnaire socialiste et libertaire. Secrétaire général, en 1895, de la Fédération nationale des Bourses du Travail, il est une des grandes figures du syndicalisme et de l'anarchisme français au XIXe siècle. Lire plus Biographie clique Ici

    Exemple lettre aux anarchistes > Je serai bref : l'espace m'est mesuré, et d'ailleurs les paroles que je vais dire trouvent une illustration parfaite en la personne de propagandistes comme Malatesta, qui savent si bien unir à une passion révolutionnaire indomptable l'organisation méthodique du prolétariat.

    .../... Actuellement, notre situation dans le monde socialiste est celle-ci : Proscrits du «Parti» parce que, non moins révolutionnaires que Vaillant et que Guesde, aussi résolument partisans de la suppression de la propriété individuelle, nous sommes en outre ce qu'ils ne sont pas : des révoltés de toutes les heures, des hommes vraiment sans dieu, sans maître et sans patrie, les ennemis irréconciliables de tout despotisme, moral ou matériel, individuel ou collectif, c'est-à-dire des lois et des dictatures (y compris celle du prolétariat) et les amants passionnés de la culture de soi-même. ..../... Lire texte complet clique Ici

    © studio point to point

    Partager via Gmail Yahoo! Blogmarks Pin It

  • Lire six affaires en cours pour NS, le monde décodeur clique ici

    L'ensemble de la presse nationale française blâme les agissements de Nicolas Sarkozy dont six affaires:  L'affaire B. Tapie - l'affaire Karachi - l'affaire du financement libyen - l'affaire des écoutes téléphoniques - l'affaire Bettencourt - les sondages de l'élysée - Actuellement en instruction auprès des instances judiciaires.

    Citons pour exemple des extrait de l'article du quotidien le Figaro du 19-03/2014 >> Les révélations du jour étayent les accusations de trafic d'influence portées à son encontre par Le Monde le 7 mars. Selon les éléments publiés par Mediapart, Gilbert Azibert, haut magistrat à la Cour de cassation, informait l'ex-président et son avocat Thierry Herzog de la procédure judiciaire concernant les agendas de Nicolas Sarkozy. Et selon les mêmes éléments, le même Gilbert Azibert a plaidé la cause de Nicolas Sarkozy auprès de trois conseillers de la Cour de cassation, en contrepartie d'une promesse d'appui pour être lui-même nommé conseiller d'Etat à Monaco. La menace d'une inculpation pour trafic d'influence est donc tout à fait réelle.

    La mort politique de Nicolas Sarkozy?
    Oui, c'est potentiellement la mort politique de Nicolas Sarkozy. Plus les épées de Damoclès politico-judiciaires tombent sur sa tête, plus Nicolas Sarkozy apparaît comme un candidat trop dangereux pour la droite en vue de 2017, du fait du risque très élevé de mise en examen voire de procès courant 2016. Extrait de l'article de Thomas Guénolé Le figaro 19/03/2014 Lire Plus clique Ici


    Trafic d'influence : Mediapart révèle des... par lemondefr

    Voir aussi I tele.fr clique

    écoutes-elles-depassent-tout-ce-que-lon-pouvait-imaginer

    Médiapart > la droite ne sait plus quoi dire

    Rue89, Nouvel Obs > Écoutes Sarkozy va encore oser parler complot-juges

    lexpress > Comment Sarkozy a essayer d'éviter les ecoutes telephoniques

    La Croix > article à lire ici les écoutes de Nicolas Sarkozy

    © studio point to point

    Partager via Gmail Yahoo! Blogmarks Pin It

  • Et les caméras ?

    De la défense 

    Mais encore ?

    De la dépense

    Allez !?

    Au XX° siècle, l'outillage de protection d'un pays est passé des concaves de la ligne Maginot, à des convexes à l'objectif zéro. C'est l'une des fantasmagories nationalistes qui occupe les majorités dirigeantes depuis des générations. Avec ses modèles de contrôle que ce soit, dans les grandes profondeurs de 1940, ou, pendus à de superficielles certitudes - aujourd'hui comme hier on en sera toujours les "défoncés" de l'histoire.


    + d'infos

    Un rapport d’information du Sénat, à l’initiative de Jean-Vincent Placé, sénateur EELV, tire la sonnette d’alarme sur le coût exorbitant de la vidéosurveillance en France. Près de 133,6 millions d’euros ont été délivrés par l’Etat depuis 2007 pour équiper les villes de France, hors Paris. La capitale bénéficie d’un traitement de luxe. Le dernier plan de vidéoprotection, mis en œuvre en 2011, prévoit un dispositif de 1105 nouvelles caméras pour la modique somme de… 200 millions d’euros.

    les caméras de vidéosurveillance permettent, en moyenne, une arrestation par caméra et par année

    > Lire article Blog le Monde <

    Des enquêtes de délinquance autorévélée qui démentent l’augmentation de la délinquance des mineurs

    > Lire Article L’évolution de la délinquance des mineurs de Laurent Mucchielli <

    La politisation des «chiffres de la délinquance» à l'échelon local "Nimes"

    > Lire article <

    Vidéo très chère mais peu éfficace

    > Article Clique Ici <

    > video surveillance historique wikipedia  <

    © studio point to point

    Partager via Gmail Yahoo! Blogmarks Pin It




    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique