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Marguerite Duras, portrait. Dessin Seb Jarnot
Cesarée * court film 1978 Écrit et réalisé par Marguerite Duras
Autoportrait, voix Marguerite Duras
Jean-Luc Godard << 1967 >> Marguerite Duras
Ce 16 février Marguerite Duras et Jean-Luc Godard attablés auprès de Florence Malraux, Christiane Rochefort, Anne Philipe les membres du jury qui vient de lui décerner le prix Marilyn Monroe pour son film "Deux ou trois choses que je sais d'elle" répondent aux questions posées.
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LES MAINS NÉGATIVES DE MARGUERITE DURAS 1979
Thanks Anaïs Mims Belof Bradford American Centaur
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Site fondation Marta Pan, André Wogenscky
pan-wogenscky : lien > Marta Pan,
la modernité à l’oeuvreLa Teck », ballet de Maurice Béjart dansé avec Michèle Seigneuret
Marta Pan, Objet sculpté de Ballet "Le Teck" réalisé par Maurice Béjard
Studio liaigre magazine Marta Pan Sculptural thought
Le jardin de sculptures de la Fondation Marta Pan André Wogenscky from Sculpture Nature on Vimeo.
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Biographie de l'artiste Marta Pan par Scarlett Reliquet
galeriefrance.com/pages/artiste/marta_pan
https://aware women artist artiste marta-pan
"Elles font l'abstraction" 19 mai - 23 août 2021
Page Rui Rreire Marta Pan, biography
of houses House André Wogenscky and Marta Pan
page gazette-drouot Marta Pan artiste libre par Annick Colonna-Césari
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In F hole use scroll on headstock
Sam Jones - The Bassist!
Ray Brown - Solo Bass on "Black Orpheus"
John Cage, Jean-Pierre Robert : Ryoanji for solo double bass
Ron Carter - The Shadow Of Your Smile
Charlie Haden: Dream Keeper
"Tulips" Joelle Leandre
Howard Rumsey's Lighthouse All-Stars - Hermosa Summer
Good By Porkpie Hat- Dave Holland Solo
François Rabbath - "Ode d'Espagne" for Solo Double Bass
The Great Double Bass Race, Isle of Man, 1978.
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from low to high
"Yesterdays" "Bass On Top" - Blue Note Records, 1957.
Paul Chambers: Bass, Hank Jones: Piano, Kenny Burrell: Guitar, Art Taylor: Drums.
I'll Remember April
Album: Warne Marsh (Atlantic 1958)
Warne Marsh: Tenor Sax, Paul Chambers: Bass, Paul Motian: Drums.I Heard That Paul chambers Quintet 1959
Freddie Hubbard: trumpet, Cannonball Adderley:alto sax, Wynton Kelly: piano, Paul Chambers: bass, Jimmy Cobb: drums.
The Miles Davis Quintet featuring John Coltrane, Wynton Kelly, Paul Chambers and Jimmy Cobb, and including the Gil Evans Orchestra
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Cookin the Miles Davis Quintet album 1956 /1957
Miles Davis: trumpet, bandleader, Paul Chambers: double bass, John Coltrane: tenor saxophone, Red Garland: piano, Philly Joe Jones: drumsBut not for me Jazz Festival 3 novembre 1981, Paris
Chet Baker: trompette, René Urtreger: piano, Pierre Michelot: contrebasse, Aldo Romano: batterie
Chromatic Fantasy in C minor Bach 1963
Le Trio Jacques Loussier Jacques Loussier:piano: Christian Garros: drums et Pierre Michelot: bass.
Dave Holland: Bass Piano: Herbie Hancock: piano Guitar: Pat Metheny: guitare, Jack DeJohnette: batterie.
Call it Anything Isle de Wight Festival, 1970.
Miles Davis : trumpet, Gary Bartz: sax, Chick Corea: piano, Keith Jarrett: organ, Dave Holland: bass, Jack DeJohnette: drums, Airto Moreira: percussion. Plus de son clique ici iles de Wight 1970
Marcus Miller Live at the Hammersmith Odeon, London 1982
Festival de Jazz de Vitoria 2009
Stanley Clarke: Double bass, freetless bass, Marcus Miller: Electric bass, bass clarinet, sax, Victor Wooten: Electric bass, Fede Fernández Peña: Keyboards, Derico Watson: Drums.
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Hand Movie - YVONNE RAINER, 5:00, b&w, silent, 8mm 1966
Close-up of a hand, the fingers of which enact a sensuous dance.
Camerawork by William Davis."Hand Movie"
1966, 5:00' N : B , silencieuse, 8 mm.
Cameraman William Davis.Ce premier film Yvonne Rainer, "Hand Movie" date de 1966, il a été réalisé avec son collège, le danseur William Davis.
Les six minutes de séquences sont cadrées sur la main droite de la danseuse Yvonne Rainer. Dans ce rectangle l'artiste effectue différentes figures avec ce corps de dos, de profil, et de l'intérieur allant parfois déborder du plan.
Ce film caractérisent sa chorégraphie ainsi que les recherches plastiques : simplicité et efficacité dans l'emploi des moyens disponibles* qui feront de cette pionnière une minimaliste de proue dans la communauté artistique New-Yorkaise des années 60-70.
* C'est suite à l'immobilisation d'Yvonne Rainer se remettant d'une intervention chirurgicale importante qu'elle et son ami travaillerons dans un lit d'hôpital à réaliser ce petit chef d'œuvre.Journeys from Berlin/1971, de Yvonne Rainer, textes de Jon Else, Wolfgang Senn, Michael Steinke, Shinkichi Tajiri, Carl Teitelbaum. Avec, Annette Michelson, Vito Acconci, Cynthia Beatt, lona Halberstadt, Lena Hyun, Leon Rainer, Yvonne Rainer, Ruth Rainero, Antonio Skármeta, Amy Taubin, Gabor Vernon, Chad Wollen.
Quatrième film de Rainer, et certains disent son meilleur, est un essai sur le radicalisme et la réhabilitation.
Comment les politiques d'opposition sont-elles mises en avant par leurs partisans et neutralisées par l'État ? Les radicaux sont ceux qui exposent les tendances répressives cachées dans une société. Leurs tactiques sont criminalisées, la politique psychologisée et les réformes bureacratisées.
Le film de Rainer remet en question la double réhabilitation (soins/contrôle psychiatrique), l'efficacité du radicalisme et les motivations politiques et personnelles conflictuelles.
La technique de l'essai collage de Journeys est parallèle à l'investigation de ces conflits sur le plan formel. Elle tisse les histoires d'anarchistes russes du XIXe siècle ; la mise en scène de l'identité telle qu'elle se produit lors d'une analyse thérapeutique, de l'écriture d'un journal intime ou de la préparation d'un repas ; et le destin de la Fraction armée rouge (bande Baader-Meinhof), qui a révélé la nature précaire et forcée des libertés démocratiques de l'Allemagne de l'Ouest dans les années 1970.
Avec Annette Michelson, Amy Taubin, Vito Acconci, Cynthia Beatt, Ilona Halberstadt, Vernon Gabor, Yvonne Rainer et bien d'autres.
Journeys From Berlin/1971 (1980), sa méditation épique sur la psychanalyse, les Baader-Meinhof, le féminisme et la Russie pré-révolutionnaire. Berlin trouve sa star improbable en la personne d'Annette Michelson, une universitaire à la voix fluette, dont les séances de psy à flux tendu dénichent des joyaux à tête d'œuf. "Ma chatte n'est pas une bite castrée", proteste Michelson. "Au contraire, c'est un trou du cul sans coeur."
Lorsqu'Yvonne Rainer réalise son premier long métrage en 1972, elle a déjà influencé le monde de la danse et de la chorégraphie depuis près de dix ans. Dès le début de sa carrière cinématographique, elle a incité les spectateurs à réfléchir à ce qu'ils voyaient, en entremêlant le réel et le fictif, le personnel et le politique, le concret et l'abstrait de manière imaginative et imprévisible. Sa sensibilité féministe audacieuse et ses sujets souvent controversés, agrémentés d'un humour décalé, ont fait d'elle, comme le Village Voice l'a surnommée en 1986, "la cinéaste d'avant-garde américaine la plus influente de ces douze dernières années, avec un impact aussi évident à Londres ou à Berlin qu'à New York".NO to spectacle.
No to virtuosity.
No to transformations and magic and make-believe.
No to the glamour and transcendency of the star image.
No to the heroic.
No to the anti-heroic.
No to trash imagery.
No to involvement of performer or spectator,
No to style.
No to camp.
No to seduction of spectator by the wiles of the performer.
No to eccentricity.
No to moving or being moved.TRIO (the mine is a muscle) 1966, extract film 1978
Privilege, de Yvonne Rainer, Images Mark Daniels, Montage Christine Le Goff, Yvonne Rainer
Privilege commence par une exploration documentaire du sujet tabou de la ménopause et poursuit en explorant la médicalisation et la banalisation historiques des femmes lorsqu'elles dépassent l'âge de la maternité. Il est clair que l'âgisme y est pour quelque chose, mais Privilege n'adopte pas une mentalité de victime dans son exploration, élargissant plutôt son regard pour considérer les nombreuses formes concurrentes de discrimination qui existent dans notre société.
Privilege passe ingénieusement du documentaire à la fiction et inversement, en jouant sur les effets de l'âgisme, du sexisme et du racisme les uns contre les autres.
Il en résulte une critique sociale extrêmement large et convaincante qui va au cœur des relations de pouvoir concurrentes que nous négocions tous chaque jour. En cela, Rainer nous présente l'image d'un monde infusé de pouvoir où toutes nos possibilités dans la vie sont médiatisées par différents niveaux de privilèges sociaux largement déterminés par des stéréotypes sociaux arbitraires. Ce sujet exige un public actif, car les spectateurs se rendent compte que les applications réelles des idées soulevées par Rainer sont infinies.Espace, corps, langue or Raum, Körper, Sprache : video Yvonne-Rainer, 2012.
Entretiens-conférence Yvonne Rainer-Paris > I 2 3 4 5 6 7
Yvonne Rainer est née à San Francisco en 1934. Elle a suivi une formation de danseuse moderne à New York à partir de 1957 et a commencé à chorégraphier ses propres œuvres en 1960. Elle est l'un des fondateurs du Judson Dance Theater en 1962, le début d'un mouvement qui s'est avéré être une force vitale de la danse moderne dans les décennies suivantes. Entre 1962 et 1975, elle présente ses chorégraphies à travers les États-Unis et l'Europe, notamment à Broadway en 1969, en Scandinavie, à Londres, en Allemagne et en Italie entre 1964 et 1972, et au Festival d'Automne à Paris en 1972. En 1968, elle commence à intégrer des courts-métrages dans ses performances en direct et, en 1975, elle se consacre entièrement à la réalisation de films.
Filmographie
As director/writer:
Volleyball (Foot Film) (1967) shortHand Movie (1968) short
Rhode Island Red (1968) short
Trio Film (1968) short
Line (1969) short
Lives of Performers (1972) also performer, editor
Film About a Woman Who… (1974) also performer, narrator, editor
Pour lire le film entier clique-ici > https://ubu.com/film/rainer_woman.html
Kristina Talking Pictures (1976) also performer, editor
Journey from Berlin/1971 (1980) also performer, editor
The Man Who Envied Women (1985) also performer, editor
Privilege (1991) also performer, editor
MURDER and murder (1996) also performer, editor
After Many a Summer Dies the Swan: Hybrid (2002) short, also producer, editor
Bioggraphie/biography d'Yvonne Rainer
Lien livre sur le Judson Dance Theater
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Charlotte, Lotte Reiniger film director, portrait point to point
Die Abenteuer des Prinzen Achmed -Les Aventures du prince Ahmed-Las aventuras del príncipe Achmed
Aventures magiques de prince et princesse inspirées des contes des mille et une nuits. Voyageant sur un cheval volant le prince Ahmed rencontre amour magie et démons qui l'emportent dans les pays lointains à la rencontre d'aventures merveilleuses avant de retrouver ses proches avec sa princesse.
La réalisation en 1926 + de ce premier long-métrage d’animation de l’histoire du cinéma fut le résultat d'une association de personnalités tels Carl Koch, Walter Ruttmann, Berthold Bartosch qui ont participé à ce merveilleux film d'animation construit avec des silhouettes de papiers découpés pour faire 100 000 images filmées en noir et blanc dont les négatifs seront trempés dans un bain de couleur pour être colorisés.
Arlequin de Lotte Reiniger 1931.
Papageno de Lotte Reiniger 1935 l'oiseleur de La Flûte enchantée de Wolfgang Amadeus Mozart
Rome, Lotte Reiniger et Carl Koch
The Art of Lotte Reiniger Document
The Star of Bethléem, animation d'un conte de Noël conçut par Lotte Reiniger et Carl Koch en 1950 avec traversée du désert rois mages et étoile polaire.
The Rose and the Ring Lotte Reiniger et Patricia Martin, 1979.
+ d'infos
Lotte Reiniger La Cinémathèque québécoise
Hansel and Gretel Lotte Reiniger
Tanz der Schatten Lotte Reiniger
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Carolee Schneemann Eye Body: 36 Transformative Actions, 1963/2005 Photography: Erro
Carolee Schneemann Eye Body 1963/2005
Carolee Schneemann Meat Joy 1964 Photographie
Carolee Schneemann Meat Joy 1964 6 min, color, sound, 16 mm film
Carolee Schneemann Viet Flakes 1965 7' b/w
Carolee Schneemann Snows. Extraits des images filmées par Alfonse Schilling au Martinique Théater de New york en 1967. La colère, l'indignation, la rage et la douleur vis à vis des atrocités de la guerre du Vietnam motivèrent cette action mixant théâtre performance projection diapositives films… engageant une dynamique collective qui contrastait avec l'absence de texte et musique.
Carolee Schneemann, Up To and Including Her Limits (1976)
Carolee Schneemann Devour, 2003-04 Multi-channel video installation Variable dimensions Installation view: Galerie Lelong , New York, 2016.
www.frompointtopoint.com thanks links + infos Links books artists Charles Bernstein CAROLEE SCHEEMANN ubu web contact robert morris SITE 64 The end of being ®© studio point to poin Page en cours