• Frères Lumière

    "la transformation par le couvre-chef " Lumière n° 105.

    L'une des premières "comic view" des frères Lumière : la transformation par les couvre-chefs. Lumière n°105. *

    En 95 travailler aux conditions des Frères Lumière, celles de 1895! Soit :

    A) pas plus long que 52 secondes.

    B) pas de synchronisation sonore.

    C) Trois prises sont permise.

    Lumière et compagnie

    C'est ce qui fut demander 100 ans plus tard à une quarantaine de personnalités du cinéma : Theodoros Angelopoulos, Vicente Aranda, John Boorman, Youssef Chahine, Alain Corneau, Costa-Gavras, Raymond Depardon, Francis Girod, Peter Greenaway, Lasse Hallström, Hugh Hudson, Gaston Kaboré, Abbas Kiarostami (Voix Isabelle Huppert), Cédric Klapisch, Andrei Konchalovsky, Spike Lee Claude Lelouch, Bigas Luna, Sarah Moon, Arthur Penn, Lucian Pintilie, Helma Sanders-Brahms, Jerry Schatzberg, Nadine Trintignant, Fernando Trueba, Liv Ullmann, Jaco van Dormael, Régis Wargnier, Wim Wenders, Yoshishige Yoshida, Yimou Zhang, Merzak Allouache, Gabriel Axel, Michael Haneke, James Ivory, Patrice Leconte, David Lynch, Ismail Merchant, Claude Miller, Idrissa Ouedraogo, Jacques Rivette.

    Raymond Depardon - Lumiere & Company

     

    Zhang Yimou - Lumiere & Company

    -En l'année 1995, ces réalisateurs nous donnent à regarder, des perles inspirées des images du XX° ; dramatiques, virtuoses, ou frivoles ces scenettes projettent un constat de tendresse sur les contraintes originelles de l'image en mouvement établie par les frères Lumière en 1895.

    Discrètes, et, sensibles ces séquences réalisées avec intelligence sont des instants de réjouissances dont nous pouvons goûter, le questionnement des protagonistes, les joies de leur réalisation, et, les vicissitudes de fabrication.

    Si, Jean-Luc Godard est absent de cette production, c'est certainement qu'il travaillait aux 265 minutes de Histoire(s) du cinéma  (1988-1998).

     

    Lumiere & Company - Yusuf Shahin

    *Si la tradition veut que l'image d'un train arrivant en gare à La Ciotat, soit une révélation du cinéma, qui venait directement vers le public la terrifié ; criant et se réfugiant vers l'arrière de la salle. Le journal "Der Spiegel"ayant rapporté de son reporter Hellmuth Karasek « Ce court métrage a eu un impact particulièrement durable ; oui! il a provoqué la crainte, la terreur, et même la panique ... ». Bien que cette histoire a été rapportée un grand nombre de fois dans de nombreuses publications et par le bouche à oreille. Il faut savoir que contrairement à une idée tenace, le film Arrivée en gare de la Ciotat n'était pas au programme des 12 séances des fameuses projections de 1895. Voir programme de l'année sur le site de l'Institut Lumière. (La première projection c'est Sortie d'Usine, à Paris en date du premier jour de printemps 1895.)

    *En 1963, Jean-Luc Godard parodie l'entrée en gare dans une séquence " les Carabiniers " et son personnage  se protégera le visage lorsque la locomotive foncera vers lui…


    Frères lumière Article
    Remerciements au cinéma, aux cinéastes, aux vidéos, à hertzonline, à komikturk, CoffeeShopShop, Point to point.

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  • L'ÉTOILE DE MER UN FILM DE MAN RAY.

    AVEC

    ALICE (KIKI) , une femme. ANDRÉ DE LA RIVIÈRE, un homme. ROBERT DESNOS, un autre homme.

    Assistant opérateur J. A. Boiffard 1928. France / 17 min. 30 sec / 16 mm / N & B.

    Le Film muet "l'etoile de mer" poëme de Robert Desnos tel que la vue Man Ray est à visionné avec accompagnement musical libre de choix.

     

    Le scénario de l’étoile de Mer s’inspire de la lecture à haute voix par Man Ray d’un poème de Robert Desnos.

    À la suite d'un dîner avec Man Ray, Robert Desnos récite son poème L’étoile de mer. Man Ray trouve au fil de ces phrases, matière à faire le film que lui a commandité Arthur Wheeler.

    "Je le voyais très bien en film, en film Surréaliste, et je déclarais à Desnos qu’avant son retour j’aurais fait un film de son poème." SIC Man Ray.

     

    Les films que Man Ray a réalisé - Le Retour a la raison 1923 - Emak Bakia (fichez-moi la paix) 1927 - L'Étoile de mer 1928 - Rue Campagne Première 1923/29 - Les Chutes des "Mysteres du chateau du Dé" 1929 - Corrida 1929 - Autoportrait de ce qui manque à nous tous 1930 - Poison 1933/35 - L"atelier du val de Grasse 1935 - Courses landaises 1937 - La Garoupe 1937 - ADY 1938 - DANCE 1938- JULIET 1940 - Anemic Cinema avec Marcel Duchamp et Marc Allégret 1926. Il joua dans le fim de René Clair entr'acte.

     

    ANÉMIC CINÉMA UN FILM DE MARCEL DUCHAMP
    (1925)
    07'30'' / 35mm
    « Ce film, dont le titre anagramique évoque une "profondeur" illusoire, est composé de dix disques optiques entre lesquels alternent neuf disques qui comportent des inscriptions ». Catalogue Cinéma Dadaiste et surréaliste.
    « Anémic cinéma : jeux d'images et jeux de langages spiralés pour remédier à l'anémie dimensionnelle du cinéma »

    Anémic cinéma Marcel Duchamp

     

    QUATRIÈME DIMENSION UN FILM DE M.A. SAINTE LAGUË

    Jean Painlevé (1936) Réalisé par A.P. Duffour.

    Quatrieme Dimension Video clic ici 1936

     

    L'ŒUF D'ÉPINOCHE UN FILM DE JEAN PAINLEVÉ

     (1925)

    d'après les obserbation du proffesseur Wintrebert et Yung Ko Ching

    La pieuvre de Jean Painlevé 1928. .L'œuf d'épinoche de Jean Painlevé 1925 indisponibleA

    Le vampire (1945) de Jean Painlevé

    Le Vampire de Jean Painlevé 1939:45 9'

    - Le Rite du Soleil Noir - by RG from ... on Vimeo. écrit d'Antonin Artaud  "Pour en finir avec le jugement de Dieu" (1947), Lecturer Roger Blin 1964.

     

     

    Jean Painlevé a influencé, influence, de nombreux artistes contemporains par son travail, dont la richesse, l'indépendance de son cinéma, de ses choix, proposent une grandeur humaine et poétique qui fut, qui est, rare.

     

    LA COQUILLE ET LE CLERGYMAN UN FIM DE GERMAINE DULAC

    Scénario de Antonin Artaud,

    (1927)

    GERMAINE DULAC réalisera, sur un Scénario de Antonin Artaud, La Coquille et le Clergyman en 1927. À l'instar de J. Painlevé la réalisatrice revendiquera un cinéma scientifique, artistique, qui a ses propres codes définis dans le médium.
    QUELQUES REPÈRES SUR LE CINÉMA DU DÉBUT XX° SIÈCLE / Ballet Mécanique (Fernand Léger, 1924); La coquille et le clergyman (Germaine Dulac / Antonin Artaud, 1926); Anemic Cinema (Marcel Duchamp, 1926); Le retour à la raison (Man Ray, 1923); Emak Bakia (Man Ray, 1926); L'étoile de mer (Man Ray, 1928); Le mystère du château de dés (Man Ray, 1929); La glace à trois faces (Jean Epstein, 1927); Rhythmus 21 (Hans Richter, 1921); Fantômes du matin (Hans Richter, 1928); H2O (Ralph Steiner, 1928); The Hearts of Age (Orson Welles / William Vance, 1934); Manhattan (Paul Strand / Charles Sheeler, 1921); Ménilmontant (Dimitri Kirsanoff, 1926); Brumes d'automne (Dimitri Kirsanoff, 1928); La pluie (Joris Ivens, 1929); Romance sentimentale (Sergei Eisenstein / Grigori Alexandrov, 1930); Symphonie diagonale (Viking Eggeling, 1924); Attaque (Ernö Metzner, 1928); The Life and Death of 9413, a Hollywood Extra (Slavko Vorkapich / Robert Florey, 1928); Lot in Sodom (James Sibley Watson / Melville Webber, 1933); Autumn Fire (Herman G. Weinberg, 1931); Even - As You and I (Roger Barlow / Harry Hay / LeRoy Robbins, 1937); Le Vampire (Jean Painlevé, 1939); Le Tempestaire (Jean Epstein, 1947).

    Étude cinégraphique sur une arabesque, Germaine Dulac 1929

    The American photographer Man Ray was one of a group of avant-garde Paris filmmakers in the 20s that included Leger, Bunuel, Clair, Kirsanoff, and Cocteau. His short films have finally been released on video, compiled and restored by the Centre Georges Pompidou. The very brief LE RÉTOUR À LA RAISON (1923) consists of moving geometric designs, intercut with distorted night shots of a merry-go-round, then moving three dimensional shapes, and closing with the play of bars of light on a woman's nude torso. It was an experiment in abstract expressionism that inspired other directors. EMAK BAKIA (1926) displays the influence of both surrealism and dadaism. Once again Ray experiments with the movement of shapes - many of the effects seem tired now after decades of innovation in animated film, but they were fresh at the time. He employs bizarre imagery as well - a man's eyes turning into the headlights of a car, a flock of sheep, the legs of a dancing woman. Odd effects are attained through camera movement - sideways, upside down, etc. - or distortion of the image, as in a convex mirror. L'ÉTOILE DE MER (1928) is more adventurous, but less engaging. There are many shots of people walking in Paris - Ray blurs the image a lot, attempting to explore a subconscious nether region - intercut with images of the sea, and some remarkable ones of the underside of a starfish. One of the titles says, "The sun, one foot in the stirrup, nestles a nightingale in a veil of crepe." It is hard to know how seriously to take such surrealistic musings.

    The lengthiest and most famous of Man Ray's films is LES MYSTÈRES DU CHÂTEAU DU DÉ (1929). The spacious chateau of the title, along with a rundown castle nearby, is employed to explore various spatial relationships and textures. Some of the best effects are achieved with long shots through windows into landscapes, while the camera is moving at the same time. Ray also does some very strange things involving people wearing nylon stockings over their heads (giving them an identical faceless look), throwing huge dice and practicing weird diving and swimming formations in the chateau's indoor pool.

    Overall, I don't find Man Ray's films as interesting or stimulating as those of Clair or Bunuel from the same period. Their experiments were informed by a resolutely personal vision. Ray seems more the purely formal innovator. The cinema (and indeed all art forms) need eccentrics like him who are willing to try different combinations of elements and techniques so as to discover hidden potentials in the art. Ray's pictures are fascinating viewing in this historical sense, but precisely because of their character as innovation in the abstract, they have lost the novelty and excitement they once held. Film method has long since incorporated all these things, so that the works in themselves now seem "old hat." Ray seems to have decided that he wasn't suited for motion pictures, because he stopped making them after the 20s, returning to still photography as his vehicle

    Merci aux personnes qui proposent informations et cartes vidéos sur le net. Sources > cinescene.com - Re:voir - robert desnos.asso - lips Page en cours.

     

    Lien Ouvrages sur lien Multiple de
    Man Ray (Emmanuel Rudzitsky) Man Ray
    Jean_Painleve_Biographie.pdf  

    © studiopointtopoint

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  • Portrait Impossible portrait  Chris Marker captures dédicace et figure.

    Chris Marker, portrait captures images / possible

    «Quand les hommes sont morts, ils entrent dans l'histoire. Quand les statues sont mortes, elles entrent dans l'art. Cette botanique de la mort, c'est ce que nous appelons la culture.»

    Lien Video Clique Ici

    Les Statues meurent aussi

    Réalisateur : Alain Resnais et Chris Marker
    Production : Société Africaine de Culture
    Format : Noir et Blanc 35 mn
    Durée : 30 minutes court métrage
    Titre Américain : Statues also Die
    Scénario : Chris Marker
    Compositeur : Guy Bernard
    Récitant : 
     Présence Africaine, et  Tadié
    Distribution : Tadie Cinéma 1953.
    Prix Jean-Vigo en 1954

    Les deux réalisateurs composent sur le manque de considération pour l'art africain dans un contexte de colonisation. Le film est censuré en France pendant huit ans en raison de son point de vue anti-colonialiste. Proposant une lecture intelligente, sensible et coupable du colonialisme africain des années 50.

    "On nous avait commandé un film sur l'art nègre. Chris Marker et moi sommes partis de cette question : pourquoi l'art nègre se trouve-t-il au Musée de l'Homme, alors que l'art grec ou égyptien est au Louvre ? " Alain Resnais.

    Alain Resnais et Chris Marker, répondront à la demande du collectif "Présence africaine" (revue panafricaine), patronné alors par Alioune Diop, et, animé notamment par des intellectuels comme Aimé Césaire, Price Mars, Léopold Sédar Senghor, Richard Wright ou Jean-Paul Sartre…,. Monsieur A. Diop qui veut offrir au monde un espace de discussions où se rencontrent les figures les plus marquantes de la société africaine de l’après-guerre.

    Le sujet des "Statues meurent aussi", c’est la mise à nu des mécanismes d’oppression et d’acculturation, l’impossible dialogue culturel dans le contexte immanent de la colonisation, le développement d’un Art-Bazar au bénéfice du Blanc consomateur-acheteur, l’idée qu’il n’y aurait pas de rupture entre la civilisation africaine et la civilisation occidentale.

    "En même temps que l’Art nègre gagne ses titres de gloire, ne devient-il pas une langue morte, question?" "On achète son art au Noir et on dégrade son art." Chris Marker. " L’art nègre, nous le regardons comme s’il trouvait sa raison d’être dans le plaisir qu’il nous donne. Les intentions du nègre qui le créée, les émotions du nègre qui le regarde tout cela nous échappe. Parce qu’elles sont écrites dans le bois nous prenons leurs pensées pour des statues et nous trouvons du pittoresque là où un membre de la communauté noire voie le visage d’une culture." sic texte film.

    Ce documentaire très controversé pose la question de la différence entre l'art nègre et l'art officiel, et surtout souligne la relation qu'entretient l'Occident avec cette culture qu'elle nie. 

    La commission de contrôle refusera au film son visa du fait notamment du discours anticolonialiste explicitement véhiculé dans le documentaire. Au bout de 10 ans, une copie tronquée du film sort toutefois sur les écrans. «Quant à eux, ils savaient tout ce qui se passait en Afrique et nous étions même très gentils de ne pas avoir évoqué les villages brûlés, les choses comme ça ; ils étaient tout à fait d'accord avec le sens du film, seulement, ces choses-là, on pouvait les dire dans une revue ou un quotidien, mais au cinéma, bien que les faits soient exacts, on n'avait pas le droit de le faire. Ils appelaient ça du "viol de foule". L'interdiction eut des conséquences très graves pour le producteur. Quant à nous - est-ce un hasard ? - ni Chris Marker ni moi ne reçûmes de propositions de travail pendant trois ans Alain Resnais.

    Pour plus d'information voir les documents joints de Sylvie-LINDEPERG-Memoire-identite-Territoire.pdf et de François Ponty Francois-Fronty-Les_statues-meurent-aussi.pdf

    Cartes net > sujet Alain Resnais.

    Paul Gauguin - Guernica   (Alain Resnais & Robert Hessens ) - Nuit et Brouillard - ON connait la chanson.

     Cartes net > sujet Chris Marker.

    Lettre de Siberie - La Jetée - SANS SOLEIL - Le fond de l'air est rouge.

    Pour les accros, voir aussi de Chris Marker La solitude du chanteur de fond  -d'Alain Renais Je t'aime je t"aime aller au cinéma voir Les herbes folles, en expositions Exhibitions.

    + d'infos

    lire entretien réné Colin sur fabrique des sens

    Alain Resnay Artetv Court-circuit

    Studio point to point XXI°

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  • Extrait de "Alphaville" de Jean-Luc Godard.

    (une étrange aventure de Lemmy Caution)


    Alphaville par talles-polaris

    Lien Film clic ici

    Les mots interdits sic Le Nouvel Observateur / n° 25 / 6 mai 1965 voir l'article sur le site de Thomas Cazals L'homme à la caméra.

    Avec la chute d’intelligence apparaît un phénomène particulièrement désastreux : la chute du langage. Ici le film confine au génie, car la manière dont Godard a filmé le dépérissement du langage annonce exactement une vérité. Alphaville ne semble contenir ni journaux, ni bibliothèques, ni cinémas. A part un vieil exemplaire de « Capitale de la douleur » de Paul Eluard, caché sous un oreiller de l’hôtel des « intelligents », le seul livre en cours dans Alphaville est cette édition quotidienne de la « Bible », qui n’est en fait qu’un dictionnaire dans lequel, chaque matin, plusieurs mots ont disparu. L’utilisation des mots disparus est interdite et punie. Les habitants d’Alphaville s’expriment avec difficulté, sauf quand ils semblent suivre certains schémas vidés.
    L’appauvrissement du langage, l’implantation de formes réduites, les simplifications de la syntaxe sont chez nous des faits réels, qui accompagnent nécessairement la robotisation des hommes. La perte de vocables suit la perte de conscience, parce que les mots ne sont pas seulement signifiants : ils font penser. Il ne s’agit pas de penser, cela pourrait mettre les machines en panne. En technocratie, les mots meurent.

    If you smiles, it emfolds me all the better. « Capital of Sorrow » de Paul Eluard « Capitale de la douleur » de Paul Eluard.

    Acteurs principaux > Eddie Constantine : Lemmy Caution, Anna Karina : Natacha Von Braun, Akim Tamiroff : Henri Dickson, Howard Vernon : Pr. Leonard von Braun / Nosferatu, László Szabó : le scientifique & Valérie Boisgel, Jean-Louis Comolli, Michel Delahaye,Jean-Pierre léaud.

    Musique : Paul Misraki, Photographie : Raoul Coutard, Montage : Agnès Guillemot, Production : André Michelin, Paris Filmstudio Roma.

    Foto du pantalon, du casse croûte, etc de Frank Scherschel pour Life Magasine.

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  • s CINÉMA le 3 Juillet 2009 à 15:47
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  • ADOLPHAS MEKAS - Hallelujah the Hills -1963




    Film d'Adolfas Mekas
    avec Peter H. Beard, Marty Greenbaum, Sheila Finn, Peggy Steffans, Jerome Hill, Taylor Mead.
    Camera : EdEmshwiller. Assistant: Jonas Mekas. Musique: Meyer Kupferman. 35mm 1963 82'
    NEW BONUS : Hallelujah the Villa, by David Avallone, 2006 28' The First NY Film Festival, from Camera Three, 1963 9' & Contient un livret de présentation du film ainsi qu'un texte de Frédérique Devaux.
    (DVD PAL) Ed. RE:VOIR (31,00 €)

    « Hallelujah the Hills, un film culte lors de sa présentation au festival de Cannes en 1963 et de sa sortie parisienne à la Pagode, se présente comme un conte (« une romance » dira son auteur) pour adultes, amoureux de l'histoire du cinéma, en particulier américain, prêts à se laisser glisser dans un univers ludique, fantaisiste, un peu fou et décalé, un mouvement perpétuel, magique et enfantin. »
    Frédérique Devaux

    « Tournées suivant le bon vieux principe d'une idée par plan, ses Collines embaument de fraîche ingénuité et de gentillesse rusée. L'effort physique y côtoie hardiment le gag intellectuel. On
    s'émeut et rit d'un rien : un buisson mal cadré, une banane dans la poche, une majorette dans la neige... »
    Jean-Luc Godard, Cahiers du Cinéma

    « Hallelujah the Hills est aussi un film sur l'amitié où Jack et Leo se prouvent l'un à l'autre qu'il n'y a pas de meilleur ami pour l'homme que l'homme, et où Gideon en leur ravissant Vera, l'idole de leurs pensées, après sept années d'attente leur révèle qu'il n'y a pas non plus de plus grand ennemi. »
    Michel Ciment
    .

    Adolfas Mekas, né en Lithuanie, arrive aux Etats-Unis avec son frère Jonas en 1949. Là, ils fondent Film Culture, revue consacrée au cinéma indépendant. Nourri d'une grande culture cinématographique, il réalise ce long métrage Hallelujah the Hills qui témoigne à la fois de cette culture et de cette immense liberté qu'on retrouvera dans tous les films du New American Cinema.


    RE:VOIR Vidéo > Directors: Pip Chodorov and Marie Sochor Assistants: Baptiste Lamy and Claire Salvi

    Artistes présentés : Alexandre Alexeieff - Patrick Bokanowski - Robert Breer - Viking Eggeling -Marcel Hanoun - Takahiko Iimura - Christian Lebrat - Maurice Lemaitre - Stéphane Marti - Jonas Mekas - D.A. Pennebaker - Hans Richter - Peter Rose - Jeff Scher - Silvi Simon - Moira Tierney -

    RE:VOIR Nouvelle Adresse.

    revoir vidéo
    47, rue du Couédic
    75014 Paris France
    Téléphone: 09 53 86 47 00 / fax: 01 42 77 93 15

    re-voir.com > Fondée en 1994 > Light Cone Vidéo RE-VOIR Éditions a pour vocation de rendre accessible un cinéma de recherche formelle et personnelle riche et divers en éditant des casettes et DVD des œuvres majeures de l'expérimentation cinématographique. "Une belle entreprise!"

    LE WEB et les MEKAS (Liens suppléméntaires)

    + ubu.com
    + Jonas Mekas.
    + pp librairie

     Catalogue-RE_VOIR-2010.pdf

    Jonas Mekas aux Beaux-Arts de Paris et à la FIAC du 21 au 25 oct 2009 - PROFITEZ.

    THE FILM GALLERY en Partenariat avec LA GALERIE DU JOUR AGNES B. présente
    JONAS MEKAS , "QUARTETS" (2007)
    FIAC - STAND A22 - COUR CARRÉE DU LOUVRE - 22 AU 25 OCTOBRE 2009

    Jonas Mekas est l'un des chefs de file du cinéma indépendant et du cinéma d'avant-garde. Il a consacré sa vie et son oeuvre à faire du film indépendant une forme d'art. Réalisateur, critique, éditeur, distributeur, archiviste et poète, Mekas a fortement contribué à la création du mouvement d'avant-garde moderne et à celui des films indépendants; il contribue toujours actuellement à leur extension.

    Son oeuvre a été fortement diffusée dans des festivals et des musées du monde entier, comme la Biennale de Venise, la Tate Modern, la Serpentine Gallery, le musée Whitney et le Museum of Modern Art, à New York.



    RENCONTRE AVEC JONAS MEKAS
    MERCREDI 21 OCTOBRE A 18H00 - ENSBA (MEDIATHEQUE) - 14 RUE BONAPARTE - 75006 PARIS

    Projection de Treize de 365 (DVD, 78 min)

    Le 1er Janvier 2007, Mekas a entrepris son épopée 365 project inspiré par les Sonnets de Pétrarque. Réalisant un film chaque jour de l'année, le diffusant sur son site Internet, Mekas puise dans ses propres archives de films et de séquences vidéo enregistrées au cours des dernières décennies, ainsi que dans les nouveaux enregistrements de sa vie quotidienne. Le projet 365 dessine un portrait intime de la vie de Mekas, de ses amis et de ses voyages, dans le style émouvant de journal filmé qu'il incarne. Le projet a suscité un mouvement international fort, et a incité de nombreux cinéastes de par le monde à entreprendre leur propre projet 365 en film et en vidéo.
    13 DE 365 est une collection de 13 jours, à partir du projet 365, choisis spécialement par Mekas pour cette occasion à l'Ecole des Beaux-Arts.

    + NOV 2009 DVD de TAKAHIKO IiMURA disponible à RE/VOIR

     


     cid:p06240833c6febe5075f6@[192.168.0.2].1.1
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