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Par L M le 3 Avril 2014 à 13:28
Photo film A Life in Four Chapters, de Paul Shrader. Yukio Mishima Video Clique Ici
忧国 Yūkoku? The Rite of Love and Death. Les Rites de L'Amour et de la Mort réalisé par Yukio Mishima
ce court-métrage japonais est basé sur "La petite histoire du Patriotisme" de Mishima, publié en 1961.
Un Mort: Le Poisson. de Sergei Mikhailovich Prokudin Gorskii 1905/15
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Mishima - une vie en quatre chapitres Paul Schrader
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Par L M le 12 Novembre 2013 à 02:37
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Par L M le 12 Octobre 2013 à 14:37
Sidney Peterson nait à Oakland en Californie le 15 Novembre 1905 artiste, journaliste, sculpteur, dessinateur, cinéaste d'avant-garde américain. Après l'Université de Berkeley, il a travaillé comme journaliste à Monterey, peintre et sculpteur il travaillera en France dans les années 1920–1930. Après la Seconde Guerre mondiale, Peterson a fondé l'Atelier 20 à la California School of Fine Arts, le "San Francisco Art Institute",où il donne des cours de cinéma.
Entre 1947 et 1950, l'atelier 20 a produit cinq films sous sa direction influençant le cinéma d'avant-garde américaine. Dans les années qui ont suivi, Peterson a travaillé comme consultant pour le Musée d'art moderne, réalisant une série de films documentaires, écrit un roman : a Fly dans le Pigment, 1961, et, un mémoire : The Dark of the Screen en 1980. et a aussi travaillé pour les productions de Walt Disney en tant que scénariste réalisateur de storyboard pour "Fantasia".
Il meurt à New York à l'âge des films de 94, en avril 2000.
The Cage de Sidney Peterson's 1947
The Petrified Dog de Sidney Peterson's 1948
The Lead Shoes de Sidney Peterson 1949
Mr. Frenhofer and the Minotaur de Sidney Peterson, 1949
Filmographie
The Potted Psalm with James Broughton 1946
Horror Dream (1947
The Cage (1947
The Petrified Dog 1948
Clinic of Stumble 1948
Mr. Frenhofer and the Minotaur 1949
The Lead Shoes 1949 Architectural Millinery 1954
Man in a Bubble 1981
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Par L M le 8 Octobre 2013 à 07:38
Ceux qui m'aiment prendront le train / Patrice Chéreau
Patrice Chéreau, né le 2 novembre 1944 à Lézigné dans le Maine-et-Loire, décédé hier le 7 octobre 2013.
Der Rinfg Des Nibelubgen
Bayreuth, 79 Pierre Boulez, Patrice Chéreau Brünnhilde - Gwyneth Jones Siegfried - Manfred Jung Hagen - Fritz HübnerHors-Champs du 9 septembre dernier, avec Laure Adler
Patrice Chéreau
Infos
Louvre-Patrice-Chereau-Louvre-Dossier-Presse.pdf
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Par L M le 12 Juillet 2013 à 03:35
Dragonflies and Wire Gold
Coffee and Barbie head by David Lynch for Great Organic
Publicité réalisée avec Café et Barbie par David Lynch pour le café Great Organic
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Par L M le 4 Juin 2013 à 04:44
COURTESY LIGHT on trailer Youtube
Origin shoot - pièce touchée by Martin Arnold 1989
TOUCH PIECE by Maurice Ifaw 2005
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Par L M le 2 Février 2013 à 00:26
The Grandmother (1970) - David°Lynch
De deux cols de "volcaterrus" un couple s'extrait des boyaux. Il s'agite. Un enfant d'automne sort de dessous les feuilles mortes. Photos dessins mouvements s'animent pour nous amener dans une chambre, lit, commode, jeune garçon en habits de cérémonie sont dans le noir. Une plante. Les êtres tournent et retournent dans une clairière. Autre pièce le couple est dans la promiscuité, l'un boit, l'autre se coiffe. Matin. L'enfant a taché son drap. Le père colère jette la tête du garçon dans la déjection, la mère en crise de nerfs. L'enfant retourne à sa solitude. Escalier, grenier, porte et sac de graines. Terre drap et bonne graine s'arrosent . La plante pousse. Couleur, Le végétal luit les jours passent l'enfant grandit d'un jour. Le père maltraite. La graine a grandi entre souche et arbre une forme accouche à l'aide de l'enfant. Une Grand-Mère nait…
Suite à la bourse qui lui fut attribué en 1970 par l'Americain Film Institue, David Lynch (1946) réalise The Grandmother en 16 mm sur 32 minutes.
C.R.: Il y a un moment très particulier dans The Grandmother, quand on met le nez de l’enfant contre la tache d’urine sur ses draps; on entend un cri qui semble être celui d’un oiseau à l’agonie. Il est impossible d’imaginer un autre son pour cette image. Il semble parfait.
D.L.: On pourrait n’enregistrer que le son réel, ce serait une chose. Mais en fait, ce n’est qu’un point de départ pour réussir à trouver le niveau suivant, les sons qui ont généré l’intensité de l’expérience que vit le gosse. Il faut donc trouver des sons qui conviennent et qui, d’une certaine manière, ne sont pourtant pas les bons sons. Ils sont un peu en dehors, mais ils amplifient l’émotion, ou la sensation. Je me souviens qu’un de ces sons – remettre les draps sur le lit – était en fait un swing de golf passé à l’envers.
Il n’y a pratiquement pas de couleurs dans ce film. Les visages sont encore blancs, et les pièces sont complètement noires. Et pourtant, les quelques couleurs qu’il y a – les rouges, surtout – sont très vives. Pourquoi?
Il est arrivé un drôle de truc. J’avais fait maquiller les visages en blanc mais le labo l’ignorait. Ils ont donc poussé la couleur pour tenter de retrouver les tons de chair. Parce que c’était un labo du Parti Républicain, ou quelque chose comme ça. Ils essayaient de rendre tout ça normal. ils ont pompé le rouge au maximum! Donc toutes les zones où du rose aurait pu suinter de ce blanc devenaient réellement roses. Et la bouche était aussi rouge que possible. J’ai beaucoup aimé ça. Je n’ai rien dit. Ils ont donc tout fait pour retrouver la couleur chair. C’est ainsi que le rouge s’est imposé.
Dans The Grandmother, vous jouez déjà avec la façon dont les gens bougent. Les parents, par exemple, bougent de façon très menaçante ou très excentrique. Qu’est-ce que cela veut dire?
Je ne sais pas. C’est… euh… un peu le monde du petit garçon. C’est comme ça qu’il le voit. Et je pense que les parents parfois, ne bougent pas de façon complètement normale. Ils font certaines choses qu’on ne peut pas comprendre. C’est drôle, on ne peut pas regarder ça, l’imaginer et l’assumer.
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