Par L M dans PUB POINT le 27 Novembre 2009 à 14:37
Le Beau Temps n° 01 NOV / 2009.
Magazine intempestif capricieux de culture, art, …,
Interventions de Grenouille V. Mathieu L. Poppol, Denis L. Pakito B.Fabric M. Philippe P.Pierre G., Maexence D. Thomas B. Baptiste B. Reno G.
On nous y parle, on nous montre tout en noir et blanc / tendresse et d'amour, grosses et flemme, dreap et leftovers ribery et trap, d'écoute et vérité, la dixième date et douze jours, perspectives et questions, cul et cummul, merci et europeana, grand T. et de patrick S. l'aventure et d'aventure, d'octobre et activité, jolie et harpe Beau et temps
Renseignements à Leprincedorange@gmail.com Un rédacteur qui les connais les trucs qu'on doit mettre dans un magazine.
Sinon pour le lire, es petits et grands bouts, cliquer sur l'image (fulscreen) ; et ∞ print. Car pour trouver l'n° c'est épuisant!
® STUDIO POINT TO POINT
Le Beau Temps n° 02 JANV / 2010.
Magazine intempestif capricieux de culture, art, …,
Interventions de Grenouille V. Mathieu L. Poppol, Denis L. Pakito B.Fabric M. Philippe P.Pierre G., Maexence D. Thomas B. Baptiste B. Reno G.
On nous y parle, on nous montre du tout à noir et à blanc... La version papier sur demande
Maryse Guénago nota dans son journal de l'année 1984 la phrase de Voltaire que voici : "C'est un fumier dans lequel on trouve quelques perles".
Nous sommes heureux d'annoncer la participation de Seb Jarnot à Fontaine Miami Art Basel du 3 au 6 Décembre 2009. Fontaine a été lancé en Mars 2006 à New York dans le but d'obtenir un appui pour des galeries indépendantes. Le nom "Fountain" est un clin d'œil à la sculpture controversée de Marcel Duchamp* qui a secoué le monde l'art, et qui elle même en fut frappé pour une première fois par l'artiste, Pierre Pinoncelli*, à la fin du XX° siècle à Nîmes lors d'un collectif exposé. Dans la forme et l'esprit, les œuvres présentées au "Fontaine" se réfèrent à l'attitude du refus Made in Society of Independent Artists* de 1917 donc de l'avant-garde caustique, qui attire les mouches collectionneuses de l'internationale warrantage de Salon. Ici, à "Fontaine", les artistes et les marchands suceront chaleureusement tous les visiteurs libres de se tourner vers bassine marchande et artistique mise à dispositions.
Um Rott.
*Les motifs plus précis invoqués pour refuser l'envoi de R. Mutt* (alias Marcel Duchamp, Rose Sélavy) auraient été : A) L'objet est « immoral et vulgaire » B) L'objet est un plagiat ou plutôt une « pièce commerciale ressortissant à l'art du plombier »
*Pierre Pinoncelli, dont la maman (comme celle de R-ose Sélavy) lui avait répété enfant de ne pas pisser à côté de la céramique blanche ; ne comprenait pas idiotie le "point extrême de l'imbécillité convulsive" des institutions muséalles à refuser une extension plombière.
Fountain was launched in March 2006 in New York in an effort to leverage support for independent galleries overlooked by the larger, corporate-sponsored art fairs. The name “Fountain” is a nod to Marcel Duchamp’s controversial sculpture which shook up the art world when it was rejected by the Society of Artists’ exhibition in 1917. In form and spirit, the artwork exhibited at Fountain reflects the avant-garde attitude of the Dada art movement, while attracting the attention of the international clientele and top collectors who attend the more traditional fairs. Artnet describes Fountain: “Likeability and chutzpah used to be what art was about. That, and a little guerrilla mentality, which you had at Fountain in spades. This is the place where you reminisce about the good old days, when you did it yourself, when inspiration and magic struck like a bolt from the blue. Here at Fountain, the artists and dealers are hungry and they welcome all visitors warmly. They are having fun and that’s the vibe. I felt like sitting down, having a beer, and hanging.” Plum has said – “Extreme, grassroots, and black sheep are names that perhaps best describe Fountain. While other art exhibits are puppets to corporate culture, this show keeps it as real as they come”.
WE-ARE-FAMILIA @ Fountain Miami 2009 2505 North Miami Ave Miami FL 33137 (Booth 6) Dec 3 - 6 2009 11am - 7pm VIP/Press: Thursday Dec 3rd 11am - 7pm Artist’s Reception: Friday Dec 4th 7pm-midnight White Hot Magazine / Filter Magazine Party: Saturday Dec 5th 7pm-midnight Donation of $5 at the door for all weekend access
We-are-FAMILIA @ Fountain Miami 2009 2505 North Miami Avenue Miami, FL 33137 (Stand 6) 3 à 6 décembre 2009 11-7 VIP / Presse: Jeudi 3 décembre 11-7 Réception de l'artiste: le vendredi 4 décembre 7pm-midnight White Hot Magazine / Filter Magazine Party: samedi 5 décembre 7pm-midnight Don de 5 $ à la porte d'accès pour tous les week-end
ARTISTS Du Xiaotong -He Zubin - Jiao Yang - LiuLiyun - Li Jun - Li Yonglei - Lin Si - Lin Guocheng - Pan Wenxum - Qin Xioping - Ou Weiwei - Wang Li - Wang Yu - Wu Shaoying - Zeng Jiayong - Zhao Fei - Zhu Zheingming - Thomas Bernardet (Belguim) - Henning Olav Éspedal Ëngelsen (Norway)
Mirrored
True Color Muséum Curator Liu Syan Centre Contemporary Chines Art Show
Avec "Mirrored" comme thème de l'exposition d'art contemporain du Musée de Suzhou, le commissaire Liu Syan nous démontre qu'un ensemble de dix sept jeunes artistes travaillant la réalité perçue, mélangée à l'inconu de l'imagination débordante et réfléchie, se disposent en une action critique.
Les artistes choisis Du Xiaotong - He Zubin - Jiao Yang - LiuLiyun - Li Jun - Li Yonglei - Lin Si - Lin Guocheng - Pan Wenxum - Qin Xioping - Ou Weiwei - Wang Li - Wang Yu - Wu Shaoying - Zeng Jiayong - Zhao Fei - Zhu Zheingming - Thomas Bernardet (Belguim) - Henning Olav Éspedal Ëngelsen (Norway), et, leurs mondes pris dans leur quotidien comme vecteurs émotionnels nous offrent ici des réponses gaillardes et tendres imprègnées de réflexions lucides à la société contemporaine que nous pouvons interpréter au notre guise..
Salhaa Alahouse.
L'exposition du Commissaire de L'exposition "Mirrored" Liu SyanTrue Color Muséum met en scène les propositions personnelles des 17 artistes choisis.
«Quand les hommes sont morts, ils entrent dans l'histoire. Quand les statues sont mortes, elles entrent dans l'art. Cette botanique de la mort, c'est ce que nous appelons la culture.»
Réalisateur : Alain Resnais et Chris Marker Production : Société Africaine de Culture Format : Noir et Blanc 35 mn Durée : 30 minutes court métrage Titre Américain : Statues also Die Scénario : Chris Marker Compositeur : Guy Bernard Récitant :Présence Africaine, et Tadié Distribution : Tadie Cinéma 1953. Prix Jean-Vigo en 1954
Les deux réalisateurs composent sur le manque de considération pour l'art africain dans un contexte de colonisation. Le film est censuré en France pendant huit ans en raison de son point de vue anti-colonialiste. Proposant une lecture intelligente, sensible et coupable du colonialisme africain des années 50.
"On nous avait commandé un film sur l'art nègre. Chris Marker et moi sommes partis de cette question : pourquoi l'art nègre se trouve-t-il au Musée de l'Homme, alors que l'art grec ou égyptien est au Louvre ? " Alain Resnais.
Alain Resnais et Chris Marker, répondront à la demande du collectif "Présence africaine" (revue panafricaine), patronné alors par Alioune Diop, et, animé notamment par des intellectuels comme Aimé Césaire, Price Mars, Léopold Sédar Senghor, Richard Wright ou Jean-Paul Sartre…,. Monsieur A. Diop qui veut offrir au monde un espace de discussions où se rencontrent les figures les plus marquantes de la société africaine de l’après-guerre.
Le sujet des "Statues meurent aussi", c’est la mise à nu des mécanismes d’oppression et d’acculturation, l’impossible dialogue culturel dans le contexte immanent de la colonisation, le développement d’un Art-Bazar au bénéfice du Blanc consomateur-acheteur, l’idée qu’il n’y aurait pas de rupture entre la civilisation africaine et la civilisation occidentale.
"En même temps que l’Art nègre gagne ses titres de gloire, ne devient-il pas une langue morte, question?" "On achète son art au Noir et on dégrade son art." Chris Marker. "L’art nègre, nous le regardons comme s’il trouvait sa raison d’être dans le plaisir qu’il nous donne. Les intentions du nègre qui le créée, les émotions du nègre qui le regarde tout cela nous échappe. Parce qu’elles sont écrites dans le bois nous prenons leurs pensées pour des statues et nous trouvons du pittoresque là où un membre de la communauté noire voie le visage d’une culture." sic texte film.
Ce documentaire très controversé pose la question de la différence entre l'art nègre et l'art officiel, et surtout souligne la relation qu'entretient l'Occident avec cette culture qu'elle nie.
La commission de contrôle refusera au film son visa du fait notamment du discours anticolonialiste explicitement véhiculé dans le documentaire. Au bout de 10 ans, une copie tronquée du film sort toutefois sur les écrans. «Quant à eux, ils savaient tout ce qui se passait en Afrique et nous étions même très gentils de ne pas avoir évoqué les villages brûlés, les choses comme ça ; ils étaient tout à fait d'accord avec le sens du film, seulement, ces choses-là, on pouvait les dire dans une revue ou un quotidien, mais au cinéma, bien que les faits soient exacts, on n'avait pas le droit de le faire. Ils appelaient ça du "viol de foule". L'interdiction eut des conséquences très graves pour le producteur. Quant à nous - est-ce un hasard ? - ni Chris Marker ni moi ne reçûmes de propositions de travail pendant trois ans.»Alain Resnais.
A Saint-Prim, Claude Rutault met en pratique sa résistance à la saturation de l’image, constatant que l’on ne voit plus rien quand il y en a trop. Là où auparavant tout était encombrement, sollicitation, chaos visuel, il nous offre de la simplicité, de la clarté. Il fait œuvre de création. De re-création. Son travail de simplification contribue à créer une atmosphère de silence favorable au recueillement, à l’écoute de la Parole, à la prière. Il nous offre du silence. SIC Lumière et Vie, N° 275, juillet-septembre 2007Marc CHAUVEAU.
Marc Chauveau, historien de l’art de formation, iest responsable du patrimoine artistique de la province dominicaine de France, vit au Couvent de La Tourette..
Claude Rutault renouvelle le regard sur les représentations. À Saint-Prim, il met en pratique sa résistance à la saturation de l'image, constatant que l'on ne voit plus rien quand il y en a trop. Là où, auparavant, tout était encombrement, chaos visuel, il nous offre de la simplicité, de la clarté. Il fait œuvre de recréation. Son travail de simplification contribue à créer une atmosphère de silence favorable au recueillement.
"... vous allez acheter que ce que vous pouvez payer... " SIC extrait de conférence à ENBA Lyon 8bis quai Saint-Vincent Lyon.
Sa mission était d’aménager un lieu de culte déjà existant. Il a pu y appliquer sa méthode: à la fois sur les abords du lieu, sa façade extérieure, l’intérieur, du sol au fenêtres, il reconsidère ce lieu de recueillement et lui donne une qualité lumineuse propice à la méditation. Par ailleurs, le travail sur l’iconographie chrétienne et la représentation figurée est à la fois iconoclaste et subtil. S’imprégnant de la couleur du territoire et après de nombreuses discussions avec les habitants et « usagers » du lieu, Claude Rutault réalise une œuvre qui interroge le patrimoine à la fois spirituel et mobilier, les conventions et rites, dans une perspective de peintre aujourd’hui.
L’église de Saint-Prim a été officiellement inaugurée il y a un mois, avec les responsables du clergé, les élus, sans oublier les fidèles, et les habitants. Tous s’accordent à reconnaître une oeuvre majeure.
Vidéos photos son avec Claude Rutault.
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«Saint-Prim mis à plat» Livre.
252 p. (21 x 27,5) ; ISBN: 978-286742-156-3 ; 2008 ; 30 €.
Ouvrage publié avec le concours du Ministère de la Culture et de la Communication (Direction Régionale des Affaires Culturelles de Rhône-Alpes). Relié plein papier, impression typographique à froid, jaquette quadri, 160 pages quadri, cahiers de textes en deux couleurs (88 pages). Calques
«Saint-Prim mis à plat», treize exemplaires du livre accompagné de l'ensemble du tirage à plat réuni sous emboîtage, numérotés de I à XII et signés par Claude Rutault: 1200 €. 1500 exemplaires sur Tatami et Munken + calques de transition: 30 €.
Le livre de la grande aventure de Saint-Prim, commande publique à laquelle Claude Rutault a œuvré pendant près de dix ans. L'artiste a réalisé une œuvre globale dans l'architecture, telle qu'elle lui a été «livrée». Il l'a intégralement revisitée, dans le prolongement du travail qu'il mène depuis l'actualisation de sa définition/méthode 1 en 1973. Toile à l'unité. Une toile peinte de la même couleur que le mur sur lequel elle est accrochée. Sont utilisable tous les formats standard disponibles dans le commerce, qu'ils soient rectangulaires, carrés, ronds ou ovales. Aucun artiste n'a conduit projet de pareille ampleur dans une église depuis plusieurs décennies.
(Photographies: Jean-Marie Refflé, Pierre Plattier, Michel Delluc, André Morin, Claude Rutault, Georges Fessy)
Cœur de l'église à Saint PrimPhotographie.
Sites pér!phériques présentant le travail de Claude Rutault.
La revuegod vous conseille d'ouvrir les deux lecteurs ensembles (érotique machine). For an erotic reading. open both drives together. 官能的な読みください。一緒に、両方のドライブを開きます。
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