• Grève de la joie, Exposition du Fond Régional des Pays de la Loire

    Avec

    Michel Aubry, Sven Augustijnen, Stéphane Dafflon, Jeremy Deller, Wim Delvoye, Eric Duyckaerts, Ernest T., Hans Peter Feldmann, Thomas Huber, Ange Leccia, David Medalla, Petra Mrzyk & Jean-François Moriceau, Guillaume Paris, Kristina Solomoukha, Hervé Télémaque, Jean-Luc Vilmouth… Artistes Contemporains. Commissaire : Laurence Gateau, agencement des espaces réalisée avec les collections des œuvres du FRAC PL et du CNAP Paris.

    Cette exposition Grève de la joie emprunte son titre à une expression utilisée par Simone Weil, (Philosophe 1904-1943 voir texte pdf la condition ouvrière en bas de page), pour qualifier les grèves ayant suivi la victoire du Front Populaire au printemps 1936 qui aboutiront notamment à l'obtention des premiers congés payés. Ceci fait le pendant à l'expression Crève de ta misère qui fut abondamment répendu lors de la troisième décennie du XX° siecle.

    Du 14 Juillet au 28 Août 2011

    à , Carquefou (Frac) et Saint Jean De Monts (Odysséa)

    1936, Charles Trenet compose "Y'a d'la joie"

    (1er Refrain:)
    Y a d'la joie bonjour bonjour les hirondelles
    Y a d'la joie dans le ciel par dessus le toit
    Y a d'la joie et du soleil dans les ruelles
    Y a d'la joie partout y a d'la joie
    Tout le jour, mon coeur bat, chavire et chancelle
    C'est l'amour qui vient avec je ne sais quoi
    C'est l'amour bonjour, bonjour les demoiselles
    Y a d'la joie partout y a d'la joie

    Le gris boulanger bat la pâte à pleins bras

    Il fait du bon pain du pain si fin que j'ai faim
    On voit le facteur qui s'envole là-bas
    Comme un ange bleu portant ses lettres au Bon Dieu
    Miracle sans nom à la station Javel
    On voit le métro qui sort de son tunnel
    Grisé de ciel bleu de chansons et de fleurs
    Il court vers le bois, il court à toute vapeur

    (2e Refrain)
    Y a d'la joie la tour Eiffel part en balade
    Comme une folle elle saute la Seine à pieds joints
    Puis elle dit:
    " Tant pis pour moi si j'suis malade
    J'm'ennuyais tout' seule dans mon coin"
    Y a d'la joie le percepteur met sa jaquette
    Plie boutique et dit d'un air très doux, très doux
    " Bien l'bonjour, pour aujourd'hui finie la quête
    Gardez tout
    Messieurs gardez tout"

    Mais soudain voilà je m'éveille dans mon lit

    Donc j'avais rêvé, oui, car le ciel est gris
    Il faut se lever, se laver, se vêtir
    Et ne plus chanter si l'on n'a plus rien à dir'
    Mais je crois pourtant que ce rêve a du bon
    Car il m'a permis de faire une chanson
    Chanson de printemps, chansonnette d'amour
    Chanson de vingt ans chanson de toujours. Pour Maurice Chevalier. Écoute clic.

    Carte-Map Loire Atlantique avec devise : Favet Neptunus eunti - Neptune favorise ceux qui partent. Pardont… ceux qui l'osent.

    Frac des Pays de la Loire
    Fonds régional d'art contemporain
    La Fleuriaye, Bd Ampère
    44470 Carquefou
    France

    t. + 33 (0) 2 28 01 50 00
    contact(at)fracdespaysdelaloire.com

    Odysséa
    67 Esplanade de la Mer
    85160 Saint-Jean-de-Monts
    Contact : Office de Tourisme
    T 0826 887 887
    accueil@saint-jean-de-monts.com


    La vie est à nous,excellent film (extrait, le final qui nous la chante la lutte FINAL ) du film de Jean Renoir 1936

    Voir dans les salles Jean François Taddéi et Mario Toran fe Carquefou

    l'exposition

    Animaux/Animots

    Avec les œuvres de du fond Régional d'art contemporain de Miquel Barceló, Marie José Burki*, Gregory Crewdson, Simone Decker, Marie Denis, Daniel Dewar & Grégory Gicquel, Erik Dietman, Aurélien Froment, Toni Grand, Trixi Groiss, Diango Hernandez, Peter Kogler, Oleg Kulik, Joyce Pensato, Xavier Veilhan, qui animent le mot à maux.

    Du 10.06 au 25.09.2011


    À propos du Frac des Pays de la Loire

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    Animaux-Animots-Exposition.pdf

    Témoignage 1936 des Sœur Bozi

    la condition-ouvriere - Simone-Weil 19041943 pdf

    Y a d'la joie 1936 Charles-Trenet mp3.zip

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  • Map of the United States taking the national currency, E pluribus unum (Out of Many, One) with photography (cut) "Derrick Cross & Friends" in 1982 by Robert Mapplethorpe, flag and devise.

    Carte des USA illustrée de la devise National, E pluribus unum (De plusieurs, un) avec la photographie "Derrick Cross & Friends" 1982 de Robert Mapplethorpe, Drapeau et devise.

    Great Seal US - Sceau des USA

    E pluribus unum > De plusieurs, un. Out of Many, One.

    Devise nationale

    Flag of the United States, Сучасний прапор, Знамето на САД, Flagge der Vereinigten Staaten, 美国国旗, アメリカ合衆国の国旗, Bandera de los Estados Unidos,

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  • Pierre Bourdieu Reconnaître

    Pierre Bourdieu

    Sociologie Sport de Combat Pierre Carles Pierre Bourdieu.

    Documentaire Pierre Carles suivit de 1998 à 2001 Pierre Bourdieu sociologue.

    La sociologie est un sport de combat risque de déconcerter ton public :  c'est la première fois que tu mets ta caméra au service de la personne filmée, alors que jusqu'à présent, tu t'en servais comme d'une arme de frappe.

    Pierre Carles : C'est vrai qu'en apparence ce film-là est très différent de Pas vu Pas pris. Je crois pourtant que ceux qui connaissent mon travail ne seront pas trop dépaysés. L'idée que j'avais en tête, quand j'ai commencé à tourner ce film, c'était de faire comprendre à travers les travaux de Pierre Bourdieu pourquoi il est utile de se méfier des apparences, des évidences, du sens commun, de tout ce qui est donné comme naturel par les médias, notamment la télévision. Or ces questions là, je me les posais déjà à propos de la manière dont fonctionnent les journalistes-vedettes du petit écran. Il y a donc une cohérence, me semble t-il.

    Après coup, on découvre même une sorte de parenté entre les préoccupations de Bourdieu et tes productions plus anciennes.

    Pierre Carles : C'est vrai que d'une certaine manière, mes petits films sur Domino's Pizza ou le chauffeur de Chirac, tournés pour " Strip-Tease ", abordaient des thèmes qui sont au cœur du travail de Bourdieu : l'aliénation au travail, la domination que l'on subit soi-même et que l'on fait subir aux autres.

    Loïc Wacquant : La différence est dans la forme d'écriture, mais il y a une continuité évidente entre le regard de Bourdieu et celui que tu portais toi même sur la société dans tes films précédents, un regard désenchanteur et espiègle de renard. Sans cette complicité assumée, je pense que Bourdieu n'aurait jamais accepté de te laisser faire ce film. Il est tellement réticent à tout ce qui peut être perçu comme du narcissisme que la simple existence de ton film est un miracle !

    Pierre Carles : Bourdieu a longtemps résisté à l'idée de ce documentaire et s'il a finalement accepté c'est presque à son corps défendant. Une de mes principales difficultés, c'était de ne pas tomber dans l'hagiographie sans pour autant réaliser un de ces reportages pseudo-objectifs où l'on donnerait la moitié du temps à Bourdieu et l'autre moitié à ses détracteurs, et dans lesquels il n'aurait pas vraiment la possibilité de développer ses analyses. J'ai essayé de le filmer sans complaisance mais sans chercher pour autant à dissimuler ma bienveillance à son égard.

    Tu n'as pas poussé très loin le viol de son intimité : jamais on ne voit Bourdieu ailleurs que dans sa sphère de travail.

    Pierre Carles : Quelqu'un m'a dit que j'avais filmé Bourdieu dans son intimité... au travail. Mais c'est une façon de parler. Je ne suis pas sûr d'avoir réussi cela. Le travail intellectuel ne se manifeste pas de façon visible et spectaculaire. Il n'y a jamais de " Eureka ! " Lire +  Clique ici.

    La sociologie Sport de combat Pierre Carles Pierre Bourdieu

    Poster rouge. La Sociologie est un Sport de Combat de Pierre Carles avec un objet : Pierre Bourdieu.

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    " Sur La Télévision " Recherches au collège de France

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  • Pyrénées atlantiques carte et devise  Touche-Y si tu l'oses. Toco y se gausos.

    La pornographie présente avec intention, sexe et calcul, dans le but de favoriser la répétition d'un l'acte qui entraîne un échange mécanique de vide à plein avec vice et versa. Hors des formes policées de la société qui la cloisonne, sur sa marge, pour raison d'immoralité sociale, la pornographie perdure sans se soucier de l'effort de son sujet : la re-présentation du consommable. (définition M.P.)

    Si pour des raisons qui chatouillent, le dé-pensé ; le pornographique est mis en avant par Jean Baudrillard comme sujet de l'image du miroir, où se refléterait "l'image art" : C'est pour en extraire un "transesthétique", une vision où il n'y a voir que la qualité du nul : discourt ; et, qualité de masses : consommation. Un/une "Transesthétique" qui serait déterminé par la transparence du sexe obtenu de l'obscénité transsexuelle qui aurait permis le rassemblement de la politique, de l'économie, de l'information associés à une "ambiance dont rien ne laisse plus à désirer"   l'art produisant une "mystification".

    Jean Baudrillard Portrait

    En utilisant des poncifs de contrôles établis, associés à l'interrogation de la pratique de l'objet d'art dans le social Jean Baudrillard semble avoir eu un but : se partager. Le sujet fût atteint. L'article fut traduit, l'article fut lu. L'article est ici.

    Le  Complot de L'art

     Si dans la pornographie ambiante s'est perdue l'illusion du désir, dans l'art contemporain s'est perdu le désir de l'illusion. Dans le porno, rien ne laisse plus à désirer. Après l'orgie et la libération de tous les désirs, nous sommes passés dans le transsexuel, au sens d'une transparence du sexe, dans des signes et des images qui en effacent tout le secret et toute l'ambiguïté. Transsexuel, au sens où ça n'a plus rien à voir avec l'illusion du désir, mais avec l'hyperréalité de l'image.

    Ainsi de l'art, qui lui aussi a perdu le désir de l'illusion, au profit d'une élévation de toutes choses à la banalité esthétique, et qui donc est devenu transesthétique. Pour l'art, l'orgie de la modernité a consisté dans l'allégresse de la déconstruction de l'objet et de la représentation. Pendant cette période, l'illusion esthétique est encore très puissante, comme l'est, pour le sexe, l'illusion du désir. A l'énergie de la différence sexuelle, qui passe dans toutes les figures du désir, correspond, pour l'art, l'énergie de dissociation de la réalité (le cubisme, l'abstraction, l'expressionnisme), l'une et l'autre correspondant pourtant à une volonté de forcer le secret du désir et le secret de l'objet. Jusqu'à la disparition de ces deux configurations fortes ­la scène du désir, la scène de l'illusion­ au profit de la même obscénité transsexuelle, transesthétique ­celle de la visibilité, de la transparence inexorable de toutes choses. En réalité, il n'y a plus de pornographie repérable en tant que telle, parce que la pornographie est virtuellement partout, parce que l'essence du pornographique est passée dans toutes les techniques du visuel et du télévisuel Mais peut-être, au fond, ne faisons-nous que nous jouer la comédie de l'art, comme d'autres sociétés se sont joué la comédie de l'idéologie, comme la société italienne par exemple (mais elle n'est pas la seule) se joue la comédie du pouvoir, comme nous nous jouons la comédie du porno dans la publicité obscène des images du corps féminin. Ce strip-tease perpétuel, ces phantasmes à sexe ouvert, ce chantage sexuel ­ si tout cela était vrai, ce serait réellement insupportable. Mais, heureusement, tout cela est trop évident pour être vrai. La transparence est trop belle pour être vraie. Quant à l'art, il est trop superficiel pour être vraiment nul. Il doit y avoir un mystère là-dessous. Comme pour l'anamorphose: il doit y avoir un angle sous lequel toute cette débauche inutile de sexe et de signes prend tout son sens mais, pour l'instant, nous ne pouvons que le vivre dans l'indifférence ironique. Il y a, dans cette irréalité du porno, dans cette insignifiance de l'art, une énigme en négatif, un mystère en filigrane, qui sait? une forme ironique de notre destin? Si tout devient trop évident pour être vrai, peut-être reste-t-il une chance pour l'illusion. Qu'est-ce qui est tapi derrière ce monde faussement transparent? Une autre sorte d'intelligence ou une lobotomie définitive? L'art (moderne) a pu faire partie de la part maudite, en étant une sorte d'alternative dramatique à la réalité, en traduisant l'irruption de l'irréalité dans la réalité. Mais que peut encore signifier l'art dans un monde hyperréaliste d'avance, cool, transparent, publicitaire? Que peut signifier le porno dans un monde pornographié d'avance? Sinon nous lancer un dernier clin d'oeil paradoxal ­ celui de la réalité qui se rit d'elle-même sous sa forme la plus hyperréaliste, celui du sexe qui se rit de lui-même sous sa forme la plus exhibitionniste, celui de l'art qui se rit de lui-même et de sa propre disparition sous sa forme la plus artificielle: l'ironie. De toute façon, la dictature des images est une dictature ironique. Mais cette ironie elle-même ne fait plus partie de la part maudite, elle fait partie du délit d'initié, de cette complicité occulte et honteuse qui lie l'artiste jouant de son aura de dérision avec les masses stupéfiées et incrédules. L'ironie aussi fait partie du complot de l'art.

    L'art jouant de sa propre disparition et de celle de son objet, c'était encore un grand œuvre. Mais l'art jouant à se recycler indéfiniment en faisant main basse sur la réalité? Or la majeure partie de l'art contemporain s'emploie exactement à cela: à s'approprier la banalité, le déchet, la médiocrité comme valeur et comme idéologie. Dans ces innombrables installations, performances, il n'y a qu'un jeu de compromis avec l'état des choses, en même temps qu'avec toutes les formes passées de l'histoire de l'art. Un aveu d'inoriginalité, de banalité et de nullité, érigé en valeur, voire en jouissance esthétique perverse. Bien sûr, toute cette médiocrité prétend se sublimer en passant au niveau second et ironique de l'art. Mais c'est tout aussi nul et insignifiant au niveau second qu'au premier. Le passage au niveau esthétique ne sauve rien, bien au contraire: c'est une médiocrité à la puissance deux. Ça prétend être nul: «Je suis nul! Je suis nul!» ­et c'est vraiment nul.

    Toute la duplicité de l'art contemporain est là: revendiquer la nullité, l'insignifiance, le non-sens, viser la nullité alors qu'on est déjà nul. Viser le non-sens alors qu'on est déjà insignifiant. Prétendre à la superficialité en des termes superficiels. Or la nullité est une qualité secrète qui ne saurait être revendiquée par n'importe qui. L'insignifiance ­ la vraie, le défi victorieux au sens, le dénuement du sens, l'art de la disparition du sens­ est une qualité exceptionnelle de quelques oeuvres rares, et qui n'y prétendent jamais. Il y a une forme initiatique de la nullité, comme il y a une forme initiatique du rien, ou une forme initiatique du Mal. Et puis, il y a le délit d'initié, les faussaires de la nullité, le snobisme de la nullité, de tous ceux qui prostituent le Rien à la valeur, qui prostituent le Mal à des fins utiles. Il ne faut pas laisser faire les faussaires. Quand le Rien affleure dans les signes, quand le Néant émerge au coeur même du système de signes, ça, c'est l'événement fondamental de l'art. C'est proprement l'opération poétique que de faire surgir le Rien à la puissance du signe ­ non pas la banalité ou l'indifférence du réel, mais l'illusion radicale. Ainsi Warhol est vraiment nul, en ce sens qu'il réintroduit le néant au coeur de l'image. Il fait de la nullité et de l'insignifiance un événement qu'il transforme en une stratégie fatale de l'image.

    Les autres n'ont qu'une stratégie commerciale de la nullité, à laquelle ils donnent une forme publicitaire, la forme sentimentale de la marchandise, comme disait Baudelaire. Ils se cachent derrière leur propre nullité et derrière les métastases du discours sur l'art, qui s'emploie généreusement à faire valoir cette nullité comme valeur (y compris sur le marché de l'art, évidemment).

    Dans un sens, c'est pire que rien, puisque ça ne signifie rien et que ça existe quand même, en se donnant toutes les bonnes raisons d'exister. Cette paranoïa complice de l'art fait qu'il n'y a plus de jugement critique possible, et seulement un partage à l'amiable, forcément convivial, de la nullité. C'est là le complot de l'art et sa scène primitive, relayée par tous les vernissages, accrochages, expositions, restaurations, collections, donations et spéculations, et qui ne peut se dénouer dans aucun univers connu, puisque derrière la mystification des images il s'est mis à l'abri de la pensée.

    L'autre versant de cette duplicité, c'est, par le bluff à la nullité, de forcer les gens, a contrario, à donner de l'importance et du crédit à tout cela, sous le prétexte qu'il n'est pas possible que ce soit aussi nul, et que ça doit cacher quelque chose. L'art contemporain joue de cette incertitude, de l'impossibilité d'un jugement de valeur esthétique fondé, et spécule sur la culpabilité de ceux qui n'y comprennent rien, ou qui n'ont pas compris qu'il n'y avait rien à comprendre. Là aussi, délit d'initié. Mais, au fond, on peut penser aussi que ces gens, que l'art tient en respect, ont tout comprit dans le dos. Autrement dit, l'art est entré (non seulement du point de vue financier du marché de l'art, mais dans la gestion même des valeurs esthétiques) dans le processus général de délit d'initié. Il n'est pas seul en cause: la politique, l'économie, l'information jouissent de la même complicité et de la même résignation ironique du côté des «consommateurs».

    «Notre admiration pour la peinture est la conséquence d'un long processus d'adaptation qui s'est opéré pendant des siècles, et pour des raisons qui très souvent n'ont rien à voir avec l'art ni l'esprit. La peinture a créé son récepteur. C'est au fond une relation conventionnelle» (Gombrowicz à Dubuffet). La seule question, c'est: comment une telle machine peut-elle continuer de fonctionner dans la désillusion critique et dans la frénésie commerciale? Et si oui, combien de temps va durer cet illusionnisme, cet occultisme ­cent ans, deux cents ans? L'art aura-t-il droit à une existence seconde, interminable ­ semblable en cela aux services secrets, dont on sait qu'ils n'ont plus depuis longtemps de secrets à voler ou à échanger, mais qui n'en fleurissent pas moins, en pleine superstition de leur utilité, et en défrayant la chronique mythologique. Le  Complot de L'art, Quotidien Libération 1996.

    Ce texte travaillant l'onanisme de chambrée permet la contraction d'intention des mots pedzouille et de graphe qui mutilés des c'ouille ne permettent pas de qualifier le signataire du pamplhet de pornographe, mais autorise celui de "pedzographe".

    Video reportage sur le photographe Baudrillard expositation "L'absence du Monde"

    Vous pouvez voir le travail plastique du photogaphe Jean Baudrillard dans des exposition. Vous pouvez écouter la video qui précise l'homme situé dans une réalité binaire ; présence absence. Présence dite exagérée, extravaguante, absence dite rare, oublieuse ; dont sa pratique photographique associée à sa technique aurait un langage qui fixerai la fin du réelle pour offrir une image totalement renouvellée et autonme.

    À regarder, les images dans une exposition de Jean Baudrillard on voit cadres et vitre qui protège la matière ; surfaces et mesures qui couvrent les murs. Des assemblages de groupe qui se déterminent en sujet. Les références qui installent l'auteur dans la boite à vision sont lourdes. Peu d'absence... du code en présence tiède, des cartels à dates et sans titres qui souligne l'ambivalence d'un dicourt informatif et illustratif sous tension familliale.

    Pierre Boudieu Portrait

    Pierre Bourdieu.  citation extrait des entrertiens "Événement du Jeudi 1992 ( voir Pdf Joint)
     

    Je pense que l'art, a pris aujourd'hui la place, pour beaucoup de gens, de la religion. Tous les bien-pensants s'autorisent de l'art, de la littérature et de la culture pour prêcher une restauration des valeurs intellectuelles les plus conservatrices, pour ne pas dire archaïques, pour condamner aussi bien les recherches de l'art, moderne, en peinture notamment, que les recherches scientifiques sur l'art,, dénoncées comme sacrilèges. De même que, en d'autres temps, il fallait, et il suffisait de se dire croyant pour s'assurer un brevet de vertu, de même aujourd'hui, il suffit de clamer sa foi dans l'art,et dans la création, de défendre l'art, contre les menaces imaginaires que ferait peser sur lui la science, pour se faire une réputation de belle âme.

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    Jean Baudrillard

    Motel suicide chanson Megumi-Satsu.pdf

    Pierre Bourdieu

    Pierre_Bourdieu_entretien .pdf

    Pour la définition de poéticité : Click here

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    Film de 1959 de S. FULLER. 82 mn. directeur de la photographie : Sam Leavitt

    Une strip-teaseuse est assassinée dans le quartier japonais de Los Angeles. Deux détectives Charlie (Glenn Corbett) and Joe (James Shigeta) amis de longue date, enquêtent sur l'assassinat d'une strip-teaseuse. Durant l'enquête, la rencontre d'une femme Christine (Victoria Shaw) artiste-peintre qui répond amoureusement à la sensibilité de Joé. La jalousie de Charlie va fragiliser leur amitié, et leur différence d'origine ethnique.

    «j'ai essayé de faire une histoire d'amour triangulaire peu conventionnelle entrelacée d'un racisme à l'envers, une sorte de l'étroitesse d'esprit qui est tout aussi déplorable que le sectarisme pur et simple. Je voulais montrer que les blancs ne sont pas les seuls qui sont sensibles aux pensées racistes ». Sic Samuel Fuller.

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    Thanks Western Girl

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  • B

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