• PATTY SMITH

    Poème "Brian Jones" 1972

    "I grabbed Brian Jones' ankle once. It was in 1964 and they were playing with Patti Labelle and the Bluebelles in a high school auditorium in South Jersey.
    … Mick Jagger looked very nervous. The funniest one was Keith because he was really young and nervous and his ears were big and he had pimples and his teeth were kind of bucked and cute. But I loved Brian Jones. He was sitting on the floor playing one of those Ventures electric sitars, and these girls kept pushing me and pushing me. They pushed me right on the stage and then I felt myself going under and I was gonna be trampled and out of total desperation I reached up and grabbed the first thing I saw; Brian Jones' ankle. I was grabbing him to save myself. And he looked at me. And I looked at him. And he smiled. He just smiled at me. (sigh) My Brian Jones story. " Patti Smith.

    "J'ai attrapé la cheville de Brian Jones fois. C'était en 1964 et ils jouaient avec Patti Labelle et les Bluebelles dans un auditorium de l'école secondaire de South Jersey.
    …Mick Jagger avait l'air très nerveux. Le plus drôle était Keith parce qu'il était vraiment jeune et nerveux. Ses oreilles étaient grandes et il avait des boutons et ses dents étaient un peu résisté et mignon. Mais j'ai adoré Brian Jones. Il était assis sur le sol joue un de ces sitars Electric Ventures, et les filles ne cessaient de me pousser et de pousser. Ils m'ont jetté à droite sur la scène et ensuite j'e me suis senti partir. Jallais être piétinés et dans le désespoir le plus complet j'ai atteint et prise la première chose que j'ai vu ; la cheville de Brian Jones. Je lui tenais pour me sauver. Et il m'a regardé. Et je l'ai regardé. Et il sourit. j'ai sourit. c"est mon histoire avec Brian Jones " Patti Smith.

    Patricia Lee Smith "Portrait" Studiopointtopoint

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    pousuivre la petite histoire de la cheville de Brian Patti

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  • Claude Caillol Peinture

    Aux origjnes Aubanaises, Claude Caillol a réalisées des études d'Arts dans le sud de la France, à Marseille et de Nîmes. Claude Caillol et Judith Bartolani travailleront de concert de 1988 à 2001. Sur la durée, ils produirons des œuvres plastiques qui seront signées des deux parties comme étant la somme de l'un : Sculptures, photographies, décors de films, vaisselles et couverts figureront dans les galeries, fondations, Particuliers et musées comme l'antidote de la pratique des tâcherons de support et de surfaces* , intention qu'ils partageront avec les joyeuses jetées artistiques de Présence Panchonette, Patrick Saytour, Alain Séchas, Pierrick Sorin, Peter Fischli et David Weiss, Paul Mc Carty…

    En 2002, ses deux humides moitiés de cerveaux de Claude Caillol jouent solo pour réaliser des films et actions qui déplient la question de la CHOSE : Le pensé sans art, articulé, avec le dépensé artistique. Réunissant sens et mal-sens, l'objet produit avec des mains de maître des figures de formes couleurs qui simplement donnent du petit bonheur*.

    Depuis 2004, Le plastique et sa forme sac ; sont travaillés par l'artiste. Sa pratique de l'objet ouvre le contenant et annule la tare. La surface suffit. Son motif est son impression… De visu on est époustouflé par le ratio entre la simplicité de départ et la simplicité d'arrivée qui se colle de par la surface vue à l'incongruité de notre raison. Comme si la mécanique industrielle numérisée contrôlée, définissable, infalsifiable …, l'énorme machine à foutre avait été absorbé, digéré, déféqué par un lilliputien pour extraire de ce qu'elle n'avait pas activé et qui la nomme : Peinture.

    Étrange acte qui provoque l'extraordinaire de la rencontre du quantifié qui s'annule au profit du sublime. "suite ¥ Bag" Texte à re-voir. Michael Pelana


    Claude Caillol Plastic Collection Marni 2010

    L'un des plus créateurs de mode visionnaires de notre temps, Consuelo Castiglioni, directeur de création chez Marni à invité le célèbre peintre Claude Caillol au siège de Milan pour contribuer à la renommée de son entreprise.
    Celui-ci à personnalisé les sacs pvc en utilisant les motifs divers abstraits ou figuratifs travaillé par la marque. Ceux-ci furent imprimés et les poignées et logo ajoutés. Hugo Hase

    Britney Gilbert - Vogue - Haute World - The flash Pack - Marni - Le Parisien

    Marni présente un collection Hiver 2010 créée en collaboration avec Claude Caillol

    La marque italienne de prêt-à-porter, Marni, a fait appel au plasticien français Claude Caillol pour illustrer des sacs, des tee-shirts et des robes de son édition Hiver 2010. Ces modèles Plastic Collection sont d'ores et déjà disponibles et une installation est présentée au Bon Marché à l'occasion de leur lancement.Claude Caillol est, notamment, connu pour ses dessins abstraits et poétiques réalisés sur des sacs en plastique recyclé. Marni, la marque fétiche des Japonaises, lui a demandé d'exercer son art sur certains de ses modèles Hiver pour un projet baptisé Plastic Collection. Les sacs cabas en PVC originellement destinés à emballer les achats en ligne ont été utilisés comme toile ensuite customisée avec une série de motifs. Leurs poignées ont, elles, été habillées de cuir clouté. Des tee-shirts et des robes en jersey de coton traité avec un enduit transparent donnant un aspect PVC ont, également, été imaginés. A noter qu'une installation conçue par Claude Caillol est actuellement présentée en exclusivité au Bon Marché à l'occasion du lancement de la collection. Les modèles Plastic Collection réalisés pour l'Edition Marni Hiver 2010 sont disponibles dans les boutiques Marni et dans les points de vente de la marque dont le Bon Marché et le Printemps Haussmann. Prix : robes à partir de 250 euros, tee-shirts à partir de 125 euros et sacs à partir de 140 euros Site : www.marni.com

    Peinture Rhinocéros de Claude Caillol visible à la galerie From point to point de Nîmes

    Biographie

    Expositions individuelles

    2011 un monde merveilleux Récréateurs Saint-Denis La Réunion

    2010 Claude Caillol - Galerie Bernard Ceysson - Paris, Paris

    2008 Claude Caillol - Galerie Bernard Ceysson - Saint-Etienne, Saint-Etienne

    1984 Claude Caillol - Musée d'art moderne de Céret, Céret

    Expositions de groupe

    2009 Thema 01 / objet / sculpture - Galerie Bernard Ceysson - Luxembourg, Luxembourg

    2008 Supports/Surfaces - Galerie Bernard Ceysson - Luxembourg, Luxembourg

    2007 Ligne B - Connexion aux Abattoirs - les Abattoirs de Toulouse, Toulouse

    2003 Collections sans frontières - Galleria Civica d´Arte Moderna e Contemporanea - GAM, Turin

    2001 Le CIRVA a 15 ans, Galerie d'Art du Conseil Général des Bouches-du-Rhône, Aix-en-Provence.

    2000 Judith Bartolani / Claude Caillol – Neue Arbeiten - Krings-Ernst Galerie, Cologne

    1999 Tendance - Abbaye St André - Centre d'art contemporain Meymac, Meymac

    Sculptures propositions, Musée des Beaux-Arts Denys Puech, Rodez.

    L’art du fin fond - Judith Bartolani et Claude Caillol, Centre d’Art Moderne, Montreuil.

    Five easy pieces, Galerie de l’Ecole supérieure des Beaux-Arts, Marseille.

    Hypothèses de Collection, organisée par le FRAC Provence-Alpes-Côte d’Azur, Musée du Luxembourg, Paris.

    1998 ALBUM - A selection from the Fondatión Cartier pour l’Art Contemporain - Fundación Joan Miró, Barcelone

    1997 Coincidences - Fondation Cartier pour l'art contemporain, Paris.

    1996 Faut pas rêver... , Fondation Vasarely, Aix-en-Provence.

    1995 Conquête de l'espace, Musée du Petit Palais, Avignonn.

    1994-1995 L'art du fin fond », FRAC Provence-Alpes-Côte d'Azur, Marseille / Galerie Krings-Ernst, Cologne (Allemagne).

    1994 le verre, manières de faire », Musée d’Art Moderne de Taipei (Taïwan).
    le verre, recherche et création de France, Centre d’art de Séoul (Corée du Sud) ; Musée d’art Meguro, Tokyo (Japon) CIRVA .

    1993 le verre, manières de faire, Musée du Luxembourg, Paris.

    1991 Judith Bartolani - Claude Caillol : Neue Arbeiten, Galerie Krings-Ernst, Cologne (Allemagne).
    Kunst, Europa - Frankreich », Kunstverein Ulm, Ulm (Allemagne).

    1990 Le désenchantement du monde, Villa Arson, Nice.

    1989-1990 Bartolani/Caillol Galerie Krings-Ernst, Cologne (Allemagne)

    1989 Zone libre, Hall du Centre National des Arts Plastiques, Ministère de la Culture, Paris.


    Collections publiques

    FRAC - Franche-Comté, Besançon
    CAPC - Musée d'art contemporain, Bordeaux
    FRAC - Provence-Alpes-Côte d’Azur, Marseille

     

    Publications

    Zone libre Centre National des Arts Plastiques, 1989.
    ISBN : 2-86895027-2

    Ni rond, ni carré, ni pointu
    Édition Fondation Cartier pour l´art contemporain, Jouy-en-Josas, 1989

    ISBN : 2-86925-023-1
    Kunst, Europa - Frankreich - 63 deutsche Kunstvereine zeigen Kunst aus 20 Ländern, Allemagne, 1991.
    L’art du fin fond - Die Kunst des Inneren, Bik & Book édition, 1994.
    ISBN : 2-909787-02-8
    L'art du fin fond, Images en Manœuvres Editions & Ecole supérieure des Beaux-Arts de Marseille, 1999.
    ISBN : 978-2-908445-33-6
    le verre, manières de faire, Musée d’Art Moderne de Taipei, 1994,CIRVA
    le verre, recherche et création de France, Centre d’art de Séoul, 1994 ; Musée d’art Meguro, 1994.
    Coïncidences, Fondation Cartier pour l'art contemporain, 1997.
    ISBN : 978-2-86925-059-2
    Le CIRVA a 15 ans, Actes Sud, 2001.
    ISBN : 2-7427-3165-2

    Claude Caillol Monographie 2008/09

    Galerie Bernard Ceysson galerie Thomas Krings-Ernst et Lerka (espace de recherche et de création en arts actuels)


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    Site From point to point Gallery page Claude Caillol

    L'artiste travail  Oh, terre bien-aimée de nos ancêtres, À Madagascar 

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  • La Tour-d'Aigues (Vaucluse) - Voici seulement sa deuxième édition, organisée du 11 au 14 août, au château de La Tour-d'Aigues (Vaucluse), bourgade située entre Pertuis et Manosque, mais déjà le festival Jazz à La Tour s'impose comme l'un des rendez-vous musicaux à ne pas manquer en août : pour son site, sa programmation - des musiciens d'ici et d'ailleurs qui cherchent et qui trouvent -, l'attention de l'équipe à servir la musique par le son, les éclairages, l'accueil des artistes comme du public. Derrière cela, l'efficacité tranquille de l'Association pour le jazz et la musique improvisée (AJMI) d'Avignon, présidée par Jean-Paul Ricard. Mot d'ordre fondateur : "Et le jazz bordel !" Sous-titre : sans barrières stylistiques.

    Dans la cour d'honneur du château, dont il reste suffisamment d'éléments (chapelle, tours, terrasse, façade d'entrée, pavillon...) pour qu'on puisse le reconstruire dans sa tête, la scène est installée presque à ras de terre, avec des gradins pouvant accueillir un peu plus de huit cents personnes. Samedi 13 août, jour de pleine lune, les reliefs des pierres sont intensifiés par des lumières orange, un peu de pourpre, un trait rouge. Graphiquement respectueux du lieu. C'est là que l'on a entendu Solo pour trois, création du Guillaume Séguron Trio, et le groupe Ursus Minor. Soirée parfaite.

    Des premiers, un peu gênés par un souffle venteux qui fait plier les partitions, il faut louer la passionnante écriture d'entrelacs rythmiques et mélodiques, l'exigeante interprétation. En deux suites - la seconde pourrait être resserrée - Guillaume Séguron, contrebasse, Patrice Soletti, guitare, et Lionel Garcin, saxophone, jouent avec les notions de répétition et de superposition, créant des mouvements en courbe, poussés par un beau sens de la dramatisation musicale.

    Les rôles des instruments sont changés. On perçoit des timbres, des couleurs, proches des inquiétantes progressions en boucles, marque de Jimmy Giuffre avec le groupe de prog-rock King Crimson. N'est pas loin non plus la douce élégance des trios sans batterie de Jimmy Giuffre (1921-2008), homme du jazz pas dédaigneux d'autres musiques, en particulier de la country - racines texanes, on ne se refait pas. La référence est plus nette : le trio joue en rappel, superbement, dans l'exacte durée, The Green Country (New England Mood) dudit Giuffre.

    Sur le premier temps

    Entracte. De la terrasse, derrière la scène, ouverte au public, on aperçoit des terrains de vignes, des forêts, le dessin d'une rivière, le soleil couchant. Discussions tranquilles. Et bam ! Ursus Minor. Jazz (dans son lien à l'improvisation), hip-hop, avec ses deux voix en flots libérés, raffiné (aux claviers Tony Hymas, qui va du romantisme classique aux emportements les plus claquants du rock), puissant. Et surtout funky à souhait, même en y mêlant le dub reggae ou une pesanteur blues.

    Pour ça, il y a les six-cordes de Mike Scott, qui prend des poses de guitar-hero, et la précision d'attaque et d'impulsion du batteur Q (accentuation sur le premier temps, la marque funk). Au baryton, François Corneloup tricote riffs et ornements. Et l'on découvre la chanteuse Desdamona, voix soul et rap très prenante.

    Dans la matinée de dimanche, Lionel Garcin et Laurent Charles montaient dans les arbres avec leurs saxophones. Drôles d'oiseaux partis dans les cimes conjuguer écriture (des partitions de Messiaen) et improvisation (à partir de relevés à la source animalière). Une invisible surprise pour les promeneurs autour du château du jazz.

    Sylvain Siclier - Envoyé spécial du QUOTIDIEN LEMONDE

    Merci à Sylvain Siclier dont son précis et sympatique  texte reproduit ici a fleuri de couleurs et de liens.

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  • Gustav Machatý

    Erotikon "Seduction" de Gustav Machaty 1929

    avec Karel Schleichert, Ita Rina, Olaf Fjord

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    Экстаз Густав Махаты

    Ekstaz, Extase , Ecstasy, Symphonie der Liebe, Symphony of Love by Gustav Machatý

    avec Hedy Lamarr, Aribert Mog, Zvonimir Rogoz, Leopold Kramer, musique Giuseppe Becce

    + infos

    Gustav Machatý
    © studio point to point XXI°

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  • Carte/map Maine et Loire et devise Angevine : D'ange et de Loire je coule mes bronzes    

    C’est l’été
    Les mois de fée
    C’est Juillet
    Le mois du gai
    C’est Août
    Et j’en suis  fol
    C’est la fin
    Dès le matin.
    Tu t’en vas

    Chantant mon gas
    Nos amours et caracoles
                                     Jean Dorat  Écrits de Loire.

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    Un département où il n'ai pas facile de rencontrer des expositions  d'art contemporain. Voir les agendas culture 49 et  Paris art 49  Le département serait-il soumis : À la région ? À l'état ? À la paresse ? À l'ignorance de ses dirigeants politiques et culturelles ? Au point de nier les pensées des créateurs de son temps. Pourquoi Morellet, Sanejouand qui sont ancré dans le XX° siècle, vivant dans ce département qui ont des représentations internationales dans les principaux musées du monde, n'ont-ils généré le dynamisme efficaces auprès des investisseur d'idées… L'intérêt pour la création de structures  jeunes et visibles serait un signe favorable aux reconnaissances du monde de demain qui semble bien cloisonné en Maine et Loire.  Suicides-Maine_et_Loire-2011-49.pdf

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