• Alan Ginsberg par Gordon Ball photographe 1973.

    Cindy Sherman pour Cindy Sherman Untitled Film Still #6 Cochée photographiée 1977

    Jacques Lacan couché sur sa méridienne circa. photographie 1940.

    Lacan et la destinée du désir : Entretien Colette Soler et Adèle Van Reeth. Paradoxe 2/4 France CuL

     Mike Kelley, Rich Thomson Artistes couchés.  Photograph Mel Roberts ,1962

    Jean  Eustache, couché photo ~

    Eugène Leroy nu d'après un photo de sa compagne Marina Bourdoncle, arearevue)s( 3 -couché par PtPS

    Jackson Pollock,  Art Portrait


    George Perec, Photo Christine Lipinska 1972

    + infos

    Video "dollclothes" Cindy Sherman.

    Jacques Lacan Louvain 1972

    video Lacan/Jacquot

    Mike kelley

    Alan Ginsberg

    Page qui court © studiopointtopoint

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  • Bertrand Lamarche - Interview with Kate Bush, 1993
    Installation, Turntable, wire, tissue Coll. Edna
    "au grenier, 4 pièces de mémoire"
    Musée De Rochechouart 
    7 octobre au 15 décembre 2011
    Entretien Bertrand Lamarche-Lise Guéhenneux.

    Q. Pour l’exposition au Musée de Rochechouart tu présentes deux oeuvres, Sans titre (2008), une pièce sonore, et Map (2011) Dans ton travail tu utilises des formes génériques, le cône, le tore, les maquettes et les ombellifères. Peux-tu revenir sur ces formes qui t’accompagnent ?

    B.L. J’utilise le cône depuis 1987, c’est un tunnel vu en perspective. Au cinéma, tu fais un cône au lieu d’un couloir droit quand tu n’as pas assez d’espace pour accentuer les perspectives. Celui que j’utilise vient du feuilleton Voyage au cœur du temps (1966). C’est l’un des premiers feuilletons où il y a un très bel objet, un visuel très poussé, avant 2001, l’Odyssée de l’espace de Stanley Kubrick. L’idée, c’est de travailler l’échelle des choses. Le tunnel pourrait continuer jusqu’à l’infini et le cône est le morceau d’une pièce plus grande ou la maquette d’un espace beaucoup plus grand. C’est un objet qui parle de la vision, c’est le cinéma, Anthony McCall et son travail sur la lumière solide créant un cône creux taillé dans la fumée avec un projecteur 16mm (Line Describing a Cone, 1973).

    Q. Et depuis ton retour de New York en 2003, le tore ?
    B.L. Le tore c’est mouvant. Cela apparaît visuellement. Cela vibre, c’est singulier et le phénomène de l’apparition se trouve dans un présent spécifique, l’épiphanie que Joyce reprend dans l’apparition d’un arbre, Benjamin parle de l’aura, qui fait image, qui apparaît dans le réel. C’est la condition de ce qu’est la perception.

    Q. Ton travail montre cet endroit, un espace où les choses peuvent rester ?
    B.L. Cela parle de la question du temps qui se déroule ou ne se déroule pas, de sa distorsion, son élasticité. Avec l’échelle des choses, c’est un chemin fictionnel intéressant à explorer et très constructif pour mon travail c’est à dire comment les choses t’apparaissent visuellement.

    Q. Comment as-tu eu l’idée de cet objet ?
    B.L. Cet objet est apparu avec les trous, toutes sortes de trous, la rotation et les ellipses. Il y a une vertu du trou qui fabrique du vide. J’ai commencé à m’intéresser à Nancy qui n’est pas traversée par une rivière mais par le fleuve de métal des voies ferrées. Ce réseau s’étendait, puis, peu à peu, il s’est rétracté avec l’histoire. Lorsque j’ai découvert Nancy, il y avait cet immense terrain, tel un belvédère qui permet de voir la ville, de prendre un peu de recul, de distance sur les choses, de les regarder. Le terrain vague crée une coupe, une autopsie, et des choses inhabituelles ressortent dans la ville, un programme en attente qui propose, soit des territoires imaginaires, soit des terrains propices à l’invention. Ensuite, ce sont les vortex de toutes sortes. Et Stephen King disait que s’il n’y avait pas de trou noir, le ciel serait blanc, criblé d’étoiles. Alors, dans une forme d’équilibre, la matière est absorbée. L’effondrement des étoiles dans le cosmos, un phénomène de mécanique cosmique, instaure un effet entonnoir comme une spirale dans l’eau. Les trous sont des passages. Pour Alice (1), c’est le tunnel, un passage d’un monde à un autre. Le rituel du passage permet d’appréhender le monde avec un autre médium. Imaginer le monde constitué uniquement de choses utiles, c’est mortel. Ensuite, il y a  le mot « trans » auquel je me suis intéressé parce que j’aime bien Brion Gysin, sa Dream Machine et les trucs un peu vertigineux. Le terme grec de « trans », signifie « de l’autre côté de », « dans la répétition du même ». Au moment où tu inscris une boucle ou un temps semblable dans une linéarité temporelle, tu parles de la transformation. La façon dont tu perçois comment le même se transforme au fur et à mesure qu’il se déroule dans le temps, j’aime bien cela.

    Q. Quelle est l’histoire de Map ?
    B.L. Map, comme toutes maquettes météorologiques, parle de la ville, un objet de fascination et d’amour très fort. J’aime la ville d’où je viens et pour la faire vibrer, comme au cinéma la météorologie fait vibrer l’image, ces particules font vibrer l’image et créent de l’espace. C’est la météorologie comme scénario, pas de narration, sauf la météorologie comme sujet de ce qui se passe, une façon de se faire vibrer avec l’irréel qui est propre au médium lui-même. J’aime bien, dans la façon dont la société a évolué, que la capacité d’émerveillement passe par des médiums comme le fantastique ou des objets projectionnels.

    Q. Comment as-tu commencé à travailler avec les ombelles ?
    B.L. Emile Gallé a fait venir des plantes du monde entier et notamment des grandes berces du Caucase pour créer un jardin. Cette plante est devenue une espèce d’égérie que l’on retrouve en motif d’un monde qui se projette comme une fiction. Gallé travaille sur le monde des rêves, un monde fantastique, et sa sensibilité féminine crée une mélancolie. Il était aussi ami avec Charcot. C’est l’hypnose, le début de la psychanalyse.

    Q. Les ombelles sont utilisées comme des éléments structurants.
    B.L. Elles ont un côté architectural car elles sont un peu fractales. Elles se reproduisent en étages, trois paliers de la représentation de la même chose à des échelles différentes au sein même de la plante. Il y a une sorte de travail sur l’échelle des choses. Et là, c’est magique, cela reprend le problème d’Alice changeant d’échelle lorsqu’elle est en bas du tunnel. Gallé a travaillé sur les échelles et a fait, par exemple, des champignons géants. Dans l’Art Nouveau, l’extension du décor est très curieuse, en changeant d’échelle, en sortant de son cadre, il devient structurel, inquiétant et intéressant. Le décor explose pour devenir un univers. Il y a une sorte d’excentricité quand même assez épatante.

    Q. Les berces dans ton travail sont venues de tout cela ?
    B.L. C’est une fascination très simple. En Lorraine, on n’avait pas grand-chose. On avait l’histoire, quand même assez balaise de Nancy, d’Emile Gallé on va à Jean Prouvé. Le paysage nancéen tel que je l’ai aimé c’est celui des bâtiments modernes des Prouvé.

    Q. C’est l’ancrage dans quelque chose ?
    B.L. C’est une mythologie personnelle qui peut raisonner avec de grandes problématiques. Jean Prouvé se dit constructeur et refoule l’idée d’une esthétique. Ce qu’il a construit paraît assez archaïque, une brutalité du minimum, une ingéniosité du mécano avec la tôle ondulée et l’aluminium plié.

    Q. Dans ton travail, tu revendiques aussi des formes simples et radicales.
    B.L. L’économie des choses me semble importante. Si on a un discours critique sur les choses, il faut peut-être s’interroger sur la stratégie d’occupation du territoire.

    (1) de Lewis Carroll

    Propos recueillis par Lise Guéhenneux 2011.In La Belle Revue

    A travers les travaux de Laurent Montaron, Thu Van Tran, Bertrand Lamarche et Deimantas Narkevicius,

    Exposition "au grenier, 4 pièces de mémoire" envisage la sculpture comme un lieu de condensations d'épisodes historiques et de mémoires.

    Plus d'infos

    Bertrand Lamarche

    Bertrand Lamarche Bio

    Kate Bush 

    Lise Guéhenneux

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  • Grand-chariot et Polaire, photo (partie droite de Jean Suquet)

    Le Septentrion, ce sont les sept étoiles du Grand-chariot dont il suffit de prolonger sept fois l'essieu arrière pour pointer la seule qui ne bouge pas : la Polaire. Pour Calaferte, la Polaire c'est la femme. Hélas il sait que la ronde de ciel qui lui fait cortège n'est qu'illusion d'optique. Alors sa vénération est contrebalancée de détestation. Face d'ombre et face de lumière gravitent en lui d'un même mouvement. Cette lune obsédante il la porte aux nues en la déshabillant. Il la jette à terre, il l'écrase de tendresse. C'est écrit bref, en mots crus, nerveux de rage froide, exacerbés par une lucidité blanche comme un abcès en mal d'enfance. Fièvres à venir qui éclatent soudain en somptueuses métaphores, en délies lyriques parfaitement maîtrisés. Ces dérives forcenées à travers la ville, dont le bitume luit comme une voie lactée, brillent du même éclat que Tropique du Capricorne et Le Voyage au bout de la nuit. Pour rester dans le  vocabulaire stellaire: un livre de première grandeur. J. Suquet. Octobre 1990-art. 368 Calaferte (Louis)–Septentrion–Paris : Gallimard, 1990– 435 p couverture illustréé 18 cm–folio : 2142–ISBN 2-07-038227-3.

    LECTURES CHOISIES EXTRAIT 368

    Calaferte videos

    Louis Calaferte Entretiens

     Publication du livrre de Jean Suquet LECTURES CHOISIES en cours © studio point to point and From Point to Point XXI°


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  • Merci,

    Capture écran d'images du travail de Piet Mondrian, Prénom Google, Henri Matisse.

    Screen images of the works of Piet Mondrian, First Google, Henri Matisse.

    Remerciements

    fiu.edu

    Prénom Google

    fondationbeyeler.ch

    Picabia Satie

    © studiopointtopoint 

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  • Vente de fond pour le profit de Jean-Claude Saby

    Sale for the benefit of Jean-Claude Saby
    SAVE SABY VENTE EXCEPTIONNELLE AU PROFIT D'UN HÉROS

    Vendredi 02 décembre 2011 de 17 heures à 21h30.

    Galerie From Point to Point , 2 + 2 Place de la Calade
    30000 Nîmes France



    L'artiste Jean Claude Saby actuellement dans un dénuement social extrême vend livres, disques, dvds, œuvres... vélocipède, porte manteaux, toiles… soit un ensemble affectif qui a vivement motivé son expérience "in vivo".
    Exemples : Livres de Georges Braque, Paul Cézanne, Henri Matisse, Alberto Giacometti, Egon Schiele, Nicolas Stael, Dominique Gauthier, Claude Viallat,… Wolfgang Mozart, Ludwig van Beethoven, Alain Baschung, Jean Mazeaufroid, …ect...
    Pour soutenir cette situation difficile, artistes peintres photographes, collectionneurs qui apprécient les qualités humaines de l'artiste s'associent à l'action en offrant des œuvres, et, multiples au profit de Jean Claude Saby.
    Œuvres des artistes : Pierre Alechensky, Lucien Clergue, Dominique Guthers, Dominique Gauthier, Rodolphe Huguet, Jean Le Gac Jean-Pierre Loubat, Helmut Newton, Yves Reynier, Jean Claude Saby, Claude Viallat … dont l'attention qu'il portent au dénuement de Jean Claude Saby. est vivement remerciée par l'artiste et la galerie.

    Sauvons-Saby-Exposition-studio-point-to-point-jpg

    FROM POINT TO POINT
    Éditions Galerie Libraire
    2 + 2 Place de la Calade
    30000 NÎMES FRANCE

    Les objets et œuvres auront pour l'occasion un prix défiant les jugements économiques de la marchandise dont le bénéfice iront à Jean-Claude Saby. Exemples : Livres Dvd inférieur à 5€ ; œuvres des célèbres et généreux artistes au quart de leur valeur pour certains, à moitié prix pour d'autres.


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  •  

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    The Weak Bullet Film & Video: Tony Oursler - The Weak Bullet (1980) 12:41 min, couleur sonorisé

    Conté avec l'excentricité et l'humour grotesque, "The Weak Bullet" est un conte au récit étrange, ironique, qui se s'avance dans un récit loufoque avec la prise en charge du un contexte sociale et de la paranoïa sexuelle de l'artiste comme héros.
    Les références à une l'odyssée psychodramatique, au ballet éponyme, nous font traverser des paysages cauchemardesques qui s'identifient sur le corps de l'artiste transfigurant un univers outrageusement pervers montré par des images bricolés, disjonctés et cocasses.

    Un film drôle, acide que l'on pourra commander chez Electronic Arts Intermix (EAI)

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    TONI OURSLER

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  • Bill Fristell, Ron Carter, Paul Motian in Monroe of Bill Fristell

    WITH AUGUSTO, GARY


    Augusto Pirodda, Gary Peacock, Paul Motian,

    from "No Comment" published by "Jazz werkstatt" Recorded the 4th of april 2009 in Systems two Studios, Brooklyn , NY Sound Engineer Joe Marciano Mixed and mastered by Manolo Cabras

    GOODBYE

    Thanks

     mangacharlus 

    © studiopointtopoint

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