• PROPAGANDE EN COURS

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  • Portrait Impossible portrait  Chris Marker captures dédicace et figure.

    Chris Marker, portrait captures images / possible

    «Quand les hommes sont morts, ils entrent dans l'histoire. Quand les statues sont mortes, elles entrent dans l'art. Cette botanique de la mort, c'est ce que nous appelons la culture.»

    Lien Video Clique Ici

    Les Statues meurent aussi

    Réalisateur : Alain Resnais et Chris Marker
    Production : Société Africaine de Culture
    Format : Noir et Blanc 35 mn
    Durée : 30 minutes court métrage
    Titre Américain : Statues also Die
    Scénario : Chris Marker
    Compositeur : Guy Bernard
    Récitant : 
     Présence Africaine, et  Tadié
    Distribution : Tadie Cinéma 1953.
    Prix Jean-Vigo en 1954

    Les deux réalisateurs composent sur le manque de considération pour l'art africain dans un contexte de colonisation. Le film est censuré en France pendant huit ans en raison de son point de vue anti-colonialiste. Proposant une lecture intelligente, sensible et coupable du colonialisme africain des années 50.

    "On nous avait commandé un film sur l'art nègre. Chris Marker et moi sommes partis de cette question : pourquoi l'art nègre se trouve-t-il au Musée de l'Homme, alors que l'art grec ou égyptien est au Louvre ? " Alain Resnais.

    Alain Resnais et Chris Marker, répondront à la demande du collectif "Présence africaine" (revue panafricaine), patronné alors par Alioune Diop, et, animé notamment par des intellectuels comme Aimé Césaire, Price Mars, Léopold Sédar Senghor, Richard Wright ou Jean-Paul Sartre…,. Monsieur A. Diop qui veut offrir au monde un espace de discussions où se rencontrent les figures les plus marquantes de la société africaine de l’après-guerre.

    Le sujet des "Statues meurent aussi", c’est la mise à nu des mécanismes d’oppression et d’acculturation, l’impossible dialogue culturel dans le contexte immanent de la colonisation, le développement d’un Art-Bazar au bénéfice du Blanc consomateur-acheteur, l’idée qu’il n’y aurait pas de rupture entre la civilisation africaine et la civilisation occidentale.

    "En même temps que l’Art nègre gagne ses titres de gloire, ne devient-il pas une langue morte, question?" "On achète son art au Noir et on dégrade son art." Chris Marker. " L’art nègre, nous le regardons comme s’il trouvait sa raison d’être dans le plaisir qu’il nous donne. Les intentions du nègre qui le créée, les émotions du nègre qui le regarde tout cela nous échappe. Parce qu’elles sont écrites dans le bois nous prenons leurs pensées pour des statues et nous trouvons du pittoresque là où un membre de la communauté noire voie le visage d’une culture." sic texte film.

    Ce documentaire très controversé pose la question de la différence entre l'art nègre et l'art officiel, et surtout souligne la relation qu'entretient l'Occident avec cette culture qu'elle nie. 

    La commission de contrôle refusera au film son visa du fait notamment du discours anticolonialiste explicitement véhiculé dans le documentaire. Au bout de 10 ans, une copie tronquée du film sort toutefois sur les écrans. «Quant à eux, ils savaient tout ce qui se passait en Afrique et nous étions même très gentils de ne pas avoir évoqué les villages brûlés, les choses comme ça ; ils étaient tout à fait d'accord avec le sens du film, seulement, ces choses-là, on pouvait les dire dans une revue ou un quotidien, mais au cinéma, bien que les faits soient exacts, on n'avait pas le droit de le faire. Ils appelaient ça du "viol de foule". L'interdiction eut des conséquences très graves pour le producteur. Quant à nous - est-ce un hasard ? - ni Chris Marker ni moi ne reçûmes de propositions de travail pendant trois ans Alain Resnais.

    Pour plus d'information voir les documents joints de Sylvie-LINDEPERG-Memoire-identite-Territoire.pdf et de François Ponty Francois-Fronty-Les_statues-meurent-aussi.pdf

    Cartes net > sujet Alain Resnais.

    Paul Gauguin - Guernica   (Alain Resnais & Robert Hessens ) - Nuit et Brouillard - ON connait la chanson.

     Cartes net > sujet Chris Marker.

    Lettre de Siberie - La Jetée - SANS SOLEIL - Le fond de l'air est rouge.

    Pour les accros, voir aussi de Chris Marker La solitude du chanteur de fond  -d'Alain Renais Je t'aime je t"aime aller au cinéma voir Les herbes folles, en expositions Exhibitions.

    + d'infos

    lire entretien réné Colin sur fabrique des sens

    Alain Resnay Artetv Court-circuit

    Studio point to point XXI°

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  • Claude Rutault

    St Prim en Isère

    Informations de toile


    Lumière et Vie.

    A Saint-Prim, Claude Rutault met en pratique sa résistance à la saturation de l’image, constatant que l’on ne voit plus rien quand il y en a trop. Là où auparavant tout était encombrement, sollicitation, chaos visuel, il nous offre de la simplicité, de la clarté. Il fait œuvre de création. De re-création. Son travail de simplification contribue à créer une atmosphère de silence favorable au recueillement, à l’écoute de la Parole, à la prière. Il nous offre du silence. SIC Lumière et Vie, N° 275, juillet-septembre 2007  Marc CHAUVEAU.

    Marc Chauveau, historien de l’art de formation, iest responsable du patrimoine artistique de la province dominicaine de France, vit au Couvent de La Tourette..

     À l'origine du projet, une commande publique.

    Claude Rutault renouvelle le regard sur les représentations. À Saint-Prim, il met en pratique sa résistance à la saturation de l'image, constatant que l'on ne voit plus rien quand il y en a trop. Là où, auparavant, tout était encombrement, chaos visuel, il nous offre de la simplicité, de la clarté. Il fait œuvre de recréation. Son travail de simplification contribue à créer une atmosphère de silence favorable au recueillement.

     Extrait sur la naissance du projet.

    "... vous allez acheter que ce que vous pouvez payer... " SIC extrait de conférence à ENBA Lyon 8bis quai Saint-Vincent Lyon.

    Sa mission était d’aménager un lieu de culte déjà existant. Il a pu y appliquer sa méthode: à la fois sur les abords du lieu, sa façade extérieure, l’intérieur, du sol au fenêtres, il reconsidère ce lieu de recueillement et lui donne une qualité lumineuse propice à la méditation. Par ailleurs, le travail sur l’iconographie chrétienne et la représentation figurée est à la fois iconoclaste et subtil. S’imprégnant de la couleur du territoire et après de nombreuses discussions avec les habitants et « usagers » du lieu, Claude Rutault réalise une œuvre qui interroge le patrimoine à la fois spirituel et mobilier, les conventions et rites, dans une perspective de peintre aujourd’hui.

     Diocèse de Valence

    L’église de Saint-Prim a été officiellement inaugurée il y a un mois, avec les responsables du clergé, les élus, sans oublier les fidèles, et les habitants. Tous s’accordent à reconnaître une oeuvre majeure.

    Vidéos photos son avec Claude Rutault.

                                                                                                                                                                         you tube

                                                                                                                                                                            dailymotion

    «Saint-Prim mis à plat» Livre.

    252 p. (21 x 27,5) ; ISBN: 978-286742-156-3 ; 2008 ; 30 €.

    Ouvrage publié avec le concours du Ministère de la Culture et de la Communication (Direction Régionale des Affaires Culturelles de Rhône-Alpes).
    Relié plein papier, impression typographique à froid, jaquette quadri, 160 pages quadri, cahiers de textes en deux couleurs (88 pages). Calques

    «Saint-Prim mis à plat», treize exemplaires du livre accompagné de l'ensemble du tirage à plat réuni sous emboîtage, numérotés de I à XII et signés par Claude Rutault: 1200 €. 1500 exemplaires sur Tatami et Munken + calques de transition: 30 €.

    Le livre de la grande aventure de Saint-Prim, commande publique à laquelle Claude Rutault a œuvré pendant près de dix ans. L'artiste a réalisé une œuvre globale dans l'architecture, telle qu'elle lui a été «livrée». Il l'a intégralement revisitée, dans le prolongement du travail qu'il mène depuis l'actualisation de sa définition/méthode 1 en 1973. Toile à l'unité. Une toile peinte de la même couleur que le mur sur lequel elle est accrochée. Sont utilisable tous les formats standard disponibles dans le commerce, qu'ils soient rectangulaires, carrés, ronds ou ovales. Aucun artiste n'a conduit projet de pareille ampleur dans une église depuis plusieurs décennies.

    (Photographies: Jean-Marie Refflé, Pierre Plattier, Michel Delluc, André Morin, Claude Rutault, Georges Fessy)

                                                                                                                                    Cœur de l'église à Saint Prim Photographie.

                   Sites pér!phériques présentant le travail de Claude Rutault.             

    Cneai Centre Pompidou Le CCC Mies Barcelona Conceptual Art Creux de l'enfer

     


    © studio point to point

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  • THE POP MACHINE

    (exhibition)


    La revuegod vous conseille d'ouvrir les deux lecteurs ensembles (érotique machine).  For an erotic reading. open both drives together. 官能的な読みください。一緒に、両方のドライブを開きます。
    Remerciements à Coka France distribution and Coka Japon distribution , Thanks to France Coka distribution and  Coka distribution Japan, フランスCoka Coka日本の配布および配布のおかげで. you tube and daily  Sk8Dark and MikeFoufou motion.
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  • Le Domaine* de La POMMERY présente EXPÉRIENCE POMMERY #6*


     "SONS & LUMIÈRES" PAR BERTRAND LAVIER*

    DU 14 SEPTEMBRE 2009 AU 30 MARS 2010


    Domaine Pommery
    Nathalie Vranken, administratrice chargée du marketing
    5, place du Général Gouraud
    51100 Reims
    Tous les jours de 10h00 à 18h00
     tél. +33 (0)3 26 61 62 56
    Site > www.pommery.com
    contact > domaine@vrankenpommery.fr
    Horaires
    Tous les jours de 10h00 à 18h00
    Tarifs10 euros la visite, avec coupe de Pommery Brut Royal
    Gratuit pour les moins de 10 ans
    Durée de la visite : 45 minutes


    *Les références du domaine

    Madame Pommery, Jeanne Alexandrine Melun, nous est présentée comme une femme du XIX°(1819-1890) qui a su donner un tableau au Musée du Louvre "Les Glaneuses" de Jean-François Millet, donner un Marquis de Poulignac de mari à sa fille Louise, et  agrandir de ses crayères, avec sa fille Louise qui déclare qu'elle a voulu ce domaine Pommery comme un livre ouvert, ouvert sur le monde sur le temps… sic  Pommery.com et bio Web.


    "j'ai voulu ce domaine comme un livre ouvert, ouvert sur le monde sur le temps.…"

    Louise Pommery


    *Les références de L''expérience #6

    Bertrand Lavier metteur en scène, Gérald Karlikow lumière, Peter Szendy musique, sur l'entrée et les galeries souterraines.

    La Petite fille aux allumettes-Vladimir Horowitz-Calder-Ennio Moricone-la Träumerei des Scènes d'enfants de Schumann-L'harmonica de verre-Au clair de la lune-Il était une fois la révolution-Les petites esquisses d'oiseaux de Messiaen-La guimbarde de Papouasie-Mina-Bandiera rossa-Wes Montgomery-de Nutella- de marcher sur le tapis rouge de Cannes-de la formule d'Einstein-de Ferrari rouge-de drapeau tricolore-de palmiers-d'une robe Courrèges rose- de rouge-gorge-de " bruit rose "-de Mary Poppins-de piano à queue-de Nanni Moretti dans Bianca-de phonautographe-une bouteille vide.


    Les références des publicitaires et
    images net

    luxist
    claudinecolin
    culture et communication.
    lesgrigrisdesophie
    www.highbeam

    flickr.

    Vidéo Exposition mars 2009 Villa Médicis sur l'œuvre de Bertrand Lavier

    Les Références critiques

    Éric Troncy > Le surréalisme émotionnel
    Un journaliste de France Culture > Claude Lévêque
    La femme de ménage > Après Noêl faudra trier ça.

     
                                                                                                                       Rélalisation sans H © From point to point 2009
     
    Exposition "Sons & Lumières"
     
    L'intelligence de l'artiste est d'avoir demander à Gérald Karlikow, et Peter Szendy, de partager l'errance d'une architecture de pénétration crayeuse, évitant, avec l'ajout dl'objet, de lumière et de son, l'affligeante plastique des salles et de leur décorum qui nous suinte le labeur au profit d'une grossièreté architecturale bougeoise du XIX° qu'est le domaine Pommery.
     
    Bertrand Lavier nous donne à regarder une galerie d'animation genre E=m6, référencée vie quotidienne : grand prix, zone marchande, super market, rayonnage, périphérique, étalage, Saint Honoré… Nous montrant du visuellement identifiable en 12 tableaux qui s'ajustent sur la lumière, et, se confrontent, chacun, à une source musicale. Soit un type de relation : phares, auto, radio qui pourra être pris comme paysage nuit. ; exception de l'extérieur jour, visible comme hors champ Calderien. (à suivre)
     
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  • Extrait de "Alphaville" de Jean-Luc Godard.

    (une étrange aventure de Lemmy Caution)


    Alphaville par talles-polaris

    Lien Film clic ici

    Les mots interdits sic Le Nouvel Observateur / n° 25 / 6 mai 1965 voir l'article sur le site de Thomas Cazals L'homme à la caméra.

    Avec la chute d’intelligence apparaît un phénomène particulièrement désastreux : la chute du langage. Ici le film confine au génie, car la manière dont Godard a filmé le dépérissement du langage annonce exactement une vérité. Alphaville ne semble contenir ni journaux, ni bibliothèques, ni cinémas. A part un vieil exemplaire de « Capitale de la douleur » de Paul Eluard, caché sous un oreiller de l’hôtel des « intelligents », le seul livre en cours dans Alphaville est cette édition quotidienne de la « Bible », qui n’est en fait qu’un dictionnaire dans lequel, chaque matin, plusieurs mots ont disparu. L’utilisation des mots disparus est interdite et punie. Les habitants d’Alphaville s’expriment avec difficulté, sauf quand ils semblent suivre certains schémas vidés.
    L’appauvrissement du langage, l’implantation de formes réduites, les simplifications de la syntaxe sont chez nous des faits réels, qui accompagnent nécessairement la robotisation des hommes. La perte de vocables suit la perte de conscience, parce que les mots ne sont pas seulement signifiants : ils font penser. Il ne s’agit pas de penser, cela pourrait mettre les machines en panne. En technocratie, les mots meurent.

    If you smiles, it emfolds me all the better. « Capital of Sorrow » de Paul Eluard « Capitale de la douleur » de Paul Eluard.

    Acteurs principaux > Eddie Constantine : Lemmy Caution, Anna Karina : Natacha Von Braun, Akim Tamiroff : Henri Dickson, Howard Vernon : Pr. Leonard von Braun / Nosferatu, László Szabó : le scientifique & Valérie Boisgel, Jean-Louis Comolli, Michel Delahaye,Jean-Pierre léaud.

    Musique : Paul Misraki, Photographie : Raoul Coutard, Montage : Agnès Guillemot, Production : André Michelin, Paris Filmstudio Roma.

    Foto du pantalon, du casse croûte, etc de Frank Scherschel pour Life Magasine.

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  • LE BUREAU DES OURAGANS

    exposition du 13-11 au 19-12/2009

    Vernissage le jeudi 12 novembre à 19H00.

     

    Amande in, Sylvain Arrestier, Felicia Atkinson, Sophie Bacquié, Thomas Bernardet, Marie Baur, Christophe Blanc, Amélie Bouvier, Laurence Broydé, David Brunner, Florence Carbonne, Valérie du Chéné, Ghislaine Chortey, Ariel Costa, Sabine Anne Deshais, Emmanuel Duffault, Alban Ficat, Pauline Fondevila, Julie Fruchon, Jih An, Éric Gossec, Nicolas Gout, Ronald Grandpey, Rémi Groussin, Aurélie Guerinet, Hippolyte Hentgen, Gaston Herrera, Mademoiselle Kat, Jeanne Lacombe, Guillaume Le Moine, Karine Lespagnol, Virginie Loze, Karine Marco, Pascal Marzo, Océane Moussé, Frédéric Nakache, Fleur Noguera, Bertrand Parinet, Marianne Plo, Putevie, Stéphanie Quillon, Babeth Rambault, Clémence Roman, Nicolas Rubinstein, Yvon Saillard, Frédéric Sallaz, Violaine Sallenave, Katharina Schmidt, Damien Sorrentino Florentz, Henning Specht, Stéphane Steiner, Amandine Urruty, Michaël Viala, Claude Valenti

    Exposition Collective de Dessins

    Dans le cadre de GRAPHEINE - le mois du dessin contemporain, du graphisme et de la BD, proposé par le réseau Pink Pong.


    Un ouragan de dessins au rez-de-chaussée de Lieu-Commun réaménagé à la manière d’un labyrinthe. L'exposition rassemble plusieurs "familles" du dessin. Le dessin d'image figuratif y est fortement représenté. Cette tendance qui c'est largement répandu, depuis le début des années 90, a profité des porosités entre l'art contemporain et les autres cultures. Ce dessin à forte teneur référentielle se joue des catégories entre art, graphisme et bande dessinée. Dans le même temps sont présentés des artistes pour qui le dessin est un élément parmi d'autres du travail. Celui-ci y est souvent utilisé pour définir les projets, comme dessin d'études. D'un autre côté certains artistes pratiquent un dessin qui ne génère pas de figure, qui se situe plus sur un versant conceptuel, plan, relevés et axonométrie et annonce alors des occupations possibles de l'espace. D'autres pratiquent un dessin affranchi du papier et du crayon. Le dessin apparaît alors à l’aide de médias tel que la photographie, la sculpture, ou la vidéo. Le bureau des ouragans est un des reflets d'une scène en plein essor, pas d'exhaustivité ici, juste un instantané suggestif à forte teneur toulousaine.


    Pièce Montée

    exposition du 13-11 au 05-12/2009

    Vernissage le jeudi 12 novembre à 19H00.

     

    Annabelle Bédard, Charlotte Beseme, Edith Bories, Nathalie Charrié, Pierre Combie, Marceau Couve, Sophie Da Cunha, Mengshi Du, Nadia Ehrmann, William Fagès, Vanessa Ferdinand, Rémi Lesueur, Marion Le Torivellec, Romain Madoui , Pauline Payen, Nicolas Puyjalon, Yihuan Sun, Mélie Vidal.


    Dans le cadre de l'exposition d'Octobre, exposition des diplômés de l'École des Beaux-Arts de Toulouse 2009.
    Exposition du 13 novembre au 5 décembre, vernissage le jeudi 12 novembre à 19H00.

    Nous avons le plaisir de vous convier à venir déguster Pièce Montée, exposition collective proposée par la promotion 2009 de l’école des beaux-arts de Toulouse. C’est une invitation à rencontrer 18 jeunes artistes, dont chacun aura sa part de gâteau à faire partager. Exposition montée de toutes pièces, ce feuilleté aux saveurs multiples propose un croisement, un échange entre différents regards : le mariage des trois sections de l’école - art, communication et design - vous mettra l’eau à la bouche avec un parcours des sens à travers la ville. Durant trois semaines les pièces présentées vont mijoter, frémir, flamber, dans trois lieux d’exposition.

    Au Centre d’Art Lieu Commun, tenu et animé par les artistes et membres des collectifs À la plage, Annexia et VKS , une table truffée sera dressée, tel un banquet réunissant vidéo, volume, photo, animation, dessin, que les convives pourront savourer du 12 novembre au 5 décembre. Les amateurs de mille-feuilles pourront se délecter des éditions exposées à la médiathèque José Cabanis, où dessin, narration, graphisme, photo et pièces sonores se livreront à vos papilles du 17 au 22 novembre. Le festin se poursuivra du 19 novembre au 5 décembre à Permis de construire, jeune lieu gracieusement mis à disposition par Martine Bartholini. Loin de se rassasier de l’exposition qu’il aura accueilli pour le Printemps de Septembre, Permis de construire mettra les bouchées doubles en permettant, grâce à son aménagement atypique, la présentation de pièces plus imposantes. Chacune des expositions aura le droit à sa cerise sur le gâteau : le 12 novembre se tiendra le vernissage à Lieu Commun, avec performances et mises-en-bouche.

    "Mountains"

    Drones Ambient & Thrill Jockey Rec

    concert le jeudi 12 novembre à 20H30.


    Mountains est un duo américain issu de Chicago (IL) composé de Brendon Anderegg et Koen Holtkamp, tous deux amis d’enfance. Le duo s’est constitué autour de leurs intérêts artistiques et musicaux communs, ce qui les a amené tous les deux à poursuivre le cursus artistique de l’École du Art Institut de Chicago. C'est à cette même époque qu'ils commencèrent à échanger entre eux des idées sur la musique ainsi que des compositions musicales, ce qui les a conduit à la création de leur propre label Apestaartje. Du fait des nombreux projets et collaborations qui fleurissaient à cette époque, ils décidèrent de créer Mountains en tant que vecteur de leurs performances live.

    Leur intérêt pour la ‘sculpture sonore’, face à un public est au cœur du projet Mountains. Le troisième album du groupe intitulé Choral (Thrill Jockey) - leur premier album éponyme Mountains ainsi que le second intitulé Sewn étaient tous deux parus sur leur label Apestaartje -, se présente comme le fruit de l'aboutissement de leur travail à ce jour et le mélange équilibré de leurs deux premières sorties. Mountains est souvent comparé à des artistes tels que Brian Eno et Christian Fennesz par référence à leur travail de longs développements mélodiques et à leur sens unique et élargi de l’utilisation de la guitare. Mountains mélange parfaitement pastorales aux sonorités électroniques, ‘field recordings’ et une multitude d’instruments acoustiques. Les ambiances sonores qui en découlent, riches en détails, s’étendent sur un large spectre musical. L'effet est incroyablement sublime et hypnotique, les sons s'enroulant lentement les uns autour des autres, se modifiant eux-mêmes jusque dans l'esprit de l'auditeur. Choral est un album particulièrement apaisant au point de parvenir à rendre l’auditeur dépendant d'une expérience d'écoute sonore feutrée, chaleureuse et accueillante, dont la richesse est à découvrir et à explorer.

     





    Benoit Pioulard

    Vendredi 13 Novembre 2009 – 20H30

    6 rue de la Bourse - 31000 Toulouse



    Benoît Pioulard est le pseudonyme énigmatique de Thomas Meluch, jeune artiste de Portland (Oregon, USA). Enigmatique comme sa musique, une pop acoustique noyée dans des brumes de field recordings, portée par un chant fantomatique.

    A tout juste 25 ans, Thomas Meluch est un musicien accompli, un touche-à-tout prolifique déjà auteur de nombreux enregistrements, dont deux albums indispensables édités par le label Kranky : « Précis » (2006) et « Temper » (2008). Ces deux disques, sensibles et lumineux, dévoilent un univers kaléidoscopique dans lequel s’entremêlent folk, ambient, et électronica. Cette première tournée européenne est l’occasion rêvée de plonger dans cet océan sonore unique.

    Les Musicophages - Médiathèque Associative

     

    Lieu-Commun
    Espace d’Art Contemporain
    23/25 Rue D’Armagnac
    31500 Toulouse – France
    Illustrations ©Studio point to point.

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