• Vivienne Dick Portrait Page qui court Point to Point Studio

    1978

     first film de Vivienne Dick. Guerillere Talks est omposé avec six séquences de Super-8, durée 3"30" chacune.

    Esthétique de guérilla effrontée les films de Wivienne Dick, mettant en scène des artistes et musiciens indisciplinés, la r&alisatrice capturent parfaitement le glamour  de chaque scène" lo-fi " en opposition à la haute fidélité, soit de la "vilaine" en son et mouvement.

    Le No Wave est-t-il une sale esthétique ?   

    Staten Island

    Staten Island est de1978. Vivienne Dick nous propose la rencontre d'un ange sorti des eaux. Unique personnage d'un no man's land de lumière, il amasse les déchets, d'où il extrait la bête avec lequel il partage les nourritures acides ramassées sur le terrain vague.
    La musique de Joe Meek se colle à la pellicule et nous engage à se référer au cycle cosmique. Du sombre et du clair la caméra capte le paysage et le personnage sur le célèbre single "Telstar" où viennent s'entrechoquer les bruits de vaisselle qui nous invitent à la parodie du déjà vu : De l'instant originel qui ne serait qu'une copie de l'original. La fantaisie du shoot à la pyrolise verte fait peut-être référence au Soleil de même couleur, le film, qui a projeté l'humanité dans le canibalisme de l'an 2022, laissant l'hermaphrodite, Pat Place, rentrer sous terre et l'hélium élèver l'argent vers le ciel...


    Vivienne Dick est née en 1950 au nord de l'Irlande: à Donegal, elle a étudié à l'University College de Dublin. De 1977 à 1982, elle a vécu à New York, et fait partie d'un groupe de cinéastes affilialiés à la musique et l'esthétique du mouvement punk connu comme "No Wave". Travaillant principalement au ​​Super 8. Elle a travaillé avec de nombreuses personnes: Lydia Lunch, James Chance, Pat Place, Adele Bertei et Ikue Mori. En 1982, la cinéaste revient en Irlande puis à Londres… Lire la suite Click Here.

    1979

    Beauty Becomes the Beast

    1983

    Like Dawn to Dusk

    Betacam  couleur 6'06"

    + INFOS

    Conversation avec Vivienne Dick

    Lydia Lunch pointopoint studio

    Two Little Pigeons short fiilm 90

     

    Vivienne Dick jeu de paume

    © studiopointtopoint

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  • 三池 崇史, Takashi Miike, Portrait.

    Bodyguard Kiba, ボディガード牙 One-1985 Lien clique Ici

    Bodyguard Kiba, ボディガード牙- Trailer - Video Clique ici > Movie 1993

    Ichi The Killer Spanish Trailer 2001 

    Furieuse histoire de yakuzas menée sur fond de querelles culinaires, avec un sadisme débordant, du body art démonstratif, de mutilations généreuses, du phantasme, du sado-maso, du macho-salaud, du gore, du pervers, et paradoxalement du juvénile ; tout en soulignant l'absurdité des comportements les multiples scènes réalisées avec divers points de vue dans de multiples décors et lumières s'emboitent ans un divertissement  hypnotique pour nous embobiner.

    Ichi the Killer (殺し屋1) est un manga créé en 1998 par Hideo Yamamoto Ichi the Killer est classé dans la catégorie Seinen et a d'abord été prépublié dans le magazine Young Sunday 1998.

    Liens One Killer: clique ici - 三池 崇史, Takashi Miike

    Film streaming VK Clique Ici

    Tom Mes et Bastian Meiresonne table ronde "Takashi Miike L'inclassable"

    Festival de Films Black Movie < Lien Clique - 2011 - Genève Suisse


    Audition Trailer - Video Clique ici > Movie 1999

    The Negotiator, 2003.

    The Man In White, 2003.

    Zebraman,  2004.

    Izo Intro- Chanson Kazuki Tomokawa - Video Clique ici > Movie 2004

    Crows Zero Takashi Miike sur un scénario de Shogo Muto - Video Clique ici > Movie 2007

    A Lonely Man becomes a Painter  in Osaka 2011 by Kazuki Tomokawa

     

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  • SHUJI TERAYAMA, マルドロールの歌

    Terayama Shūji, 寺山修司, Portrait [1935-1983]

    Shūji Terayama, né en 1935 à Hirosaki au Japon fut un poète, écrivain, dramaturge, chroniqueur sportif (spécialisé dans la boxe et le turf), photographe, scénariste et réalisateur japonais. Il a publié plus de deux cent livres et réalisé environ vingt films (courts et longs métrages confondus). Ses oeuvres, souvent expérimentales et crues, témoignent d'un activisme artistique aux influences multiples, d'Antonin Artaud ou Bertolt Brecht à Federico Fellini et Lautréamont. En Europe et aux États-Unis il est essentiellement connu pour son cinéma, tandis qu'au Japon il est plutôt considéré comme un poète et un dramaturge. Il est mort en mai 1983 à Tokyo.

    檻, La cage de Shûji Terayama, 1964

     « L'oiseau abattu

    Je m'en retourne aussitôt

    Sans le ramasser

    Car ma jalousie s'est tue

    Dès que son vol a cessé ».

    16±1,蝶服記, de Shuji Terayama - Butterfly Dress Pledge 1974

     « La prochaine fois, je ferai un film que je projetterai sur vos visages »

    マルドロールの歌, Les Chants de Maldoror Shûji Terayama 1977

    Nito-onna: Kage no Eiga, The Woman With Two Heads de Shûji Terayama 1977

    « Depuis l'enfance, je suis attiré par Lautréamont, par les rencontres inattendues qu'il suscitait en rapprochant des éléments parfaitement hétérogènes, tels qu'un parapluie et une machine à coudre sur une table de dissection. Sawako Goda et moi-même nous sommes; inspirés de vieilles photos pour peindre des panneaux que nous avons intégrés dans le décor en fonction des personnages qui les côtoieraient. » Dossier de Presse 1981 Lire Plus clique Ici

    https://ubu.com/film/terayama.html

    Paper Scissor Rock War court métrage 11' de 1971 extraites du film Emperor Tomato Ketchup
      Roller, court métrage 8' de 1974
      Butterfly Dress Pledge court métrage 8' de 1974
      An Introduction to Cinema for Boys and Young Men II de 1974

    + infos

    Japan Cine Soirée Samedi

    The Emperor Tomato Ketchup, The Cage, sur Ubu Web

    Textes et interviews tirés du dossier de presse 1974

    Textes et interviews "y a-t-il une culture japonaise à sauvegarder ," 1970

     Claude Mouchard et Ueda Makiko, Poésie Japonaise, No 100

    TERAYAMA Shuji Essence poétique Boxeur en 1977

    Documents Cinéma Japonais

    stephane dumesnildot2.blogspot Terayama+

    マルドロールの歌

    Interview de Shuji TERAYAMA, extrait,1974.
    Enfant, vous avez été recueilli par un parent, propriétaire d’un cinéma, et vous avez découvert ainsi la magie de ce moyen d’expression. Quels sont les films qui vous ont alors, le plus marqué ? 
Mon premier contact avec le cinéma, à cette époque, fut limité au son : c’est derrière l’écran que j’avais "ma petite place", ce qui, fait que j’étais privé de l’image – et ce qui explique peut-être l’importance que j’accorde à la bande-son, notamment dans "Jetons les livres…"  
De même, ma première œuvre d’auteur fut un drame radiophonique. Je vais ajouter, sans aucune modestie, qu’on me considérait comme "un génie de la radio" et que j’obtins plusieurs prix radiophoniques internationaux. Le premier vrai film, complet, qui m’impressionna fortement fut "Les Enfants du Paradis", et plus particulièrement la scène où Marcel Herrand tire un rideau et montre une scène d’amour, devenant l’auteur de cette même scène, qui semble être son œuvre…
    Qu’est-ce qui vous a conduit, plus tard, à devenir critique de boxe ? 
La boxe est une pièce de théâtre jouée silencieusement par deux hommes… C’est "En attendant Godot" – sans paroles… De plus, c’est très érotique. Dans mon enfance, j’ai pratiqué la boxe. Ne pouvant continuer, je suis devenu critique. La boxe montre que la force physique a tendance à perdre de son importance dans le monde culturel contemporain – Est-ce un tort – Est-ce un manque ?

    Comment est né "DEN’EN NI SHISU", le recueil de poèmes devenu plus tard "Cache-cache Pastoral" et pourquoi avez-vous voulu, plus tard encore, en faire un film ? 
J’ai commencé à composer des poèmes alors que j’étais adolescent. A l’âge de 26 ans, j’ai décidé de renoncer à la poésie mais, avant d’arrêter, j’ai voulu écrire sur mon enfance et m’en tenir là. C’est ce qui est devenu "Cache-cache Pastoral"; le recueil de poèmes. 
Il faut vous souvenir qu’après la guerre tout était ruine tout était à refaire "par les enfants" et qu’aussi, à partir du chaos, tout était admis. Moi, je voulais m’imposer une forme ; j’ai choisi le poème pour la rigueur du rythme… Par contre, après 1960 le Japon est devenu un pays asservi, encombré d’obligations et, quand le monde n’a plus de liberté, il faut, plus que jamais, trouver une forme d’expression libre… 
Pourquoi, ensuite, un film ? Parce que je considérais que le recueil de poèmes ne traduisant plus ma vraie (?) enfance, était fabriqué. J’ai voulu décomposer ma mémoire, pour me libérer de mon enfance. Je ne pense pas que j’y ai réussi, puisque le cinéma, aussi impose ses règles. Je n’ai peut-être pas encore complètement "traduit" mon enfance, mais j’ai réussi à la "dire" différemment… Je voulais passer de l’intérieur à l’extérieur – pour rentrer ensuite dans l’intérieur. Le poème est, trop souvent, un monologue. Mais le cinéma risque de l’être aussi… 
Il y a, bien sûr, de l’onirisme dans le film. Du surréalisme, je ne sais pas. Mais il est marqué par Lautréamont et "les Chants de Maldoror". De même, je suis influencé par Marcel Duchamp et le compositeur John Cage… Notre œil ne voit que la surface. Parfois, avec un couteau, je suis tenté de m’ouvrir l’œil pour voir l’autre monde qu’on ne peut pas voir. J’aime aussi le Luis Buñuel de la période du ‘Chien Andalou".
    Qu’est-ce qui vous a poussé à fonder un théâtre-laboratoire et à devenir metteur en scène de théâtre ? 
Je voulais utiliser la poésie "avec du corps". Le théâtre c’est la poésie incarnée. J’ai donc, en 1965, fondé un théâtre-laboratoire, un théâtre qui mêle public et acteurs, qui descend dans la rue, qui va en province, qui s’attache à mélanger les éléments.
    Quand vous avez abordé la mise en scène de cinéma vous aviez certainement des "maîtres" dans ce domaine. Lesquels ? 
D’abord, dans mon enfance, il y a eu Luis Buñuel et "Le Chien Andalou". Mais ce ne sont pas des cinéastes qui m’ont donné l’impulsion… je ne crois pas… Cependant, j’apprécie beaucoup et j’ai sans doute été frappé par Glauber Rocha et "Antonio Das Mortes", Fellini et "Huit et Demi", Antonioni et "L’Éclipse".

    Qu’est-ce qui vous frappe le plus dans la vie actuelle, rapport avec le cinéma ? 
La vie actuelle est un mélange de réalité et de fictif. On ne voit pas toujours la frontière. On se trompe… Tout ce qu’on filme est fiction : on le sait. Dans la vie, on ne sait plus… Par exemple, au cinéma, si quelqu’un tire, il est considéré comme un héros. Si on fait ça Place Saint-Michel, on est un criminel… Au cinéma, on faisait semblant de faire l’amour ; maintenant, on fait l’amour. Peut-être qu’un jour, au cinéma, on tuera vraiment…Dans la vie réelle, on "fait du cinéma" souvent, on simule ou on est emporté…
    Auriez-vous aimé vivre à une autre époque et sous une autre identité : lesquelles ? 
J’aurais aimé naître au Moyen Age – et devenir Casanova.
    Hors le Japon, dans quel pays aimeriez-vous vivre et travailler ? Pourquoi ? 
N’importe où, à Paris, Borne, Londres ou New-York – à condition qu’il y ait des gens. Pas le désert !
    Quels sont les grands hommes décédés que vous auriez aimé connaître ? Pourquoi ? 
Si une nuit, je recevais chez moi, il y aurait Karl Marx, Jayne Mansfield, Lautréamont, Jack Dempsey, Léonard De Vinci, Billy the Kid et Benjamin Franklin…
    Parmi nos contemporains, quels sont ceux que vous aimeriez rencontrer et pourquoi ? 
Toutes les femmes qui s’intéressent à moi… Je plaisante… II y aurait Jorge Luis Borges – non, je ne suis pas sûr que j’aimerais le connaître, son œuvre me suffit.
    Que croyez-vous être ? Que voudriez-vous être ? 
Je crois être Shuji Terayama. Ma profession est Shuji Terayama. Ce que je voudrais être ? Shuji Terayama… Mais un être humain n’est pas un être figé : il est toujours en devenir. Et je veux appliquer la théorie du paradoxe: pour être humain aussi. Vous savez ? Pour attraper la tortue le lapin fait la moitié du chemin, la tortue aussi ; mais le lapin ne rattrape jamais la tortue…. L’être humain veut devenir quelqu’un, mais il fait son chemin, son désir se déforme, se déplace, donc, il n’y arrive jamais.

    Avez-vous un axiome ? 
"La vie n’est qu’adieux" : C’est un vieux proverbe chinois.
    Si vous n’étiez pas auteur-réalisateur de films, de quelle manière aimeriez-vous participer au monde d’aujourd’hui ? 
En étant un révolutionnaire – et pas un homme politique ! Les soi-disant révolutionnaires veulent fonder une nouvelle société et, trop souvent, ne deviennent que des hommes politiques. Les vrais entretiennent l’état de révolution. En un sens, Trotzky était un surréaliste.
    Quels sont, selon vous, vos atouts et vos handicaps ? 
Mes atouts ? Je n’ai pas de famille, je n’ai pas de santé, je n’ai pas d’argent. Mes handicaps ? Les mêmes choses.
    Qu’est-ce qui l’emporte, chez vous, de l’instinct, de l’intelligence, ou de la sensibilité ? 
Je pense que ces trois éléments forment un jus composé; ils ne peuvent être dissociés.
    Quel est votre paysage idéal ? 
La nuit, je suis obsédé par un paysage : j’ouvre une porte et je me trouve au sommet d’un rocher; devant moi, il y a la mer, vide… Ceci est un rêve. Mon vrai paysage idéal comporte une foule, celle d’un champ de courses, celle d’une fête. Je ne suis bien que là où il y a beaucoup de monde; là je peux être seul – en le choisissant, je peux me cacher, m’effacer.

    Qu’est-ce qui vous rebute le plus chez les êtres et dans nos mœurs actuelles ? 
Je n’aime pas les êtres qui se défendent contre les changements, l’évolution, qui figent leur vie et en font une nature morte. Dans nos mœurs, ce qui me rebute, c’est le "chez moi-isme", la tradition, la prudence, le conservatisme tel qu’il &e pratique au Japon où l’on se protège. Ainsi, le Parti Communiste japonais, ça n’est pas du communisme, c’est du conservatisme…
    Où vous situez-vous aujourd’hui, par rapport à vos ambitions et vos rêves ? 
J’ai – et je perds – des ambitions. Je me déplace…
    De quoi vous réjouissez-vous ? 
De me demander quelles nouvelles rencontres humaines m’attendent.
    Quels sont vos projets cinématographiques ? 
J’ai beaucoup d’idées. J’ai cinq projets de films, mais cherche encore le producteur… J’aime les faits-divers que publient les journaux, et j’y trouve souvent le thème de mes films. J’ai ainsi, en tête, plusieurs thèmes : la métamorphose, les murs qui tombent, révolution des enfants, un crime commis par un enfant, Jack l’Étrangleur, le rapport entre un enfant qui découvre une nouvelle comète et la disparition d’un Japonais moyen (peut-être devenu cette comète). J’ai aussi envie de réaliser un film en Europe.

    Vos films sont chargés de symboles que l’on retrouve, de "Jetons les livres»»." à "Cache-cache pastoral". Il y a les rails les horloges, l’adolescent violé, la mère. Pouvez-vous nous en parler ? 
Les rails sont, pour moi, une chose très triste : le bonheur pour les êtres, consiste à se rejoindre, or les rails ne se rejoignent jamais… Pour ce qui est des horloges, depuis mon enfance, j’étais conditionné par elles à travers la famille, la terre; aussi, je voulais condamner les horloges et avoir "mon heure à moi"… Quant à l’adolescent violé, il se peut qu’on puisse devenir adulte en violant mais, en ce qui me concerne, je ne pouvais qu’être violé. Mais dans le prochain film, peut-être, le garçon violera… Et la mère, la mère est comme la coquille de l’œuf ; pour que le poussin sorte, il faut la briser! Au Japon, le matriarcat est très puissant, le père a démissionné, il est souvent mort à la guerre. Bien sûr, ce n’est que ma conception, mais je crois que cela continue. Même dans la religion japonaise, il n’y a pas de dieu qui représente le père. En Occident, c’est l’élevage qui l’emporte, et c’est un principe paternel. Le Japon, lui, a été un pays d’agriculture, qui ressemble à la matrice maternelle. Parfois, au Japon, on appelle le corps maternel le "champ". Et "Cache-cache Pastoral" évoque la terre, 1a culture, les saisons, le renouveau, la floraison, la Mère…

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  • Dziga Vertov, Photo:  "Saut de la Grotte" Collection Vertov au Musée du Cinéma Autrichien 1935

    Artiste Cinéaste Russe d'Origine Polonaise né le 02-01 1896

    La sixième partie du monde, Шестая часть мира.1926

    Ma voie mène à la création d’une perception neuve du monde. C’est pourquoi je déchiffre d’une manière nouvelle un monde qui vous est inconnu.  Je suis le ciné-œil. Je suis l’œil mécanique. Moi, machine, je vous montre le monde comme seule je peux le voir. Résolution du Conseil des Trois, (Elisabeth Svilova) et son frère (Mikhaïl Kaufman) et 1923.

    " Le cinéma dramatique est l'opium du peuple.
    A bas les rois et les reines immortels du rideau. Vive l'enregistrement des avants-gardes dans leur vie de tous les jours et dans leur travail !
    A bas les scénarios-histoires de la bourgeoisie. Vive la vie en elle-même !
    Le cinéma dramatique est une arme meurtrière dans les mains des capitalistes ! Avec la pratique révolutionnaire au quotidien nous reprendrons cette arme des mains de l'ennemi.
    Les drames artistiques contemporains sont les restes de l'ancien monde. C'est une tentative de mettre nos perspectives révolutionnaires à la sauce bourgeoise.
    Fini de mettre en scène notre quotidien, filmez-nous sur le coup comme nous sommes.
    Le scénario est une histoire inventée à notre propos, écrite par un écrivain. Nous poursuivons notre vie sans avoir à la régler au dire d'un bonimenteur.
    Chacun de nous poursuit son travail sans avoir à perturber celui des autres. Le but des Kinoks est de vous filmer sans vous déranger.
    Vive le ciné-oeil de la Révolution !


    la onzième année, un film de Dziga Vertov, 1928

    Artiste Cinéaste Russe d'Origine Polonaise né le 02-01 1896

    L'Homme à la Camera, film muet, N/B. Man with a Movie Camera, silent film B/W 1929

    Directionr réalisation : Dziga Vertov (nom de naissance David Abelevich Kaufman)

    Cadreur : Mikhaïl Kaufman (son frère David Abelevich Kaufman)

    Montage : Yelizaveta Svilova (sa femme Elisabeth Ignatevna Svilova)

    Production : Studio Dovjenko VUFKU (Comité pan ukrainien du cinéma et de la photo)

    Union soviétique lFormat : noir et blanc, muet <Durée du film : 93 ou 95 minutes selon les auteurs, 80 minutes

     

    Poster The Man with-the Movie Camera Dziga Vertov

    Videospectateurs : "Attention ! ce film est une expérience réalisée aux contacts d'événements réels sans l'aide du théâtre. Ce travail expérimental vise à créer un véritable langage international du cinématographe qui repose sur la séparation absolue de la langue, du théâtre et de la littérature." 1929 Dziga Vertov


    Человек с кино-аппаратом 1929 + playlist

    + d'infos

    La position de Vertov est encore plus radicale, plus extrême pour faire écho au propos de Max Milner. En effet, Eisenstein raconte "encore" des histoires, à la différence de Vertov. C’est d’ailleurs sur cet aspect que les deux hommes se brouilleront.

    Vertov refuse radicalement le cinéma artistique, et l’idée qu’il puisse être un objet de distraction, et de consommation, c’est-à-dire d’être réduit à un « opium du peuple » (la vocation en quelque sorte de l’entertainment). Il s’agit donc pour lui de se dé-prendre, de se dé_faire des habitudes et des héritages pour inventer des formes inédites à partir du réel. Car, pour lui, le cinéma en général, et le soviétique en particulier, doit aller dehors. Il doit filmer la réalité : l’existant, se doit d'enregistrer le monde effectif en se débarrassant de tout scénario, de toute forme d’écriture ou de référence qui brouillerait la nature machinique (mécanique) de l’image cinématographique. Un des enjeux affiché et affirmé par Vertov est de créer un cinéma international, un langage international qui n’aurait besoin, pour être saisi par tous les regard, que des enjeux de sa propre forme.

    Cette œuvre implicitement expérimentale à vocation universelle elle avance en pensant incessamment ses propres conditions de possibilité, et donc par-là même éduque le regard du spectateur aux conditions de formation de l’image et du regard. Il refuse donc de maintenir le regard du spectateur dans l’illusion fictionnelle. Ce à quoi s’attache Vertov, c’est une véritable mise à nue de l’illusion fictionnelle par la mécanique cinématographique, même.

    Article Un cinema révolutionnaire Sebastien Rongier


    thanks

     Panait Istrati et Nikos Kazatzaki en Ukraine Odessa Kiev,1928

    L'écrivain roumain de langue française Panaït Istrati filmé par les actualités soviétiques, en 1928, lors de son arrivée à Odessa. Istrati se rend en URSS pour célébrer le 10e anniversaire de la Révolution d'Octobre. Lors de ce séjour, il entreprend un voyage de plusieurs mois à travers le pays avec son nouvel ami Nikos Kazantzaki et leurs compagnes respectives, Bilili et Eleni Samios-Kazantzaki. Fervent partisan de la Révolution, désireux de rendre compte de ses bienfaits, Istrati (qui, fait rare, voyage sans escorte) doit déchanter brutalement. L'un des tous premiers, il décrira la réalité du régime stalinien dans l'ouvrage Vers l'autre flamme, écrit avec Victor Serge et Boris Souvarine. Autre témoignage de cette "véritable tragédie" qui vaudra à Istrati d'être rejeté du monde des lettres: le récit d'Eleni Samios-Kazantzaki,
    "La Véritable Tragédie de Panaït Istrati", resté inédit jusqu'à ce jour en français, que les Éditions Lignes viennent de faire paraître dans une édition établie et préfacée par Anselm Jappe et Maria Teresa Ricci lien ttp://www.editions-lignes.com/LA-VERITABLE-TRAGEDIE-DE-ISTRATI.html)

     

    l’hypertexte, Moscou 20-40, Sigismund Krzyzanowski

    Шоста частина світу 1926

    Zakir Paul Scenes from the Aesthetic Regime of Art Translated : Jacques Rancière

    Artwik Filmographie DzigaVertov

    Cairn Info

    La nature du cinéma : entre photogénie et attraction

    Télécharger « Vertov_Dziga_1922We_Variant_of_a_Manifesto.pdf »

    Télécharger « Jacques Rancière Voir les choses à travers les choses-Odessa 26.pdf »

    Dziga Vertov Archive org

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  • Je suis un œil.
    Un œil mécanique.
    Moi, c'est-à-dire la machine, je suis la machine qui vous montre le monde comme elle seule peut le voir.
    Désormais je serai libéré de l'immobilité humaine. Je suis en perpétuel en mouvement.
    Je m'approche des choses, je m'en éloigne. Je me glisse sous elles, j'entre en elles.
    Je me déplace vers le mufle du cheval de course.
    Je traverse les foules à toute vitesse, je précède les soldats à l'assaut, je décolle avec les aéroplanes, je me renverse sur le dos, je tombe et me relève en même temps que les corps tombent et se relèvent…
    Voilà ce que je suis, une machine tournant avec des manœuvres chaotiques, enregistrant les mouvements les uns derrière les autres les assemblant en fatras.
    Libérée des frontières du temps et de l'espace, j'organise comme je le souhaite chaque point de l'univers.
    Ma voie, est celle d'une nouvelle conception du monde. Je vous fais découvrir le monde que vous ne connaissez pas.

- Le cinéma dramatique est l'opium du peuple.
    - A bas les rois et les reines immortels du rideau. Vive l'enregistrement des avants-gardes dans leur vie de tous les jours et dans leur travail !
    À bas les scénarios-histoires de la bourgeoisie.
    Vive la vie en elle-même !
    Le cinéma dramatique est une arme meurtrière dans les mains des capitalistes ! Avec la pratique révolutionnaire au quotidien nous reprendrons cette arme des mains de l'ennemi.
    Les drames artistiques contemporains sont les restes de l'ancien monde. C'est une tentative de mettre nos perspectives révolutionnaires à la sauce bourgeoise.
    Fini de mettre en scène notre quotidien, filmez-nous sur le coup comme nous sommes.
    Le scénario est une histoire inventée à notre propos, écrite par un écrivain. Nous poursuivons notre vie sans avoir à la régler au dire d'un bonimenteur.
    Chacun de nous poursuit son travail sans avoir à perturber celui des autres. Le but des Kinoks est de vous filmer sans vous déranger.
    Vive le ciné-oeil de la Révolution !
    NOUS
    Nous, afin de nous différencier de la meute de cinéastes ramassant pleinement la saleté des poubelles, nous nommons les " Kinoks ".
    Il n'y a aucune ressemblance entre le " cinéma réaliste des Kinoks " et le cinéma des petits vendeurs de pacotilles.
    Pour nous, le cinéma dramatique psychologique Russe-Allemand lourd de souvenir infantile ne représente rien d'autre que de la démence.
Nous proclamons les films théâtralisés, romanisés à l'ancienne ou autres, ensorcelés.
    Ne les approchez pas !
  N'y touchez pas des yeux !
  Il y a danger de mort !   Ils sont contagieux !
    Nous pensons que l'art du cinéma de demain doit être le reflet du cinéma d'aujourd'hui.
Pour que l'art du cinéma survive, la "cinématographie " doit disparaître. Nous voulons accélérer cette fin.
    Nous sommes opposés à ceux que beaucoup appèle le cinéma de " synthèse ", mélangeant les différents arts.
    Même si les couleurs sont choisies avec soin, le mélange de couleurs affreuses donnera une couleur affreuse, on ne peut obtenir le blanc.
    La véritable union des différents arts ne pourra se faire que quand ceux-ci auront atteint leur apogée.
Nous nettoyons notre cinéma de tout ce qu'y s 'y est insinué, littérature et théâtre, nous lui cherchons un rythme propre, un rythme qui n'ait pas été chapardé ailleurs et que nous trouvons dans le mouvement des choses.
    Nous exigeons :
    A la porte
    Les étreintes exquises des romances
- Le poison du roman psychologique
- Les griffes du théâtre amoureux
- Le plus loin possible de la musique
Avec un rythme, une évaluation, une recherche d'outils propres à nous même, gagnons les grandes étendues, gagnons un espace à quatre dimensions (3 + le temps).
    L'art du mouvement qu'est le cinéma ne nous empêche en aucun cas de ne pas porter toute notre attention sur l'homme d'aujourd'hui.
    Le désordre et le déséquilibre des hommes autant que celui des machines nous font honte.
Nous projetons de filmer l'homme incapable de maîtriser les évolutions.
    Nous allons passer du lyrisme de la machine à l'homme électrique irrécusable.
En dévoilant l'âme de la machine, nous allons faire aimer le lieu de travail de l'ouvrier, le tracteur de l'agriculteur, la locomotive du machiniste…
Nous allons rapprocher l'homme et la machine.
Nous formerons des hommes nouveaux.
    Cet homme nouveau, épuré de ses maladresses et aguerri face aux évolutions profondes et superficielles de la machine, sera le thème principal de nos films.
    Il célèbre la bonne marche la machine, il est passionné par la mécanique, il marche droit vers les merveilles des processus chimiques, il écrit des poèmes, des scénarios avec des moyens électriques et incandescents.
    Il suit le mouvement des étoiles filantes, des évènements célestes et du travail des projecteurs qui éblouissent nos yeux.

    Kino-Pravda No. 1

    Enfants affamés / Réquisition d'objets de valeur possédés par l'Église orthodoxe russe / Vols de collecte de fonds en faveur des affamés / Procès des révolutionnaires socialistes

    Kino-Pravda No. 2

    Construction d'une centrale électrique / Procès des révolutionnaires socialistes

    Kino-Pravda No. 3

    Procès des révolutionnaires socialistes / Manifestants portant des banderoles

    Kino-Pravda No. 4

    Procès des socialistes-révolutionnaires / Course automobile Moscou – Sébastopol' / Des péniches chargées de céréales sont envoyées aux affamés dans les provinces / Le Caucase et ses stations balnéaires

    Kino-Pravda No. 5

    Commissaire du peuple paysan aux affaires agricoles, Vasilij Jakovenko / Station thermale Soči / Sanatorium pour enfants / Courses attelées

    Kino-Pravda No. 6

    Collision de tramway / Reprise de l'activité d'une usine de fabrication d'armes / Assemblage d'une automobile / Courses de vélos et de motos / Défilé d'unités blindées de l'Armée rouge et exercice d'attaque

    kino Pravda No. 7

    Procès des révolutionnaires socialistes / Reconstruction du village sibérien détruit de Taseevo / Gare ferroviaire de Sljudjanka / Mines de mica abandonnées près du lac Baïkal / Station thermale de Soči / Chudjakovskij-Park / Plage près de Tuapse / Le chargement de la soie / Afghanistan, Kaboul / Utilisation en temps de paix de chars / Route de montagne / Chapelle dans le Caucase

    Kino-Pravda No 8

    Un pari est placé sur l'issue du procès / Procès des révolutionnaires socialistes / Le verdict / Des gens dans les tramways et dans la rue / Un avion écrasé / Reconstruction de la ligne de tramway 13 / Utilisation de chars en temps de paix - travaux de construction d'aéroport

    Kino-Pravda No 9

    Congrès de la « Living Church » / Ouverture de la saison des courses / Démonstration d'une caméra américaine / Fonctionnement des unités mobiles de projection

    Kino-Pravda No 10

    Journée internationale de la jeunesse et manifestations / Olympiade panrusse / Collision de tramway / Construction d'automobiles dans une usine de Petrograd

    Kino-Pravda No 11 lien vidéo clique ici <    Kino-Pravda No 12 lien vidéo clique ici <   Kino-Pravda No 13  lien vidéo clique ici <    Kino-Pravda No 14 lien vidéo clique ici <

    Kino-Pravda No 15

    Contre la guerre / Contre les Dieux / Education / Agitation / Sports et gymnastique / Danger de guerre

    Kino-Pravda No 16 lien vidéo clique ici <     Kino-Pravda No 17 lien vidéo clique ici <    Kino-Pravda No 18 lien vidéo clique ici <

    Kino-Pravda No 19 lien vidéo clique ici <  

    Reliant ville et campagne, sud et nord, été et hiver, paysannes et ouvrières / Emancipation des femmes en URSS

    Kino-Pravda No 20 lien Vidéo Clique IcI <

    Reportages des Pionniers : Excursion à la campagne, au zoo etc...

    Kino-Pravda No. 21

    Premier anniversaire de la mort de Lénine : 1. Tentative d'assassinat de Lénine et progrès de la Russie soviétique sous sa direction / 2. Maladie, mort et funérailles de Lénine / 3. L'année après la mort de Lénine

    Kino-Pravda No. 22

    Kino-Pravda No 23 lien kinopravda vidéo clique ici <

    Un paysan achète un récepteur au magasin de radio / Instructions pour fixer une antenne / Développement d'une station de diffusion / La diffusion d'un concert.

      Kino-Pravda No 24 lien vidéo clique ici < .  Kino-Pravda No 25 lien vidéo clique ici <

    Né à Bialystock, Pologne en 1896, sous le nom de Denis Arkadiévitch Kaufman, le futur Vertov est le fils ainé d’une fratrie de trois frères qui travailleront tous dans le cinéma : Mikhaïl et Boris deviendront respectivement les opérateurs de Vertov et de Vigo.

    Vertov a d’abord étudié la médecine et la musique en créant notamment le « laboratoire de l’ouïe » où il expérimente l’enregistrement et le montage sonore.

    Il se tourne vers le cinéma dès 1918. Il entre au Kino Komitet à Moscou et participe à la propagande politique par le cinéma, notamment les fameux agit-train, c’est-à-dire les trains qui circulent dans toute la Russie pour des actions de propagande.

    C’est un moment d’effervescence. L’étourdissement dans lequel il s’engage est immédiatement signifié par son nom : Dziga signifiant « toupie » et Vertov, « qui tourne, virevolte ». Alors Vertov tourne, monte et montre à la population les journaux cinématographiques : les Kinonedelia (Ciné-semaine) et les Kinopravda (Ciné-Vérité) qu’il lance avec le groupe Kinok afin d’inventer une forme cinématographique qui corresponde à son émancipation révolutionnaire.

    En 1922, il crée avec son frère Mikhaïl et sa monteuse et future femme Elizaveta Svilova, le groupe "Kinok." mot-valise russe (kino : cinéma ; oko : œil). C’est la grande période des avant-gardes.  Comme nombre des avant-gardes, ils publient un premier manifeste « Nous » qui s’oppose radicalement à la fiction, au cinéma de fiction. Le second manifeste « Kinok révolution » (1923).

    Vertov invente son style dans ses tournages et ses expérimentations cinématographiques. Pour lui, il faut être sur les lieux des évènements, saisir le réel et créer par les formes du cinéma les conditions d’un nouveau regard, inventer de nouveaux points de vue et donc de nouvelles manières de filmer. La première cristallisation de cette pensée du cinéma aboutit notamment au film de 1924, Ciné-Œil, la vie à l’improviste. De nombreux autres films suivront cette voie esthétique et cet engagement politique, parmi eux, La Sixième partie du monde (1925), En avant, soviet ! (1926), La Symphonie de Donbass (Enthousiasme) (1931), Trois chants sur Lénine (1934).

    Alors que l’Union Soviétique adopte un tournant radical en 1929-1930, son cinéma est taxé de formalisme. On entre alors dans une période artistique dominée par l’esthétique du « réalisme socialiste », sous l’impulsion de Jdanov lors du premier congrès des écrivains d’Union Soviétique de 1934.
    A partir du tournant stalinien et jdanovien, la voix de Vertov est petit à petit étouffée par le régime et le système. Il tourne encore quelques films avant d’être lui-même rattrapé par un procès stalinien au cours du duquel il est accusé en 1947 de « cosmopolitisme ».

    Il meurt le 12 février 1954, un an après Staline.

    Dziga Vertov. Kino-Eye, 1924

    THANKS

    KinoK VertoV

    https://vertov.filmmuseum.at/en/film_online/kino-pravda

    https://archive.org/search.php?query=dziga%20vertov

    Austrian Film Museum Youtube

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  • Nantes Passage Pommeraye, vue Jacques Demy circa 1960

    Jacques Demy

    LOLA

    Tourné du 7 juin au 17 juillet 1960 à Nantes et à La Baule Sortie en France : le 3 mars 1961

    Scénario et réalisation : Jacques Demy, Images Raoul Coutard, Décors et costumes Bernard Evein, Montage Anne-Marie Cotret, Assistants réalisateurs Bernard Toublanc-Michel et Denis Mornet, Assistant image: Claude Beausoleil, Assistante montage: Monique Teisseire Script-girl: Suzanne Schiffman Assistant décors: Jean Porcher Paroles de la chanson: Agnès Varda Photographies: Raymond Cauchetier Coiffeuse: Denise Lemoigne Chef-machiniste: Roger Scipion Administratrice de production: Bruna Drigo Régisseur: Marcel Georges Directeur de production: Georges de Beauregard Bande originale : Michel Legrand la chanson fut doublée par Jacqueline Danno.

    Lola/Cécile Anouk Aimée, Roland Cassard Marc Michel, Michel, Frankie Alan Scott, Madame Desnoyers Elina Labourdette, Jeanne Margo Lion, Cécile Desnoyers Annie Dupéroux, Claire Catherine Lutz,, Daisy Corinne Marchand, Madame Frédérique Yvette Anziani, Dolly Dorothée Blank, Nelly Isabelle Lunghini, Ellen Annick Noël, l’employée de M. Valentin Ginette Valton, Maggy Anne Zarnire, M. François, le libraire Jacques Goasguen, Minnie Babette Bardin, M. Valentin, le coiffeur Jacques Lebreton, Yvon Gérard Delaroche, le directeur de Roland Raphaël Héry, le professeur de danse Carlo Nell, Suzanne Marie-Christine Maufrais, satyre Jean Porcher, le commissaire Charlie Bretagne, Georges Albert.

    Produit par Georges de Beauregard  et, Carlo Ponti Studios de production  Rome Paris Films. 1961

    + d'infos

    cine tamaris LOLA

    cine tamaris BIO DE JACQUES

      

    Il était une fois LOLA émission France Culture Philosopher avec Jacques Demy 1/4.

    france culture PHILOSOPHER AVEC JACQUES DEMY

    Chanteuses : voix > Jacqueline Danno et  image Anouk Aymée.

    « C’est moi, c’est Lola Celle qui rit à tout propos, Celle qui dit l’amour c’est beau Celle qui plaît sans plaisanter, Reçoit sans les dédommager Les hommages des hommes âgés, Et les « Bravos » des braves gars, Les « Hourras », les « Viens avec moi » Celle qui rit de tout cela, Qui veut plaire et s’en tenir là C’est moi, c’est Lola. » Agnès Varda

     

     

     

     

     

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