-
Par L M le 31 Octobre 2016 à 11:44
Steven Le Priol Sculpture.
Steven Le Priol expositon point to point from Sébastien Casino & Cyndie Olivares. Video viméo
… rapport à l'anecdote, à la référence ; rapport à ce que j'aime. ; à des pièces a priori un peu piège si l'on s'attache à décrypter l'image telle qu'elle est présentée, elle parle d'autre chose souvent plus grinçant. xic video Steven Le Priol. Voilà…/…
Vue exposition de Steven Le Priol.
+ Infos
Steven Le Priol images Galerie
Steven Le Priol image volante du Facebook de Steven
Steven Le Priol montage exposition
Steven Le Priol Trailer Exposition
Steven Le Priol en un deux trois mouvements
Steven Le Priol web site artiste
Steven Le Priol vidéo Casino Sébastian
-
-
Par L M le 18 Juillet 2014 à 03:17
La lune vue de la télévision il y a 45 ans. Le 20 juillet 1969
+ INFOS
-
Par L M le 25 Mars 2014 à 12:04
Vincent Moon Photo R.Brmalj
Né le 25 août 1979 à Paris, Vincent Moon, est un réalisateur français indépendant de films musicaux. Il fut le réalisateur principal des Concerts à Emporter de La Blogothèque de 2006 à 2009, un projet exclusivement pensé pour internet de films musicaux en situation, le plus souvent en extérieur, dédié à la musique indie-rock ainsi qu'à des musiciens plus connus comme R.E.M., Tom Jones ou Arcade Fire. De 2009 à 2013, Moon a parcouru le monde une caméra dans son sac à dos, pour sa collection Petites Planètes, documentant les rituels religieux, la musique sacrée, et les folklores locaux. Il travaille seul ou avec l'unique assistance des populations locales, et la plupart du temps sans argent engagé dans ses projets, en essayant de produire ses films sans suivre les schémas établis de l'industrie cinématographique. Il partage tout son travail, films et enregistrements musicaux, gratuitement sur internet, sous licence Creative Commons. Lire article wikipedia
LES PRÉVISIONS ØØØØØØ 1 ØØØØØØ from Vincent Moon / Petites Planètes
Formation/Pocket Films : Quel est ton parcours ? Mathieu Saura : J’ai fait une fac de cinéma à la sortie du lycée, un peu par hasard. À 18 ans, je ne connaissais rien à rien. À la fac, j’ai eu une prise de conscience et je me suis dit : « et si je connaissais tout ? ». Du coup, pendant six, sept ans, j’ai essayé de tout connaître. Au début, je n’étais pas motivé pour faire des films et puis je suis rentré dans un processus créatif à travers la photo. J’ai fait un atelier à Montreuil : l’atelier Réflexe. J’ai vraiment commencé à réfléchir sur moi à ce moment là. Je me foutais un peu de la technique, j’avais en tête des photographes à l’influence écrasante comme Michael Ackerman et Antoine D’Agata. J’ai commencé la photo lorsque ces deux photographes ont été découverts. Ces photographes n’ont pas un parcours classique. Cela m’a beaucoup marqué.
Après l’atelier, j’ai continué à faire de la photo pendant quatre, cinq ans. Plus je faisais de la photo, plus ma fascination pour le cinéma resurgissait. Je ne sais pas d’où cette fascination venait, ni quels sont les premiers films qui m’ont marqué. La photo m’est toujours apparue comme un moyen un peu bâtard de faire du cinéma. Je faisais du cinéma à travers la photographie, toujours dans une pratique très amateur. J’aime la pratique amateur. Car pour moi l’amateur c’est avant tout celui qui aime ce qu’il fait. J’ai toujours repoussé toute les tentatives professionnalisantes.
Je me suis mis a la vidéo il y a un an et demi, au moment ou je me suis vraiment intéressé aux nouvelles technologies. A ce moment là, je me suis décidé à monter mon site web, je le voyais comme un portail de création. Ce portail me permettait d’avoir un retour rapide sur ce que je faisais. Je cherchais aussi un moyen d’aborder le cinéma. Ce site web, c’était vraiment pouvoir « exposer » des travaux vidéos et avoir un retour critique rapide dessus. Ce type de retours modifie vraiment en profondeur la façon de créer. Ça peut être aussi des retours sur des choses en train de se faire. J’ai souffert pendant longtemps de travailler dans mon coin. Au début, je gardais pour moi mon travail, je le cachais. J’avais très peur de le monter aux autres. Et puis j’ai eu envie de le faire partager. À ce moment là, je me suis aussi posé la question « mon travail doit-il plaire ? ». Très rapidement je me suis dit que oui, qu’il était important que mon travail parle à certaines personnes. + > suite article Festival Pocket Film "Concerts à emporter" Entretien Vincent Moon et Mathieu SauraLES PRÉVISIONS ØØØØØØ 2 ØØØØØØ from Vincent Moon / Petites Planètes
Raison/Pourquoi, et pour qui, fais-tu tout ça? Mes films sont d’abord destinés aux gens que je filme. Je suis comme un photographe qui va de village en village, et donne les photos aux gens. Le rêve, c’est de leur donner un film dont ils seront heureux, dont leurs enfants et leurs petits-enfants seront fiers. Mais quand je filme au fin fond du Daghestan, je galère après pour leur faire parvenir les films. Et je partage tout sur internet, ça prend une autre dimension. Je ne cherche pas à ce que mes films soient vus par un maximum de gens. Ils ne sont pas à respecter, ni dans le spectacle du cinéma, qui ne m’intéresse pas. Ce sont des objets du quotidien, qui doivent générer des discussions, des rencontres, des projets. Un jour, une fille m’envoie un mail du fin fond de la Russie, pour me dire qu’elle regarde mes films avec sa fille depuis des années. Elle me remercie. Je lui réponds en lui demandant de m’organiser un voyage en Russie. Et elle l’a fait, j’ai passé trois mois en Russie, le plus beau voyage de ma vie. C’est pour ça que je fais des films, rencontrer des gens, aller les voir chez eux, créer des dialogues, créer ces mondes nouveaux. + > suite article Entretien Vincent Moon Caméra Monde lesinrocks
Vincent Moon Website
Vincent Moon Music Vincent Moon Video Vincent Moon Petites Planète Films
+ infos
Les siestes électroniques Musée du Quai Branly avec Vincent Moon
-
Par L M le 2 Février 2014 à 01:50
-
Par L M le 8 Novembre 2013 à 10:42
Marina Abramović : Art must be Beautiful, Artist must be Beautiful
Extrait (fragment of movies) 1975 S/W Video, 14 min. 14 sec
L'Art doit être Beau, l'Artiste doit être Belle : est l'une des premières réalisation de Marina Abramović conçue pour le cycle "libération", "Libérer le corps", "Libérer la parole", "Libération de la mémoire".
"I brush my hair with a metal brush held in my right hand and simultaneously comb my hair with a metal comb held in my left hand. While so doing, I continuously repeat 'Art must be beautiful', 'Artist must be beautiful', until I have destroyed my hair and face." SIC : Marina Abramović
"Je me brosse les cheveux avec une brosse métallique tenue dans ma main droite et un peigne métallique tenu dans ma main gauche. Tout en faisant cette action, je répète continuellement "L'art doit être beau - L'artiste doit être belle", jusqu'à ce que j'ai détruit ma coiffure et mon visage." SIC : Marina Abramović
« L'art doit être beau, l'artiste doit être beau » réfléchit l'état mental qui peut être atteint par le biais de la multiplication outrancière d'un acte simple allant jusqu'à provoquer la douleur. Dans l'enregistrement vidéo de la performance original nous pouvons voir M. Abramovic peignant ses longs cheveux avec à deux mains tout en répétant "Art must be beautiful, Artist must be beautiful". Sa voix et son visage indiqueront la douleur qu'entraîne sa décision : se coiffer jusqu'à la destruction !
Les gestes ordinaires répétés sur le visage, les phrases banales répétées par la voix sont des éléments banales de notre reconnaissance personnelle. Ces répétions favorisent notre hygiène morales et physiques pour persuader le fou, qui veille sur en chacun de nous, de sa capacité à être l'existant. François Truffaut dans son cinéma a pour exemple d'importance réalisé, la séquence de "Baisers volés" (1968) où, le héros scande devant son miroir les deux noms de celles qu'il est : Fabienne Tabard - Christine Darbon ; objet du possédé-obsédé jusqu'à ce qu'il renaisse par action de la transe : Antoine Doinel, celui qu'il est. La vidéo de Marina Abramovic diffère. Nous sommes son miroir. L'outil y est contrainte. La brosse et le peigne sont de métal. Le cadrage est plus serré. L'agressivité s'exprime. Le portrait visage-texte offrent une finalité : la dévastation de la protagoniste.Si, cinéma et vidéo, utilise la transe, pour nous faire partager les délires de chacun les deux médiums y exaltent une poétique différentielle : l'un celui de F. Truffaut laisse place à l'absurde, à l'incompris, l'inconnu, il nous offre une comédie. L'autre, celui de M. Abramović est message. Il positionne. C'est en utilisant la suffisance répétée des gestes d'entretiens qui ne peuvent perdurer en l'état premier*. Ici : la beauté, que l'artiste nous entraîne avec le visible du sujet souffrant en re-présentation de la figure astreinte à son histoire : une tragédie
"Baisers volés" (1968) de François Truffaut
Fabienne Tabard - Christine Darbon (Claude Jade & Delphine Seyrig) Antoine Doinel (Jean-Pierre Léaud)
* (l'avant/touché - touch me before)
Балканская примета-Balkan Erotic Epic
MoMa artist is présent –
-
Par L M le 29 Juillet 2013 à 00:01
"Be Nice Heaven In"
[BOXING MORELLET]
A round for entertainment
The image is the photographer André Morain
"Venice Biennale 1970 François Morellet"
Chronicles in the living-Art Maeght
"Be Nice Heaven In"
[BOXING MORELLET]
Une reprise pour divertissement contre François Morellet
L'image est de la photographe André Morain
Biennale Venise 1970 François Morellet
dans Chroniques de l'Art Vivant-Maeght
phone production Point to point Studio XXI
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique