• Raphaëlle Paupert-Borne "Marche dans la neige, Apnée 2003", extrait vidéo.

    Un corps rouge monte dans la surface blanche, pas en pas, bas à haut le son de sa marche nous le tombe dans les oreilles.
    Les deux pieds se multiplient. Les quatre pattes poussent le vertige et s'emmêlent. Le corps coule et se précise, à nous découvrir qu'il est ; le fantôme, le clown des neiges qui remonte au sommet. Jean Légère

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    Documents d'artistes

    Biographie de L'artiste

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  • Andres Serrano-Portraits

    Ce dimanche 17 avril 2011, en Avignon ; jour de certitude chrétienne ; de communion pour les catholiques. Jour où le catholique mange en partage le corps imbibé du sang du divin fils qu'un Père leur a sacrifié. C'est en ce jour, symbole de la joie, gorgée de la purification intérieure que des vandales ont choisis d'agresser les hommes et les œuvres de la Collection Lambert qui présente actuellement l'exposition "Je crois aux miracles" de l'artiste Andres Serrano.

    Andres Serrano - Shit of Bull-Merde de Toros, Bullshit-Conneries– 2007

    Andres Serrano aborde la matière photographique avec art. Ce créateur pratique couleurs, lignes et masses à partir de modèles temporels en arrêtant sa caméra sur les fonctions organiques quotidiennent pour traduire ses idées. Les photographies que l'artiste présentes aux expositions depuis de nombreuses années permettent à chacun de regarder, et, ainsi s'il le désire, s'en nourrir intellectuellement. Tout cela est mis en place dans des formats précis qui se répartissent sur des murs aux présentations choisies en accord avec les pratiques artistiques séculaires. Des rouges, des jaunes, des blancs avec la représentation trouvée d'un célèbre crucifié ; voilà pour la surface du doute.   Les œuvres de Andres Serrano ne sentent pas la pisse de grand mère comme le dit mon copain Raymond.

    Andres Serrano - Immersion Piss Christ, 1987

    -Si, face à l'idéologie plastiques proposés par l'artiste : une photographie couleur, de 1987, un cibachrome de 152,4 x 101,6 cm dans un cadre sous verre,  rationnellement nommée "Immersion Piss Christ" en référence à sa génèse fonctionnelle, il semble difficile à d'incertains croyants de laisser la porte ouverte à l'exploration, préférant se réserver à la résurgence d'un rituel cannibale synthétisé en la pastille vierge au goût de vin blanc : Eucharistie!

    -Si, il n'est d'aujourd'hui de constater que la présence d'une œuvre est incompréhensible aux "ténébreux" ; ceux-ci ne percevant de la matière proposée que les sollicitations réfléchies de leur médiocrité. Il n'est pas rare, actuellement, que soient agressés les lieux de liberté. "Le pensant de biens" manifestant son incrédulité vis à vis de la fécondité proposée. Ainsi, le convaincu de ce qui définit sa respectabilité, avec l'autorité du civilisé concentré, avance en vandale sur ce qui fait ombrage à sa vertu pour réaliser sa mission de cœur : détruire.

    Il est recevable de qualifier ses délateurs de fourbes géniteurs sur-fixés de bêtise.

    Pour Andres Serrano, cette représentation du Christ, n'est pas une œuvre blasphématoire ; mais un travail sur le rapport entre les humeurs du corps, au cœur même de la religion chrétienne (sang, lait, larmes, etc.) et l'aspiration mystique, entre humanité et divinité. On peut souligner que des certaines œuvres d'artistes célèbres qui honorent nos musées sont réalisées avec de sperme ( Salvador Dali - Lucas Samaras) - d'urine ( Beuy's) (McLure) - de Merde Gérard Gasiorowski, Dieter Roth, Piero Manzoni, que Pierre Alechinsky travail des peintures avec un pinceau de poils du pubis d'une vierge, qu'un des acteurs de "Théorème " incarnant le fils, urine sur les toiles dans le film de Pier Paolo Pasolini … etc... Soulignons que l'urine est un antiseptique précieux conseillé pour le nettoyage des toiles bithumées. sIc : Livres de pratiques et méthodes de restauration.

    Andres Serrano - portrait couleurs en cliquant sur l'image.

    Il est de soit que l'on partage la peine d'Yvon Lambert qui depuis de nombreuses années par son action et ses engagements soutient les libertés plastiques qui favorisent généreusement les discutions humaines. AMEN

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    article Libération

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  • "double Cross / something wild" Studio point to point.

    "Prétexte" Morton Feldman Something wild of the City.

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    Biographie M. Feldman     Musiques M. Feldman    © studio point to point

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  •  

    Docteur Mabuse le joueur, Doktor Mabuse, der Spieler de Fritz Lang 1922
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    Docteur Mabuse le joueur (Doktor Mabuse, der Spieler) est un Film allemand en deux parties de Fritz Lang sorti en 1922.

    D'après le roman de Norbert Jacques - Images : Carl Hoffmann (et Erich Nitzschmann pour le second négatif) - Réalisation : Fritz Lang - Carl Stahl-Urach, Otto Hunte, Erich Kettelhut, Karl Vollbrecht - Costumes : Vally Reinecke - Production : Uco-Film - Format : Noir et blanc - 1,33:1 - muet - 35 mm - Durée : 297 minutes les 2 parties restaurées.

    Distribution : Rudolf Klein-Rogge : le docteur Mabuse -  Aud Egede Nissen : Cara Carozza, la danseuse - Gertrude Welcker : la comtesse Told - Alfred Abel : le comte Told - Bernhard Goetzke : le procureur von Wenk - Paul Richter : Edgar Hull - Robert Forster-Larrinaga : Spoerri

    Le Testament du docteur Mabuse, Das Testament des Dr. Mabuse de Fritz Lang 1933
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    D'après le roman de Norbert Jacques, Scénariste Thea Von Harbou. Réalisation Fritz Lang. Premier film parlant de Fritz Lang

    Distribution : Oscar Beregi Sr. : Dr. Baum - Rudolf Klein-Rogge : Dr. Mabuse - Paul Bernd : Maître-chanteur - Henry Pleß : Bulle -  Gustav Diessl : Thomas Kent - Paul Henckels : Lithographe - Vera Liessem : Lily - Oskar Höcker : Bredow - Georg John : Le domestique de Baum - Adolf E. Licho : Dr. Hauser - Theo Lingen : Karetzky - Theodor Loos : Dr. Kramm - Karl Meixner : Hofmeister Klaus Pohl : Müller - Rudolf Schündler : Hardy - Ludwig Stössel : Travailleur - Otto Wernicke : commissaire Lohmann 



    Le Diabolique docteur Mabuse, Die tausend Augen des Doctor Mabuse de Fritz Lang 1960

    D'après le roman de Norbert Jacques. Réalisation Fritz Lang.
    Distribution : Peter Van Eyck : Henry B. Travers - Dawn Addams : Marion Menil - Wolfgang Preiss : Prof. Dr. S. Jordan / Peter Cornelius / Dr. Mabuse - Gert Fröbe : Commissaire Kras - Werner Peters : Hieronymus B. Mistelzweig - Reinhardt Kolldehoff (VF : René Arrieu) : Roberto Menil alias 'Klumpfuß'  - Andrea Checchi : Hoteldetektiv Berg - Howard Vernon : No. 12.


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  • Raphaël Zarka vue exposition

    Raphaël Zarka Forme à clés, sculpture Courtesy Galerie Michel Rein

    Raphaël Zarka Photographie (Skater on Clara Clara)

    QUI SERA LE MAÏTRE ? WHICH IS TO BE THE MASTER ?

    Extrait video du Film de Sylvain Robineau

    Ecrit et filmé par Sylvain Robineau, avec la collaboration de Guillaume Noyelle.
    Trucage et graphisme de Sébastien Aubert, mixage son de Charli "Circus" Masson.
    Produit par Canam Production, avec le soutien de Centre Images.

    Avec :
    Guillaume Noyelle (le skater), Raphaël Zarka ("la Conjonction interdite, notes sur le skateboard", éditions fsept), David Azencot (Journaliste Radio Campus Paris), Frédéric Boucaumont (voix off radio), Laura Chetrit (Laura), Ian Faure (Ian), Sylvain Robineau (le taxi), Arnaud Dedieu (Arnaud), Soy Panday et Julie Castéran (les danseurs du Samedi soir).

    Le skateboard est à la fois un moyen de locomotion et un outil de jonglage fabuleux. La ville, formidable aire de jeu pour le skateur, est aussi la scène où évoluent les quatre personnages de ce film.Raphaël Zarka, artiste et auteur de deux livres sur le skatebaord, expose à la radio sa vision et sa conception du skateboard. Soudain un flash interrompt l'émission: le faux taxi parisien rode toujours, deux filles ont disparu après être montées à son bord.

    Une jeune femme, Laura, a renoncé à sa relation avec Ian. Celui-ci nourrit une passion qui selon elle a "décrochée le premier rôle". Elle a une lubie, tous les samedis elle prend un taxi et collectionne les portraits de chauffeurs.Les propos de Raphaël Zarka à la radio alimentent la discussion de Laura et du taximan sur les relations amoureuses. Tandis qu'ils confrontent leurs idées et traversent un Paris étrangement calme, un skateur en polo rouge parcourt la ville. Ian, lui, s'enferre dans sa nostalgie de Laura, il ferait tout pour la revoir et la reconquérir, et pour ça il a un plan.Qui sera le maître ?

    A skateboard is at the same time a means of locomotion and an incredible juggling tool. The city, wonderful playground for a skateboarder, is also the stage on which the four characters of this movie cross paths. Raphael Zarka, artist and author of two books on skateboarding, explains on a radio show his perception and outlook on skateboarding. Suddenly, a news report interrupts the show : the fake cab driver is still prowling, two girls have disappeared after being mounted on board.

    A young woman, Laura, has renounced to her relationship with Ian. He is absorbed with a passion which, according to her, has taken the leading role. She has a strange habit, every Saturday she takes a cab and collects portraits of cab drivers. The words of Raphael Zarka, overheard on the radio, are feeding the conversation between Laura and the cab driver on romantic relationships. While they are confronting ideas and driving through a surprisingly calm Paris, a skateboarder in a red polo shirt is roaming around the city. Ian, for his part, is trapped in the nostalgia of his relationship with Laura. He would do anything to see her again and win her back, and for this, he has a plan. Which is to be the master?

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  • Eat shit and died 33,5 X 33,5 In 85 X 85 cm - 2005 ayant appartenu au Photographe Shawn Mortensen 1965/2009.

    Dash A. Snow (1981/2009), est né sous les feux de l'amour dans les cadres dorés des Menils entouré des peoples Thurmans. Il y développera, dès l'enfance, une pathologie rebelle qui le classe "marginal" dans le groupe familiale. La tension vitale, déclarée, asociale du jeune et agité Dashiel A. l'engage à se réfugier vivement dans les rues et fiestas de New York où foisonnent des rencontres fortuites, destroys et amicales avec lesquelles il partagea fric délires et expressions plastiques. Ainsi, murs peints, photographies, dessins et installations reliés aux multiplications numériques se réaliseront par des moyens pratiques générationnels et populaires consommables.

    Une mélancolie se dégage de la forme de ce travail qui s'étale en exacerbant le flash de l'instant copié, pouvant être lu par le témoignage/journal note c'est transport. La place du bouffon que Dash Snow met en acte par la représentation "clichée" incluse dans la bonne société déclarée qui le nourrit, le contraint à jouer dans son image/réseau un rôle de façon attentive et productive. Ces répétitions initiatiques de fils à la gloire du divin capital qu'il ne peut vivre l'entraîne à participer à l'inéluctable du programme : la disparition. M. Pelana

    Nuit de fumée, 2h30 Portrait - Hommage à Dash Snow de Seb Jarnot

    Untitled for the dog calendar 12,6 x 9 in 32 x 23 cm - Circa 1990 Collection personnel FPTP.

    Plus d'infos

    Dash Snow interview

    Dash Snow Saatshit Gallery

    DASH_SNOW_Extract 1981/2009 Biography-Biographie.pdf

    Origninal Picture for Dash Snow

    Citer Brassaî, Annelies Marie frank, Keith Haring, Uma Thurman, Raoul Hausmann, Graph From point, Andy Warhol

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