• Hans Richter Portrait Photo ManRay

    Johannes Siegfried Richter, aka Hans Richter, un peintre et cinéaste naturalisé américain, né à Berlin, Allemagne 1888 et décédé en 1976 à district de Locarno en Suisse.

    Après des études à l'Académie des Beaux-Arts de Berlin, puis l'Académie de Weimar en 1908/09, ses premiers enthousiasmes sont partagés avec les membres du " Blaue Reiter "  le groupe d'artistes Vassily Kandinsky, Franz Marc et August Macke. Gabriele Münter, Heinrich Campendonk, David Burljuk, Alexej von Jawlensky, Paul Klee qualifié d''expressionnisme au même titre que " Die Brücke "  qui comprenait des artistes éminent tels : Ernst Ludwig Kirchner, Erich Heckel, Fritz Bleyl, Karl Schmidt-Rottluff, Emil Nolde,  Max Pechstein, Otto Mueller, Kees van Dongen. tout en s'engageant auprès du magazine d'avant-garde " Der Sturm " moins politisé que " Die Aktion ".
    En 1916, Rencontre avec le peintre suédois Viking Eggeling. Rejoint le mouvement des " dada " groupés à Zurich avec lesquels il exposera.
    Au début des années 1920, il commença à peindre au rouleau des lignes et surfaces ; s'intéressant à l'espace du tableau, aux rythmes, aux intervalles entre les couleurs qui se convoquaient sur les surfaces peintes, il les anima sur de la pellicule ses abstraits ; réalisant des petits films très construits. Regarde le travail de Walter Ruttmann.

    rhythm 21. court film de Hans Richter, et Viking Eggeling 1921.

    rythm 23 court film de Hans Richter, 1923.

    Filmstudie. film de Hans Richter. Musique Hans Heinz Stuckenschmidt, Actrice Stella F. Simon 1926.

    Inflation film de Hans Richter, 1927. Parabole caustique sur la situation économique régnant dans la République de Weimar des années 1920.

    Vormittagsspuk/Ghosts Before Breakfast (Hans Richter, 1928) from Dartmouth Film & Media Studies on Vimeo.

    Vormittagsspuk - Ghosts Before Breakfast film de Hans Richter, 1928

    Race Symphony film de Hans Richer, 1928

    Two Pence Magic - Zweigroschenzauber. Court film de Hans Richer, 1929

    Everyday. Film muet de Hans Richter, 1929.

    Dreams that Money can Buy - Rêves à vendre. Film de Hans Richter 1947.

    Sept artistes Max Ernst, Paul Bowles, Fernand Léger, Man Ray, Marcel Duchamp, John Cage et Alexander Calder contribuent aux six rêves de Joe.

    HANS RICHTER

    Photo tournage  8 × 8 de Hans Richter

     

    8x8: A Chess, Sonata in 8 Movements Jean Cocteau, Hans Richter 1957

    8 × 8 – Improvisations sur les échecs Sonate en 8 Mouvements. Film expérimentale réalisé par Hans Richter, Marcel Duchamp, et Jean Cocteau. Prise de son prise de son Louis et Bebe Barron. Chanteurs, Oscar Brand et John La Touche. Musique de Robert Abramson, John Gruen et Douglas Townsend.
    Les acteurs sont des amis Hans Arp, Ceal Bryson, Willem de Vogel, Richard Hulsenbeck, Paul Bowles, Fernand Léger, Frederick Kiesler, Yves Tanguy, Man Ray, Eugene Pellegrini, Jaqueline Matisse, Julien Levy, Julien Lary, Alexander Calder,
    Max Ernst, Dorothea Tanning, Jean Cocteau, Marcel Duchamp, et sous les lunettes préférées du soleil du Venise de l'été 1956 : Peggy Guggenheim.

    dadascope film de Hans Richter, 1956/1961

    Poèmes de Jean Arp, Marcel Duchamp, Raoul Hausmann, Richard Huelsenbeck, Marcel Janco, Walter Mehring, Hans Richter, Kurt Schwitters, Tristan Tzara, Werner Vogel, Georges Ribemont-Dessaignes,.
    Tzara interprète la "chanson dada" que Georges Auric a mise en musique.

    HANS RICHTER

    Dada Head, After Drawing 1918/1974. Relie bois peint. de Hans Richter.

    + Infos

    Analyse de Rhythm 21, article Musimédia

    Hans Richter article Filmographie IMDB

    Hans Richter Cinéma Expérimental article Light Cone

    Hans Richter article Wikipédia

    Hans Richter Hand Painted Film Article synestheorie

    Der Blau Reiter

    Die Brücke

    Der Sturm

    Die Aktion

    " Télécharger « Hommage à Hans Richter Artcurial.pdf "

    © studio point to point

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  • Peinture Cézanne, Pyramide de crânes

    Peinture Paul Cézanne , Pyramide de crânes 1901

    Cézanne 1839-1906, film de Danièle Huillet et Jean-Marie Straub-texte du peintre et Joachim Gasquet avec extraits de "Madame Bovary" Jean Renoir, et "La mort d'Empédocle" de Jean-Marie Straub et voix de Danièle Huillet.

    Paul Cezanne, Portrait photo par Emile Bernard

    mp3 Paul Cezanne-Pensees sur la peinture clique Ici

    Paul Cézanne texte d'Émile Bernard Pensées « Paul Cézanne », publié dans la revue L’Occident, n° 32, juillet 1904

    Lisons la nature; réalisons nos sensations dans une esthétique personnelle et traditionnelle à la fois. Le plus fort sera celui qui aura vu le plus à fond et qui réalisera pleinement, comme les grands Vénitiens.

    Peindre d’après nature, ce n’est pas copier l’objectif, c’est réaliser ses sensations.

    Dans le peintre il y a deux choses: l’œil et le cerveau, tous deux doivent s’entr’aider : il faut travailler à leur développement mutuel ; à l’œil par la vision sur nature, au cerveau par la logique des sensations organisées, qui donne les moyens d’expression.

    Lire la nature, c’est la voir sous le voile de l’interprétation par taches colorées se succédant selon une loi d’harmonie. Ces grandes teintes s’analysent ainsi par les modulations. Peindre c’est enregistrer ses sensations colorées.

    Il n’y a pas de ligne, il n’y a pas de modelé, il n’y a que des contrastes. Ces contrastes, ce ne sont pas le noir et le blanc qui les donnent, c’est la sensation colorée. Du rapport exact des tons résulte le modelé. Quand ils sont harmonieusement juxtaposés et qu’ils y sont tous, le tableau se modèle tout seul.

    On ne devrait pas dire modeler, on devrait dire moduler.

    L’ombre est une couleur comme la lumière, mais elle est moins brillante ; lumière et ombre ne sont qu’un rapport de deux tons.

    Tout dans la nature se modèle selon la sphère, le cône et le cylindre. Il faut s’apprendre à peindre sur ces figures simples, on pourra ensuite faire tout ce qu’on voudra.

    Le dessin et la couleur ne sont point distincts, au fur et à mesure que l’on peint on dessine ; plus la couleur s’harmonise, plus le dessin se précise. Quand la couleur est à sa richesse, la forme est à sa plénitude. Les contrastes et les rapports de tons, voilà le secret du dessin et du modelé.

    L’effet constitue le tableau, il l’unifie et le concentre ; c’est sur l’existence d’une tache dominante qu’il faut l’établir.

    Il faut être ouvrier dans son art. Savoir de bonne heure sa méthode de réalisation. Être peintre par les qualités mêmes de la peinture. Se servir de matériaux grossiers.

     Il faut redevenir classique par la nature, c’est-à-dire par la sensation.

    Tout se résume en ceci : avoir des sensations et lire la Nature.

    Travailler sans souci de personne, et devenir fort, tel est le but de l’artiste ; le reste ne vaut même pas le mot de Cambronne.

    Mon cher Bernard,

    Je me trouve en un tel état de troubles cérébraux, dans un trouble si grand, que j’ai craint à un moment que ma frêle raison y passât. Après les terribles chaleurs que nous venons de subir, une température plus clémente a ramené dans nos esprits un peu de calme, et ce n’était pas trop tôt ; maintenant il me semble que je vois mieux et que je pense plus juste dans l’orientation de mes études. Arriverai-je au but tant cherché et si longtemps poursuivi ? Je le souhaite, mais tant qu’il n’est pas atteint, un vague état de malaise subsiste, qui ne pourra disparaître qu’après que j’aurai atteint le port, soit avoir réalisé quelque chose en développant mieux que par le passé, et par là même devenant probant de théories, qui, elles, sont toujours faciles ; il n’y a que la preuve à faire de ce qu’on pense qui présente de sérieux obstacles. Je continue donc mes études.

    Mais je viens de relire votre lettre, et je vois que je réponds toujours à côté. Vous voudrez bien m’en excuser ; c’est, je vous l’ai dit, cette constante préoccupation du but à atteindre, qui en est la cause.

    J’étudie toujours sur nature, et il me semble que je fais de lents progrès. Je vous aurais voulu auprès de moi, car la solitude pèse toujours un peu. Mais je suis vieux, malade, et je me suis juré de mourir en peignant, plutôt que de sombrer dans le gâtisme avilissant qui menace les vieillards qui se laissent dominer [par] des passions abrutissantes pour leurs sens.

    Si j’ai le plaisir de me trouver un jour avec vous, nous pourrons mieux, de vive voix, nous expliquer. Vous m’excuserez de revenir sans cesse au même point ; mais je crois au développement logique de ce que nous voyons et ressentons par l’étude sur nature, quitte à me préoccuper des procédés ensuite ; les procédés n’étant pour nous que de simples moyens pour arriver à faire sentir au public ce que nous ressentons nous-mêmes et à nous faire agréer. Les grands que nous admirons ne doivent avoir fait que ça.

    Un bon souvenir de l’entêté macrobite qui vous serre cordialement la main.

    Paul Cézanne–21 septembre 1906

    Paul, Le fils de Paul Cézanne Peinture

    mp3 Paul Cezanne Pensees avec Paul Cézanne Fils clique ici

    Pensées recueillies par le fils de Cézanne et qu’il aurait transmises à Léo Larguier, lequel les a publiées la première fois en 1925 dans son livre de souvenirs, Le Dimanche avec Paul Cézanne, puis à nouveau dans son essai Cézanne ou la Lutte avec l’ange de la peinture en 1947.

    I. Les appréciations de la critique en matière d’art sont formulées moins d’après des données esthétiques que d’après des conventions littéraires.

    II. L’artiste doit fuir la littérature en art.

    III. L’art est la révélation d’une sensibilité exquise.

    IV. La sensibilité caractérise l’individu ; à son degré le plus parfait, elle distingue l’artiste.

    V. Une grande sensibilité est la disposition la plus heureuse à toute belle conception d’art.

    VI. Ce qui séduit le plus, dans l’art, c’est la personnalité de l’artiste lui-même.

    VII. L’artiste objective sa sensibilité, sa distinction native.

    VIII. La noblesse de la conception nous révèle l’âme de l’artiste.

    IX. L’artiste concrétise et individualise.

    X. L’artiste éprouve de la joie à pouvoir communiquer aux autres âmes son enthousiasme devant le chef-d’œuvre de la nature dont il croit posséder le mystère.

    XI. Le génie est le pouvoir de renouveler son émotion à son contact quotidien.

    XII. Pour l’artiste, voir, c’est concevoir, et concevoir, c’est composer.

    XIII. Car l’artiste ne note pas ses émotions comme l’oiseau module ses sons : il compose.

    XIV. L’importance de l’art ne se voit pas dans l’universalité de ses rapports immédiats.

    XV. L’art est une religion. Son but est l’élévation de la pensée.

    XVI. Celui qui n’a pas le goût de l’absolu (la perfection) se contente d’une médiocrité tranquille.

    XVII. On juge de l’excellence des esprits par le développement original de leurs conceptions.

    XVIII. Une intelligence qui organise puissamment est la collaboration la plus précieuse de la sensibilité pour la réalisation de l’œuvre d’art.

    XIX. L’art est une adaptation des choses à nos besoins et à nos goûts.

    XX. La technique d’un art comporte un langage et une logique.

    XXI. Une formule d’art est parfaite quand elle est adéquate au caractère et à la grandeur du sujet interprété.

    XXII. Le style ne se crée pas de l’imitation servile des maîtres ; il procède de la façon propre de sentir et de s’exprimer de l’artiste.

    XXIII. À la manière dont une conception d’art est rendue, nous pouvons juger de l’élévation d’esprit et de la conscience de l’artiste.

    XXIV. Le recherche de la nouveauté et de l’originalité est un besoin factice qui dissimule mal la banalité et l’absence de tempérament

    XXV. La ligne et le modelé n’existent point. Le dessin est un rapport de contraste ou simplement le rapport de deux tons, le blanc et le noir.

    XXVI. La lumière et l’ombre sont un rapport de couleurs, les deux accidents principaux diffèrent non par leur intensité générale mais par leur sonorité propre.

    XXVII. La forme et le contour des objets nous sont donnés par les oppositions et les contrastes qui résultent de leurs colorations particulières.

    XXVIII. Le dessin pur est une abstraction. Le dessin et la couleur ne sont point distincts, tout dans la nature étant coloré.

    XXIX. Au fur et à mesure que l’on peint, l’on dessine. La justesse du ton donne à la fois la lumière et le modelé de l’objet. Plus la couleur s’harmonise, plus le dessin va se précisant.

    XXX. Contrastes et rapports de tons, voilà tout le secret du dessin du modelé.

    XXXI. La nature est en profondeur.
    Entre le peintre et son modèle s’interpose un plan, l’atmosphère.
    Les corps vus dans l’espace sont tous convexes.

    XXXII. L’atmosphère forme le fond immuable sur l’écran duquel viennent se décomposer toutes les oppositions de couleurs, tous les accidents de lumière. Elle constitue l’enveloppe du tableau en contribuant à sa synthèse et à son harmonie générale.

    XXXIII. On peut donc dire que peindre, c’est contraster.

    XXXIV. Il n’y a ni peinture claire ni peinture foncée, mais simplement des rapports de tons. Quand ceux-ci sont mis avec justesse, l’harmonie s’établit toute seule. Plus ils sont nombreux et variés, plus l’effet est grand et agréable à l’œil.

    XXXV. La peinture, comme tout art, comporte une technique, une manipulation d’ouvrier, mais la justesse d’un ton et l’heureuse combinaison des effets dépendent uniquement du choix de l’artiste.

    XXXVI. L’artiste ne perçoit pas directement tous les rapports : il les sent.

    XXXVII. Sentir juste et réaliser pleinement donnent le style.

    XXXVIII. La peinture est l’art de combiner des effets, c’est-à-dire d’établir des rapports entre des couleurs, des contours et des plans.

    XXXIX. La méthode se dégage au contact de la nature. Elle se développe par les circonstances. Elle consiste à chercher l’expression de ce que l’on ressent, à organiser les sensations dans une esthétique personnelle.

    XL. A priori, les écoles n’existent pas.
    La question qui prime tout est celle de l’art en lui-même.
    La peinture est donc ou bonne ou mauvaise

    XLI. Voir sur nature, c’est dégager le caractère de son modèle.
    Peindre, ce n’est pas copier servilement l’objectif : c’est saisir une harmonie entre des rapports nombreux, c’est les transposer dans une gamme à soi en les développant suivant une logique neuve et originale

    XLII. Faire un tableau, c’est composer.

    & Point to Point Studio XXI°

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  • Extérieur, Public de L'exposiion de Jean-Adrien Arzilier, Galerie From Point to Point Galerie

    Public à l'exposiion de Jean-Adrien Arzilier, Galerie From Point to Point Galerie

    Public à l'exposiion de Jean-Adrien Arzilier, Galerie From Point to Point Galerie

    Public à l'exposiion de Jean-Adrien Arzilier, Galerie From Point to Point Galerie

    Public à l'exposiion de Jean-Adrien Arzilier, Galerie From Point to Point Galerie

    Public à l'exposiion de Jean-Adrien Arzilier, Galerie From Point to Point Galerie

    + d'infos

    Jean-Pierre Loubat Photographe

    From-Point To Point Galerie

    Biographie Jean Adrien Arzilier

    Page en cours © studio point to point XXI°

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  • Sketch Up Light, de Jean-Adrian Arzilier, Sculpture From Point To point Gallery

    Sculptures et plan de Jean-Adrien Arzilier, From Point To Point Gallery 2012

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  • Joseph Plateau 1833 Pubd. by McLean's Optical Illusions, Magic Panorama.

    Edison kinetoscopic, W. K. L. Dickson; 9 Jan1894, acteur, Fred Ott

    1898 L'homme de têtes de Georges Méliès.

    Series of 12 phenakistiscope discs was published in the same year this first real animation device was presented to the world by Belgian inventor Joseph Plateau. The artist(s) only had 8 to 12 frames to work with and these had to form a loop.

    Série de 12 disques phénakistiscope a été publiée la même année ce dispositif d'animation première véritable a été présenté au monde par le Belge Plateau inventeur Joseph. L'artiste (s) n'avait que 8 à 12 cadres de travailler avec et ceux-ci devaient former une boucle.


    Jean Suquet Photo

    L'affaire Lumière du mythe à l'histoire.

    Confus, trop riche, mal construit, toutes griffes dehors comme une caméra décortiquée, ce livre reflète avec sa verte rigueur batailleuse comment le cinéma est né. Il ne fut pas fait par un, mais par deux, mais par tous. Pour qu'une invention voit le jour il faut que l'air du temps – ses frissons, ses rires, ses dérives – sème l'étincelle et souffle le feu. Marey qui arrêta l'image du temps qui passe, Plateau qui s'aveugla à regarder fixement le soleil, Édison, Méliès, et lui et l'autre, les reconnus, les entrevus, les oubliés, autant de maillons indispensables, indissociables de la chaine en celluloïd perforé. Grâce leur soit rendue, à tous ses magiciens. Léo Sauvage s'encolère – et ses éclats de pamphlétaire ressuscitent la passion des inventeurs – que la postérité s'entête à attribuer la paternité de tant de trouvailles à deux seuls photographes Lyonnais qui ont fait d'ailleurs leur part de travail. Pourquoi cette faveur ? Simple et juste retour de flamme de leur prédestiné : Lumière. Jean Suquet
    Mars 1986 numéro 285, Léo Sauvage. L'affaire Lumière du mythe à l'histoire ; enquête sur les origines du cinéma Éditions P. Lherminier 1985 248 pages Le cinéma et son histoire.

    LECTURES CHOISIES EXTRAIT [285]

    + d'infos

    Léo Sauvage Bio

    © Pointtoppoint studio XXI°

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  • Daniel Tremblay, Sans titre, 1980

    Daniel Tremblay, artiste français, né le 7 mars 1950 à Sainte-Christine (Maine-et-Loire), décédé sur les bords de la Loire, le 8 avril 1985 dans un accident de voiture.

    Après avoir étudié à l'école des Beaux Arts d'Angers, il suit pendant une année des cours au Royal College of Art de Londres.

    Daniel Tremblay, La sieste éternelle 1983, gazon synthétique, râteau, 200 x 300 cm

    l''artiste a travailler des matériaux domestiques comme le caoutchouc, la moquette, l'ardoise, les strass... associés à des objets familiers. Sur 5 ans de production Daniel Tremblay a produit plus de 130 dessins, sculptures, bas-reliefs et installations. Ses œuvres sont présentes dans les collections privés et publiques; Centre Pompidou, Musée d'Art moderne de la Ville de Paris, le Moderna Museet de Stockholm, Musée Guggenheim de New York, etc.…

    Daniel Tremblay, Objet Peinture. Moquette, Écumoir.


    Partageant les préoccupations de la nouvelle sculpture anglaise (Tony Cragg, Bill Woodrow, Richard Deacon,Greg Flanagan, Anish Kapoor…) des années 1980, il développe un attachement pour les objets utilisés utilisé dans le quotidien de chacun pour les "imprégner" d'une sentimentalité légère et tendre, songeur et ironique.

    Sans titre (pisseur en l’air) 1981 Daniel Tremblay, Instalation,
    fusain sur carton, étoiles adhésive. Dimensions variables

    Daniel Tremblay Last Wave clic Here. La Jolla, plage à San Diégo Plage Californie US

     


    + d'infos
     

    Truc et troc. Leçons de choses‎ exposition Collective 1983 20€ +f/p
    Tips and barter. Object lessons Museum of Modern Art of Paris in 1983 Catalogue version Française

    ‎Musée d'art moderne de la ville de Paris Catalogue 1983 In-4, (27x21 cm), broché, 130 pages, illustrations en noir et blanc et en couleurs, préface de Suzanne Pagé, catalogue de l'exposition réalisée au Musée d'art moderne de la ville de Paris (janvier-mars 1983). avec Etienne BOSSUT, Tony CRAGG, Gloria FRIEDMANN, Alexandre GHERBAN, Bertrand LAVIER, David MACH, Patrick SAYTOUR, Daniel TREMBLAY, Jean-Luc VILMOUTH, Bill WOODROW‎


    Daniel Tremblay blogspot

    Exposition Daniel Tremblay Angers

    Photos Daniel Tremblay

    Daniel Tremblay wikipédia

    Daniel-Tremblay-exposition-Musee-Angers.pdf
    Photos

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