• PROJECTIONS

    du 13 octobre 2009 au 3 janvier 2010

    AU MUSÉE D'ART CONTRMPORAIN DE NÎMES

    Artistes de l'exposition

    Daniel Arsham, Gordon Cheung, Chris Cornish,

    Jean-Pascal Flavien, Cyprien Gaillard,Laurent Grasso,

    Michael Landy,  IñigoManglano-Ovalle, Tobias Putrih.


    Cette exposition réunit les œuvres d’une dizaine d’artistes. Elles ont pour point commun l’intérêt pour les manipulations de temps, pour certaines en référence à la science fiction et pour d’autres en prise directe avec un réexamen des acquis modernistes particulièrement en terme d’architecture. Ces œuvres expriment une compétence dans les domaines de la 3D, du jeu vidéo et des espaces simulés. Le recours également à l’utilisation de médiums traditionnels, voire décalés comme le dessin très fouillé, de facture réaliste allant jusqu’au gravure scientifique du XIXe siècle, accélère la sensation que ces œuvres trouvent leur point commun dans des manipulations techniques.

    « Ce que tous les films ont en commun, c’est le pouvoir d’entraîner la perception ailleurs. Tandis que j’écris, j’essaie de me rappeler un film que j’ai aimé, ou même que je n’ai pas aimé. Ma mémoire devient une forêt vierge peuplée de multiples ailleurs. » A Cinematic Atopia, 1971 ; la description que Robert Smithson donne de ce nouvel espace mental peuplé d’images est proche de l’imaginaire nourri de mélanges des temps, de virtuel et de réel qui fonde les œuvres de toute une jeune génération. A ce titre, la projection du film de Chris Marker La Jetée à l’entrée de l’exposition dans Argos Cinema, structure en carton réalisée par Tobias Putrih, est programmatique. L’atopie décrite par Smithson, comme l’utopie, est un espace sans localisation physique. Les œuvres exposées ont souvent pour point de départ les scories d’une époque : architectures abandonnées, hypothèses laissées de côté, scénarios qui tournent court. Certaines des œuvres sélectionnées expriment une vraie compétence dans les domaines de la 3D et des espaces simulés (Chris Cornish). Elles embrassent aussi les questions de décalage, de potentialités, induites par le stockage et la mémoire des données numériques (Jean-Pascal Flavien) mais peuvent aussi pointer un fort intérêt pour des techniques « dépassées » telles que la gravure (Cyprien Gaillard) et le dessin d’illustration ou de vulgarisation "à la Gustave Doré"ou "à la Camille Flammarion" (Laurent Grasso). La plupart ont un substrat documentaire, qu’il s’agisse de la forme d’une salle de cinéma (Tobias Putrih), de données climatiques relevées par un service météo (Iñigo Manglano-Ovalle) ou d’un événement artistique tel que l’Hommage à New York, machine programmée par Jean Tinguely pour s’autodétruire, thème récurrent de la science–fiction et sujet de la série H2NY du britannique Michael Landy.

    Textrait des documents de la presse culturelle de Carré d'art Nimes.

    Cartes net des travaux de Cyprien Gaillard, Gordon Cheung, Daniel Arsham, Laurent Grasso. (Les vidéo de G. Cheung & L. Grasso ne sont pas exposées.)

     

    Vidéo qui vous présente "Projections" 2009 M.A.C.N. par madame Martine Cohen, responsable de l'exposition.

    Saluons, ici, son travail de commissaire qui pose, outre, la question du voyage avec : ici, ART ; à partir de pères fondateurs..., via les technologies numériques utilisées dans notre quotidien ; a su créer un événement qui a mis en joie, le jour de son inauguration, un grand nombre de Nimoise, Nimois, et, autres publics créant ainsi des passerelles vis à vis de générations en devenir d'expérimentations plastiques.

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  • 12

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  • Ça plante sur l'original (7/200).

    Sur les cimaises du mur de Sir Norman Foster, dans les salles du sous sol, en ceinture de la Médiathèque du Carré d'Art de Nîmes, nous est donné à lire une présentation "bibendom" d'un bout de notre Monde quotidien. Celui-ci est représenté par 193 copies, du format carte postal à celui de poster, chacune accompagnées de leur flamboillant cartel et sept dessins originaux. Il est bien étrange de poser l'absence de matière graphique, et, d'unifier ,ainsi, l'espace par un procédé qui efface lignes, et, surfaces par une graphie numérique mal maîtrisée.

    La communication de l'exposition a-t-elle mangé le budget original? Le choix du procédé unifié est-il politique? Les dessinateurs sont-il avares? Les artistes non t-il aucune confiance dans les organisateur de l'exposition? L'action marque t-elle la fin de la presse papier?

    Toujours est-il qu'il y a une belle honte comme dirait la femme de mon concierge tout en épluchant la pomme de terre au dessus du midi-libre, à présenter cela comme exposition de dessins, avec des appuis ronflant comme Alliance Française, cartooning of Peace ; alors, qu'un honorable professeur de dessin de collège aurait réalisé l'ensemble en une semaine avec la photocopieuse du secrétariat, carton plume en moins, trop cher, bien sûr! Avec journaux à disposition.

    Toute la prétention "Fast Food" d'un certain esprit de la presse Française qui s'ajuste à une incertaine politique Françoise pour tirer monnaie du godiche.

    PAS MERCI.

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    Expositions / Exhibitions >
    Thomas Bernardet 2007 Étude française 1906-2006 Photos - vidéos Livres - Books ART-NÏM 2009
      In Extenso 2009 Le Rabelais Bar 2008 Biographie - biography Éditions Multiples - prints WIELLS

     

    Photographies de Thomas Bernardet

       



    Expositions de Thomas Bernardet

       






    Vidéos de Thomas Bernardet.

       




    TH
    .. B

    Remerciements aux nombreux prêteurs : le collectif d'artistes Trash Mongo ( Nils - Thomas - Vincent - Ghislain - Flo - Manu ), le Théâtre de Nîmes, le F. R. A. C. du Languedoc Roussillion pour l'aide apportée à la réalisation de l'installation réalisée pour ART-NÎM de Thomas Bernardet "thank you".

    Extrait vidéo de "THANK YOU" de TH. Bernardet. Présentée En septembre 2009 à la Foire d'art contemporain Méditérranéenne de Nïmes


    CRITIQUE >

    Parmi le réel, ce fond commun de signes et de choses qui nous entourent, Thomas Bernardet extrait de l’ordinaire ce qui peut devenir par la suite un point de vue particulier. Cette vision personnelle s’inscrit dans la multitude de ses influences culturelles. Son « regard » saisit ce que tous les « regards » peuvent voir. Cela peut-être un simple fait d’actualité, « une maison à 100 000 euros » ou de l’ordre de l’emprunt, à l’histoire de l’art par exemple. Thomas Bernardet prélève donc du réel ce qui attire son attention (une phrase, un objet, un slogan, une situation, un lieu) et le laisse mûrir sous forme de « documents de travail » (des photographies, croquis, notes variées). Parmi ce qui est intuitivement collecté, certains « documents » vont avec le temps plus particulièrement se « révéler » comme on le dit en photographique et faire apparaître « le reflet d'une conscience à laquelle on ne prêtait pas attention » . Thomas Bernardet peut alors réinvestir cette chose collectée et recomposer en quelque sorte son génome, retrouver sa gravité, ce qui lui donne un poids, une signification. Le résultat est assez troublant car la limite n’est pas franche entre le simple document et l’œuvre. Cette limite est même plutôt poreuse, ce qui invite le spectateur à faire son propre cheminement. Le spectateur doit en effet délier de nombreux enjeux ; le statu de l’œuvre, notre rapport au réel, la part de toute représentation collective, la part de toute projection personnelle. Comprendre que c’est au cœur de cette « démarche » que se situe la pratique artistique de Thomas Bernardet, c’est rencontrer toute la richesse et la qualité de ce travail.
    Texte de Martial Déflacieux.

    Une exellence supplémentaire Thomas-Bernardet-Expo-Bortier-2011.pdf



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  • À NIMES PENDANT LA FÉRIA DES VENDANGES LES ARTISTES, AMIS DE MICHEL GILLES LUI RENDENT HOMMAGE. DANS LES BARS QU'ILS FRÉQUENTAIENT FRATERNELLEMENT DES EXPOSITIONS SERONT VISIBLES À PARTIR DU JEUDI 15 SEPTEMBRE 2009.
    AINSI, DEVANT LE BAR ANNABA PLACE DU THÉÂTRE DE NÎMES, DES PEINTRES, DIRIGÉ PAR DENIS VINT-DEUX, DANS LA JOIE ET LA BONNE HUMEUR, PEIGNENT UNE FRESQUE GARDOISE ET MONUMENTALE QUI SIGNE LEURS AMOURS POUR L'ARTISTE MICHEL GILLES.

    MICHEL GILLES ANNABA Artistes of Nîmes Féria

    Pour ceux, qui connaissent le travail de Michel Gilles, ils comprendrons que "… je vis et je voyage" est extrait de "Buffalo" 2007 peinture de Michel Gilles référencé dans michelgilles.com, à cliquer, pour ceux qui ne connaîssent pas. L'orange le gris et le noir sont laissé libre du droit et d'interprétations.

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  • CE QU’EST DROIT DE CITES.

    Revue en ligne à vocation intellectuelle, artistique, politique, de création et de débat, Droit de Cités réunit des praticiens de ces différents domaines. Chaque publication (bi-mensuelle) propose un dossier thématique mettant en avant et développant des enjeux intellectuels de première urgence. Elle s’ouvre aussi à des ateliers de création en ligne, et offre un espace aux artistes de toute discipline. Entre chaque livraison, ces ateliers en ligne se développent selon leur calendrier propre. Lieu théorique et artistique, Droit de Cités cherche à tirer profit du rapprochement des arts et de la science en incitant aux rencontres, au débat, aux collaborations et partenariats.

    .Fondé par Yves-Charles Zarka

    Direction éditoriale : Isabelle Barbéris et Samuel Zarka

    Comité éditorial : Elena Andreyev, Isabelle Barbéris, Philippe Beck, Dario Caterina, David Christoffel, Jean-Michel Durafour, François Frimat, Marie-Anne Lescourret, Jacques de Saint-Victor, Annabela Tournon, Yves-Charles Zarka.

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    WHAT IS DROIT DE CITES.

    As an online review whose interest focuses on current intellectual, artistic and political issues, constructively and through discussion, Droit de Cités brings together actors from these various domains. Each publication (bimonthly) proposes a thematic report that brings to light and develops the most pressing intellectual concerns of the moment. By providing a theoretical and artistic stage, Droit de Cités strives to benefit from the encounter between the arts and sciences by inciting meetings, discussions, collaborations and partnerships. It also provides gateways to online independent workshops and forums for artists from all disciplines. In the time between each delivery, these online workshops progress according to their own calendar.

    .Founded by Yves-Charles Zarka

    Editors in chief : Isabelle Barbéris and Samuel Zarka

    Editorial committee : Elena Andreyev, Isabelle Barbéris, Philippe Beck, Dario Caterina, David Christoffel, Jean-Michel Durafour, François Frimat, Marie-Anne Lescourret, Jacques de Saint-Victor, Annabela Tournon, Yves-Charles Zarka.

    Translated by Elizabeth Markiewicz


    Chaque semaine un artiste propose une intervention inédite

    du 12/11 --> 19/11- 2009 SALVATORE PUGLIA WEBSYNRADIO  -  Site de Salvatore Puglia

    Du  03/12  ---> 10/12 - 2009   SEB JARNOT WEBSYNRADIO  -  Site Seb Jarnot


    Parmi les artistes à venir : Ana Igluka, Andreas Angelidakis, Anne-James Chaton, Bérangère Maximin, Caterina Davinio, Charles Pennequin, Chloe Piene, David Christoffel, Franck Scurti, Harvey Benge, Ignacio Uriarte, Jean Pierre Balpe, Jean-Michel Espitallier, Joel Hubaut, Laurent Chambert, Marcelline Delbecq, Matthieu Laurette, Noël Akchoté, Olga Kisseleva, Olivier Bardin, Olivier Cadiot, Philippe Beck, Philippe Rahmy, Robert Stadler, Rodolphe Burger, Salvatore Puglia, Samuel Zarka, Seb Jarnot, Tania Mouraud,Terri Weifenbach, Valery Grancher …

    DROIT DE CITÉS

    LIENS

    ATELIER DOSSIERS WEBSYNRADIO UBU


     

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