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    Merce Cunningham playliste Youtube spacepointtopoint

    Thanks Philippe Photo Point to Point Studio


    Un jour ou deux - Telerama_BA

    Ballet chorégraphié par Merce Cunningham, sur la musique de John Cage, par l'Opéra national de Paris (nov. 2012

    + d'infos

    Merce Cunningham Dance Company

    Cunningham choreographed almost two hundred works for his company

    Suite for Five (1956–1958)
    Music: John Cage, Music for Piano
    Costumes: Robert Rauschenberg
    Lighting: Beverly Emmons

    Crises (1960)
    Music: Conlon Nancarrow (from Rhythm Studies for Player Piano)
    Costumes, Lighting: Robert Rauschenberg

    Rainforest (1968)
    Music: David Tudor
    Décor: Andy Warhol (Silver Clouds)
    Costumes: Jasper Johns (uncredited)
    Lighting: Richard Nelson

    Second Hand (1970)
    Music: John Cage, (Cheap Imitation)
    Décor & Costumes: Jasper Johns
    Lighting: Richard Nelson (1970) Christine Shallenberg (2008)

    Sounddance (1975)
    Music: David Tudor Toneburst & Untitled (1975/1994)
    Décor, Lighting, Costumes: Mark Lancaster

    Fabrications (1987)
    Music: Emanuel Dimas de Melo Pimenta, Short Waves & SBbr
    Décor, Costumes: Dove Bradshaw
    Lighting: Josh Johnson

    CRWDSPCR (1993)
    Music: John King, blues 99
    Décor, Lighting, Costumes: Mark Lancaster

    Ocean (1994)
    Music: David Tudor,Soundings: Ocean Diary and Andrew Culver, Ocean 1–95
    Décor, Lighting, Costumes: Marsha Skinner

    BIPED (1999)
    Music: Gavin Bryars, Biped
    Décor: Paul Kaiser, Shelley Eshkar
    Costumes: Suzanne Gallo
    Lighting: Aaron Copp

    Split Sides (2003)
    Music: Radiohead, Sigur Rós
    Décor: Robert Heishman, Catherine Yass
    Costumes: James Hall
    Lighting: James F. Ingalls

    Views on Stage (2004)
    Music: John Cage, ASLSP and Music for Two
    Décor: Ernesto Neto, Other Animal
    Costumes: James Hall
    Lighting: Josh Johnson

    eyeSpace (2006)
    Music: Mikel Rouse, International Cloud Atlas
    Décor: Henry Samelson, Blues Arrive Not Anticipating What Transpires Even Between Themselves
    Costumes: Henry Samelson
    Lighting: Josh Johnson

    eyeSpace (2007)
    Music: David Behrman, Long Throw and/or Annea Lockwood, Jitterbug
    Décor: Daniel Arsham, ODE/EON
    Costumes: Daniel Arsham
    Lighting: Josh Johnson

    XOVER (2007)
    Music: John Cage, Aria (1958) and Fontana Mix (1958)
    Décor & Costumes: Robert Rauschenberg, Plank
    Lighting: Josh Johnson

    Nearly Ninety (2009)
    Music: John Paul Jones, Takehisa Kosugi, Sonic Youth
    Décor: Benedetta Tagliabue
    Costumes: Romeo Gigli for io ipse idem
    Lighting: Brian MacDevitt
    Video Design: Franc Aleu

    Cunningham Merce Wikipedia

    Merce Cunningham solo dance on Nam June Paik's TV program called "Good Morning Mr. Orwell" from 1984. John Cage's music (and other sounds) are heard in the background.

    "Good Morning, Mr. Orwell" est une "installation" de Nam Juin Paik, au premier jour du Nouvel An, 1984.

    L'événement, qui Paik voyait comme une réfutation de la vision dystopique de George Orwell de 1984, est liée WNET TV à New York et au Centre Pompidou à Paris en directement relié par satellite
    en Allemagne et en Corée du Sud.

    Ainsi cette événement diffusé à l'échelle mondiale sur les télévisions publiques à atteint une audience de plus de 25 millions de téléspectateurs.

     

    Outre Nam June Paik de nombreux acteurs visuels et sonores John Cage - Charlotte Moorman - Laurie Anderson - Peter Gabriel - Philip Glass - The Thompson Twins - Oingo Boingo - Allen Ginsberg et Peter Orlovsky- Merce Cunningham - Joseph Beuys ont collaboré à ce formidable événement.

    © studio point to point 

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  • seb Jarnot art exposition Palais Tokyo Paris

     

    autoegoportraitcentrique Palais de Tokyo Seb Jarnot Exposition Paris

    Pour la défense des Beaux-Arts Français, certains décideurs gouvernementaux envisageraient la réfection du Palais de Tokyo afin de présenter l'Élite Artistique " Made in France ". Cette vitrine, avec vues sur Seine et Tour Eiffel, aurait pour but de s'accorder aux capitales de l'Art Occidentale telles > Tokyo, Londres, New York... et d'intéresser les investisseurs mondiaux, à la " French Contemporary factory", en spéculation tout confort.

    En appliquant une formule capitale « Argent + Investissement + Médiatisation + Evénement = Rentabilité » L'État arrive à A.I.M.E.R., et, ainsi à s'associer à la pensée - " Elle coûte, elle existe, donc, je la pense " des considérés fortunés. Ceci permettant de dissoudre le trou de connaissance des considérables infortunés re-con-naissant, défini par l' « On en parle, on la visite, donc j'en suis ».

    Il ne s'agit pas, d'analyser la magie* qui porte à ce type d'ambition
    fiduciaire, mais, on pourra s'interroger sur les capacités de la Société Culturelle Nationale Française à soutenir les acteurs plastiques de la seconde moitié du XX° à ce jour. " Qu'a-t-elle fait, pour les artistes, (exemple : Dubuffet, Nemours, Grand, ...,) que fait-elle pour les œuvres (exemple : Hantaï, Molnar, Sanejouand, Saytour, ...), que dire de son soutien à la production présente (exemple : D-Ph-Vid-Info-Sculp-Musiqu-Peintur- Cinéma-∞- )?

    Extrait de texte
    *politique. PTP.

    Photo "Seb Jarnot-Palais de Tokyo-détail 2002" Paris
    plus d'images Pointtopoint-Galerie
     
    © studio point to point.
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  • Où se trouve les Clefs ?

    La sympathique photo du carton de l'exposition invite une mélancolie. Cette image de murs coupés à la lumière du XIV°, et, l'instant de l'animal posant sans partage, semble nous dire l'impossible de son ailleurs - (AvoiR-AMeN).

    Expositions > Grande Chapelle du Palais des Papes du 6-07 au 2-11/2008.
    > Collection Lambert en Avignon 6-07 au 2-11/2008.

    Ces ânes, ces années. (C'est épatant les éléphants!) Peinture.

    Trois bêtes et un Palais donnent le la. Musique!

    "L'obsession de l'ailleurs c'est l'impossibilité de l'instant ; et, cet impossible est la nostalgie même." E. M. Cioran

    Extraits vidéos : Douglas Gordon.

    The End of Civilisation 2012

    Douglas Gordon "Selfportrait" 2005

    Douglas Gordon Wikipedia Article

    © studio point to point

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  •  

    Présentation

    REVUEGOD fut fondée en 2002.

    Chaque numéro précise ce qu'elle ne sera plus.

     

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    Le numéro premier de la "revuegod" est un 00.

    Il a été réalisé dans le but de rien dire. Bien sur, pour ne rien dire il aurait fallu ne rien faire, mais c'était déjà trop tard ; il fut donc décidé d'annuler le rien dire, pour le faire.

    Ce numéro A5, fut imprimé à 50 exemplaires.

    Une couverture, une page, un emballage hermétique.

    50 €
    Les exemplaires sont épuisés.

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    La seconde publication fut dogmatique, c’était le numéro un.

    Sachant que "personne" est en retard ou en avance, mais rarement là. Une impression noire sur des pages de couleur jaune, rouge, verte, bleu, ou rose, nommait des chiffres et phrases qui ne satisfont "personne".

    Ce numéro d'une page de format A4, pliée en 3 bandes irrégulières, imprimé à 5 X 31 exemplaires.
    Gratuitement offert de main en main à qui voulut la prendre.

    Les exemplaires sont épuisés.

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    La troisième publication se détermine dans le rapport antinomique de deux matières : Un laminoir et une pensée.

    Ce numéro fut imprimé en noir sur trois peau de serpent à dimensions variables avec une imprimante courante.
    Deux furent offerts. Un, reste à offrir.

    Les exemplaires sont épuisés.

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    La quatrième publication

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    La cinquième publication fut imprimée après le n° 12. Elle pose le rapport du sigle et de sa destination, un peu comme une première leçon de sémiotique. Composé de trois lettres, la visibilité du "sticker" agit comme illustration, d'un savoir et l'incertitude de sa perception, du territoire et de son appropriation. Son actionnement aventureux repense un autre texte que celui qu'il nomme originellement.

    Auto-collant elliptique de plastique blanc, impression noire, hauteur 9,5 X 20 cm dans pochette 20,5 x 25 cm.

    3 €
    les 600 exemplaires sont épuisés ou presque.

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    La sixième publication propose à la lecture, des nombres qui s'ils ne veulent dire grand chose, ont été choisis avec beaucoup d'attention pour pouvoir être utilisé par tout le monde. La fabrication de ce numéro 5* fut réalisé comme maquette d’une multiplication douteuse. 

    Édité et Imprimé à un exemplaire, le numéro est composé de 31 livrets, chacun est construit d’un dos cartonné, de feuilles de papiers choisies pour leur différences et d'un calque sur la face, ensemble reliées kraft impression couleur.

    Une collection publique française a acheté l’ensemble à une personne responsable de sa présentation lors d'une exposition d’artistique publique.
    La revue n'a jamais touché l'argent de cette publication.
    L'exemplaire nous a épuisé.

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    La septième publication est une réponse à une invitation à la foire Internationale d'Arts Contemporains de Bâle, côté LISTE 03.Cette publication devait permettre de présenter à moindre frais le plus grand nombre d'artistes que la Galerie PP pouvait proposer à cette manifestation de Juin. Une fois le coût déterminé il s'avéra que cela était toujours trop onéreux. Nous rangeâmes le projet.
    En hivers, on invita la galerie PP à devenir partenaire-acteur d'un évènement national programmé pour l'an suivant : une biennale. Nous répondîmes par une image du précédent projet, accompagné d’un mot inventé à la langue française, qui pour nous contestait ce genre de partenariat. Il nous fût répondu avec enthousiasme que cela convenait parfaitement à la manifestation. Nous donnâmes notre accord pour sa publication.

    Ce numéro fût imprimé sur 1000 exemplaires du catalogue de la manifestation à un prix de cent euros.
    100 euros

    On ne sait de quoi il est exactement composé, n'ayant à ce jour reçu l’édition promise par les organisateurs.

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    La huitième

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    La neuvième publication est un spécial de l'artiste Pierre B. qui fut distribué lors d'une de ses expositions. P.B. nous demanda de réaliser, en rapport à la comptabilité de Donatien Alphonse François de Sade, un multiple. Le numéro se présentait comme assemblage d'objets de polyamide souple, gangue d'extrémité pédestre que l'artiste utilisait de son postérieur de cent et une façons.

    Photo-numérique, polyamide, carton mince,
    cellophane. Format 16 X 23 centimètres. 101 exemplaires courants, 19 luxes.
    Chacun, des exemplaires, fut distribué par l'artiste en main propre
    .
    Épuisée.

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    La dixième publication parle de l'art de gérer. Elle aligne les 8 adresses et numéros de téléphone Marcel Duchamp référencés dans l'annuaire du moment. Il n'était nullement conseillé de faire signer ce document par l'un ou son semblable de proximité, mais nous y pensâmes.

    Tirage papier lettre, deux blocs.
    5 euros
    Épuisée.

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    La onzième publication propose une image inscrite dans un cadre publicitaire aléatoire. Son intégration à l'annonce publicitaire trouble le visuel de marketing de l'annonceur ainsi que encastré proposé. Ce qui produit une mise en doute des qualités du médium.

    The Phantom personnage de Lee Falk fut choisi pour sa composition dramatique et la détresse plastique du cadrage de la mort de Suzy.

    Numérique infini.
    Inépuisable

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    La douzième publication se réfère à l'hystérie se développant d'un groupe d'individus dans un intérieur non vu de l'extérieur. Quelque chose pouvant être lié à la répétition de la Diva du 20 N Wacker Dr #860 à Chicago et de la fracassante descente de la Tour Eiffel d'un veuf pas frais. Soit un compact de situation improbable pour laquelle il nous manque des particules compréhensibles et visibles.

    Un dessin aux traits noirs d'une fenêtre brisée encadrée de lambris à nœuds et une bulle blanche  répendu hors la marge fut accepté comme
    cette observation de ses propos à l'unanimité

    Tirage sur rive, 60 exemplaires au format de 18 x 13 cm.
    60 €
    Épuisée.

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    Pour le treizième numéro on ne se souvient plus que d'une chose c'est qu'il fut réalisé un treizième jour.

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    La quatorzième parution est une multiplication de la phrase d'un amiral US. "Personne ne sortira d'ici vivant.".

    Hors sur différents supports papiers tissus en photographie, numérique, offset).
    Prix variable de 5 à 20 euros
    Les exemplaires sont épuisés.

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    La quinzième est une Barbe à papa de Nicolas C. & studio from point to-point.

    non épuisable.

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    Le seizième parution est l'édition "Eau du Rhône". Un parfum qui a pris naissance en hivers avant la fondation de la revue. Produit de dérive d'une généreuse manifestation artistique à la thématique bellâtre d'un commissariat présomptueux. Il fut sujet à bien des études de contenants.

    Pour cette publication de capacité il fut choisi l'index comme modèle du tirage en silicone.

    Tirage 10 exemplaires.
    Épuisée.

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    La dix-septième publication multiplie l'estampe de Georges Bretcht "m'en tamponne des tampons - Stamp out stamping" Elle est signée de Lisa Mac Lure.

    Impression laser 20 x 18 cm. sur papier 28 exemplaires signés par l'artiste en 2005.

    120 euros
    Épuisée.

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    La dix-huitième pratique l'envol. Pour développer cela il fut utilisé les publications des revues d'arts. Ces documents furent, lors d'une exposition soigneusement, placés sous une sculpture de P. M. qui vomissait du rouge. Les exemplaires maculés étaient disponibles à la volonté.

    Nous n'avons pas comptabilisé leurs disparitions.
    Épuisée.

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    La dix-neuvième publication à comme repère A comme Arletty. Le numéro propose la mise en pages d'éléments choisis comme repèrent de l'actualité graphique du moment afin de fabriquer une atmosphère.

    33 exemplaires, 7 pages couleurs, 18 x 14 cm.
    25 euros
    Épuisée.

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    La vingtième publication travaille , interroge la capacité de mouvement et non de produit, d'un phénomène et non d'un l'objet. La vue présentée anéantit la prise de vue. Cette destruction devient la toile de fond de l'amour d'un réel en réalisation, soit d'un objet en dehors du contrôle omnipotent du sujet. Le cliché à faire.

    Exemplaires photographiques.
    Épuisée.

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    La vingt et unième parution est un numéro spécial de langue française utilisant les lettres de "Mona Lisa" alias "la Joconde" qui construit l'anagramme "M. est donc l'anal(e)joie", Certains en ont déduit une corrélation freudienne. Comme l'eût eu dit le Pape Léon V : " il nous faut l'accepter".

    Tirage numérique signé manuscrit svp.
    Soixante neuf euros
    À épuiser

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    + infos

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  • -Merci le Centre Régional d'Art Contemporain de Sète pour la légère invitation poly-copieuse du "Le monde à l'envers", avec présentation des œuvres de Miquel Barcelo, Glen Baxter, Robert Combas, Wim Delvoye, Eric Duyckaers, Michel Giroud, Fabrice Hyber, Annette Messager, Harald Thys, et Jos De Gruyter, affichent du SENS DESSUS DESSOUS de la proposition commissariatissée par Bernard Marcadé et Noëlle Tissier que l'on pourra voir du 6 juin (vernissage) jusqu'au 14 septembre 2008 au 26 Quai Aspirant Herber 34700 à Sète. Des bravos pour vos réflexes qui pallient à la déconsidération citoyenne d'un pouvoir mal policé vis à vis des artistes et des lieux de la manifestation Rabelaisienne en Languedoc Roussillon.
    -Personnellement je ne vous adresserai aucun courrier, vous n'aurez pas 70 grammes de ma photocopieuse, ma couleur ne sera pas couchée entre les 5 pages du 225 grammes imprimées pour les condamnées politiques à la plaque agrafée des carrefours périphériques sans lendemain... Les expositions que nous préparont, artistes, assistant, et moi, pour l'été 2008 n'ont rien à voir avec cette branleuse nominale.
    Alors, je vous retourne le compliment et vous invite aux expositions de :
    -Jean-Michel Sanejouand, au 9 Rue Sainte Agnès à Nîmes,
    -Thomas Bernardet, Michel Cadière, Vincent Gavinet, Seb Jarnot, Romain Laveille, Philippe Mayaud, François Morellet, Frédéric Pradeau, Yves Reynier, Jean Michel Sanejouand, dans Le Rabelais-Bar. 2 bis place de la Calade à Nîmes.
    -Ben Vautier et Patrick Saytour au 1 place de la Calade, Théâtre de Nîmes.
    Le vernissage sera le 7 juin entre de 13 à 19h.

    Et,
    vous joint les adresses des lieux d'art à Nîmes qui participent à la manifestation : Musée des Beaux-Arts, rue cité Foulc - PPCM, 52 rue des tilleuls- Les 4 barbiers, rue Maubet, qui verniront le samedi 7 juin 2008.
    Pour une promenade art complète dans Nîmes j'associe : La Vigie, 52 rue Clérisseau et le Carré d'Art, place de la Maison Carré les lieux contemporains, non liés à La dégelée Rabelais.

     

     

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  • Et l’homme créa les dieux, de Pascal Boyer édition 2001

    Pascal Boyer est un anthropologue français, directeur de recherches au CNRS. Il est actuellement Professeur à l'Université Washington de St. Louis où il occupe la chaire "Pr. Henry Luce".

    Ses domaines de recherche sont l'anthropologie et la psychologie. Il a notamment travaillé parmi les Fangs du Cameroun.

    Il est l'auteur de l'essai "Et l'homme créa les dieux", où il expose une explication scientifique de la religion et de l'apparition de cette dernière dans les sociétés humaines.

     Présentation d'une théorie des religions fondée sur les données de l'anthropologie et de la psychologie cognitive, par Roberta Pinna, Ecole des hautes études en sciences sociales.

    1.    La question des origines
        2.    À quoi ressemble le surnaturel ?
        3.    Machines à pensées
        4.    Pourquoi des dieux et des esprits ?
        5.    La religion, la morale et le malheur
        6.    La religion, les morts, la mort
        7.    Pourquoi des rituels ?
        8.    Doctrines, exclusion, violence
        9.    Pourquoi croit-on ?

    Lien lexture pdf > Et L'Homme Créa Les Dieux 2003.pdf < Boyer Pascal chez monoskop

    Religious behavior in an evolutionary cognitive perspective from The IRMACS Centre on Vimeo.

    + liens/centre

    Pascal Boyer wikipedia

    monoskop/Monoskop

    The irmacs centre/

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  • Extrait du livre Chris Marker, avec exposition, la New Galerie de France du 23 - 03 au 5 - 042008

    Le fond de l'air est rouge (extrait) Chris Marker

    voir > les statues meurent aussi < Clique

    studio point to point

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