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Art Claude Viallat, Patrick Saytour, Toni Grand, Daniel Dezeuze, Artiste Supports surfaces,

MOVING UNCHAINED SUCK DJANGO

Django Unchained cover press by Quentin Tarantino

Sucé des séries américaines : "Les Bannis" the outcasts pour  les chasseurs de primes, de "Trigger" le du cheval de Roy Rogers pour le final, et bien d'autres spiriueux,…. Dans un décor "Petite maison dans la prairie", où se mélange éleveurs de beaux blacks qui résonnent des gaies "Péplums" et beaux withs du "Kiss Kiss Bang Bang" des années soixante. Un copie de télé, à pépé, papa ; un collé des images lumières au service de ceux qui ont perdu guerres et vingt ans. Oui, Quentin Tarantino filtre son décaféiné et donne des séquences diarrhées qu'il déverse aux camées de la cathode les oisifs de la réflexion. "I we Can", oui! nous pouvons concevoir, pour les clashieux du virtuel, un téléfilm pour 2066, où l'avocat aux origines Souda/Nerlandaises, justifiera les supposés coupables de la destruction de la ville de Dubaï dans les Émirats Arabes Unis, originaires de l'Inde, en citant l'article 589755 de la constitution américaine en réfèré de la jurisprudence adoptée en date du dernier jeudi de novembre 2022, associant le film "Django Unchained" qui avait dénoncé jadis l'oppressante influence de la vêture blanche sur les comportements absents de volonté des boys de toutes nations et ainsi libéré d'une décharge poudreuse le monde impérialiste au profit de sa fin bruitiste.


Attention, The Eighties suck Point to Point Studio

Inglourious_basterds,le jour le plus long, article

© studio point to point

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