• Édition Midi Libre du dimanche 27 décembre 2009 Publié à 16 h 10 - Mis à jour à 20 h 30

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    L'inspection générale de la police nationale (IGPN) est présente à Nîmes depuis hier soir pour voir dans quelles circonstances le braqueur, abattu lors d'un hold-up avec prise d'otage, a fait l'objet de l'ouverture du feu par un policier. Le service régional de police judiciaire (SRPJ) est également chargé d'examiner le vol à main armée commis par deux jeunes habitants de la région nîmoise.

    Durant les faits, une employée du restaurant Mac Do du centre-ville a été prise en otage pour couvrir la fuite des deux malfrats. La police est parvenue à interpeller un premier homme. Mais le second braqueur n'aurait pas voulu lâcher l'otage et pointait apparemment une arme sur elle.

    A la lumière des premiers éléments de l'affaire, il semble que le policier a agi dans le cadre réglementaire et légal de la légitime défense. Le décès du jeune homme a suscité une vive émotion hier soir aux abords du boulevard Gambetta où le jeune homme a été tué. Si des tensions sont apparues pendant que les investigations étaient réalisées, aucun débordement, aucune dégradation, n'ont été constatés.

    Le procureur de la République de Nîmes, Robert Gelli, cet après-midi lors d’une conférence de presse, a indiqué « que des éléments permettent de penser que les conditions de la légitime défense sont réunies ».

    Le procureur a aussi distingué les profils des deux auteurs du braquage tous deux âgés de 21 ans. Ils ne travaillaient pas et n’étaient pas scolarisés. La victime semble avoir eu par le passé un comportement qui n’est pas irréprochable. Les deux jeunes gens sont domiciliés à Garons, un village situé près de Nîmes.




    Édition RMC du dimanche 27 décembre 2009 Le 27/12/2009 à 18h49 GMT
     
    MARSEILLE (Reuters) - Un homme a été abattu par un policier samedi à Nîmes (Gard) après avoir braqué un restaurant McDonald's à l'aide d'une arme factice, apprend-on de source policière.
    Deux hommes, dont un cagoulé et armé, ont pénétré à 23h30 (22h30 GMT) dans le fast-food situé dans le centre commercial "La Coupole", dans le centre-ville de Nîmes, et se sont fait remettre la caisse, a-t-on précisé.
     
    Alertée, une patrouille de la Brigade anti-criminalité est arrivée sur les lieux. L'homme cagoulé a alors pris une femme en otage pour protéger sa fuite et celle de son complice présumé.
    Une fusillade a éclaté et l'homme cagoulé, a été mortellement touché par le tir d'un policier.
     
    Agé de 22 ans, il était connu des services de police. Son complice présumé a été interpellé et placé en garde à vue.
     
    "Les premiers éléments de l'enquête donnent à penser qu'on est dans une situation de légitime défense pour autrui et pour le policier", a dit le procureur de Nîmes à la presse.
     
    "L'arme était factice mais parfaitement imitée", a ajouté Robert Gelli.
     
    Les deux hommes sont originaires du village de Garons, près de Nîmes.
     
    Une enquête a été ouverte par le parquet de Nîmes et confiée au Service régional de police judiciaire de Montpellier et à l'Inspection générale de la Police nationale.
     
     
    François Revilla, édité par Jean-Baptiste Vey
     
     

    Strident le souffle d'un flûtiau résonne au-dessus du boulevard fané de Noël,
    les hommes sauvages et passionnées invisibles au mort continuent à baver sans comprendre.


    À la vitesse du silence trois balles ont percé le corps jeune.

     

    Nîmes Gambetta 27 décembre 2009

     

    © STUDIO POINT TO POINT

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  • Rodrigo y Gabriela - Captain Casanova

     Jewish tango by Jakub Kagan - Złota pantera, 1929.

    Jakub KAGAN (b. 1896 in Nowogrodek near Wilno; d. in 1942, murdered by nazis in the Warsaw Ghetto). He was one of most outstanding Polish-Jewish composers in 1920/30s. Kagan was educated in Warsaw Music Institute before 1918, and he was admitted to the newly established Association of Polish Composers and Stage Authors in Warsaw. Two years later he took part, as a Polish soldier, in the defense of Warsaw during Polish-Bolshevik war of 1920. After the War he established his own „Kagan's Jazz Band", in 1922 he started performing in a cabaret „Mirage" and in operetta theatre „Nowości" (Novelties) in Warsaw. In years 1926-27 his band established contract with „Bristol" -- the most elegant hotel of Warsaw. Kagan also started composing and his tango „Złota pantera" (The Golden Panther) -- which was played for the first time in the mountain spa of Żegiestów in Poland in 1929 -- immediately became a gross hit, especially when Andrzej Włast - director of the revue theatre „Morskie Oko" in Warsaw - included Kagan's hit into his grand revue „1000 pięknych dziewcząt" (Thousand Of Pretty Girls) in the fall season of 1929. Soon „Złota pantera" was performed as a fashionable tango, also in Germany, Austria and Hungary. The reason for this success was, no doubt, the unusual - and very typical for Kagan- minor key melodic line, interestingly asymmetric and apparently undisciplined in a tango-rhythm, adding to the tune a spice of mystery and suspence. The later Kagan's compositions confirmed his outstanding position among Polist cabaret authors of the time- tango „Jesienna piosenka" (Autumn Song) which was turned into a hit by the Warsaw diseuse, Hanka Ordonówna, or another tango „Tyś mych uczuć niewarta" (You're Not Worth My Feelings). The Trirties were for Kagan the decade of his gross successes and a high living standard. He had a large and modern flat in Aleje Ujazdowskie - the „Champs Elysees of Warsaw" - his orchestra performed in best hotels and night-clubs of Poland („Adria", „Carlton" or „Casanova" in Warsaw, „Feniks" in Cracow, „Patria" in the mountain spa Krynica or „Ritz" in Bialystok). Kagan was also the director of the house orchestra „Cristall-Electro" record factory, as well as he directed musical productions in the theatre-cinema „Colosseum" in Warsaw. All this ended in September 1939. Kagan had to move from the „Champs Elysees of Warsaw" into the nazi ghetto. He tried to survive, playing piano in the restaurant „Splendid", he also took part as a pianist in several productions of the Ghetto music theatre „Melody Palace". As most of the Warsaw Jewish life, he perished from hands of the nazis in 1942.

    This clip contains drawings of Bruno SCHULZ -- a Polish writer (1892-1942) strongly identifying his work with his Jewish identity. His two novels -- „The Cinammon Shops" (published in POlish in 1934; in English-speaking countries, it is most often referred to as „The Street of Crocodiles", a title derived from one of the chapters) and three years later „The Hourglass Sanatorium", made him one of great Polish-language prose stylists of the 20th century. Translated into all possible languages in the world, he also was an awesome drawer, who illustrated himself his own works (all his life he worked in gymnasium, as a teacher of drawing). Having lived all his life in a provicial town od Drohobycz (being until 1945 a part of Poland, then -- USSR, now in Ukraine) he never abandoned it, even in the time of nazi occupation of Poland, after September 1939. Completely impractical in his everyday life and unable to make any kind of a self-protecting arrangement about himself, he failed to join the rescue plan, made for him by his literary friends in Warsaw. He, instead, stayed in Drohobycz, to teach drawing the children of one of higher-rank nazi officers -- the one, who was, as it seemed, willing to find a way to save the life of his children beloved teacher. Bruno Schulz was shot in the street by a German soldier, just on the first day of the liquidation of the Drohobycz ghetto. This song's text was written by Andrzej Włast -- the most prolific pre-war lyricist in Warsaw (and also director of revue theatre „Morskie Oko") -- and it is an example of the most sado-masochistic kind of a pseudo-poetry in Warsaw in turn of 1920/30s! I put it together with drawings of Bruno Schulz only becouse on the level of the sexual passion these two worlds meet: the highest literatue of Bruno Schulz's -- and the cabaret world of „low down" fears and desires, spoken out by that text. The motifs of the wipping women or the falling-to-their-feet man, or the ones who creep and who beg for mercy - are beloved motifs of cabaret songs in 1920s. Yet, the enormous talent of artists like Bruno Schulz is able to turn the trivial into the art, as we can see here.


     

     

    FESTIVAL FLAMENCO - 20 ANS -

    Du 7 au 23 janvier 2010


    On pourrait se contenter de faire la fête. Et tout envoyer balader ! Parce qu'à vingt ans, comme disait le poète, on n'est pas sérieux. Mais ce ne serait pas nous, ça ne collerait pas avec notre vision, avec ce que nous avons toujours défendu. En un mot : un avenir. Le Festival de Flamenco de Nîmes n'aurait aucun sens s'il n'était pas tourné vers le futur. Celui que promet un art vivant, resplendissant de beauté et d'inventivité, dégagé des représentations folkloriques qui l'emprisonnaient, des lourds faux-semblants engendrés par la dérive commerciale. Notre flamenco a le visage de la vie et de la famille, avec ses héritages et ses traditions. Voyez les grands artistes et les jeunes talents qui ont répondu à nos invitations depuis vingt ans. Quel plaisir de les voir revenir si nombreux pour cette édition, c'est incontestablement une fête. Alors, suerte !

    François Noël
    Directeur du Théâtre de Nîmes


    presse-flamenco-nimes-art-point-to-point-fr.pdf

     

      Danse à partir de 6 ans
    Silvia Marín - Con pasaporte Flamenco - Création
    Samedi 9 janvier 2010 à 18h30 - Théâtre - Tarif IV [+]
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      Musique
    Mayte Martín
    Mardi 12 janvier 2010 à 20h - Théâtre - Tarif II [+]
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      Musique
    El Cabrero - Un dialogue sans artifice
    Mercredi 13 janvier 2010 à 20h - Théâtre - Tarif II [+]
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      Musique Danse
    Rafael de Utrera / María José Franco - Bailando para mí
    Jeudi 14 janvier 2010 à 20h - Théâtre - Tarif II [+]
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      Danse
    Javier Barón - Dos voces para un baile
    Vendredi 15 janvier 2010 à 20h - Théâtre - Tarif I [+]
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      Musique Danse
    Tierra flamenca 1
    Vendredi 15 janvier 2010 à 22h30 - Odéon - Tarif III [+]
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      Musique
    Antonio Soto - Concert acoustique - MODIFICATION DE PROGRAMME
    Samedi 16 janvier 2010 à 17h30 - Cour d'Appel - Tarif IV [+]
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      Musique Danse
    Tierra flamenca 2
    Samedi 16 janvier 2010 à 20h - Odéon - Tarif III [+]
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      Musique
    Romancero Gitano, redux - Pepe Linares - Henri Le Ny - Antonio Cortés
    Dimanche 17 janvier 2010 à 15h - Cour d'Appel - Tarif IV [+]
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      Danse
    Israel Galván - El Final de este estado de cosas, redux
    Dimanche 17 janvier 2010 à 18h - Théâtre - Tarif I unique [+]
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      Danse
    Andrés Marín - El Cielo de tu boca
    Mardi 19 janvier 2010 à 20h - Théâtre - Tarif I [+]
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      Musique
    Miguel Poveda - Sin Frontera
    Mercredi 20 janvier 2010 à 20h - Théâtre - Tarif II [+]
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      Danse
    Pastora Galván - Pastora
    Jeudi 21 janvier 2010 à 20h - Théâtre - Tarif I [+]
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      Musique
    Diego Carrasco - El Tiempo del diablo
    Vendredi 22 janvier 2010 à 20h - Théâtre - Tarif II [+]
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      Musique
    Inés Bacán - Antonio Moya / El Rubio de Pruna - Tomas Perrate - Manuel de Tañé - Eugenio Iglesias - Antonio Moya
    Vendredi 22 janvier 2010 à 22h30 - Odéon - Tarif III [+]
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      Musique
    Antonio Campos - Concert acoustique
    Samedi 23 janvier 2010 à 17h30 - Cour d'Appel - Tarif IV [+]
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      Danse
    Rocío Molina - Oro Viejo
    Samedi 23 janvier 2010 à 20h - Théâtre - Tarif I [+]
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      Musique
    A Cinco voces
    Samedi 23 janvier 2010 à 22h30 - Odéon - Tarif III [+]
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    Au-delà de la scène

    Une semaine de conférences
    Bar du Théâtre - 12h30. Accès libre. Durée 1h environ - Petite restauration sur place.

    Israel Galván, la danse en solo
    Par Corinne Frayssinet-Savy
    Lundi 18 janvier
    Depuis 1998, Israel Galván transfigure la danse soliste flamenca en danse en solo. Il défie toute posture artistique. Il réévalue la conception dominante depuis l’époque des cafés cantantes (cafés concerts) du spectacle de numéros de danse flamenca. Il réinvestit le solo initié brièvement dans les années vingt par Antonia Mercé La Argentina et Vicente Escudero. Israel Galván conçoit la danse comme une proposition, une gageure.
    Corinne Frayssinet-Savy, ethnomusicologue spécialiste du flamenco, universitaire et musicienne, est l’auteur de plusieurs articles de référence et du livre Israel Galván, danser le silence publié aux éditions Actes Sud (juillet 2009).

    ( 2 . 3 ) + ( 3 . 2 ) = 12 : Compases, palmas et golpes
    Par Claude Worms, mise en images Nicolas Villodre
    Mardi 19 janvier
    Certaines formes constituant le répertoire flamenco sont identifiables par leur compás (cycle métrico-rythmique). À partir d’exemples tirés d’interprétations emblématiques (chant, guitare, et danse), le film présente des réalisations de compases de douze temps (Guajira, Petenera, Soleá, Alegrías, Siguiriya, Bulerías…). Nous nous limiterons aux performances les plus instinctives et intuitives, produites directement par la gestuelle corporelle : palmas, golpes, battue du pied…
    Claude Worms, professeur de guitare à Paris, compositeur, rédacteur en chef de la revue flamencoweb, est le grand spécialiste français de la guitare flamenca et l’auteur de très nombreux ouvrages dont d’importantes études sur les figures du toque.

    Rite et géographie du Cante *
    Par José María Velázquez-Gaztelu
    Mercredi 20 janvier
    Cette conférence revient, à l’aide d’un documentaire, sur le fameux programme de la télévision espagnole Rito y Geoite et géographie du cante qui se lançait, dans les années soixante-dix, dans un véritable travail d’enquête musicale sur les lieux mêmes du chant flamenco, révélant les grands noms d’alors, Manolo Caracol ou Pepe Marchena et les nouveaux venus: Paco de Lucía, Camarón, Manolo Sanlúcar, Morente…
    Écrivain et poète de Cadix, José María Velázquez-Gaztelu estaussi le co-scénariste et flamencologue des 113 programmes de TVE Rito y Geografía del Cante et Rito y Geografía del Baile. Grand conférencier international, il dirige le programme Nuestro Flamenco, sur la Radio nacional de España.

    Los Cantes de Jerez *
    Par José María Castaño
    Jeudi 21 janvier
    Cette conférence didactique offre un parcours à travers les styles de chant de l’école de Jerez. Elle prend pour départ les circonstances historiques qui permirent l’émergence, en son sein, du chant en tant qu’expression. Elle en décrit les caractéristiques principales en s’appuyant sur les exemples des personnes qui se sont illustrées depuis les origines jusqu’à aujourd’hui : un chant singulier, une appellation d’origine.
    Né à Jerez de la Frontera, José María Castaño est licencié en droit et conférencier. Il dirige depuis 17 ans le programme radiophonique Los Caminos del Cante (les chemins du chant). Il intervient dans la presse et a publié des livres spécialisés : La elegancia del duende et De Jerez y sus Cantes.

    Jesús Antonio Pulpón, un personnage clé du Flamenco du xxe siècle *
    Par Carmen Pulpón
    Vendredi 22 janvier
    Une évocation analytique de Jesús Antonio Pulpón González, personnage clé de la diffusion et de la valorisation, nationale et internationale, du flamenco des années 1950-1990. Revenir sur cette figure permet d’évoquer les festivals flamencos, les échecs et les succès de Pulpón González, son œuvre « d’impresario », à travers les points de vue de différents artistes et acteurs de son époque et de sa trajectoire professionnelle.
    A l’issue de la conférence, projection de Sindrome de pies y manos de Jesús Pulpón (fils), 2009, 13 mn.
    Carmen Penélope Pulpón Jiménez est licenciée en histoire contemporaine (Université de Séville) et s’est spécialisée dans l’étude de la danse flamenca, de « la femme dans le flamenco ». Membre de l’Agence andalouse pour le développement du flamenco, elle est aussi auteur d’articles. Elle vit et enseigne à Jerez.

    * Conférence en espagnol traduite en français par Nadia Messaoudi

    La librairie Goyard, partenaire du Festival Flamenco, proposera des ouvrages spécialisés lors de chaque spectacle au Théâtre et lors des  conférences.

    Et aussi

    RENCONTRES
    Avec les photographes Stéphane Barbier, Jean-Louis Duzert, Steve Kahn et Pascal Vecchi
    Samedi 16 janvier à 11h30 - Bar du Théâtre
    Forum Fnac avec Jacques Maigne,
    auteur de Flamenco en flammes, éd. Atelier Baie en présence de Fosforito et Diego Carrasco, sousréserve.
    Mercredi 20 janvier à 17h30 - Fnac de Nîmes
    Avec Fosforito
    Samedi 23 janvier à 11h30 - Bar du Théâtre

    CLASSES DE DANSE
    Niveau moyen et confirmé - Durée 3h
    Par Javier Barón
    Samedi 16 janvier à 10h - Soleá por bulerías
    Dimanche 17 janvier à 10h - Tangos
    Par José Galván
    Vendredi 22 janvier à 17h - Tientos
    Samedi 23 janvier à 10h - Garrotín
    Renseignements / Inscriptions Service des relations avec le public 04 66 36 65 00

    PROJECTIONS sur la façade de la Maison Carrée
    Photographies de Stéphane Barbier, Jean-Louis Duzert, Steve Kahn et Pascal Vecchi
    Samedi 9 janvier, puis du 11 au 23 janvier à partir de 18h. Accès libre.

    CINEMA DOCUMENTAIRE
    Israel Galván, l’accent andalou
    Un film de Maria Reggiani, 2009, 52 mn
    Coproduction ARTE France, Les Films d’Ici En partenariat avec ARTE actions culturelles
    Travail, réflexion, naissance du mouvement, dialogue avec ses compagnons de route, ses musiciens, retour sur le passé de ses créations et de ses influences… Le film suit la ligne tendue de cette parole économe et de cette position unique qu’Israel Galván occupe dans le paysage de la danse actuelle.
    Dimanche 17 janvier à 11h avec une introduction de Corinne Frayssinet-Savy Lundi 18 janvier à 20h Cinéma Le Sémaphore, 25 rue Porte de France. Accès libre sur réservation au Théâtre et au Sémaphore.

    LECTURE
    Le Danseur des solitudes (extraits) de Georges Didi-Huberman et autres textes
    Par Evelyne Didi-Huberman etGeorges Didi-Huberman
    Il ne s’agit que de regarder et de décrire philosophiquement, autant que faire se peut, un grand danseur de baile jondo, Israel Galván.Il s’agit de reconnaître dans son art contemporain un art de « naissance de la tragédie ». Il s’agit d’écouter son rythme et de reconnaître dans sesmots – au moins trois d’entre eux : la jondura ou « profondeur », le rematar ou l’art de « mettre fin » et le templar, intraduisible – de grands concepts esthétiques que notre esthétique ignore encore.
    Historien de l’art et philosophe, Georges Didi-Huberman enseigne à l’École des hautes études en sciences sociales.
    Lundi 18 janvier à 18h - Bar du Théâtre. Accès libre dans la limite des places disponibles.

    ATELIER EN FAMILLE à partir de 6 ans, autour du spectacle Con Pasaporte Flamenco
    Samedi 9 janvier de 10h30 à 12h, Fnac de Nîmes, sur inscription.

    Flamenco en flammes. Flamenco en llamas
    Jacques Maigne
    À l’occasion des 20 ans du festival flamenco à Nîmes, cet ouvrage s’interroge : pourquoi une cité comme Nîmes, haut-lieu d’archéologie romaine et place forte de la tauromachie française, s’est­ elle ainsi ouverte au flamenco, l’art identitaire de la lointaine Andalousie ? Le livre retrace les débuts héroïques du premier concours jamais organisé hors d’Espagne et les grandes soirées d’émotion des festivals les plus récents. Au Théâtre de Nîmes, c’est tout le flamenco de ce temps qui, chaque hiver, a enflammé la ville. De nombreuses photos rendent hommage à tous les grands chanteurs, danseurs ou guitaristes qui ont depuis vingt ans, posé pied à Nîmes. Enfin le livre découvre le flamenco sur ses terres, au quotidien, là où depuis des siècles il coule de source : en Andalousie.
    Beau livre, 224 pages, format 24 x 33 cm
    Édition Atelier Baie. Disponible en librairie et sur les lieux du festival  49,50 €

    Festival Flamenco 2010, La Folle Nuit, Musique sur cour Ouvertures de billetterie en cours de saison : dates à préciser Théâtre de Nîmes 1 place de la Calade BP 1463 30017 Nîmes cedex 1 Tel. 04 66 36 65 10

    Liens à cliquer pour renseignements sur le Flamenco  
    Histoire du Flamenco Flamenco-Web Radio-Flamenco

     

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  • Leonardo da Vinci Avatar Mosset Olivier circa 1513-2013

    Daniel écoutait le premier tube de Nicoletta, Michel la chanson d'Édith, Niel les Diamons, Olivier chantait les textes de Jerry & Mike.

    Tableau Moteur #2 Olivier Mosset

    Projection of a painting framed by the sound of a motorcycle engine.

    Projection d'une peinture encadrée par le son d'un moteur de moto.

    NICOLETTA - L homme à la moto 1966, 1956 - EDITH PIAF

    The DIAMONDS  - 1955 Black Denim Trousers And Motorcycle Boots

    THE CHEERS

    Texte original de la chanson Jerry Leiber & Mike Stoller adaptation française de Jean Dréjac.

     À ce moment, Daniel Buren, Olivier Mosset, Michel Parmentier, Niel Toroni, signièrent “Manifestation n°0“ qu'ils adressèrent à 500 personnalités de la culture : à des amis, à des critiques , à des responsables de magazines, de galeries, de Musées etc… NOUS ÉTIONS EN 1966. SIC ALAIN BASUNG

     "BMTP" En TV programme "ORTF La Biennale de Paris 1967.

    Aujourd'hui 2009, Le Magasin de Grenoble, Centre National d’Art Contemporain, avec son directeur Yves Aupetitallot. nous offrent un portrait : Celui d'Olivier Mosset, vu, par lui-même, aux travers de ses contemporains. Ainsi, l'exposition "PORTRAIT DE L'ARTISTE EN MOTOCYCLISTE" rassemble les œuvres de nombreux artistes qui ont croisé son quotidien (Lire liste plus loin). Par l'intermédiaire des peintures, des sculptures, des photos, des vidéos, des objet, présentés nous pouvons voir la fraternité qu'Olivier Mosset entretien avec les créateurs qu'il rencontra depuis les années 1960, et ses conséquences ; plus que l'autoportrait, l'ensemble nous donne le paysage d'une société qui se figure, avec tendresse, à partir de l'échange, du troc, ce qui nous donne une impression d'époque XX° et nous éloigne du radicalisme de “Manifestation n°0", BMPT, et qui aura une finalité : Le Musée*. L'exposition s'opposent à l'étrange aura qui questionne les expositions et travaux de monsieur Olivier Mosset, où, à partir d'objets simples, il nous sert un travail qui fabrique la délicate imprécision rétinienne qui floute par raison notre cervelle.

    *Un part importante de la collect O. Mosset est déposée aux Musées de la Chaux-de-Fonds, d’autres œuvres étant déposées ou données au MAMCO de Genève, au Consortium de Dijon, ou encore à Tucson.


    Artistes de la collection d'Olivier Mosset. présentés jusqu'au 3 janvier 2010 au Magasin :

    Donald Alberti, Carl André, Ian Annul, Janine Antoni, Matthew Antezzo, John Armleder, Art Club 2000, Richard Artschwager, Olivier Babin, Fia Backström, Donald Baechler, Francis Baudevin, Jérôme Beauvarlet, Lisa Beck, Ford Beckman, Joseph Beuys, Alexandre Bianchini, Mike Bidlo, Dike Blair, Philippe Bodenmann, Serge Bramly, Gavin Brown, Neil Campbell, François Chessex, Robert Colescott, Collectif 1m3, Michael Corris, Mark Dagley, Jamie Dalglish, Ricardo De Olivera, Steve Di Benedetto, Alain Dister, John Dogg, Georges Dupin, Gretchen Faust, Helmut Federle, Sylvie Fleury, Roland Flexner, Christian Floquet, Catherine Eyde, Jonathan Genkins, Fritz Glarner, Janine Gordon, Christophe Gossweiler, Dan Graham, Amy Granat, Timothy Greenfield-Sanders, Bill Gruner, Wang Guangyi, Raymond Hains, Marcia Hafif, Isabel Halley, Peter Halley, Stephane Huitmere, Frank Kozik, Nicole Hassler, Drew Heitzler, IFP, Alain Jacquet, Kyle Jenkins, Michael Jenkins, Kim Jones, Donald Judd, Allan Kaprow, Ben Kinmont, Yves Klein, Serge Kliaving, Jeff Koons, Win Kok, Joseph Kosuth, Stéphane Kropf, Alix Lambert, L/B, Bertrand Lavier, Louise Lawler, Louise Lawler/Sherrie Levine, Ange Leccia, Serge Lemoine, Lépicié d’après Jean-Baptiste-Siméon Chardin, Renée Levi, Sherrie Levine, Sol LeWitt, Russel Maltz, Christian Marclay, Jackie McAllister, Matthew McCaslin, Allan McCollum, Mathieu Mercier, Haley Mellin, Tom Merrick, Jonathan Monk, Elena Montesinos, Valentine Mosset, Grégoire Müller, Chuck Nanney, John Nixon, Cady Noland, Not Vital, Eric Oppenheim, Dimitry Orlac, Elisabeth Oser, Virginia Overton, Steven Parrino, Laurie Parsons, Nicolas Pasche, Yan Pei Ming, Luciano Perna, Hugo Pernet, Gilles Porret, Philip J. Reilly, Delphine Reist, Bettina Rheims, David Robbins, Christian Robert-Tissot, Walter Robinson, Gerwald Rockenschaub, David Row, Claude Rutault, Lisa Ruyter, Frederic Sanchez, Adrian Schiess, Peter Schuyff, Michael Scott, Donald Sheridan, Tara Sinn, Howard Smith, Keith Sonnier, Walter Steding, Frank Stella, Valentina Stieger, Rudolf Stingel, Vincent Szarek, Blair Thurman, Jean Tinguely, John Tremblay, Li Trincere, Allan Uglow, Günter Umberg, Lily van der Stokker, Jean-Thomas Vannotti, Ben Vautier, Joan Wallace, Wallace & Donohue, Dan Walsh, Joan Waltemath, Andy Warhol, Stephen Westfall, Larry Weiner, Peter Young, Michael Zahn.

    D'après une exellente vue de Guy Buchheit. CE Point to Point à sourires.

    RENSEIGNEMENTS PRATIQUES À PROPOS DU MAGASIN CNAC 155, cours Berriat Site Bouchayer Viallet 38000 Grenoble, TÉL/ 04 76 21 95 84 CONTACT info@magasin-cnac.org,  du mardi au dimanche de 14 à 19h. (SOUS RESERVE)

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    Olivier Mosset Page PointtoPoint–clique ici

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  • Nikita Lasso & Jean-Marc Andrieu

    " To be do be too "

    Exposition du 21 décembre 2009 au 30 janvier 2010

    EST / OUEST

    épicerie ++ galerie

    Vernissage samedi de 15 à 21 heures

    Au 68 rue de Chartrouse Arles 13200

    nikitalasso@gmail.com tél: 33 (0) 666 498 198


    PLUS DE RENSEINEMENTS CLIQUEZ SUR NIKITA LASSO/ PLUS DE RENSEINEMENTS CLIQUEZ SUR JEAN MARC ANDRIEU

     

    Julien Francioli - Pierre Guillem Coste - Jean Adrien Arzilier - Alexandre Giroux

    Invités par Nikita Lasso et Jean-Marc Andrieu, les artistes proposent réseau Hartmann* pour label à l'exposition à l'épicerie ++ galerie.

    Arlésiens attention à l'orientation de vos chaussettes aux pieds de votre lit les soirs d'hivers, les artistes ci-devant nommés proposeront à Est / Ouest de la rue Chartrouse un Network Hartman*. Ceci prédit, un février de moi téllurique, pour les Arlesiennes!

    PLUS DE RENSEINEMENTS CLIQUEZ SUR NIKITA LASSO/ PLUS DE RENSEINEMENTS CLIQUEZ SUR JEAN MARC ANDRIEU

    * Réseau Ernst Harman vue, texte, texte, video

    Photos de E. Dupuis

     

    Exposition Yannick Papailhau "Perspectives Cavalières"

    30 avril au 20 juin 2010
     EST/OUEST épicerie=+=galerie
     68 rue de Chartrouse 13200
     ARLES France

    Photos de E. Dupuis

     

    Rodolphe Huguet "yapafoto"

    EXPOSITION DU PREMIER JUILLET AU TRENTE ET UN AOÜT

    2001EST/OUEST épicerie=+=galerie
    68 rue de Chartrouse 13200
    ARLES

    Mise en musique Gérald Martin

    photo de E. Dupuis

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  • Séminaire organisé par l’École Supérieure des Beaux-Arts de Nîmes

    Je ♣ux♣ d'Exposition

     

    PRÉSENTATION DE LA JOURNÉE DU 08 DÉCEMBRE 2009 À L'HÔTEL RIVET DE NÎMES.

    Qu’il s’agisse de performance, de film de fiction, de photographie ou de vidéo, la mise en scène de l’artiste ou de l’auteur par lui-même constitue aujourd’hui une attitude des plus fréquentes. Autoportraits travestis, incarnation performative de personnages réels ou fictifs en constituent quelques manifestations. Car le fait de s’exposer s’accompagne bien souvent d’un jeu avec le Je. Se représenter comme personnage, prendre un autre artiste comme référent ou en devenir le curateur déplace également la question de l’exposition. Ces dédoublements de l’auteur en acteur, en sujet ou en commissaire engendrent autant de questions sur le statut et sur la figure de l’artiste. Entre réalité et fiction, ces pratiques interrogent notamment les notions d’identité et d’authenticité. Entre auto dérision et narcissisme apparent, de quels enjeux ces oeuvres récentes sont-elles le révélateur ?

    Natacha Pugnet, organisatrice du séminaire.

    Intervenants

    Edouard Boyer, artiste
    Fabien Faure, critique et historien d’art
    Simone Menegoi, commissaire d’exposition
    Caroline Renard, chercheuse en cinéma
    Nathalie Talec, artiste


    PROGRAMME

    10h15 : Présentation de ,, modératrice.

    10h30 : Caroline Renard, histoire et esthétique du cinéma, Université de Provence. Le je espiègle d’Abbas Kiarostami

    Auteur malicieux, à la fois manipulateur et espiègle, Abbas Kiarostami apparaît parfois en personne dans ses films. Lorsqu’il le fait, c’est toujours dans le même rôle : celui du personnage qui met en place un dispositif pour ensuite le remettre en question et le détruire. Ce geste contradictoire fait de Kiarostami, cinéaste et personnage de cinéma, une figure ambiguë. Quelle est la part de jeu et de malice dans cette action du cinéaste qui manipule son matériau, dirige le spectateur, sait qu’il manipule et le fait savoir ? S’agit-il d’une vraie volonté de puissance ou d’un geste de déconstruction analytique de ses productions ? Il s’agira ici d’envisager cette espièglerie comme la trace d’une inquiétude mélancolique qui donne son sens le plus profond à l’œuvre.

    11h30 : Édouard Boyer, artiste, enseigne à l’école des Beaux-Arts de Mulhouse. Extraits

    Projet après projet, Edouard Boyer excède sa propre présence.
    Sa BIO-GRAPHIE est commandée par une foule, MISSING développe un programme de portraits après une disparition fictive, NICOLAS CARRE est une série d’apparitions dans la presse sous une identité d’emprunt et BERLIIN enrôle sa vie dans une communauté furtive.
    De surcroît, les expositions elles aussi, excèdent leur propre cadre.
    BERLIIN à Berlin, L’horizon des événements à Lyon et MISSING à Juvisy/Orge sont trois expositions récentes qui se déploient avant ou après les dates annoncées, mais surtout ailleurs.
    L’espace de l’exposition excède largement le lieu dit « de l’exposition » comme le récit des présences excède la personne.

    12h30 : Pause déjeuner

    14h30: Simone Menegoi, critique et commissaire d’exposition indépendant. Double jeu : l’artiste comme commissaire

    La conférence portera sur l’un des aspects majeurs de l’art des années 2000 : les expositions montées par des artistes. De Mike Kelley, qui organisa la fructueuse exposition itinérante The Uncanny (2004), à Maurizio Cattelan, qui fut – en collaboration avec Ali Subotnik et Massimiliano Gioni – le commissaire de la Biennale de Berlin en 2006, jusqu’aux invités des Carte blanche au Palais de Tokyo, de nombreux artistes se sont attelés au commissariat, souvent avec des résultats remarquables. L’intervention présentera une vue d’ensemble de cette tendance, en abordant ses précédents historiques et en montrant la diversité des approches artistiques du commissariat, jusqu’à ses développements les plus récents – les pratiques des Anglais Goshka Macuga et Jeremy Deller, dont le travail repose sur l’appropriation et la présentation des œuvres d’autres artistes.

    15h15 : Fabien Faure, critique et historien de l’art contemporain, Université de Provence. Un coyote et ses petits

    Durant trois jours, en mai 1974, Joseph Beuys fait l’expérience d’une cohabitation pacifique mais agitée avec Little John, un jeune coyote texan qui partage avec lui l’espace de la galerie René Block de New York. À l’image archi-connue du chaman qu’on dit capable de renouer avec notre animalité réprimée, s’ajoutent d’autres figures moins assurées et moins attendues, où semble se rejouer la « relève des dieux par les pitres » qu’évoque Jean Starobinski. Abandonnant le registre messianique pour contempler sa propre silhouette que parachève un chapeau désormais avachi, Beuys ne reconnaît-il pas à juste titre « une authentique figure de cirque » ?
    En 1997, Oleg Kulik détourne l’action Coyote – I Like America and America Likes Me. Au chaman, il substitue la figure tragi-comique et violente de l’homme-chien. Entre citation ironique et réactivation distanciée, trois autres artistes ont également renoué avec la très célèbre performance de Beuys. Enroulé dans une couverture grise, Stéphane Bérard sympathise une nuit printanière avec un renard facétieux ; après plusieurs mois d’approche prudente, Édouard Boyer parvient à se faire l’ami d’un chien de garde tandis que Pilar Albarracin invite une authentique louve à prendre part à son pique-nique. Point de vécu “mythologisé” dans ces réalisations, en lesquelles se dessinent en revanche d’autres figures d’artistes, qu’accompagnent et révèlent de nouveaux compagnons de je(ux).

    16h : Pause

    16h15: Nathalie Talec, artiste, enseigne à l’école des Beaux-Arts de Tours. Celui qui voit les yeux fermés

    Cette conférence / performance réunira des lectures, des paroles, des musiques, des actes, du play-back et des images.
    « Nous n’avons pas d’art, nous faisons tout le mieux possible » - Proverbe balinais.

    Une ligne téléphonique occupée, des cris, des crissements de pneus, des détonations et cette respiration. Voilà pour l’ambiance de départ, entre la réalité et la fiction il y a la narration, faite de silence et de bruit. Nathalie Talec nous invite dans son univers musical dont le label “ Solo Intégral ” en est la meilleure définition. Il s’agit en alpinisme d’une escalade solitaire sans assurance et en musique de cette interprétation solitaire, qui n’existe que dans le silence ou la pause du groupe. Chaque performance de Nathalie Talec est un solo intégral. Pour l’artiste, la chanson est « une manière d’exprimer mon amour de l’art et des mots qui en écrivent l’histoire ou qui en décrivent les formes ». Ainsi le discours se fait acte d’interprétation et d’adaptation. Et comme dans un opéra, Nathalie Talec se fait diva et exténue les paroles jusqu’à les incarner. Alors face à nous s’expose une nouvelle écoute de l’œuvre. Glissement de l’art majeur à l’art mineur, les œuvres ne sont plus que sensations physiques.

    Ghislain Lauverjat, « Nathalie Talec, l’art comme expérience, “ solo intégral (c)” », 2007.

    Modératrice Natacha Pugnet.

     

    v continuer la promenade sur les intervenants en cliquant les liens suivant v

    Edouard Boyer Fabien Faure Simone Menegoi Caroline Renard Nathalie Talec Natacha Pugnet

    Studio point to point.

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