• Politique de gauche et de droite et vice et versa, Point to Point Studio.

    Gauce à gauche, droite à droIte

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  • 勅使河原宏, Хироси-Тэсигахара, Hiroshi Teshigahara

    Tésigahara Hiroshi: directeur producteur, scénariste de films est né le 28 Janvier 1927 à Chiyoda est le décédé Avril 2001à Tokyo, Japon.

    Hokusai 1760 - 1849,  Documentaire de Makoto Yoshikawa film Hiroshi Teshigahara 1953

    Un documentaire sur la vie et l'art de l'artiste Katsushika Hokusai

    花道-Ikebana, Hiroshi Teshigahara 1956

    Histoire de l'arrangement floral japonais dont le père de réalisateur Sofu Teshigahara fut un grand maître

    "Tokyo", Hiroshi Teshigahara 1958

    LIEN CLIQUE > 沙丘之女 - Suna no onna - La femme de sable : 勅使河原宏-Hiroshi Teshigahara, 1964

    AKO-White Morning Scenario Abe Kobo film de Hiroshi Teshigahara 1965

    24 heures en 28'  avec la vie de Ako, qu'elle partage avec ses collègues ses amis ses pensées…

    おとし穴-Traquenard-Pitfall-Otoshiana Music Toru Takemitsu, Toshi Ichiyanagi et Yuji Takkahashi Photo 1962

    おとし穴 par  Scenario Abe Kobo film de Hiroshi Teshigahara 1962. Voir Film Clique-Ici

    Dune / Motte Point to point studio

    + d'infos

    La_Femme_des_dunes-regards-dEntomologistes.pdf

    La_femme_des_sables-_doc.pdf

    焚毁的地图-Le Visage d'un Autre film de Hiroshi Teshigahara-1966 analyse du film par Tommi Lee Lux ire Ici

    Au romancier Abe Kobo dont il emprunte l’histoire originale, comme il a pu le faire avec Le Traquenard et La Femme des Sables, dans une mise en scène solide et toujours proche de jeux expérimentaux qui donnent toute cette ambiance étrange au film, chose récurrente dans les œuvres de Teshigahara. lire plus > clique ici

    Antonio Gaudi Film de Hiroshi Teshigahara 1984

    利休-Rikyu Film de Hiroshi Teshigahara 1989

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  • Carton projet exposition couleur 'Tourista colors" 2012

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  • Gyorgy-Kurtag-Musicien-Piano-Point-to-Point

    Kurtág György, musicien au piano G. Fábri Zsuzsa Éditeur, Budapest, 1984

    részletek a Játékok című sorozatból I [Les Jeux]

    György Kortág, Márta Kortág Pianofort  et Zoltán Kocsis Piano

    1980. 01. 13.-14
    pf.: KOCSIS Zoltán (solo), KURTÁG György, KURTÁG Márta (négykezes)
    I. kötet
    Preludium és valcer C-ben 0:27
    Virág az ember/1b/ 0:19
    Virág az ember/1a/ 0:28
    /a csillag is virág/ 0:20
    Totyogós 0:42
    Unottan 0:48
    Hommage á Bartók 0:17
    II. kötet
    Hommage á Kodály 0:42
    Valcer /Hommage á Sosztakovics/ 0:21
    I. kötet
    Hommage á Csajkovszkij 1:02
    III. kötet
    Felhangjáték 1 (Hommage á Kocsis Zoltán) 0:32
    Hommage á Petrovics 0:17
    Sirató (2) 0:36
    Abbamaradós 0:30
    Hommage á Szervánszky (Csend) 0:34
    I. kötet
    Örökmözgó /Talált tárgy...és mégegyszer virág az ember 1:08
    KOCSIS Zoltán – Pianoforte
    I
    Dühös-korál négykézre 0:39
    Kéz a kézben/Hommage á Sárközy 2:33
    Harangok/Hommage á Stravinsky 1:09
    KURTÁG György és KURTÁG Márta – Pianofort

    Zoltán Kocsis Recital Gyorgy Kurtág à La Roque d'Anthéron 2002

    Eight Piano Pieces Op.3: Prestissimo possible  György Kurtág Piano Zoltán Kocsis. Thanks Playlist


    Double Portrait  KOCSIS Zoltán és RÁNKI Dezső  - Reportage: Bruno Monsaingeon 1976
     

    Jean Sébastien Bach > Duo piano Márta et György Kurtág

    ferenczi györgy Kocsis Zoltan pianiste

    Ferenczi György et Kocsis Zoltan pianistes hongrois.

    + infos

    Kocsis Zoltán connaissances Wikipedia

    Article Musicasola Kurtág ! (je suis un monstre)

    Musicologie Kurtág György

    György Kurtág connaissances Wikipedia

    « Viens, Liberté! Donne pour moi naissance à l’Ordre…»

    L’œuvre Les Jeux est née sous le signe de la liberté. Kurtág s’est essayé avec ce qu’il y a de plus dur : il a écrit des pièces pour piano à but pédagogique qui n’entravent pas l’enfant dans les fers de règles et d’attentes rigides. Elles ne le mettent pas – dès le début de ses études – sous la contrainte menaçante du « on ne peut le faire que comme ça » et ne le soumettent pas d’emblée, dès le premier moment, à la torture de la tâche qui semble impossible à réaliser. A la place, elles l’encouragent à faire ce qu’il essaierait de toute façon si on le laissait seul avec le mystérieux, grand et noir piano. Qu’il fasse courir sa main le long des touches, qu’il s’accoude dessus, qu’il tape dessus du poing ou bien qu’il effleure les touches de manière à ce qu’elles ne résonnent pas. Qu’il appuie sur la pédale de l’instrument, qu’il tape du doigt sur ses côtés et qu’il écoute ses « soupirs ».

    De nombreuses pièces issues des premiers cahiers des Jeux (Faisons des bêtises ensemble, Il est permis de taper à côté, Barbotage, Singeries) poussent le joueur à donner libre cours à sa fantaisie, courageusement, sans entrave. La partition vient au secours de l’imagination et il devient lentement évident que plus on la lit avec attention, plus elle nous fait penser à des choses. Les manières de jouer qui diffèrent du toucher traditionnel préservent la joie du mouvement et, dès le début de l’apprentissage, donnent à l’interprète le sentiment de réussite de la virtuosité triomphante, par exemple à celui qui joue Hommage à Paganini ou bien Perpetuum mobile (Objet trouvé). Kurtág enseigne que sans hauteur de note concrète et sans rythme précis, la musique existe quand même, mais aussi que sans geste, sans la volonté élémentaire de communiquer, il n’y en a pas! Toutefois, avec l’aide des notes, on peut raconter une histoire toute entière (Le Lapin et le Renard), une seule note est même suffisante pour le lancement d’une danse (Prélude et Valse en ut) et trois notes pour dépeindre un combat « sanglant » (Bastonnade-dispute). De même, il n’est pas nécessaire de se passer de ses jeux d’adresse favoris lorsqu’on est face aux touches du clavier (Frappe-main ou le dernier accord de Bastonnade-dispute, où les quatre mains se raccrochent entre elles comme dans un jeu de mains).

    Les petites compositions qui préservent la liberté du pianiste débutant ont également eu un impact libérateur sur le compositeur lui-même : après l’opus magnum « Les discours de Péter Bornemisza », au début des années 70, suite à une période de panne d’inspiration, c’est à nouveau la composition de petites unités musicales, l’instauration d’un ordre entre juste quelques notes qui fut la bonne voie à suivre. Le compositeur se voit lui aussi libéré de la contrainte du « on ne peut le faire que comme ça » : il ne doit pas s’engager uniquement à côté d’un seul et définitif type d’œuvre si au cours du processus de formation d’une idée musicale, plusieurs versions viables naissent. Ces versions (les mouvements de « L’Homme est une Fleur », les chorales et ligatures, etc.) reviennent sans cesse dans cette série.

    Le but pédagogique passe lentement au second plan dans les cahiers suivants des Jeux et laisse la place à un parti pris comme on en trouve dans un journal intime. Les entrées de ce journal intime définissent leur auteur – en utilisant les termes de Bartók – encore plus précisément qu’une biographie. Il organise dans les divers cahiers tous les événements et les souvenirs de sa vie et de son œuvre : le renouvellement et le deuil des amitiés, les messages personnels, les portraits des musiciens prédécesseurs et collègues, l’influence de la musique populaire et du grégorien.

    Pourtant Les Jeux ne sont pas que l’anthologie du langage musicale de Kurtág ou une sorte de guide touristique pour le monde musical du compositeur, mais un organisme vivant qui s’est développé jusqu’à nos jours et forme depuis longtemps l’atelier de composition de Kurtág. Atelier où l’on peut être témoin du parcours cohérent que suit une pensée musical ou encore de l’apparition et du développement d’un geste musical particulier. Il est ainsi naturel que les pièces des Jeux se rattachent par de nombreux liens aux grandes œuvres désignées par un numéro d’opus. C’est sans doute cela qui différencie Les Jeux du Microcosmos de Bartók, qui est d’ailleurs leur plus importante préfiguration. (Les Doubles Cordes renvoient aussi concrètement à Microcosmos : elles continuent là où le mouvement de Bartók qui porte le même nom et son Perpetuum mobile « s’étaient arrêtés ».)

    Il n’y a rien de plus caractéristique d’un homme que la manière dont il joue et dont il travaille. (Pour les plus chanceux, ces deux se recoupent.). Ce n’est pas un hasard si Kurtág, ensemble avec sa femme Márta, jouaient toujours au piano une sélection des Jeux lors de leurs représentations publiques. Dans les programmes arrangés et joués par le couple Kurtág, on ne retrouve pas que des œuvres de Kurtág mais également, le plus souvent, des mouvements de Jean-Sébastien Bach. Les retranscriptions de Bach ne comptent aucunement pour des invités surprise dans ces programmes, au contraire : je ne les ai sans doute jamais entendu aussi belles que dans l’interprétation de Kurtág. La sonatine de l’Actus tragicus est joué au piano droit. Dans ses dernières années, Haydn vieillissant ne pouvait plus supporter que son silencieux clavicorde. En écoutant le son du piano droit du couple Kurtág, il n’est pas difficile de comprendre pourquoi. Le son rayonnant de l’intérieur se transforme en lumière et en chaleur, et la simplicité extrême de l’interprétation, débarassée de tout ajout inutile, nous présente clairement le calme de la beauté qui peut tout détendre. Durant ces deux minutes et demi, notre notion du temps se trouve également libérée de ses entraves habituelles et ce qui a été brisé par la vie de tous les jours se trouve enfin unifié. Il n’y a plus de différence de style entre du Bach précoce et du Kurtág tardif et la petite fille de six ans (Krisztina Takács, Le Lapin et le Renard) peut avoir le même âge que le compositeur de 80 ans. Car le temps passé sous le signe du jeu est du temps passé sous le signe de Dieu : « die allerbeste Zeit ».

    Et « là où est l’esprit de Dieu, est la Liberté ». Zoltán Farkas lire + clique ici

     Page en cours © xxi° studio point to point

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  • Mes bouts d'Ellworth pour Lily. Extremities of Ellsworth for Lily.* Point to Point studio.

    Rien n'illustre mieux ce livre que de n'être pas illustré. Il parle de la photo mais il ne montre aucune image. Abstrait comme l'incarnation-sublimation qui a lieu au niveau de la rétine Le soleil dans l'œil, le grain de lumière ensemence le sang, mais pour éclore autre. Ce qui se passe au-delà de la rétine, ce n'est pas la lumière, c'est de l'électricité nerveuse, une forme mise en formules, une chimie qui ouvre le chemin.
    La présence de l'auteur montre le bout de l'oreille. À bas l'idole, vive l'idée, telle semble la pensée fondatrice de l'ouvrage. Érudit en diable. faisant feu de maints sous-entendus de derrière les fagots, il a moins souci d'articuler une argumentation que d'asséner sa certitude. La photographie n'est rien. Pas même le support de la mémoire. Navré par la mort qu'elle porte en filigrane. Lumière piégée, détournée de son cours naturel, dévoyée du sens de la vie. C'est en devenant intellectuellement vivante à travers les épaisseurs de la matière grise, en sentant naître en elle la pulsation des mots, que la lumière a chance de prendre conscience d'elle même en se réfléchissant dans ce miroir de chair aérienne : le langage. Tout cela est très excitant à lire, autant ma foi que de regarder une photographie de femme nue : la vérité. J. Suquet


    J. Suquet.  juin 1987-art. 307- Gastón Fernández Carrera. La Photographie. Le néant. Digression autour d'une mort occidentale. Paris : PUF (Presse universitaire de France/Sociologie Aujourd'hui) 1986. - 159 pages.

    LECTURES CHOISIES EXTRAIT [307] JEAN SUQUET

    *Ceci travail deux "Still Lovers" du photographe Élena Dorfman. Elles ont été nivelé sur le corps des représentations humaines pour ne garder que la chose qui les encadre : "Geometric gover" constuction périphériquedont dont lily est la légende.

    © studio point to point 

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  • Borom Sarret Poster Sembene Ousmane réalisateur PointtoPoint

    Borom Sarret, film de Ousmane Sembène, un classique du cinéma militant africain de 1963 raconte la journée d’un charretier, Ly Abdoulaye, Sénégalais qui transporte clients et marchandises dans sa charrette attelée à Albourah, son cheval. Travaillant dans des quartiers pauvres, ses passagers aussi démunis que lui.… Il ai amené à faire une course dans les quartiers bourgeois de Dakar où, il lui est interdit de circuler, malgré ses prières il se voit amender par la police et sa charrette lui est confisquer. Il rentre chez lui sans argent. Sa femme sortira de la maison pour chercher l'argent de la nourriture de la famille….

    Borom Sarret, Scénario et réalisation Ousmane Sembène  Sénégal français 20 minutes

    Né le 1er janvier 1923 à Ziguinchor, au sud du Sénégal. Passage à la VGIK de Moscou. Autodidacte. Romancier. Acteur. Producteur (Filmi Doomireew). L'Ancien des Anciens!

    Sembene Ousmane, personnalité hors du commun, écrivain cinéaste, est né à Ziguinchor au sud du Sénégal. Tour à tour pêcheur, maçon, mécanicien automobile, tirailleur sénégalais, docker puis responsable syndicale CGT à Marseille, il s'intéresse à la littérature africaine. Une passion qui le conduira à écrire des romans à partir de 1956. En 1959, il revient au Sénégal et fait le tour du continent africain. Agé de 40 ans, c'est à Moscou qu'il étudie le cinéma à Moscou avec Marc Donskoï et Sergueï Gherassimov. Dès 1962, il réalise des courts métrages. En 1966, son premier long métrage "La noire de"…le fait entrer dans la catégorie des réalisateurs politiquement et socialement engagés. Georges Sadoul écrit : "Grâce à Sembene Ousmane, le continent noir a pris enfin place dans l'histoire du cinéma mondial".

    Film de Ousmane Sembène : 1962 Borom Sarret, 1963 L'empire songhay, 1964 Niaye, 1966 La noire de, 1968 Mandabi, 1969 Traumatisme de la femme face à la polygamie, 1969 Les dérives du chômage, 1970 Taaw, 1971 Emitaï, 1972 L'Afrique aux olympiades, Basket africain aux J.O de Munich RFA, 1975 Xala 1977 Ceddo, 1987 Camp de Thiaroye, 1992 Guelwaar, 1999 Heroisme au Quotidien, 2000 Faat-Kiné, 2004 Mooladé.

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  • Laurent Bourderon exposera son travail à la Galerie From Point to Point, du 26 janvier au 18 février 2012

    Laurent Bourderon exhibit his work in the Gallery From Point to Point - January 26th to February 18th, 2012


    Trailer exposition le mur dans le miroir : Bande Annonce 

    Le mur dans le miroir est constitué de films d'expositions d'art contemporain dont la durée assez courte est adaptée au format de diffusion Internet. Réalisés avec un matériel léger, ces films proposent un point de vue sur une exposition, point de vue qui a la pertinence d'être personnel et d'exister à travers la mémoire de l'image numérique. Depuis 2006, plus de cinquante films ont été réalisés, diffusés et archivés sur Internet, constituant une source d'œuvres et d'expositions choisies sur le territoire artistique en France. À travers sa fréquentation sur Internet, cette pertinence se transforme en une persistance des images. C'est cet aspect du mur dans le miroir qui sera particulièrement rendu visible dans l'exposition présentée à la galerie Philippe Pannetier. Sorties du contexte initial de l'exposition, les images du mur dans le miroir se vident dès leur existence première sur Internet de leur propre origine et acquièrent incontournablement une présence autonome. Cette nouvelle vie des images est plus indépendante encore lorsque celles-ci sont sélectionnées et remontées de manière plus ténue pour s'adresser physiquement à un public. Doublement détachés de leur origine, les films du mur dans le miroir acquièrent une force d'abstraction indissociable de l'histoire des images documentaires et des questions de mémoire individuelle et de mémoire collective. Laurent Bourderon extrait d'ailleurs des films quelques images résurgentes pour les présenter comme images fixes dans l'exposition. Le recueil de textes de Yannis Ritsos, Le mur dans le miroir, dont le titre est évidemment à l'origine de celui de ce travail de Laurent Bourderon, sera également présent dans l'exposition à travers une lecture enregistrée d'Antoine Régent. Ces textes, écrits par Yannis Ritsos en prison, parviennent avec une incroyable force à habiter un espace physique aussi concis que celui d'une cellule.

    Laurent Bourderon fréquente l’art au quotidien au Domaine de Kerguéhennec, centre d’art contemporain de 1993 à 2000, sous la direction de Denys Zacharopoulos. D’abord documentaliste puis régisseur du lieu, il y côtoie et assiste des artistes du secteur des arts plastiques et des arts vivants (théâtre, musique, danse). Dans ce contexte il filme les manifestations et les expositions pour les archives du centre d’art. Il collabore aussi étroitement à la réalisation de vidéos de quelques artistes.
    De 2001à 2003 il travaille pour une agence de communication dans le milieu de la musique actuelle. Il y développe un journal numérique constitué d’articles, de matériaux sonores, d’arts numériques et de vidéos (films d’artistes, interviews, vidéos d’expositions et d’événements).
    En 2004 il se consacre à un nouveau projet qu’il met en place et dont le nom, le mur dans le miroir, est aussi celui d’un recueil de textes de poésie de Yannis Ritsos.
    En 2007 les archives et les nouveautés du mur dans le miroir rejoignent Analogues, maison d’édition pour l’art contemporain, à laquelle collabore Laurent Bourderon et qui accompagne le mur dans le miroir pour sa diffusion. Le mur dans le miroir devient alors aussi une rubrique du site internet d’Analogues. Le mur dans le miroir est nourri aujourd’hui de plus de 100 courts films d’expositions. La proposition s’inscrit dans une approche empirique de l’art, dans un contexte où l’art lui-même est une propre expérience.
    En janvier 2012, la galerie From Point to point, Philippe Pannetier, Nîmes, invite Laurent Bourderon à concevoir une exposition autour du miroir dans le miroir.

    Le mur dans le miroir, poèmes de Yánnis Rítsos - Γιάννης Ρίτσος  -
    - Extraits -
    Lecteur Antoine Régent >

     

    Vernissage de L'exposition le Jeudi 18 janvier à 18h,30

    au 2 + 2 Place de la Calade 30000 Nîmes France.

    + d'infos

    Laurent Bourderon Video le mur dans le miroir

    Laurent Bourderon Images free.fr

    Laurent Bourderon Analogues

    Remerciements : Antoine Régent, DEG,

    Page en cours © studio point to point

     

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