Art Claude Viallat, Patrick Saytour, Toni Grand, Daniel Dezeuze, Artiste Supports surfaces,
Par L M
Jacques Durand chroniqueur écrivain taurin. Photo Stephane Barbier
Il semble dommage qu'un journal "Libération" qui aurait une déontologie citoyenne depuis ses origines existentielles, avec un libertarisme ponctuel, passe la main sur le sujet taurin, concentré en l'écriture de Jacques Durand, pour la tendre à une presse passéiste.
À Nicolas Demorand, Vincent Giret, Stéphanie Aubert, Sylvain Bourmeau, Paul Quinio, François Sergent, Béatrice Vallaeys, Ludovic Blecher, Christophe Boulard, Gérard Lefort, Fabrice Rousselot, Françoise-Marie Santucci, Alain Blaise, Martin Le Chevallier, Michel Becquembois, Olivier Costemalle, Eric Decouty, Jean-Christophe Féraud, Richard Poirot, Mina Rouabah, Marc Semo, Sibylle Vincendon, Pascal Virot, Ludovic Blecher, Chloé Nicolas, Marie Giraud, Mesdames, Messieurs de la rédaction du journal,
arrêtez-vous, sur le fait qu'il est bien difficile de comprendre l'amour. Que vous avez en l'écriture de Monsieur Jacques Durand : une exception. Une exception qui relève de l'intelligence. Que son analyse, précise et subtile révèle l'un des rares espace/temps de société, où, le monde policé se lie, dans le rituel, à la chaleur de notre animalité. Vous avez, dans votre journal "libération", pour le plaisir de tous, les chroniques de Jacques Durand qui rapportent pour notre compréhension des faits que nous regardons vivres ou revires de sa langue souple et affutée.
En nous privant des exceptionnels commentaires du chroniqueur, sur la naissance, la mort, et de ses rotations amoureuses ; vous glissez, il me semble, sur les restes d'un maître ; ce maître de la courte vue, l'en-dépensé des biens pensants. Méfiez-vous, s'il vous plaît, de ces chaudières bouillantes qui ont la pisse froide! Assis; Contractés du muscle, la vessie détendue ; au travers de l'habits verts, ils vous la lâchent la fluidité. Et c'est le fauteuil que vous devrez jeter.
Non, s'il vous plaît, ne perdez pas votre différence! Celle qui dans la masse du convenu à toute partt n'a pas fait sienne cette devise que vous prêta le bienheureux Jean-Paul " Ni Vieux. Ni Maître".
Libération et la tauromachie illustration Niclas Costa.
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