lumière, elle, l'étoile tourne fixée à l'abat-jour
poëme de Robert Desnos tel que l'a vu man Ray
une fenêtre s'ouvre ; un couple marche dans une allée ; leurs pieds lentement, l'homme fait une remarque à la femme ; la scène se coupe pour laisser place à la légende
les dents des femmes sont des objets si charmants...Women's teeth are such charming things...
Image. la femme réajuste son bas ; jarretière sur le haut de sa jambe.
... qu' on ne devrait les voir qu' en rêve ou à l'instant de l'amour.... that one ought to see them only in a dream or in the instant of love.
La fente d'un rideau s'ouvre ; au travers la caméra suit le couple qui monte un escalier, tableau ; l'homme s'installe sur un lit la femme se déshabille ; il pense, elle se couche ; l'homme s'avance lui baise la main
AdieuFarewell
L'homme se glisse hors champs la femme reste, une nue
Si belle ! Cybèle ?So beautiful! Cybèle?
L'homme descendant l'escalier et disparait à la porte dans la lumière ; la fente du rideau se ferme
Nous sommes à jamais perdus dans le désert de l'éternèbre. We are forever lost in the desert of eternal darkness. Éternèbre is a portmanteau of éternel-al and ténèbre.
le plan descend de la cheminée industrielle sur une rue des faubourgs de la ville ; rue, une femme, elle, présente des journaux un rue ; son portrait bordé des papiers.
Qu'elle est belleHow beautiful she is
La camera monte sur les pages d'un journal les yeux de femme cercle ; un noir ; la vendre des nouvelles, l'homme l'entraine par le bras à un tonneau où les journaux sont déposés tenu par un bocal; la femme prend le bocal, elle l'offre à son compagnon ; intérieur un bocal, une étoile de mer, il observe.
" Après tout "After hall 5'06"
Une étoile vivante lentement déplace ses membres ; vite, les journaux tourbillonne au vent sur une plage ; les pieds, course de l'homme ; rattrape une page il l'a lit ; L'entrevue du 1er mars. Varsovie public ce matin … ; froisse le page ; elle caresse ses cheveux ; scène de voyages train lumière sur les rails, train fenêtre ; port bateaux fumées écume ombre ; ville brume ; hyacinthe
Si les fleurs étaient en verreIf the flowers were made of glass 8'22"
si les fleurs étaient en verreIf the flowers were made of glass
la femme vue de dessus lascive ; table journal verre banane étoile de mer vin ; lle lit une femme s'en extrait, le pied pose sur un livre-étoile ; la femme marche seule dans l'allée
" Belle, belle Comme une fleur de verre "Beautiful, beautiful like a flower of glass
étoile de mer couple elle masqué masque
" Belle, belle comme une fleur de chair "Beautiful like a flower of flesh
L'homme observe son bocal ; mains et les lignes de la main encre
ll faut battre les morts quand ils sont froids. One must strike the dead while they are cold
Rideau légèrement se ferment, elle monte ; robe de soirée couteau étoile escalier elle avance couteau à vue de poignet–étoile de mer
Les murs de la Santé.The walls of the Santé
Nous rejoignons l'homme comme il monte l'escalier à la chambre supérieure dans la maison, laissant l'étoile de mer, au pied de l'escalier. Le film coupe à la femme brandissant un grand couteau superposée avec l'étoile de mer.
Les murs de la Santé The walls of the Santé
Rue pavée univers carcéral, caméra monte au ciel, étoiles et noir
Et si tu trouves sur cette terre une femme à l'amour sincère ...And if you find on this earth a woman whose love is true...
Nuit sur la rivière reflet de lune coule lumière feu mèches et chenets cadre le visage de la femme flamme
" Belle Comme une fleur de feu"Beautiful like a flower of fire
phrygienne elle pose au manche flamme la rue des faubourgs de la ville le plan remonte à la cheminée industrielle
Le soleil, un pied à l'étrier, niche un rossignol dans un voile de crêpe. The sun, one foot in the stirrup, nestles a nightingale in a veil of crepe.)
Nue elle allonge le corps au lit ; portrait bijoux couchée nue dans la chambre.
Vous ne rêvez pasyou are not dreaming
la femme une allée l'allée elle marche vers nous, l'homme la salut lui serre la main, un second homme chapeaux intervient et l'emmène hors du champ ; restée seul l'homme
" qu'elle était belle "How beautiful she was
le bocal vide
" qu'elle est belle " How beautiful she was
La blanche étoile de mer sur fond noir et le blanc sur tout l'écran
belle sur vitre, elle arrière se brise, miroir ; la fenêtre du premier plan se ferme
Dans ce film les prises de vue des scènes sont réalisées au travers de verre déformant opaque et de miroir.
dddddddddddddd
« Tu me suicides, si docilement
Je te mourrai pourtant un jour.
Je connaîtrons cette femme idéale
et lentement je neigerai sur sa bouche
Et je pleuvrai sans doute même si je fais tard, même si je fais beau temps
Nous aimez si peu nos yeux
Et s’écroulerai cette larme sans
raison bien entendu et sans tristesse.
sans. »
+ Infos
" Je possède une étoile de mer (issue de quel océan?) achetée chez un brocanteur juif de la rue des Rosiers et qui est l'incarnation même d'un amour perdu, bien perdu et dont, sans elle, je n'aurais peut-être pas gardé le souvenir émouvant. C'est sous son influence que j'écrivis, sous la forme propice aux apparitions et aux fantômes d'un scénario, ce que Man Ray et moi reconnûmes comme un poème simple comme l'amour, simple comme le bonjour, simple et terrible comme l'adieu. Man Ray seul pouvait concevoir les spectres qui, surgissant du papier et de la pellicule, devaient incarner, sous les traits de mon cher André de la Rivière et de l'émouvante Kiki, l'action spontanée et tragique d'une aventure née dans la réalité et poursuivie dans le rêve. Je confiai le manuscrit à Man et partis en voyage. Au retour, le film était terminé. Grâce aux opérations ténébreuses par quoi il a constitué une alchimie des apparences, à la faveur d'inventions qui doivent moins à la science qu'à l'inspiration, Man Ray avait construit un domaine qui n'appartenait plus à moi et pas tout à fait à lui...
Qu'on n'attende pas une savante exégèse des intentions du metteur en scène. Il ne s'agit pas de cela. Il s'agit du fait précis que Man Ray, triomphant délibérément de la technique, m'offrit de moi-même et de mes rêves la plus flatteuse et la plus émouvante image". SIC Robert Desnos
Man Ray Portrait Libre
"Je le voyais très bien en film, en film Surréaliste, et je déclarais à Desnos qu’avant son retour j’aurais fait un film de son poème."SICMan Ray
Les prises de vues ont été réalisé à Biarritz chez Rose et Arthur Wheeler les mécènes de la production. et au studio de Man Ray à Paris avec l'assistance technique de Jacques-André Boiffard.
En novembre 1926, une première projection privé fut donnée au théâtre du Vieux Colombier de Paris, transformé et dirigé par l'écrivain critique Jean Tedesco.
Le titre est de langue basque, il dit « fouter moi la paix », c'était le nom d'une maison appartenant à Rose et Arthur Wheeler près de Biarritz où Man Ray à séjourné et réalisé le film en 1925. Ce film, qui fait la liaison dada–surréalismeque Man Ray à qualifié de « cinepoem », il fut présenté la première fois en novembre 1926, et fut salué comme un grand moment du cinéma.
À ceux qui se demanderaient encore « la raison de cette extravagance », on peut simplement répondre par la traduction du titre Emak Bakia, une vieille expression basque qui signifie « foutez-moi la paix ». Man Ray.
Oskar Alegriaà la recherche d’une mystérieuse maison dans laquelle l’artiste d’avant-garde Man Ray tourna en 1926 quelques scènes d’un court film devenu célèbre, Emak Bakia
ALICE (KIKI) , une femme. ANDRÉ DE LA RIVIÈRE, un homme. ROBERT DESNOS, un autre homme.
Assistant opérateur J. A. Boiffard 1928. France / 17 min. 30 sec / 16 mm / N & B.
Le Film muet "l'etoile de mer" poëme de Robert Desnos tel que la vue Man Ray est à visionné avec accompagnement musical libre de choix.
Le scénario de l’étoile de Mer s’inspire de la lecture à haute voix par Man Ray d’un poème de Robert Desnos.
À la suite d'un dîner avec Man Ray, Robert Desnos récite son poème L’étoile de mer. Man Ray trouve au fil de ces phrases, matière à faire le film que lui a commandité Arthur Wheeler.
"Je le voyais très bien en film, en film Surréaliste, et je déclarais à Desnos qu’avant son retour j’aurais fait un film de son poème."SIC Man Ray.
Les films que Man Ray a réalisé - Le Retour a la raison 1923 - Emak Bakia (fichez-moi la paix) 1927 - L'Étoile de mer 1928 - Rue Campagne Première 1923/29 - Les Chutes des "Mysteres du chateau du Dé" 1929 - Corrida 1929 - Autoportrait de ce qui manque à nous tous 1930 - Poison 1933/35 - L"atelier du val de Grasse 1935 - Courses landaises 1937 - La Garoupe 1937 - ADY 1938 - DANCE 1938- JULIET 1940 - Anemic Cinema avec Marcel Duchamp et Marc Allégret 1926. Il joua dans le fim de René Clair entr'acte.
ANÉMIC CINÉMA UN FILM DE MARCEL DUCHAMP (1925) 07'30'' / 35mm « Ce film, dont le titre anagramique évoque une "profondeur" illusoire, est composé de dix disques optiques entre lesquels alternent neuf disques qui comportent des inscriptions ». Catalogue Cinéma Dadaiste et surréaliste. « Anémic cinéma : jeux d'images et jeux de langages spiralés pour remédier à l'anémie dimensionnelle du cinéma »
Jean Painlevé a influencé, influence, de nombreux artistes contemporains par son travail, dont la richesse, l'indépendance de son cinéma, de ses choix, proposent une grandeur humaine et poétique qui fut, qui est, rare.
LA COQUILLE ET LE CLERGYMAN UN FIM DE GERMAINE DULAC
GERMAINE DULAC réalisera, sur un Scénario de Antonin Artaud, La Coquille et le Clergyman en 1927. À l'instar de J. Painlevé la réalisatrice revendiquera un cinéma scientifique, artistique, qui a ses propres codes définis dans le médium.
QUELQUES REPÈRES SUR LE CINÉMA DU DÉBUT XX° SIÈCLE / Ballet Mécanique (Fernand Léger, 1924); La coquille et le clergyman (Germaine Dulac / Antonin Artaud, 1926); Anemic Cinema (Marcel Duchamp, 1926); Le retour à la raison (Man Ray, 1923); Emak Bakia (Man Ray, 1926); L'étoile de mer (Man Ray, 1928); Le mystère du château de dés (Man Ray, 1929); La glace à trois faces (Jean Epstein, 1927); Rhythmus 21 (Hans Richter, 1921); Fantômes du matin (Hans Richter, 1928); H2O (Ralph Steiner, 1928); The Hearts of Age (Orson Welles / William Vance, 1934); Manhattan (Paul Strand / Charles Sheeler, 1921); Ménilmontant (Dimitri Kirsanoff, 1926); Brumes d'automne (Dimitri Kirsanoff, 1928); La pluie (Joris Ivens, 1929); Romance sentimentale (Sergei Eisenstein / Grigori Alexandrov, 1930); Symphonie diagonale (Viking Eggeling, 1924); Attaque (Ernö Metzner, 1928); The Life and Death of 9413, a Hollywood Extra (Slavko Vorkapich / Robert Florey, 1928); Lot in Sodom (James Sibley Watson / Melville Webber, 1933); Autumn Fire (Herman G. Weinberg, 1931); Even - As You and I (Roger Barlow / Harry Hay / LeRoy Robbins, 1937); Le Vampire (Jean Painlevé, 1939); Le Tempestaire (Jean Epstein, 1947).
Étude cinégraphique sur une arabesque, Germaine Dulac1929
The American photographer Man Ray was one of a group of avant-garde Paris filmmakers in the 20s that included Leger, Bunuel, Clair, Kirsanoff, and Cocteau. His short films have finally been released on video, compiled and restored by the Centre Georges Pompidou. The very brief LE RÉTOUR À LA RAISON (1923) consists of moving geometric designs, intercut with distorted night shots of a merry-go-round, then moving three dimensional shapes, and closing with the play of bars of light on a woman's nude torso. It was an experiment in abstract expressionism that inspired other directors. EMAK BAKIA (1926) displays the influence of both surrealism and dadaism. Once again Ray experiments with the movement of shapes - many of the effects seem tired now after decades of innovation in animated film, but they were fresh at the time. He employs bizarre imagery as well - a man's eyes turning into the headlights of a car, a flock of sheep, the legs of a dancing woman. Odd effects are attained through camera movement - sideways, upside down, etc. - or distortion of the image, as in a convex mirror. L'ÉTOILE DE MER (1928) is more adventurous, but less engaging. There are many shots of people walking in Paris - Ray blurs the image a lot, attempting to explore a subconscious nether region - intercut with images of the sea, and some remarkable ones of the underside of a starfish. One of the titles says, "The sun, one foot in the stirrup, nestles a nightingale in a veil of crepe." It is hard to know how seriously to take such surrealistic musings.
The lengthiest and most famous of Man Ray's films is LES MYSTÈRES DU CHÂTEAU DU DÉ (1929). The spacious chateau of the title, along with a rundown castle nearby, is employed to explore various spatial relationships and textures. Some of the best effects are achieved with long shots through windows into landscapes, while the camera is moving at the same time. Ray also does some very strange things involving people wearing nylon stockings over their heads (giving them an identical faceless look), throwing huge dice and practicing weird diving and swimming formations in the chateau's indoor pool.
Overall, I don't find Man Ray's films as interesting or stimulating as those of Clair or Bunuel from the same period. Their experiments were informed by a resolutely personal vision. Ray seems more the purely formal innovator. The cinema (and indeed all art forms) need eccentrics like him who are willing to try different combinations of elements and techniques so as to discover hidden potentials in the art. Ray's pictures are fascinating viewing in this historical sense, but precisely because of their character as innovation in the abstract, they have lost the novelty and excitement they once held. Film method has long since incorporated all these things, so that the works in themselves now seem "old hat." Ray seems to have decided that he wasn't suited for motion pictures, because he stopped making them after the 20s, returning to still photography as his vehicle
Monsieur le législateur de la loi de 1916, agrémentée du décret de juillet 1917 sur les stupéfiants, tu es un con. Ta loi ne sert qu’à embêter la pharmacie mondiale sans profit pour l’étiage toxicomanique de la nation parce que :
1° Le nombre des toxicomanes qui s’approvisionnent chez le pharmacien est infime ; 2° Les vrais toxicomanes ne s’approvisionnent pas chez le pharmacien ; 3° Les toxicomanes qui s’approvisionnent chez le pharmacien sont tous des malades ; 4° Le nombre des toxicomanes malades est infime par rapport à celui des toxicomanes voluptueux ; 5° Les restrictions pharmaceutiques de la drogue ne gêneront jamais les toxicomanes voluptueux et organisés ; 6° Il y aura toujours des fraudeurs ; 7° Il y aura toujours des toxicomanes par vice de forme, par passion ; 8° Les toxicomanes malades ont sur la société un droit imprescriptible, qui est celui qu’on leur foute la paix. C’est avant tout une question de conscience.
La loi sur les stupéfiants met entre les mains de l’inspecteur-usurpateur de la santé publique le droit de disposer de la douleur des hommes : c’est une prétention singulière de la médecine moderne que de vouloir dicter ses devoirs à la conscience de chacun.
Tous les bêlements de la charte officielle sont sans pouvoir d’action contre ce fait de conscience : à savoir, que, plus encore que la mort, je suis le maître de ma douleur. Tout homme est juge, et juge exclusif, de la quantité de douleur physique, ou encore de la vacuité mentale qu’il peut honnêtement supporter.
Lucidité ou non lucidité, il y a une lucidité que nulle maladie ne m’enlèvera jamais, c’est celle qui me dicte le sentiment de ma vie physique. Et si j’ai perdu ma lucidité, la médecine n’a qu’une chose à faire, c’est de me donner les substances qui me permettent de recouvrer l’usage de cette lucidité.
Messieurs les dictateurs de l’école pharmaceutique de France, vous êtes des cuistres rognés : il y a une chose que vous devriez mieux mesurer ; c’est que l’opium est cette imprescriptible et impérieuse substance qui permet de rentrer dans la vie de leur âme à ceux qui ont eu le malheur de l’avoir perdue.
Il y a un mal contre lequel l’opium est souverain et ce mal s’appelle l’Angoisse, dans sa forme mentale, médicale, physiologique, logique ou pharmaceutique, comme vous voudrez.
L’Angoisse qui fait les fous. L’Angoisse qui fait les suicidés. L’Angoisse qui fait les damnés. L’Angoisse que la médecine ne connaît pas. L’Angoisse que votre docteur n’entend pas. L’Angoisse qui lèse la vie. L’Angoisse qui pince la corde ombilicale de la vie.
Par votre loi inique vous mettez entre les mains de gens en qui je n’ai aucune espèce de confiance, cons en médecine, pharmaciens en fumier, juges en mal-façon, docteurs, sages-femmes, inspecteurs-doctoraux, le droit le disposer de mon angoisse, d’une angoisse en moi aussi fine que les aiguilles de toutes les boussoles de l’enfer.
Tremblements du corps ou de l’âme, il n’existe pas de sismographe humain qui permette à qui me regarde d’arriver à une évaluation de ma douleur précise, de celle, foudroyante, de mon esprit !
Toute la science hasardeuse des hommes n’est pas supérieure à la connaissance immédiate que je puis avoir de mon être. Je suis seul juge de ce qui est en moi. Rentrez dans vos greniers, médicales punaises, et toi aussi, Monsieur le Législateur Moutonnier, ce n’est pas par amour des hommes que tu délires, c’est par tradition d’imbécillité. Ton ignorance de ce que c’est qu’un homme n’a d’égale que ta sottise à la limiter.
Je te souhaite que ta loi retombe sur ton père, ta mère, ta femme, tes enfants, et toute ta postérité. Et maintenant avale ta loi.
Antonin Artaud Édité dans L'ombilic des Limbes Gallimard 1925.
Par L M dans PUB POINT le 27 Novembre 2009 à 14:37
Le Beau Temps n° 01 NOV / 2009.
Magazine intempestif capricieux de culture, art, …,
Interventions de Grenouille V. Mathieu L. Poppol, Denis L. Pakito B.Fabric M. Philippe P.Pierre G., Maexence D. Thomas B. Baptiste B. Reno G.
On nous y parle, on nous montre tout en noir et blanc / tendresse et d'amour, grosses et flemme, dreap et leftovers ribery et trap, d'écoute et vérité, la dixième date et douze jours, perspectives et questions, cul et cummul, merci et europeana, grand T. et de patrick S. l'aventure et d'aventure, d'octobre et activité, jolie et harpe Beau et temps
Renseignements à Leprincedorange@gmail.com Un rédacteur qui les connais les trucs qu'on doit mettre dans un magazine.
Sinon pour le lire, es petits et grands bouts, cliquer sur l'image (fulscreen) ; et ∞ print. Car pour trouver l'n° c'est épuisant!
® STUDIO POINT TO POINT
Le Beau Temps n° 02 JANV / 2010.
Magazine intempestif capricieux de culture, art, …,
Interventions de Grenouille V. Mathieu L. Poppol, Denis L. Pakito B.Fabric M. Philippe P.Pierre G., Maexence D. Thomas B. Baptiste B. Reno G.
On nous y parle, on nous montre du tout à noir et à blanc... La version papier sur demande
Maryse Guénago nota dans son journal de l'année 1984 la phrase de Voltaire que voici : "C'est un fumier dans lequel on trouve quelques perles".
Nous sommes heureux d'annoncer la participation de Seb Jarnot à Fontaine Miami Art Basel du 3 au 6 Décembre 2009. Fontaine a été lancé en Mars 2006 à New York dans le but d'obtenir un appui pour des galeries indépendantes. Le nom "Fountain" est un clin d'œil à la sculpture controversée de Marcel Duchamp* qui a secoué le monde l'art, et qui elle même en fut frappé pour une première fois par l'artiste, Pierre Pinoncelli*, à la fin du XX° siècle à Nîmes lors d'un collectif exposé. Dans la forme et l'esprit, les œuvres présentées au "Fontaine" se réfèrent à l'attitude du refus Made in Society of Independent Artists* de 1917 donc de l'avant-garde caustique, qui attire les mouches collectionneuses de l'internationale warrantage de Salon. Ici, à "Fontaine", les artistes et les marchands suceront chaleureusement tous les visiteurs libres de se tourner vers bassine marchande et artistique mise à dispositions.
Um Rott.
*Les motifs plus précis invoqués pour refuser l'envoi de R. Mutt* (alias Marcel Duchamp, Rose Sélavy) auraient été : A) L'objet est « immoral et vulgaire » B) L'objet est un plagiat ou plutôt une « pièce commerciale ressortissant à l'art du plombier »
*Pierre Pinoncelli, dont la maman (comme celle de R-ose Sélavy) lui avait répété enfant de ne pas pisser à côté de la céramique blanche ; ne comprenait pas idiotie le "point extrême de l'imbécillité convulsive" des institutions muséalles à refuser une extension plombière.
Fountain was launched in March 2006 in New York in an effort to leverage support for independent galleries overlooked by the larger, corporate-sponsored art fairs. The name “Fountain” is a nod to Marcel Duchamp’s controversial sculpture which shook up the art world when it was rejected by the Society of Artists’ exhibition in 1917. In form and spirit, the artwork exhibited at Fountain reflects the avant-garde attitude of the Dada art movement, while attracting the attention of the international clientele and top collectors who attend the more traditional fairs. Artnet describes Fountain: “Likeability and chutzpah used to be what art was about. That, and a little guerrilla mentality, which you had at Fountain in spades. This is the place where you reminisce about the good old days, when you did it yourself, when inspiration and magic struck like a bolt from the blue. Here at Fountain, the artists and dealers are hungry and they welcome all visitors warmly. They are having fun and that’s the vibe. I felt like sitting down, having a beer, and hanging.” Plum has said – “Extreme, grassroots, and black sheep are names that perhaps best describe Fountain. While other art exhibits are puppets to corporate culture, this show keeps it as real as they come”.
WE-ARE-FAMILIA @ Fountain Miami 2009 2505 North Miami Ave Miami FL 33137 (Booth 6) Dec 3 - 6 2009 11am - 7pm VIP/Press: Thursday Dec 3rd 11am - 7pm Artist’s Reception: Friday Dec 4th 7pm-midnight White Hot Magazine / Filter Magazine Party: Saturday Dec 5th 7pm-midnight Donation of $5 at the door for all weekend access
We-are-FAMILIA @ Fountain Miami 2009 2505 North Miami Avenue Miami, FL 33137 (Stand 6) 3 à 6 décembre 2009 11-7 VIP / Presse: Jeudi 3 décembre 11-7 Réception de l'artiste: le vendredi 4 décembre 7pm-midnight White Hot Magazine / Filter Magazine Party: samedi 5 décembre 7pm-midnight Don de 5 $ à la porte d'accès pour tous les week-end
ARTISTS Du Xiaotong -He Zubin - Jiao Yang - LiuLiyun - Li Jun - Li Yonglei - Lin Si - Lin Guocheng - Pan Wenxum - Qin Xioping - Ou Weiwei - Wang Li - Wang Yu - Wu Shaoying - Zeng Jiayong - Zhao Fei - Zhu Zheingming - Thomas Bernardet (Belguim) - Henning Olav Éspedal Ëngelsen (Norway)
Mirrored
True Color Muséum Curator Liu Syan Centre Contemporary Chines Art Show
Avec "Mirrored" comme thème de l'exposition d'art contemporain du Musée de Suzhou, le commissaire Liu Syan nous démontre qu'un ensemble de dix sept jeunes artistes travaillant la réalité perçue, mélangée à l'inconu de l'imagination débordante et réfléchie, se disposent en une action critique.
Les artistes choisis Du Xiaotong - He Zubin - Jiao Yang - LiuLiyun - Li Jun - Li Yonglei - Lin Si - Lin Guocheng - Pan Wenxum - Qin Xioping - Ou Weiwei - Wang Li - Wang Yu - Wu Shaoying - Zeng Jiayong - Zhao Fei - Zhu Zheingming - Thomas Bernardet (Belguim) - Henning Olav Éspedal Ëngelsen (Norway), et, leurs mondes pris dans leur quotidien comme vecteurs émotionnels nous offrent ici des réponses gaillardes et tendres imprègnées de réflexions lucides à la société contemporaine que nous pouvons interpréter au notre guise..
Salhaa Alahouse.
L'exposition du Commissaire de L'exposition "Mirrored" Liu SyanTrue Color Muséum met en scène les propositions personnelles des 17 artistes choisis.