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Landmark Artists, ∞, a diaporama
Birgit Jürgenssen, Carolee Scheemann, Helen Almeida, Ines van Lamsweerde, Matadin, Lynda benglis, Marina Abramovic, Nancy Holt, Orlan, Pipilotti Rist, Sophie Calle, Sylvie Fleury, Valie Export, Vanessa Beecroft, Yvonne Rainer,
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Mickæl Snow La région centrale extrait video 1971.
"Dans mon travail, il s’agit de la fabrication de formes." sic M. Snow
L'œuvre cinématographique de Michael Snow expérimente de façon héroïque le temps et les possibilités techniques de son enregistrement. Avec : La photographie "One Second in Montreal" 1969, la caméra le panoramique pour "Back and Forth", 1968-69, le zoom avant "Wavelength", 1967", les mouvements giratoires pour "La Région Centrale", 1971.
Mickæl Snow Paris de jugement Le and/or State of the Arts 193 x 183 X 8 ~ 2003
Mickæl Snow power of two 2003
MICHAEL SNOW
Du 10 février au 24 avril 2011
LE FRESNOY
Studio national des arts contemporains
22 rue du Fresnoy - BP 179
59202 Tourcoing cedex
Tel : + 33 (0)3 20 28 38 00
Fax : + 33 (0)3 20 28 38 99
communication@lefresnoy.netL'artiste canadien Michael Snow est l'une des figures les plus inspirantes de la scène artistique des dernières décennies et la trentaine de photographies, projections, installations vidéographiques et oeuvres sonores sélectionnées dans cette exposition veut rendre compte du caractère multidisciplinaire et expérimental de ce pionnier des arts médiatiques. (...)
Michael Snow est né à Toronto où il vit et travaille. Artiste multidisciplinaire, il s'est illustré de façon prolifique dans les domaines de la peinture, de la sculpture, du cinéma et de la vidéo, et de la musique. Il réalise son premier film en 1956. "Wavelength", 1967 le consacre comme l'un des cinéastes importants de l'avant-garde internationale. Il a été de la plupart des grandes manifestations internationales. Louise Dérywww.frompointtopoint.com thanks links + infos Links books artists Fondation Langlois Bio
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®© studio point to poin Wavelength Michael Snow, 1967
45 min., 16mmLavéra: vue mer ciel - sea-sky, view. Provence-Alpes-Côte d'Azur, France With his film Wavelength, Michael Snow revolutionized the international Avant-garde film scene like no other production. Viewed from its basic concept, this is a purely "formal" film: it consists of a single, 45-minute-long tracking shot through the length of a room, accompanied by slowly-increasing sine tones.
As the camera moves forward through the rooms space (when carefully studied the movement is not continuous, but made up of individual passages edited together), one registers the passing of several nights and days. The camera is ultimately moving toward a spot between two windows at the back of the room, where a photograph on the wall shows the unsettled surface of the sea; in the end, the camera comes so close to it that only the waves fill the screen.
The fascination of this film can be explained through the application of the formal principle of the tracking shot, which seems to determine the entire film, with stray elements of reality: people occasionally appear in the frame; the telephone rings; apparently someone is even murdered in this space. Even what one can recognize of the street through the windowpane constitutes a counter-element to a purely "abstract" form.
"Wavelength ranks among those films which force viewers, regardless of how they react, to carefully consider the essence of the medium and, just as unavoidably, reality," wrote the critic Amos Vogel. Ulrich Gregor, Geschichte des Films ab 1960, Reinbek, 1983.Wavelength (1967) est, en apparence, fait d’un seul plan : un zoom avant continu de 45 minutes, accompagné d’un son sinusoïdal de plus en plus aigu, qui débute, en un plan large, dans un atelier de peintre pour, à l’issue d’un rétrécissement continu du cadre (du regard, de l’attention), terminer son « voyage » sur une photo de vagues, de quelques centimètres de côté. En vérité, Wavelength n’est pas constitué que d’un plan mais d’une multitude et le travail de montage y est particulièrement soigné et subtil. Snow se livre à toutes sortes de travaux structurels : clignotements, surimpressions, coloration et utilisation de pellicules de différentes sensibilités, etc. Simultanément à ces « jeux » visuels, Snow incorpore des moments (des « événements ») dont la fulgurance et l’étrangeté sont des points de départ de fiction, des ébauches de récit, dont le plus saisissant est l’effondrement d’un homme (mort ?) à la limite inférieure du cadre, « effacé » instantanément par le mouvement avant du zoom. Dans ses effets, Wavelength s’apparente à ces états qui ne s’acquièrent que par l’absorption de substances chimiques qui transforment la perception (tel le L.S.D.) et font que le regard se fixe intensément, longuement sur un objet. Gérard Courant.
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FILM de Samuel Beckett, 1964/65 New-York (extrait)
"Chercher à ne pas être. Par tous les moyens, effacer toute image et tout relief " Recommandation au acteurs. Sic S Beckett
Not I de Samuel Beckett, 1973 (extrait)
«Pour la scène Il est très difficile d'assembler (lumière - position) et peut-être que j'y fait plus de mal que de bien.
Pour moi le jeu d'acteur a besoin d'elle, mais, je ne l'ai jamais vu fonctionner efficacement, je peux faire sans elle." Sic S. Beckett 1986QUAD I QUAD II de Samuel Beckett, 1981, (extrait)
« folie télévisuelle ». sic S. Beckett
Hypothèse photo Samuel Beckett point to point studio
« Quoi si le crâne disparaissait ? Tout comme.
Dans quel alors trou noir ? Hors quoi alors ?
Quel pourquoi ça ? Mieux plus mal ainsi ? Non.
Crâne mieux plus mal. Ce qu’il en reste. Du
crâne. De la substance molle. Pire pourquoi ça
de tout ça. Crâne donc ne disparaît pas. Ce
qu'il en reste du crâne ne disparaît pas. Pour y
entrer encore le trou. Atteindre ce qu'il reste de
substance molle. Hors quoi le petit reste ».Samuel Beckett écrivit Cap au pire, alors qu'il réalisait "Quad" pour la télévision. À l'inverse de cette folie télévisuelle qui pourrait se définir comme un exercice de géométrie équilibré dont l'énergie déplacée est au service de la fonction la permance du revival comparable au jeu de pong, l'une des première console pour téléviseur très populaire dans les années quatrevingt ; avec Worstward Ho l'écrivain va activer son écriture pour "détracer" les éléments constitutifs à sa fabrication et nous laisser une absence absente qui nous renvoie au point de départ comme: émotion affective et à lisibilité de sa pire application: "Nul avenir. Hélas Si."
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Quad jeu
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Signature
Portrait
DATE PAINTING
Inside the box date painting
One Million Years "Past & Future"
I AM STIL ALIVE
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Lien > 10 juillet 2014, 29771 jours On Kawara
Kawara On, Кавара, Он, Portrait Jeune Artiste Lien > Art Bouillon